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Australie : David Pocock risque sa place de capitaine pour s’être plaint de propos homophobes lors d’un match

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La star de rugby australien David Pocock risque de ne pas pouvoir être capitaine de l’équipe nationale « les walabies », aprés avoir signalé à l’arbitre un joueur qui tenait des propos homophobes .

Lors du match entre les Waratahs et les Brumbies, David Pocock, qui est engagé en faveur du mariage pour les homosexuels s’est plaint auprès de l’arbitre Craig Joubert à deux reprises, après avoir entendu des insultes homophobes de la part d’un joueur des Waratahs : « Vous avez entendu ça monsieur… on ne peut pas dire ça, il pourrait y avoir des joueurs gay sur le terrain. Leur capitaine, Michael Hooper, a répondu que c’était le rugby. Ce n’est pas acceptable ».

Il avait demandé un temps d’arrêt et cela avait été jugé inacceptable .

Une enquête a immédiatement été ouverte et le joueur auteur de ces insultes, le sud-africain Jacques Potgieter, a été identifié. Il a écopé d’une amende de 20,000 dollars australiens et s’est excusé pour des propos « sortis dans le contexte d’un match sous tension, et sans se rendre compte que cela pouvait blesser

En tant que joueurs, nous l’avons dit les Brumbies ne vont pas à tolérer des insultes homophobes, je ai juste fait ce clair à l’arbitre que ce est inacceptable. Vous pouvez être l’homme le plus dur dans le monde, mais ça n’a rien à voir avec l’aide de ce genre de langage obtenu.

Australie : David Pocock risque sa place de capitaine pour s’être plaint de propos homophobes lors d’un match

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Quebec : un jeune trans en fugue, la police ignore son genre

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Une adolescente de 17 ans, disparue depuis le 18 mars dernier est recherchée et un avis de recherche a été lancé .Seulement la description n’a rien à voir avec la personne qui est recherchée, un jeune trans qui s’appelle Mat, qui préfère qu’on utilise les pronoms masculins quand on réfère à lui et dont l’apparence physique correspond plus ou moins à la photo que ses parents ont transmise.

À la Sécurité Québécoise , le sergent Claude Denis a confirmé que les informations publiées dans le communiqué sont celles qui ont été transmises par les parents. «Cette personne est mineure, elle a des parents, et c’est l’information qui a été donnée par les parents aux enquêteurs. Si cette personne-là était homosexuelle, on ne le dirait pas», a-t-il ajouté.

Selon plusieurs de ses amis contactés via Facebook, Mat ne se considère ni comme une fille, ni comme un garçon. Le refus de ses parents de reconnaître son identité de genre serait à l’origine de sa fugue.

Il apparait que le taux de suicide ou d’idéations suicidaire est beaucoup plus élevé chez les jeunes homosexuel(le)s, bisexuel(le) ou trans.
«

L’avis utilise les mauvais pronoms et le mauvais nom, c’est un crachat dans sa face, a écrit sur Facebook Sophie Labelle, une militante pour les droits des personnes trans, qui connaît personnellement Mat. Je n’ai aucune idée où se trouve Mat, mais je sais qu’il est parti de chez lui parce qu’il ne s’y sentait pas en sécurité – et avec un avis de recherche aussi irrespectueux, je n’ai aucune misère à croire qu’il est davantage en sécurité là où il se trouve qu’à son domicile ou entre les mains de la DPJ».

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Mark Feehily confesse avoir songé au suicide à cause de son homosexualité

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Mark Feehily, chanteur de l’ex boysband The Westlife, est de retour avec le titre Love is a Drug. Lors d’une interview pour le magazine gay Attitude, il a confié avoir vécu une période très difficile dans sa vie privée en raison de son homosexualité qu’il n’arrivait pas à assumer. Le chanteur à même eu des pensées suicidaires…

Mark Feehily a été obligé de cacher sa sexualité pour ne pas facher ses nombreuses fans. Au-delà de l’aspect professionnel, le chanteur ne se sentait tout simplement pas les reins assez solides pour assumer sa préférence pour les garçons. « Dans les moments les plus sombres, j’avais le sentiment que je ne serais jamais capable de faire mon coming out. J’avais pris l’habitude de rester dans ma chambre d’hôtel. J’y restais pendant des heures, parfois des jours et je n’avais aucune motivation à sortir. Je me disais : ‘Si je ne peux pas être moi, pourquoi m’emmerder ?’ Cela m’a donné l’impression que je ne pourrais pas être heureux, une sorte de sentiment de vouloir en finir. Eh oui, si je suis totalement honnête, mon esprit a erré dans de sombres pensées» , raconte t’il à Attitude.

Le chanteur, qui a fait son coming out en 2005, est aussi revenu sur les moments passés auprès du groupe. « Je suis devenu dépressif. Les gens se disaient : ‘C’est certain, il vit la vie de Riley dans un énorme groupe, comment peut-il avoir des problèmes ?’ Mais il y avait un équilibre à trouver et, à cette époque, ma carrière était bien remplie mais ma vie privée était en lambeaux. J’avais l’habitude d’implorer de la compagnie et de l’amour. Du coup, je suis aujourd’hui un grand supporter des associations qui traitent avec des gens qui ont des pensées ou des actes suicidaires puisque, parfois, nous allons naturellement vers les associations qui sont proches de nos coeurs ou de nos expériences», a-t-il ajouté.

« Oui, je suis aujourd’hui dans une situation bien plus heureuse. J’ai rencontré quelqu’un il y a un an et demi et je suis vraiment heureux. Il me fait rire et cela m’a toujours attiré. Nous vivons ensemble. Tout est arrivé très vite mais cela nous a paru naturel : des personnes se marient après une semaine, d’autres ne font pas un pas avant des années. Je ne crois pas aux inquiétudes à avoir quand vous vous lancez dans des choses. Je ne suis pas comme les filles de Sex and the City qui disent des choses du genre : ‘Je ne veux pas faire ça au second rendez-vous mais au cinquième.’ Après n’avoir pas pu m’ouvrir sur ma sexualité au sein du groupe pendant si longtemps, maintenant, il s’agit d’être vraiment moi» , explique Mark Feehily enfin heureux

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Grande Bretagne : Trop d’étudiants se prostituent pour financer leurs études

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Une enquête menée par des chercheurs de l’Université de Swansea, « Student Sex Work Project », qui ont interrogé 6.773 élèves à travers le Royaume-Uni rapporte que 2,4% des élèves de sexe masculin interrogés s’étaient prostitués .

3,5% avait retiré de l’argent du travail sexuel indirect – tel que des prestations sexuelles par webcam, le phone sex ou le chat sexuel en ligne, ou encore en s’engageant dans le porno.

Ces chiffres sont plus élevés que pour les étudiantes – 1,3% d’entre elles sont impliquées dans le travail sexuel direct et 2,7% dans le travail sexuel indirect.
Un grand nombre d’hommes a également déclaré avoir envisagé le travail sexuel indirect – 14,7% – et 8,8% pour le travail du sexe direct.

La majorité des jeunes hommes interrogés explique qu’ils avaient recours à ses moyens pour aider à financer leurs études et leur mode de vie, et éviter de s’endetter.
« Le travail sexuel est largement, mais à tort, perçu comme une occupation qui est principalement pratiqué par des femmes, ce qui signifie que les hommes peuvent passer à travers le filet de soutien aux étudiants parce qu’ils ne sont pas associés à professions de travail du sexe» a déclaré au quotidien The Guardian le Dr Tracey Sagar, qui a dirigé l’étude

Elle a poursuivi: « Nous avons maintenant des preuves solides que les étudiants sont engagés dans l’industrie du sexe à travers le Royaume-Uni. La majorité de ces élèves tenu ses occupations secrètes et ce à cause de la stigmatisation sociale et la crainte d’être jugé par la famille et les amis. Et nous devons avoir à l’esprit que tous les étudiants engagés dans l’industrie de sexe ne se sentent en sécurité» .

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Gambie : Yahya Jammeh refuse d’assouplir ses lois anti-gay

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La Gambie a fait preuve de mépris à l’égard de la communauté internationale en refusant tout un ensemble de recommandations visant à remédier à la détérioration de la situation des droits humains, a déclaré Amnesty International.

Le gouvernement gambien n’a accepté que 93 des 171 recommandations émises dans le cadre de son Examen périodique universel (EPU) aux Nations unies, à Genève.

« Le nombre élevé de refus sur des questions cruciales en matière de droits humains montre que le gouvernement est peu disposé à remédier à la situation déplorable des droits humains - et notamment aux restrictions injustifiées au droit à la liberté d’expression, aux disparitions forcées et au recours à la torture pour étouffer l’opposition », a déclaré Sabrina Mahtani, spécialiste de l’Afrique de l’Ouest à Amnesty International.

« Les défenseurs des droits humains, journalistes et personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuées sont pris pour cibles, et la situation des droits humains en Gambie continuera à se dégrader à moins que la communauté internationale ne s’emploie à inciter la Gambie à adhérer véritablement aux recommandations qu’elle a rejetées. »

Durant son EPU, la Gambie a répondu à 171 questions, commentaires et recommandations émanant de plus de 60 pays exhortant les autorités à en faire plus pour promouvoir et protéger les droits humains.

Bien qu’il ait ajourné l’adoption des conclusions de l’EPU la semaine dernière à la dernière minute, le gouvernement a déçu en s’abstenant d’envoyer une délégation à Genève, choisissant plutôt de soumettre ses réponses par écrit.

Le Gambie n’a pas accepté les recommandations concernant la ratification de la Convention des Nations unies contre la torture, émises par 13 États, ou portant sur l’abolition de la peine de mort.

Le gouvernement a également rejeté la dépénalisation de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre, ainsi que la coopération avec les procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. Il a également refusé les recommandations l’invitant à modifier la législation afin de lever les restrictions pesant sur la liberté d’expression.

La situation des droits humains dans le pays s’est fortement détériorée depuis l’EPU de la Gambie en 2014. En mars 2014, le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture a diffusé un rapport soulignant le risque élevé de torture, d’arrestations arbitraires et de disparitions forcées dans le pays.

Le rapporteur spécial sur la torture et le rapporteur spécial sur les exécutions extrajudiciaires se sont rendus en Gambie en novembre 2014. Durant cette mission, ils n’ont pas été autorisés à accéder au quartier de haute sécurité de la prison centrale Mile 2, dans la capitale, Banjul, où sont détenus les condamnés à mort. Ces restrictions sont sans précédent depuis l’établissement du mandat du rapporteur spécial sur la torture, il y a 30 ans.

Le président Yahya Jammeh a signé en octobre 2014 une modification apportée au Code pénal qui introduit des peines encore plus sévères pour les personnes LGBTI, désormais passibles de la réclusion à perpétuité pour « homosexualité aggravée ». Et ce, malgré de nombreuses recommandations visant à l’en dissuader durant l’EPU. Au moins 14 personnes ont été arrêtées en novembre et décembre 2014 en raison de leur orientation sexuelle présumée.

Depuis début janvier 2015, les organes gambiens chargés de l’application des lois ont arrêté au moins 30 proches de personnes soupçonnées d’avoir pris part au coup d’État manqué du 30 décembre 2014. Certaines personnes ont été remises en liberté mais d’autres n’ont pas reparu depuis près de trois mois et on ignore combien se trouvent encore en détention au secret.

Le 14 janvier 2015, le président Jammeh a annoncé que son gouvernement était prêt à travailler en coopération avec les Nations unies pour enquêter sur les événements du 30 décembre. Le 28 février 2015, la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, a adopté une résolution sur l’organisation d’une mission d’établissement des faits. Aucune enquête indépendante n’a cependant été menée. Une cour martiale a été instituée pour juger les six soldats qui auraient participé à la tentative de coup d’État. Le procès se déroule à huis clos, sans que les médias ne puissent le couvrir. Si ces hommes sont déclarés coupables, ils encourent la peine de mort.

« La Gambie doit garantir que les droits de la défense des accusés soient respectés. Elle doit coopérer avec la communauté internationale et diligenter dans les meilleurs délais des enquêtes impartiales et indépendantes sur les événements ayant mené au coup d’État et sur la réaction gouvernementale consécutive qui a débouché sur ces arrestations et incarcérations », a déclaré Sabrina Mahtani.

« Les États membres des Nations unies doivent favoriser une implication plus forte face à la détérioration de la situation des droits humains en Gambie et à son manque de respect pour les mécanismes internationaux relatifs aux droits humains. La Gambie doit sans tarder mettre en œuvre les recommandations qu’elle a acceptées, et accepter celles qu’elle a rejetées sur les questions fondamentales en matière de droits humains, comme la peine de mort, la torture, la liberté d’expression et les droits des personnes LGBTI. La communauté internationale ne peut continuer à observer la détérioration de la situation des droits humains en Gambie sans agir. »

Contexte

L’Examen périodique universel (EPU) est un mécanisme du Conseil des droits de l’homme des Nations unies dans le cadre duquel cet organe évalue régulièrement (tous les quatre ans et demi) la manière dont chacun des 193 États membres de l’ONU s’acquitte de ses obligations et engagements en matière de droits humains. Il s’agit d’un mécanisme coopératif qui repose sur des informations fiables et objectives et une égalité de traitement de tous les États.

La Gambie est l’un des 14 pays ayant été évalués lors de la session du groupe de travail sur l’EPU en octobre dernier. Soixante-deux pays ont déploré les restrictions à la liberté d’expression, regretté la rupture du moratoire sur les exécutions, et demandé à la Gambie d’appliquer les jugements prononcés contre elle par la Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, et de respecter ses obligations en vertu de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples. Des pays ont recommandé des mesures visant à protéger les journalistes, les défenseurs des droits humains et les militants politiques et à leur permettre de mener leurs activités à bien, et préconisé d’abroger les lois érigeant en infraction les relations entre personnes du même sexe. Ils ont aussi recommandé que la Gambie ratifie la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Le 26 mars 2015, le Conseil des droits de l’homme a adopté les conclusions de l’Examen périodique universel sur la Gambie. Le rapport comprend un résumé du dialogue interactif et la liste des recommandations formulées par d’autres États.

amnesty.be

Gambie : Yahya Jammeh refuse d’assouplir ses lois anti-gay

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Dans le Doubs IL TORTURE SON POTE POUR EXORCISER SON HOMOSEXUALITÉ

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Un jeune homme de 25 ans a été condamné vendredi par la Cour d'assises de Lons-le-Saunier. Les faits s'étaient déroulés à Tarcenay (Doubs), un village entre Besançon et la frontière suisse. J. entretenait depuis quelques mois une relation «ambiguë» avec un de ses potes. Jusqu'à une soirée arrosée de juillet 2012, où ce dernier avait tenté un geste amoureux. En guise de réponse, l'apprenti cuisinier lui avait fait subir un calvaire. «Brûlures, strangulations, coupure avec un tesson de bouteille, menaces avec une tronçonneuse, jusqu’à l’acte ultime: un coup de couteau porté à l’abdomen», rapelle la «Voix du Jura». Grièvement blessée, la victime avait échappé de peu à la mort. «Je n’y crois pas au crime passionnel. La seule façon qu’a trouvé J. pour rompre ce qu’il ne voulait pas être, c’est à dire homosexuel, était la violence», a commenté son avocat. J a écopé en appel de 20 ans de réclusion, comme en première instance.

Une nouvelle fois, S. a revécu cette nuit de torture. Une nuit qu’il n’a jamais vraiment quitté. « Depuis les faits, il revit chaque jour ce qu’il a vécu. Il est en proie à des cauchemars, de l’anxiété, des conduites d’évitement », a témoigné son avocat. Apparaissant bouleversé et en larmes, scrutant à de nombreuses reprises son tortionnaire, au cours du procès, il a pourtant tenu le coup jusqu’au bout. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 3 juillet 2012, à Tarcenay, dans le Doubs. Ce soir là, deux amis d’une vingtaine d’années, entretenant une relation ambiguë depuis cinq mois se retrouvent au domicile de l’accusé. J. aurait des difficultés à assumer son homosexualité et n’aurait pas supporté certains gestes de son « ami ». Alors qu’il tente de partir, l’accusé le retient de force et lui inflige un véritable calvaire. Les coups de pieds succèdent aux gifles, et laissent la place à des actes barbares : brûlures, strangulations, coupure avec un tesson de bouteille, menaces avec une tronçonneuse, jusqu’à l’acte ultime : un coup de couteau porté à l’abdomen. Ce vendredi, les débats portaient sur l’intention de tuer.

L’avocat de l’accusé qui insistait sur le volet sentimental de l’affaire n’a pas été entendu. « Je n’y crois pas au crime passionnel. La seule façon qu’a trouvé J. pour rompre ce qu’il ne voulait pas être, c’est à dire homosexuel, était la violence. J. a fait venir S. pour le traiter comme une chose. Pour lui faire mal, pour lui faire peur, puis le tuer », a argué l’avocat général, évoquant aussi la dangerosité de l’accusé, relevée par les différents experts appelés à la barre.

Après trois jours de débats, le verdict a été rendu dans l’affaire des tortures du Doubs ce vendredi. Comme en première instance, le jeune accusé a été condamné à 20 ans de réclusion, à une période de sureté des deux tiers, un suivi sociojudiciaire de dix ans, une injonction de soins, la réparation des dommages, l’interdiction de voir la victime et de venir dans le département du Doubs.

voixdujura.fr

Dans le Doubs IL TORTURE SON POTE POUR EXORCISER SON HOMOSEXUALITÉ

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LA CENSURE DE GRINDR ATTAQUÉE DEVANT LA COUR CONSTITUTIONNELLE

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La principale association LGBT de Turquie, Kaos GL, a saisi la haute instance pour réclamer la levée du blocage arbitraire de l'app de drague gay.

Depuis août 2013, l’application de drague gay Grindr est inaccessible en Turquie. Dans le cadre d’un grande offensive du pouvoir islamo-conservateur contre les médias numérique, peu après les événements de la place Taksim, l’agence des télécommunications d’Etat avait censuré le service.

La principale association LGBT turque, Kaos GL, a décidé de saisir la Cour constitutionnelle afin d’obtenir la levée de cette soi-disant «mesure de protection». Le groupe, soutenu dans sa démarche par deux professeurs de droit, relève que les autorités n’ont jamais livré leurs motivations à censurer Grindr. L’application ne serait mentionnée que dans une seule procédure judiciaire, qui portait sur la publication d’informations privées, et non sur une quelconque menace sur la famille ou la moralité publique.

CONTRAIRE À L’ARTICLE 17 DE LA CONSTITUTION
Kaos GL rappelle que le service est clairement réservé aux personnes de plus de 18 ans. L’interdire revient à considérer que l’homosexualité entre personnes majeures et consentantes est un crime – ce qui est contraire à l’article 17 de la Constitution turque: «Chacun possède le droit de s’épanouir son intégrité physique et spirituelle».

Par ailleurs, l’association basée à Ankara rappelle «l’importance des médias sociaux pour les gays en Turquie en termes de socialisation, de rencontres et d’organisation, ainsi que de soutien mutuel.»

http://360.ch/

LA CENSURE DE GRINDR ATTAQUÉE DEVANT LA COUR CONSTITUTIONNELLE

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Harcèlement sexuel Une dizaine de cas d’homophobie signalés dans l’armée française l'an dernier

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Un an après sa création, la cellule Thémis, qui accompagne les victimes de violences sexuelles dans l'armée, a été saisie d'une centaine de cas dont une dizaine d'homopbie - et reste déterminée à "libérer la parole" face aux craintes de représailles.

"Sur les 96 dossiers (harcèlement, discrimination et violences sexuelles) dont nous nous sommes saisis depuis avril 2014, environ 90% concernent des femmes et 10% des cas d'homophobie", selon le contrôleur général des armées Bernard Ducateau, qui dirige la structure.

Chaque mois, la cellule reçoit une dizaine d'appels. La majorité des faits sont survenus en 2012 ou 2013, certains remontant jusqu'en 1995. "Longtemps après les faits, la souffrance est toujours là. Il est important pour ces femmes d'obtenir le statut de victime", note M. Ducateau.

Dans l'armée, la situation est aggravée par une "omerta et une loi du silence", souligne Michel Bavoil, fondateur de l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil). "Il y a toute une zone grise de faits dont on n'a pas connaissance. Comme dans la société civile, il y a une chape de plomb sur les violences sexuelles", concède le responsable de Thémis.

Autre facteur qui empêche les victimes de dénoncer les auteurs de violences ou de harcèlement: la peur des représailles. Face à ce problème, Thémis n'entame aucune enquête sans autorisation signée de la victime, sauf en cas de viol. "On lui explique: 'à partir de maintenant, il faut vous préparer, vous allez être auditionnée, votre commandement direct ne sera peut-être pas content'", relate M. Ducateau.

Pour prévenir ces représailles, la cellule peut accompagner la victime sur la durée, comme cette femme qui a porté plainte contre un haut gradé: "Pendant au moins cinq ans, nous resterons en contact avec elle et examinerons ses notations annuelles, pour nous assurer que cette affaire n'ait pas d'impact négatif sur sa carrière".

Pour tenter de "libérer la parole", des affiches et plaquettes, intitulées "Stop au harcèlement sexuel", vont être distribuées dans tous les régiments.

Environ 640 travailleurs sociaux du ministère de la Défense vont recevoir une formation spécifique pour accompagner les victimes. Un "kit de formation" est aussi à l'étude pour les instructeurs des jeunes recrues, 70% des victimes et 60% des auteurs étant des militaires du rang, relève M. Ducateau.

(Source AFP)

Harcèlement sexuel Une dizaine de cas d’homophobie signalés dans l’armée française l'an dernier

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A CORINTH, MISSISSIPPI UN JEUNE HOMME DÉFIGURÉ PARCE QU’HOMOSEXUEL

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Un homme homosexuel âgé de 26 ans a été agressé violemment sur un parking d’un magasin «Walmart» à Corinth, Mississippi. Une enquête est ouverte.

Devin Norman a 26 ans. Il est natif de Iuka dans le Mississippi, dans le sud des États-Unis. Depuis longtemps, le jeune homme vit son homosexualité, sans se cacher. Pourquoi le ferait-il ? Vendredi après-midi, pourtant, Devin a été victime de l’homophobie. James David Scott, 23 ans, originaire de Tishomingo County, a agressé le jeune homme sur le parking de «Walmart» à Corinth vers 13 heures. Après quelques mots échangés, James n’a pas hésité à le jeter à terre et le rouer de coups à plusieurs reprises sur le visage. Devin s’est alors retrouvé avec de multiples contusions et un os brisé au visage.

Conscient qu’il risque d’être arrêté, l’agresseur s’enfuit à pieds. Il est rattrapé par les autorités quelques minutes plus tard et transféré au centre de détention du comté d’Alcorn pour être interrogé.

PLUSIEURS PERSONNES ONT ENTENDU LES RAISONS DE CETTE BAGARRE

Le chef de la police Ralph Danse a annoncé sur le média local «WTVA» qu’une enquête était ouverte. Il tente aujourd’hui de comprendre comment l’altercation a pu arriver. Est-ce que les deux hommes se connaissaient ou est-ce réellement un acte homophobe ? Dans le premier cas, il y aurait eu des mots échangés entre Devin et James quelques jours avant l’agression. «Un poste sur le réseau social Facebook est apparemment de nature suspecte. Mais nous ne savons pas pour le moment s'il y avait eu d'autres échanges avant», a déclaré le chef Danse. Seconde hypothèse, s'il s'agit d'un acte homophobe. «Plusieurs personnes ont entendu, y compris la victime, que le suspect a battu Devin à cause de ses orientations sexuelles», ajoute la police locale.

Le jeune homme de 26 ans est actuellement à l'hôpital pour soigner ses nombreuses blessures, et surtout l'os brisé à la joue. James risque la prison ferme si l'acte homophobe est prouvé et que l'enquête mène à un «crime de haine». En effet, l’État du Mississippi punit avec force les actes visant les minorités.

parismatch.com/

A CORINTH, MISSISSIPPI UN JEUNE HOMME DÉFIGURÉ PARCE QU’HOMOSEXUEL
A CORINTH, MISSISSIPPI UN JEUNE HOMME DÉFIGURÉ PARCE QU’HOMOSEXUELA CORINTH, MISSISSIPPI UN JEUNE HOMME DÉFIGURÉ PARCE QU’HOMOSEXUEL
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