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Ankara

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

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Députés turcs invités à plancher sur les droits des LGBT

Le Parti laïc héritier d’Atatürk s’active pour les droits des minorités sexuelles. Il réclame une enquête parlementaire sur ce thème.

Principale formation de l’opposition turque, le Parti républicain populaire (CHP) a exigé hier la formation d’une commission d’enquête sur le droits des LGBT dans le pays. La demande émane de la vice-présidente du Parlement, Binnaz Toprak, rapporte le site anglophone de «Hürriyet». Selon elle, les élus doivent cesser de détourner les yeux face à l’homophobie au sein des pouvoirs publics: «La principale plainte des gays, lesbiennes, bisexuels et transsexuels est l’attitude de la police à leur égard. Elle utilise parfois des méthodes illégales. Cette partie non négligeable de notre société se sent pas en sécurité.»

Ancien parti du créateur de la République turque, Kemal Atatürk, le CHP avait soutenu, l’an dernier, des propositions de loi pour libéraliser le mariage et pour inclure les LGBT parmi les minorités protégées par la Constitution. Toutes deux avaient été largement rejetées. Un récent sondage estimait que seuls 3,6% des Turcs étaient favorables à l’ouverture du mariage aux couples de même sexe.

Après avoir longtemps dominé la politique turque, le CHP a été largement distancé par l’AKP (islamiste réformiste) du Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan. Durant sa campagne de 2002, ce dernier s’était exprimé en faveur de l’égalité pour les gays et lesbiennes. Un engagement resté lettre morte.

source:http://360.ch

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Mariage gay : combien y en aura-t-il en France ?

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Mariage gay : combien y en aura-t-il en France ?

Mariage gay : combien y en aura-t-il en France ?

Les députés ont adopté le projet de loi sur le mariage pour tous mardi 12 février, lors d'un vote solennel à l'Assemblée nationale. 329 députés ont voté pour, 229 contre et 10 se sont abstenus. Le projet de loi doit maintenant être transmis au Sénat, où il sera examiné à compter du 2 avril.

Peut-on déjà avoir une idée du nombre de mariages qui seront célébrés en France entre personnes du même sexe lorsque la loi sera adoptée ?

Pour réaliser une estimation, Quoi.info s'est penché sur le nombre d'unions dans plusieurs pays où le mariage gay est déjà autorisé.

La Belgique

En Belgique, 2 138 mariages entre personnes du même sexe ont été célébrés en 2004 (la première année où le mariage homo était légal) sur 42 000 mariages. Le taux de mariage gay est d'environ 5%, il est pratiquement stable depuis 2004.

La Belgique compte une population totale de 11 millions d’habitants.

L'Espagne

En Espagne, 4 574 mariages gay ont été célébrés en 2006 (l'année où le mariage gay est devenu légal) sur un total de 163 000 mariages. En 2011, ce nombre est tombé à 3 900, la baisse est relativement modérée. Le taux de mariage gay est légèrement supérieur à 2%.

La population espagnole est de 47 millions de personnes.

Les Pays-Bas

Aux Pays-Bas, 2 400 mariages entre personnes de même sexe ont été célébrés entre avril et décembre 2001 (la loi est entrée en vigueur le 1e avril 2001), puis seulement 1 800 pour toute l'année 2002. Depuis, le nombre de mariages entre personnes du même sexe a encore baissé, jusqu'à se stabiliser autour de 1 200 unions par an.

Les Pays-Bas comptent 16 millions d’habitants.

À quoi peut-on s'attendre pour la France ?

En France, 251 000 mariages ont été célébrés en 2010, selon l'INSEE, pour une population de 65,5 millions de personnes. Ce taux est comparable à celui que l'on observe dans les pays précédemment cités.

D'après les différents exemples chez nos voisins, le nombre de mariages entre personnes du même sexe conclus la première année pourrait donc être compris entre 6 400 et 12 700 en France, soit au total entre 13 000 et 25 000 personnes concernées.
Le nombre de personnes homosexuelles en couple

En France, il n'existe pas de chiffre officiel sur le nombre d'homosexuels, mais le magazine Têtu qui recoupe les chiffres de plusieurs études sur le sujet (d'après une méthodologie de l'Ifop) avance le chiffre de "5% à 10%" d'homosexuels dans notre pays.
Quant à l'INSEE, il évalue à 200 000 le nombre d'homosexuels en couple (personnes de plus de 18 ans) en 2011, selon une étude publiée le 14 février 2013. Ils seraient 43% à être pacsés.

Le mariage entre personnes du même sexe pourrait donc représenter entre 3% et 6% des couples homosexuels, dans l'année suivant l'entrée en vigueur du mariage pour tous.

Source : quoi.info

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Homophobie : Nicola Sirkis du groupe Indochine ne...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Homophobie : Nicola Sirkis du groupe Indochine ne...

Homophobie : Nicola Sirkis du groupe Indochine ne décolère pas auprès du groupe Sexion d’Assaut depuis leurs propos homophobes il y'a 3 ans.

Nicola Sirkis, chanteur emblématique du groupe Indochine, évoque son combat contre l'homophobie. Il revient ainsi sur les propos polémiques de Sexion d'Assaut, qui ont ensuite motivé son départ du label qu'il partageait avec le groupe de rap.

Nicola Sirkis, par le biais de son groupe Indochine, s'est toujours fait porte- parole de tolérance envers les homosexuels. On se souvient du tube 3ème Sexe en 1985 où il chantait : "une fille au masculin, un garçon au féminin..." Près de trente ans en plus tard, et même s'il ne se limite pas à cette thématique, le groupe de rock continue de délivrer son message, avec notamment le titre Collège Boy sur le dernier album Black City Album. Invité dans une émission intitulée « Grand Public » sur France 2, Nicola Sirkis évoque le sujet. Et le chanteur en profite pour faire une révélation.

Cet été, Indochine a changé de label. Pourquoi ? Car le label Jive est également le label d'un autre groupe, dont les idées ne sont pas franchement partagées par Nicola Sirkis et ses camarades : Sexion d'Assaut.

Rappelons en effet qu'en 2010, les rappeurs ont tenu des propos clairement homophobes dans la presse. Malgré que le groupe se soit excusé en public et qu’ils se soient rendus auprès des jeunes de l’association « Le Refuge »pour s’excusé pour leur propos homophobes, le chanteur trouve que leurs excuses sont trop faciles et pas sincères. Pour lui, ils ont fait ça pour regagner le cœur du public.

D’autant plus que lors de cette polémique, beaucoup de leurs concerts ont été annulés suite à leurs propos homophobes. Mais Nicola Sirkis préfère les mettre sur le compte de l'inculture. Il n’a pas apprécié non les timides excuses du label lors de cette polémique en 2010.


Source : http://www.programme-tv.net/news/tv/38044-homophobie-nicola-sirkis-sexion-assaut-video/

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Les dessous pas très chics de "sœur" Frigide...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Les dessous pas très chics de "sœur" Frigide...

Les dessous pas très chics de "sœur" Frigide Barjot

L'égérie des anti-mariage gay a déposé ce vendredi une pétition citoyenne au Conseil économique et social. Enquête sur une drôle de paroissienne.

Elle est la reine du grand écart. Combien de fois l'a-t-elle fait sur un bar, une table, partout où la fête l'exigeait ? Le piano du Banana Café, célèbre boîte gay parisienne, s'en souvient, dont elle cassa la vitre une nuit où la gymnastique alla un peu loin. Elle était alors Frigide la sympa, l'amusante amuseuse que ses camarades de nuit regardaient avec tendresse partir au petit matin, ivre d'alcool et de fête.

"Coming out" catho

C'était avant son "coming out" catho, avant surtout qu'elle devienne l'infatigable porte-parole d'un mouvement qui prétend saper la détermination gouvernementale à faire voter l'ouverture du mariage aux couples de même sexe. Elle l'a dit, "les yeux dans les yeux", minijupe rose et crinière jaune, au président l'autre soir. "C'était un de mes rêves d'étudiante d'être un jour à l'Elysée. Il nous entendra, j'en suis sûre."

Un peuple est en marche derrière sa bergère disco, veut-elle croire. La meilleure façon de faire oublier les recoins troubles où elle traîne ses longues jambes depuis trente ans, c'est encore ça : beaucoup de bruit pour couvrir ses démons intérieurs et de la couleur pour enjoliver les sombres personnages qui l'entourent. Même au Champ-de-Mars, le 13 janvier, devant des centaines de milliers de serre-tête et de lodens austères, elle déboulait sous une pluie de paillettes roses au rythme de l'hymne de "Rocky III".

Boutin 2013

La Boutin 2013 reçoit dans le boudoir foutoir qui lui sert de bureau. De vieux tapis réchauffent le sol, des portants jouent au vestiaire de théâtre, les murs sont tapissés de livres, disques, dossiers. En évidence, le Code civil, sa nouvelle Bible, dont elle a tant de mal à voir bouger les lignes. Il y a aussi des affiches roses, papa-maman-enfants main dans la main, appelant à la Manif pour Tous.

Croix dorée autour du cou, Frigide, 50 ans, gère comme une boss son "cabinet", ne lâchant pas son smartphone, vérifiant une dernière fois le communiqué de presse et réfléchissant à haute voix à cette question qui la taraude : derrière le mariage, en embuscade, la famille.

Une famille cabossée

La sienne est cabossée. Des notables lyonnais, un père industriel dans le textile synthétique, une mère cantatrice. Elle est la première des deux enfants, conçue avant même les fiançailles du couple que l'on marie en vitesse, pour le meilleur et assurément pour le pire : le désamour, la violence conjugale et, pour la fillette, le grand écart originel entre une mère malheureuse et un père qui s'en fiche.

A 11 ans, Virginie Merle est anorexique et terrifiée par cette chose qu'elle ne peut confier, en pleurs, qu'à un prêtre : ses parents se séparent. "Ma blessure à moi c'est leur divorce. Toute ma motivation vient de là."

Gros donateur de Le Pen

Son père est l'ogre des contes de fées. Friqué, égoïste, païen. Bouffeur, baiseur. "Il était giscardien sous Giscard, chiraquien sous Chirac, il a fini lepéniste comme les vieux qui se lâchent." Plus qu'un électeur, dit-elle, Jacques Merle est pour Le Pen "un gros donateur fier de le recevoir dans son château de Rillieux-la-Pape" quand il descend à Lyon. Alors, oui, elle a croisé le padre du FN.

Comme lors de cette virée à Paris, dans la Jaguar de papa. "C'était jubilatoire : je venais de quitter mes copains de gauche de Sciences-Po et je me retrouvais avec Le Pen chantant des chansons paillardes. Un fêtard, Le Pen, qui aimait les femmes, les chiens, les copains, les chasseurs. Il n'y a pas mort d'homme."

La déconne lave de tout

Pourvu qu'on rigole (sauf de la religion), rien ne semble la déranger. La déconne, comme l'absolution, lave de tout. Ce n'est pas l'avis de certains copains "juifs et de gauche" qui boycottent ses noces, où le chef de l'extrême-droite est l'invité d'honneur de Jacques Merle avant de se décommander.

Ce mariage, en 1994, est un autre grand écart. Alors que l'abbé Gonzalve de Linares, après une messe en latin, dénonce dans son sermon la dissolution des moeurs, les mariés entendent derrière eux les bancs de l'église se vider : leurs copains de la télé, de la nuit et de ses excès ne sont pas venus pour prendre une leçon de morale.

Recto-verso

Les deux faces de Frigide Barjot sont là. Recto droite cathotradi, verso fête façon bacchanales. C'est Bruno Tellenne, alias Basile de Koch, son vénéré époux, son "Dieu", écrit-elle, qui a choisi ce prêtre qui les met à genoux et fait fuir leurs amis. Esprit brillant et angoissé, il est plume de politiques et notamment de Charles Pasqua. L'homme s'assume de droite mais attaque ceux qui, comme récemment un blog hébergé par le site Mediapart, évoquent son appartenance passée au GUD.

Jean-Yves Camus et Stéphane François, spécialistes de ces mouvements, ne trouvent effectivement nulle trace de lui parmi les militants de l'organisation étudiante d'extrême droite. "Son nom n'apparaît jamais", affirment-ils. En 1997, "l'Evénement du jeudi" était condamné pour avoir fait courir ce bruit qui toujours résonne.

Club de l'Horloge

Le nom de Bruno Tellenne figure bel et bien, en revanche, parmi les auteurs d'un livre paru en 1985 et signé du Club de l'Horloge, cercle de réflexion politique ultradroitier. L'ouvrage, "la Préférence nationale, réponse à l'immigration", est publié par Albin Michel sous la direction de Jean-Yves Le Gallou, membre du Front national.

Le soir des législatives de 1986, quand Jean-Marie Le Pen célèbre à l'espace Baltard l'entrée de ses trente-cinq députés au Palais-Bourbon, Lorrain de Saint-Affrique, alors conseiller en communication du FN, se souvient "très bien que Basile de Koch figurait aux premiers rangs du meeting".

"Touche pas à mon pape"

Paris est alors en pleine effervescence "Touche pas à mon pote", les proches de Frigide s'en moquent. Plus tard, elle récupérera l'idée de la petite main pour son mouvement "Touche pas à mon pape !" lorsqu'elle organisera la défense de Benoît XVI [qui a donné sa démission, lundi 11 février, NDLR].

Elle a un talent de communicante, qu'elle a exercé pour polir l'image du RPR. Puis pour Jalons. Menée par les frères Tellenne - Karl Zéro et Basile de Koch -, cette bande de dandys nihilistes excelle dans les pastiches de journaux. Au plus fort, ils écoulent jusqu'à 100.000 exemplaires de "l'Aberration" (pour "Libération").

Virginie y engloutira, dit-elle, sa fortune. Elle adore leur humour au quinzième degré. Même quand "le président" Basile de Koch l'adoube en la surnommant Frigide Barjot, elle finit, après une bonne cuite, par accepter ce pseudo. Le compagnon de soûlerie, ce soir-là, s'appelle Désiré G., alias Gauthier Guillet, ex-dirigeant du GUD, futur élu FN et lieutenant de Bruno Mégret à Vitrolles, mais à cette heure représentant pour la blague du courant "nazisme & dialogue" de Jalons. Pas de quoi effrayer la fille Merle, tout à la joie de son second baptême : Frigide Barjot est née.

Panache rose

Vingt-cinq ans plus tard, même les plus hauts évêques de France l'appellent "chère Frigide". Mais que savent-ils du personnage ? Par quel mystère l'Eglise catholique s'est-elle ralliée à son panache rose ? "Très mauvais en communication, l'épiscopat est bien content de trouver cette pro qui joue la femme sandwich du catholicisme avec ses tee-shirts à message, décrypte Jean-Baptiste Malet, de la revue "Golias", chrétienne et de gauche. Mais derrière ce déguisement, son discours est ultrapapiste et, sous couvert d'ouverture, elle incarne le repli de l'Eglise."

Sa foi, souvent noyée de larmes, confine au mysticisme. Depuis son "déclic avec Jésus" à la mort de Jean-Paul II, elle n'exulte jamais tant qu'au milieu d'une foule en prière.

Dans sa paroisse Saint-Léon, réputée conservatrice, Frigide a éveillé les marmots à la foi et animé un "chapelet des enfants" chaque jeudi soir en souvenir d'un petit mort d'une leucémie. Si elle prend un temps conseil auprès de Mgr Rey, évêque de Fréjus Toulon à l'extrême droite du Père, qui fin janvier célébrait la messe commémorant "l'assassinat" de Louis XVI, sa capuche fuchsia effraie moins que les processions en robe de bure des ultras de Civitas, dont l'Eglise veut à tout prix se démarquer.

Leur patron, Alain Escada, s'en étrangle : "Ils voulaient cacher le fait que ce sont des cathos qui se mobilisent. Mais ces gens descendent dans la rue parce que, dans leur paroisse, on le leur a demandé."

"Les rois du Banana"

La nuit, la fervente paroissienne se mue en une drôle de catholique qui chante "Fais-moi l'amour avec deux doigts parce qu'avec trois ça rentre pas", a table ouverte dans les boîtes de nuit, y traîne parfois ses clients (comme Charles Pasqua lors de l'élargissement de l'Union européenne en 2004) ou ses enfants (pour un après-midi au Banana Café, entourés de drag-queens siliconées).

"On était les rois du Banana, je ne comprends pas leur violence", dit-elle, blessée par le rejet de ceux qui ont pris ombrage de se voir utilisés comme preuve de sa non-homophobie. "Si elle n'était pas homophobe, elle ne combattrait pas ce projet", estime le patron du café. Elle peut bien se dire "fille à pédés", ses anciens camarades sont fâchés. Comme Jean-Luc Romero, dont elle célébra pourtant le faux mariage lors d'une soirée organisée dans une discothèque de la capitale.

"Mais on en a fait mille fois des faux mariages de gays, c'est amusant, on avait uni Eric Morena pour le magazine "Gai Pied" !" Mariages parodiques, d'accord, mariages officiels, non. "Oh mon bateau !" comme chantait Morena, ça tangue.

Elle a failli épouser un homo
Elle a beau assurer qu'être croyant "c'est marcher sur deux jambes, la vérité et la charité", et que depuis sa "révélation" elle n'a plus peur de rien, on devine une faille à ciel ouvert. Elle raconte sans qu'on le lui demande avoir failli épouser un homo : "J'ai vécu le fait de ne pas être désirée par un homme. Or je ne suis une femme que si un homme bande pour moi."

Certains, qui ne veulent pas être cités, disent qu'elle "se venge des homos, ses grands rivaux". Dans leur duplex low cost (voir encadré ci-dessous), papa est en haut, qui dort tard pour récupérer de ses nuits - il a abandonné le pastiche pour la chronique people -, et maman est en bas, qui prépare ses manifs avec ses nouveaux copains.

"Catosphère"

Ceux-là sont à mille lieues de l'esprit Jalons. En apparence, une bande de bénévoles sympathiques et modernes qui servent le café dans des mugs estampillés "Lourdes". Dans cette "cathosphère" domestique, on croise la bonne copine dite "de gauche", Laurence Tcheng, celle-là même qui explique dans les réunions publiques, hors médias, que les homosexuels sont comme des enfants.

Ou encore l'homo antimariage Xavier Bongibault, ex de l'UNI et de l'UMP, auteur de la hasardeuse comparaison entre Hollande et Hitler. On peut aussi apercevoir, dans la petite cuisine, à côté de la cage à lapins, Albéric Dumont, dit Albéric Ier, proche des identitaires. Ou encore Tugdual Derville, le cauteleux successeur à la tête de l'Alliance Vita, une association antiavortement, de l'ex-députée chrétienne Christine Boutin.

"Je suis pro-vie et pro-manif pour la vie", clamait d'ailleurs Frigide Barjot en janvier 2012, devant la caméra de "Nouvelles de France", un portail "libéral- conservateur". Dans ses "Confessions d'une catho branchée", elle expliquait déjà que, si sa fille tombait enceinte ado, et même en cas de viol, elle ferait tout pour garder l'enfant.

Sainte horreur

Dieu est grand, et Frigide toute petite. Elle n'aime pas la science qui ferme la porte à "l'aléa" et a très jeune jeté sa pilule. "Quelqu'un contrôlait pour moi", dit-elle énigmatiquement, sans que l'on sache qui est visé, de l'époux ou du Très-Haut. Elle qui fut mère avec difficulté ne goûte guère la procréation médicalement assistée.

"On a dû me déboucher les trompes. Le médecin m'a dit de retrouver mon mari dans les deux heures et ça a marché. Je serais peut-être allée jusqu'à la fécondation in vitro, mais pas au-delà." Un don de sperme anonyme, hors de question. L'idée de ce géniteur inconnu qui essaime à tout-va lui fait une sainte horreur.

Et ne parlons pas de la gestation pour autrui. "C'est simple : mon maître à penser, c'est Sylviane Agacinski, la femme de Lionel Jospin." Frigide n'a rien contre l'homoparentalité, tant que papa et maman sont bien identifiés.

"Filles à pédés"

"Je conseille à mes potes homos de faire leurs enfants avec leurs meilleures amies, dit-elle. Je connais des hétéros amoureuses de leur copain gay et qui sont prêtes à être mères. Il y a des sacrifices de vie par amour." Aux "filles à pédés" comme elles de porter les bébés, et le Code civil sera bien gardé.

Barjot la contorsionniste sait que ses brebis du Champ-de-Mars en avaleraient leurs hosties de travers. "Oh putain, dites bien que je ne parle qu'à titre personnel, vous allez me faire virer de la Manif pour Tous !" Qu'importe, soeur Frigide affirme avoir trouvé sa véritable vocation.

Elle raconte cette mère qu'elle a récemment appelée pour lui parler de l'homosexualité de son fils. "Elle pleurait mais a fini par l'admettre. Ma vraie mission, c'était ça : faire évoluer leurs esprits, leur faire accepter l'homosexualité."

La voilà maintenant qui se dépeint en activiste gay friendly infiltrée pour désarmer l'homophobie. Jusqu'au bout, le pastiche ? Qui sait. L'acrobate adapte son numéro à l'auditoire et retombe toujours sur ses pattes. Ni tout à fait celle que dénoncent ses ennemis, ni exactement celle que suivent ses amis, Frigide Barjot n'a pas fini de faire le grand écart.

Source : nouvelobs.com

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Etats-Unis Les catholiques veulent un pape qui remette les compteurs à zéro

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

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Tim, 19 ans, homosexuel, jeté à la rue par ses...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Tim, 19 ans, homosexuel, jeté à la rue par ses...

Tim, 19 ans, homosexuel, jeté à la rue par ses parents

"Tu me donnes les clés, tu pars et tu ne reviens pas." C'était en août dernier. Tim*, 19 ans, rassemble quelques affaires et obéit à son père. Ancien militaire, ce dernier vient de surprendre une conversation téléphonique : son fils a un petit ami. Il aime les garçons. "Je ne veux pas de trucs de pédés dans ma maison."

Le lendemain, pensant que l'orage est passé, le jeune homme repasse à l'appartement. Ses sœurs lui ouvrent. "Tu te fous de moi, tu dégages." L'excommunication paternelle est confirmée. Son père coupera bientôt son forfait téléphonique et sa carte de transports. Le cordon est rompu. Tim erre dans les rues de Cergy pendant deux jours, sans savoir où aller. Il ne dort pas, marche, s'assoit, pleure parfois. Il va à la gare, regarde passer les trains, monte dans une rame, somnole.

En deux jours, il fera une dizaine d'aller-retour entre Cergy et Paris. "Je ne sais pas... Je ne savais pas où aller. Le fait de bouger me donnait l'impression d'aller quelque part." C'est lors d'un de ces trajets que Tim perdra la carte d'identité qu'il avait fugitivement glissée dans la poche arrière de son jean au moment de quitter le domicile familial.

CHANGER D'AMIS, DE VÊTEMENTS, DE VIE

La rue, les trajets à blanc entre Cergy et Paris, l'identité perdue... Tim appelle sa mère, lui demande si elle peut l'héberger. "Attend, je te rappelle tout de suite." Elle ne le rappelle que le lendemain, pour lui dire qu'elle n'a pas de place. Ses sœurs, pourtant, y dorment quand elles veulent, fait-il remarquer. Sa mère précise sa pensée : il aura une place, à la condition qu'il change d'amis, de vêtements, de vie.

Tim entend alors parler, par une amie, du Refuge, une association qui vient en aide aux jeunes victimes d'homophobie. L'association possède des appartements-relais dans plusieurs villes, dont trois à Paris. Une place se libère. Une colocation de huit personnes, tous des jeunes mis à la rue par leur famille en raison de leur sexualité. Il sera vite rejoint par un nouveau colocataire : son petit ami. L'onde de choc de la révélation de son homosexualité s'est propagée jusque dans le foyer de son compagnon, mis à la rue lui aussi.

Dans les locaux de la permanence parisienne du Refuge, dans le 12e arrondissement, un jeune homme craintif vient de faire son apparition. David* a 21 ans. Il vient du sud de la France. Un jour, sa mère, protestante pratiquante, a "pété un plomb". "Je ne veux pas que tu me ramènes quelqu'un à la maison", lui a-t-elle signifié.

Sa mère savait que David avait un penchant pour les garçons depuis ses 15 ans. "Je lui disais que j'étais bi, pensant que ça passerait mieux. Je m'en étais convaincu aussi. Je pensais que j'essayerais les garçons, mais que je finirais avec une fille." C'est une rencontre à l'internat de son BEP vente d'un garçon "hyper libéré", qui "mettait des talons dans les soirées", qui l'aide à s'affirmer.

"J'ESPÈRE QU'ELLE CHANGERA D'AVIS AVANT DE MOURIR"

Pendant ce temps, sa mère se consacre chaque jour davantage à la religion, jusqu'à ne plus supporter la sexualité de son unique enfant. "Je lui en veux, mais je peux la comprendre, glisse David d'une voix chancelante. Elle a toujours suivi à la lettre la Bible protestante, qui dit que l'homosexualité est une abomination. Fils ou pas fils, Dieu est tout pour elle. J'espère juste qu'elle changera d'avis avant de mourir."

Les parents de Tim ne sont pas croyants. Mais ils sont très sensibles au regard de la société. "Mon père est fier, très préoccupé par l'image que les gens ont de lui. Ma mère, elle, est obsédée par le regard que les autres portent sur moi. Elle a toujours aimé mes slims, mais depuis qu'elle sait que je suis gay, elle trouve que ça fait trop fille."

Comme Tim, David n'a jamais réellement souffert de son homosexualité en dehors du cercle familial. "Au collège, tout le monde savait. On se moquait un peu de moi, mais rien de grave. Mais j'habitais dans un village, ce n'était pas facile. Je n'avais personne à qui en parler, à part mes copines. Avec les hommes, c'est compliqué, ils sont mal à l'aise."

Tim a toujours su qui il était. A La Réunion, où il a grandi, il a passé son enfance à regarder des films, des clips musicaux, passionné par les arts du spectacle. "Vers 11 ans, je ne me posais pas de question. Il y avait plein de gays dans les films, j'avais une vision très ouverte du monde européen. Je croyais que c'était normal. Enfin, je crois toujours que c'est normal...", corrige-t-il. La puissance du tabou familial s'invite parfois dans ses propres mots, fait vaciller les évidences.

Quelques mois après être parti de chez lui, David cherche du travail et un appartement à Paris. "Je veux aussi un chat, et un copain. Et puis, quand ma situation sera bien établie et que je vivrai une histoire sérieuse, un enfant."

Tim, lui, aimerait reprendre ses études, "arrêtées sec à cause de cette histoire". Une prépa d'arts, ou des études de musique. En attendant, il peut de nouveau chercher du travail : sa nouvelle carte d'identité devrait lui arriver sous quelques jours.

* Les prénoms ont été modifiés à la demande des intéressés.


Un "Refuge" pour les jeunes victimes d'homophobie

Fondée en 2003 par Nicolas Noguier, l'association Le Refuge accueille des garçons et des filles de 18 à 25 ans exclus du domicile familial du fait de leur homosexualité ou de leur transexualité.

L'association, qui dépend pour moitié des dons et pour l'autre de subventions, dispose d'appartements-relais et de places d'hôtel en Ile-de-France, à Marseille, à Lyon et à Montpellier.

L'antenne de Paris, ouverte en 2008, héberge ainsi vingt-et-un jeunes "de 20 ans en moyenne" pour une période de six mois, le temps d'essayer de trouver un travail et un logement.

Le Refuge propose également un accompagnement social et psychologique, ainsi qu'une ligne d'urgence : 06 31 59 69 50.

Source : lemonde.fr

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Un couple gay sur dix vit avec un enfant

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Un couple gay sur dix vit avec un enfant

Un couple gay sur dix vit avec un enfant

Une étude de l'Insee dresse le portrait de tous les Français en couple, homosexuels compris.

L'Insee fête la Saint-Valentin à sa manière, en publiant une étude intitulée "Le couple dans tous ses états". Car l'institut l'annonce d'emblée : "Partager la même résidence que son conjoint, de sexe différent, et avec lequel on est marié est un mode de vie en couple, mais ce n'est pas le seul". La "réalité (…) des couples" est "plus diverse". Parmi les 31,7 millions de Français qui se déclarent en couple, 200.000 sont homosexuels. Zoom sur ces derniers, au cœur des récents débats à l'Assemblée avec le mariage pour tous.

>> LIRE AUSSI : L’Assemblée vote le "mariage pour tous"

Plus d'hommes, plus de jeunes. Les couples de même sexe sont majoritairement des couples d'hommes (60%). Ils sont, par ailleurs, plus jeunes que la moyenne : la moitié des conjoints ont moins de 401 ans, contre 48 ans pour les hétérosexuels. Comment l'expliquer ? Pour l'Insee, il peut s'agir de "différences de comportements au cours du cycle de vie" mais aussi, peut-être, "d'un effet de génération : avoir un conjoint de même sexe pouvait être plus difficilement envisageable par le passé".

Avec un enfant ? Deux jours après que les députés ont voté le projet de loi ouvrant le mariage et l'adoption aux couples de même sexe, l'Insee nous apprend que 10% des couples gays déclarent vivre, au moins une partie du temps, avec un enfant. A titre de comparaison, c'est le cas de 53% des couples hétérosexuels. Les couples de femmes sont les plus concernés (huit couples sur dix). Quand aux enfants, ils sont généralement nés avant la formation du couple homosexuel et certains vivent en partie avec l'autre parent. Ils sont déclarés comme l'enfant d'un des deux conjoints ou un enfant commun.

L'engagement encore minoritaire. Si seulement 19% des jeunes homosexuels en couple (entre 18 et 34 ans) sont pacsés, la proportion bondit au-delà de 35 ans à 55%. Les hommes sont plus concernés (47% contre 38% des couples de femmes). Les couples d'hétérosexuels ne sont, eux, que 4% à être pacsés, mais 74% d'entre eux sont mariés. Au total, les couples de même sexe sont donc moins nombreux à s'être liés par contrat. Une proportion qui pourrait, peut-être, changer avec l'ouverture du mariage à tous.

source:europe1.fr

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La «manif pour tous» recueille près de 700.000...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

La «manif pour tous» recueille près de 700.000...

La «manif pour tous» recueille près de 700.000 signatures pour sa pétition anti-«mariage pour tous»

SOCIÉTÉ - Trois jours après le vote en première lecture du projet de loi à l’Assemblée nationale...

L’objectif du collectif est de recueillir un million de signatures. Ce vendredi matin, la «manif pour tous» dépose au Conseil économique, social et environnemental (CESE) un lot de près de 700.000 pétitions demandant son avis à l’organisme sur le projet de loi sur le «mariage pour tous».

Les signatures, réunies dans des cartons, ont été amenées dès 8 heures ce matin par Frigide Barjot, l’omniprésente porte-parole du collectif, et Philippe Brillault, conseiller général divers droite des Yvelines.

Avis consultatif

Le mouvement se réfère à une loi organique de 2011 pour saisir le CESE : depuis deux ans en effet, les citoyens peuvent se tourner vers cet organisme composé de représentants sociaux, syndicaux et patronaux par le biais d’une pétition signée par au moins 500.000 personnes majeures. Le Conseil décide ensuite de la recevabilité de la pétition, et se prononce, dans un délai d’un an, sur les questions soulevées.

D’après la «manif pour tous», jamais une pétition n’avait recueilli autant de signatures en France. Le collectif souhaite ainsi continuer à porter son message, après le vote de la loi en première lecture à l’Assemblée.

L’action est en vérité symbolique, puisque l’avis du CESE – s’il valide la pétition - est consultatif. Le Conseil transmet son avis, qui est aussi publié au Journal officiel, au Premier ministre, aux présidents de l’Assemblée et du Sénat mais in fine, ce sont les législateurs qui décident.

Source : 20minutes.fr

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Homos, grands muets de l’armée

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Homos, grands muets de l’armée

Homos, grands muets de l’armée

L’actuel projet de mariage pour tous, élargissant les droits des homosexuels et rendant un peu plus égales les sexualités, ne doit pas nous faire oublier que, dans notre pays, les droits fondamentaux des homosexuels sont encore souvent bafoués, y compris par des institutions d’Etat. Un de ces droits fondamentaux est de pouvoir assumer ouvertement son orientation sexuelle, de ne pas être condamné au mensonge ou au silence. C’est ce droit qui est quotidiennement mis à mal dans l’armée française, en raison de la puissance en son sein d’une culture du préjugé homophobe.

Selon le discours officiel, l’armée française ne discrimine pas en fonction de l’orientation sexuelle alors que, dans les faits, elle condamne les homosexuels à l’invisibilité. L’autorité militaire tend en effet à considérer qu’un homosexuel qui s’assume est un prosélyte, un prédateur qui met en péril la discipline et le moral des troupes. Bref, les homosexuels doivent se faire discrets alors que les hétérosexuels peuvent afficher publiquement leurs bonnes fortunes et se marier en grand uniforme. A un homosexuel qui refuse de se cacher, on donne en exemple un général célibataire qui «vit chez sa mère et ne fait pas de vague». Autrement dit, l’armée est le conservatoire de mœurs et de valeurs d’une époque où seule l’hétérosexualité était publique et où l’homosexualité devait se contenter, dans le meilleur des cas, d’être privée. La puissance du lobby catholique le plus traditionaliste au sommet de l’appareil militaire, n’est pas étrangère à cet état de fait : le vicaire général aux armées, Robert Poinard, n’a-t-il pas récemment assimilé les homosexuels à Satan ? On ne saurait être surpris, dans ces conditions, de l’hétérosexisme de l’institution : tout est fait comme si tous les militaires, et notamment les officiers, étaient nécessairement hétérosexuels. L’insulte et le quolibet homophobes fleurissent dans les casernes comme dans les écoles militaires, sans jamais susciter la moindre protestation ni, a fortiori, la moindre sanction. Des mutations viennent opportunément séparer les rares homosexuels pacsés. Quant à la sociabilité de garnison, elle semble condamnée à reproduire éternellement le familialisme chrétien le plus conservateur. On arrive à ce cruel paradoxe : alors que l’armée française n’a jamais connu d’interdit légal du type de celui qui sévissait en Grande-Bretagne jusqu’en 2000, ou aux Etats-Unis jusqu’en 2011, le climat y est aujourd’hui infiniment moins gay friendly que dans les forces armées britanniques ou américaines.

Une telle situation est inadmissible. L’opinion doit exiger que l’institution militaire s’ouvre à la réalité sociale et culturelle de notre temps. Le diocèse aux armées doit être rappelé à l’ordre. Un numéro vert doit être créé au ministère de la Défense pour qu’y soient dénoncés tous les cas d’homophobie militaire. Le cas échéant, des sanctions doivent être prises. Ce n’est pas aux homosexuels que l’armée doit imposer la discrétion, mais aux homophobes. Car ce n’est pas la fierté qui nuit au moral des troupes, mais la discrimination quotidienne, surtout quand la hiérarchie ferme les yeux, voire l’encourage. L’homosexualité n’est pas contagieuse. Si demain les gays et les lesbiennes peuvent s’afficher librement dans l’armée, comme les hétérosexuels, leur exemple servira, non pas à «convertir» ces derniers, mais à libérer d’autres homosexuels du placard où on les enferme contre leur gré. Et c’est parce qu’ils seront plus visibles (et donc jamais susceptibles d’être oubliés) que les militaires homosexuels bénéficieront d’une égalité de traitement avec leurs camarades hétérosexuels.

Nul ne doit avoir peur de cette évolution, l’exemple britannique (depuis 2000) doit nous aider au contraire à l’envisager avec optimisme. La plupart des forces armées européennes qui se sont engagées dans un processus volontariste contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle, à l’exemple du Royaume-Uni, n’ont rien perdu de leur efficacité militaire reconnue. Elles sont seulement moins hypocrites, plus ouvertes à la diversité de la société et plus respectueuses des droits fondamentaux de la personne humaine.

(1) Auteur de l’article «armée» du «Dictionnaire de l’homophobie», sous la direction de Louis-Georges Tin, Paris, PUF, 2003. (2) Victime, au sein de l’armée française, de discriminations liées à l’orientation sexuelle.


source:liberation.fr

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Il revient sur son premier baiser homo dans "Plus...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Il revient sur son premier baiser homo dans "Plus...

Il revient sur son premier baiser homo dans "Plus Belle la Vie"

Laurent Kerusoré, alias Thomas Marci dans la série de France 3, a expliqué qu'il avait eu quelques petites appréhensions au moment d'embrasser pour la première fois un homme face aux caméras.

Dans un documentaire inédit dévoilant les "Secrets" de "Plus Belle la Vie", Laurent Kérusoré explique: "On avait quand même une petite appréhension du premier baiser à 20h20, quoi!".

Ce qui le gênait le plus, ce n'était pas le baiser. Mais bien les réactions du public. "J'avais des appréhensions vis-à-vis de ça, surtout dans la rue. Pas de jouer un homosexuel parce que, a priori, c'est un rôle comme un autre. C'était plus la réaction des gens."

Mais il souligne que le couple d'amoureux "préféré des téléspectateurs" au début de la série, "c'était bizarrement Thomas et Nicolas". Il continue: "Je trouvais que c'était un grand pas, en France, de jouer des homosexuels, même si ça reste secondaire. Je trouvais ça plutôt pas mal."

Source : 7sur7.be

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Nous nous engageons auprès de l'association du...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Nous nous engageons auprès de l'association du Refuge et nous entamons dans quelques jours une campagne de soutien sur nos sites et réseau. Merci et courage !

L'association " Le Refuge ", inquiète pour ses résidents, dépose plainte auprès du Procureur de Montpellier. Profondément choquée par les insultes quotidiennes reçues sur sa ligne d'écoute et inquiète pour la sécurité de ses résidents, l'association nationale Le Refuge décide de porter plainte auprès du Procureur de la République.

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Non au referendum pour le mariage pour tous soutenons monsieur francois hollande

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Signer une pétition, ça ne prend qu'un petit moment de votre temps... Même si le référendum est écarté, il n'est pas inutile de se mobiliser !

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Nous nous engageons auprès de l'association du...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Nous nous engageons auprès de l'association du Refuge et nous entamons dans quelques jours une campagne de soutien sur nos sites et réseau. Merci et courage !

L'association " Le Refuge ", inquiète pour ses résidents, dépose plainte auprès du Procureur de Montpellier. Profondément choquée par les insultes quotidiennes reçues sur sa ligne d'écoute et inquiète pour la sécurité de ses résidents, l'association nationale Le Refuge décide de porter plainte auprès du Procureur de la République.

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Homophobie : Nicola Sirkis du groupe Indochine ne...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Homophobie : Nicola Sirkis du groupe Indochine ne...

Homophobie : Nicola Sirkis du groupe Indochine ne décolère pas auprès du groupe Sexion d’Assaut depuis leurs propos homophobes il y'a 3 ans.

Nicola Sirkis, chanteur emblématique du groupe Indochine, évoque son combat contre l'homophobie. Il revient ainsi sur les propos polémiques de Sexion d'Assaut, qui ont ensuite motivé son départ du label qu'il partageait avec le groupe de rap.

Nicola Sirkis, par le biais de son groupe Indochine, s'est toujours fait porte- parole de tolérance envers les homosexuels. On se souvient du tube 3ème Sexe en 1985 où il chantait : "une fille au masculin, un garçon au féminin..." Près de trente ans en plus tard, et même s'il ne se limite pas à cette thématique, le groupe de rock continue de délivrer son message, avec notamment le titre Collège Boy sur le dernier album Black City Album. Invité dans une émission intitulée « Grand Public » sur France 2, Nicola Sirkis évoque le sujet. Et le chanteur en profite pour faire une révélation.

Cet été, Indochine a changé de label. Pourquoi ? Car le label Jive est également le label d'un autre groupe, dont les idées ne sont pas franchement partagées par Nicola Sirkis et ses camarades : Sexion d'Assaut.

Rappelons en effet qu'en 2010, les rappeurs ont tenu des propos clairement homophobes dans la presse. Malgré que le groupe se soit excusé en public et qu’ils se soient rendus auprès des jeunes de l’association « Le Refuge »pour s’excusé pour leur propos homophobes, le chanteur trouve que leurs excuses sont trop faciles et pas sincères. Pour lui, ils ont fait ça pour regagner le cœur du public.

D’autant plus que lors de cette polémique, beaucoup de leurs concerts ont été annulés suite à leurs propos homophobes. Mais Nicola Sirkis préfère les mettre sur le compte de l'inculture. Il n’a pas apprécié non les timides excuses du label lors de cette polémique en 2010.


Source : http://www.programme-tv.net/news/tv/38044-homophobie-nicola-sirkis-sexion-assaut-video/

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Joyeuse St Valentin à tous les Amoureux et...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Joyeuse St Valentin à tous les Amoureux et...

Joyeuse St Valentin à tous les Amoureux et Amoureuses ! ♥

En espérant que le Sénat valide la loi et que tous les couples qui désirent se marier puissent enfin s'unir !
Profitez en pour nous dire depuis combien de temps êtes-vous avec votre chéri(e) ? :)

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Paranoïa

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Paranoïa

Paranoïa
Un «complot gay» a coûté aux lutteurs leur place aux J.O.

Pour un célèbre coach russe de lutte gréco-romaine, c’est un «lobby homosexuel» qui a fait en sorte que le Comité international olympique évince sa discipline des prochains Jeux

Il n’y aura pas de lutte gréco-romaine aux Jeux Olympiques de Rio. Mardi, le CIO a voté pour retirer cette discipline de la liste des compétitions. La décision n’a pas fait grand bruit… sinon en Russie, qui compte la plupart des derniers champions. Et attention: ils sont très, très mécontents. «S’ils excluent la lutte, cela signifie que les gays vont bientôt dominer le monde entier», vitupère Vladimir Uruimagov, coach de deux des derniers médaillés. «Ce comité (le CIO) est présidé par des représentant de ces minorités!» Le coach a continué sa plaidoirie, rapportée par RussiaToday, en expliquant qu’il fallait «que des millions de gens comprennent que c’est un sport d’homme et qu’en dehors de ça, il n’y a pas d’avenir».

En fait, la lutte a probablement été victime des faibles audiences enregistrées par les retransmission de rencontres. Quant à savoir si la lutte est trop «mâle» pour les gays, il n’y a qu’à visionner les innombrables vidéos postées sur les sites porno gay pour se rendre compte que ce sport est, au contrairement, immensément populaire de par chez nous.

Source : 360.ch

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