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Priscilla folle du désert

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Priscilla folle du désert
1994

Terrassée par le chagrin après la disparition de son compagnon, Bernadette, un transsexuel vieillissant, décide de se joindre à Mitzi et Felicia, deux drags queens extravagantes et excentriques, pour un voyage devant les mener dans un trou paumé de l'Australie afin d'y donner un spectacle.

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Chouchou

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Chouchou
Résumé :
Chouchou, jeune maghrébin en situation irrégulière, débarque à Paris en se faisant passer pour un exilé chilien et se voit offrir un toit par le bienveillant père Léon, qui s'occupe d'une paroisse de banlieue, assisté du frère Jean, un ancien délinquant tourmenté par les apparitions d'une vierge affriolante. Plein de bonne volonté, Chouchou accepte bientôt un emploi d'homme à tout faire dans le cabinet d'une psychanalyste, le docteur Nicole Milovavitch. Laquelle l'autorise à se travestir pendant son travail... pour laisser parler sa vraie nature. A Clichy, il retrouve une vieille connaissance, Djamila, serveuse au cabaret "L'Apocalypse", où se produit aussi le neveu de Chouchou, "Vanessa"...
Réalisateur : Merzak Allouache
Acteurs : Gad Elmaleh, Roschdy Zem, Catherine Frot, Alain Chabat
Genre : Comédie Pays : France Année : 2003 Duree : 105 min

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Berlusconi, jamais "accusé d'être gay"

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Berlusconi, jamais "accusé d'être gay"

Berlusconi, jamais "accusé d'être gay"

L'ancien chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a affirmé aujourd'hui que la gauche l'avait "accusé de tout, sauf d'être gay et de voler l'argent des Italiens", dans une interview diffusée sur une radio italienne.

Mais le fait d'être gay peut-il être considéré comme une accusation? lui a demandé l'auteur de l'interview sur Radio Capital. "Dans mon cas....", a répondu le Cavaliere, avant d'ajouter: "mais j'ai beaucoup d'amis gay, ils sont sympathiques et drôles".

Silvio Berlusconi a été à plusieurs reprises taxé d'homophobie. Interrogé sur ses frasques sexuelles -il est actuellement en procès pour prostitution de mineure-, il avait répondu dans le passé: "mieux vaut aimer les belles femmes qu'être gay".

Depuis qu'il a annoncé sa sixième candidature à la tête de l'Italie, le 8 décembre, il occupe la scène audiovisuelle, accordant très régulièrement des interviews.

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/31/97001-20121231FILWWW00330-berlusconi-jamais-accuse-d-etre-gay.php

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Le Clan

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Le Clan

Résumé :
Le portrait de trois frères en trois chapitres.
La première partie s'ouvre sur Marc, 22 ans, le cadet ; le frère ennemi, celui qui vit dans l'adulation de Christophe, son aîné, et le mépris d'Olivier, le benjamin.
La seconde partie se poursuit avec Christophe, 26 ans, de retour de prison, en phase de réinsertion, prêt à tout, même à trahir ses idéaux de jeunesse pour rentrer dans les rangs de la société. Un frère qui ne correspond plus à l'image qu'idolâtrait Marc.
Et pour finir, il y a Olivier, 17 ans, le benjamin, celui qui ira encore voir ailleurs avec un autre frère, un frère de substitution ; Hicham, 21 ans.
Avec en filigrane une vengeance qui, d'abord bénigne, prendra des proportions tragiques, se dessinent trois portraits contrastés, l'histoire de trois frères que les circonstances obligeront à se positionner définitivement l'un par rapport à l'autre.
Réalisateur : Gaël Morel
Acteurs : Stéphane Rideau, Nicolas Cazalé, Thomas Dumerchez
Genre : Drame Pays : France Année : 2004 Duree : 90 min

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Selon un évêque anglican, l’homosexualité...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Selon un évêque anglican, l’homosexualité...

Selon un évêque anglican, l’homosexualité n’existe pas en Ouganda

Alors que la très homophobe présidente du Parlement ougandais, Rebecca Kadaga, avait promis de faire voter la loi contre l’homosexualité avant Noël et dont l’examen du texte a été reporté, Mgr Godfrey Makumbi, évêque anglican dans l’ouest de la province du Buganda, a déclaré qu’il y avait des problèmes bien plus pressants à régler. Selon lui, l’homosexualité n’existe pas en Ouganda.

Bien que condamnant l’homosexualité, le prélat pense que le Parlement ougandais devrait se pencher sur les véritables problèmes qui rongent le pays comme la lutte contre la corruption, la pauvreté (…). Selon lui, la promesse du vote de cette loi contre l’homosexualité aurait permis d’éclipser les véritables maux de la société ougandaise.

«Pour être réaliste, ce n'est pas dans notre culture, parce que nos valeurs sexuelles africaines sont complètement hétérosexuelles. Personnellement, je n'ai jamais vu d’homosexuels, sauf en Europe » a affirmé Mgr Godfrey Makumbi. Il a également déclaré qu’en tant que professeur, il n’avait jamais été confronté à l’homosexualité dans les écoles où il a enseigné.

Giuseppe Di Bella

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Monseigneur Marceau encourage ses fidèles à...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Monseigneur Marceau encourage ses fidèles à...

Monseigneur Marceau encourage ses fidèles à aller à la manifestation du 13 janvier

Communiqué de l'évêque de Perpignan-Elne :

"Au cours de l’Assemblée des Evêques de France à Lourdes en novembre dernier, une parole a été délivrée par le Président de la Conférence épiscopale sur ce sujet (Discours d’ouverture le 3 novembre 2012). Dans une interview pour le journal L’Indépendant du 7 novembre 2012, je me suis exprimé. Il ne fait aucun doute pour moi que la gravité du débat, enfin lancé dans l’opinion, appelle qu’une mobilisation se poursuive.

Madame la Garde des Sceaux parle de « nouveau modèle de société ». En prend-on vraiment la mesure ? Il n’est pas ici question de « bons sentiments ».
Ce qui est en jeu, c’est tout simplement une redéfinition profonde de ce qu’est la fonction sociale du mariage et donc de la famille, fondée sur un couple homme-femme et ouvrant à filiation naturelle.

J’encourage donc une fois de plus les catholiques, qui sont encore, je l’espère, reconnus comme des citoyens à part entière, à se mobiliser. Certains déjà ont écrit de manière personnelle aux députés et sénateurs du département ou aux maires et autres élus. Continuez ! D’autres ont manifesté à Toulouse…

Le 13 janvier aura lieu à Paris une manifestation rassemblant des hommes et des femmes de toutes confessions religieuses, de toutes opinions ou convictions philosophiques ou politiques, des maires, des professionnels engagés dans l’éducation…etc. Tout citoyen a la liberté de « se manifester » pour faire part ainsi de son opinion. Descendre dans la rue doit se vivre dans le calme, le respect, la dignité. Il en va de la crédibilité de la démarche. Les attitudes provocatrices suscitent dans l’opinion des réactions inverses à l’adhésion souhaitée. Ainsi, « les catholiques ont le droit de témoigner de ce qui, dans la lumière de notre foi et selon la logique de la raison et du bon sens, leur semble essentiel pour le présent et l’avenir » (Cardinal André Vingt-Trois).

Pour notre département, des initiatives se font jour pour faciliter la participation au rassemblement du 13 janvier, je les encourage. Elles sont coordonnées par les Associations Familiales Catholiques*.

Mais continuons à réfléchir… à nous informer et à en parler autour de nous dans le respect des personnes. N’oublions pas non plus que la prière est un lieu de discernement et d’intercession".

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Suisse

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Suisse

Suisse
2012, l’année des petits pas

De avancées pour les trans, les intersexes et les familles homoparentales: l’année qui s’achève aura livré son lot de bonnes surprises pour les LGBT suisses, mais aussi de nouveaux défis pour l’année qui débute. Petite récapitulation des moments marquants de 2012.

1er janvier. Michael Lauber entre en fonction comme chef du Ministère public de la Confédération. C’est la première personne ouvertement homosexuelle à accéder à un poste aussi élevé – et aussi exposé – dans la magistrature. Ce Bernois de 46 ans a fait taire les mauvaises langues qui le disaient «trop faible psychologiquement» pour cette fonction. Près d’un an plus tard, la «NZZ» loue un modèle de transparence et d’efficacité.

15 février. L’organisation suisse des gays Pink Cross fait sensation en nommant une femme trans coordinatrice de ses activités: la Neuchâteloise Alicia Parel. C’est un signe «d’engagement pour l’égalité et la diversité au sein du mouvement LGBT», explique Pink Cross.

Mars. Il est désormais possible de changer d’état civil sans passer par la stérilisation. Mis sous pression par le Conseil de l’Europe, Berne a, en catimini, mis à jour ses règlements quant au changement d’état-civil pour les trans. Désormais, les personnes qui suivent un traitement hormonal pourront demander à ce que, sur leurs papiers d’identité, leur genre soit mis au diapason de leur apparence.

Avril. La presse alémanique rapporte le licenciement d’une employée de l’Armée du Salut. «Faute professionnelle» de cette cadre dans un foyer pour handicapés: elle avait une relation avec une collaboratrice de l’institution. Le cas provoque la polémique… et suscite des condamnations pour homophobie. L’affaire (qui s’ajoute à des polémiques similaires dans d’autres pays) continue de coller aux basques de l’œuvre caritative alors qu’en décembre, les Salutistes décrochent un ticket pour l’Eurovision.

30 juin. Delémont accueille, pour la deuxième fois de son histoire, la Gay Pride de Suisse romande. Plusieurs milliers de gays, lesbiennes bi, trans et sympathisants défilent dans la capitale jurassienne dans la bonne humeur et sous un soleil de plomb. Ils étaient toutefois un peu moins nombreux qu’en 2003, ont constaté les organisateurs. En 2013, c’est Fribourg qui accueillera la parade.

2 juillet. Sept ans après Genève, Checkpoint ouvre enfin à Lausanne. Le centre propose tests et conseils sur le VIH et les autres IST à tous les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes.

31 août. Enième victime de l’hécatombe de clubs gay-friendly à Kalvingrad, le K-36 ferme ses portes. Avant lui, le Milk Club, le Boudoir ou le Boys Club avaient également mis la clé sous la porte…

23 septembre. Trois candidats ouvertement LGBT, un socialiste, une Verte et un UDC, sont élus à l’exécutif de Bienne. La dixième ville de Suisse, avec ses 50’000 habitants, devient la première du pays avec une municipalité «à majorité» LGBT. L’orientation sexuelle des candidats, qui avaient d’emblée joué carte sur table, n’a nullement été abordée au cours de la campagne.

28 octobre. Le Parti démocrate-chrétien annonce triomphalement l’aboutissement de ses deux initiatives visant à réformer le statut fiscal des couples mariés. L’une d’elles propose, en douce, d’exclure toute future ouverture du mariage aux couples de même sexe. Les organisations gay et lesbiennes nationales promettent de combattre ce texte, si dans sa forme définitive qui doit être transmise au parlement en 2013, il contient toujours son passage sur «l’union durable réglementée par la loi d’un homme et d’une femme».

3 novembre. L’Eglise protestante vaudoise célébrera les partenariats enregistrés. Comme ses homologues d’Outre-Sarine, le Synode du plus grand canton romand a accepté la mesure, par ailleurs très contestée et précédemment refusée à Genève et Neuchâtel. La forme du rite qui sera proposé aux couples de même sexe vaudois reste à définir.

10 novembre. La Commission fédérale d’éthique rend son rapport sur les opérations d’assignation sexuelle visant les enfants intersexués. Elle estime que ces interventions doivent être bannies et les individus concernés mieux entourés sur les plans médical, social, mais aussi administratif. La balle est dans le camp du Conseil fédéral.

13 décembre. Après le Conseil des Etats en mars, le Conseil national donne son feu vert à l’adoption par les couples de même sexe au terme d’une séance houleuse où certains discours ont volé très bas. La Chambre du peuple, conformément au souhait du gouvernement, réduit la possibilité d’adopter à l’enfant du partenaire. Le compromis devra encore retourner au Conseil des Etats en 2013, avant d’aboutir à un projet de loi, que les ultraconservateurs promettent déjà de combattre via un référendum.

source:360.ch

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Congo: la lutte contre le sida menacée par...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Congo: la lutte contre le sida menacée par...

Congo: la lutte contre le sida menacée par l'arrêt de financements

Les autorités du Congo s'inquiètent de voir la lutte contre le sida menacée par l'interruption de l'aide de la Banque mondiale à des programmes de santé au moment où elles disent enregistrer des succès avec un recul du taux de séropositivité des femmes enceintes.

Le ministre de la Santé François Ibovi a relevé cette semaine à Brazzaville que le taux des Congolaises enceintes et porteuses du virus VIH du sida est passé de 3,4% en 2009 à 2,8% en 2012.

Selon M. Ibovi, "cette baisse sensible est due aux nombreuses actions novatrices efficaces mises en oeuvre" mais "au plan national la clôture des projets financés par la Banque mondiale et le Fonds mondial peut annihiler, si l'on n'y prend garde, les acquis de la réponse au VIH".

Selon lui, l'arrêt de ces financements "entraînerait inéluctablement l'augmentation du nombre de nouvelles personnes infectées avec pour corollaire une incidence sur le budget de la prise en charge des patients".

Le ministre n'a pas précisé la nature des projets sur le point d'être clos mais la Banque mondiale doit mettre comme prévu un terme dans quelques jours au Programme national de développement sanitaire (PNDS) de 20 millions de dollars financé à parts égales avec le Congo.

M. Ibovi qui intervenait jeudi à l'ouverture d'une session du Conseil national de lutte contre le sida (CNLS) a précisé qu'au moins 38. 500 malades attendent encore d'être pris en charge, tandis que 16. 310 sont actuellement sous antirétroviraux.

Officiellement le taux de prévalence du sida au Congo est aujourd'hui de 3,2%, contre 4,2% en 2003.

Accent mis sur la transmission mère-enfant

Le pays compte 83. 000 malades (sur une population de 3,6 millions d'habitants), et les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes. Contrairement aux pays frontaliers (Centrafrique, République démocratique du Congo) qui, comme lui, ont connu une guerre, le Congo, selon les experts, n'est ni très exposé ni très frappé par l'épidémie.

Le président Denis Sassou Nguesso qui présidait la session du CNLS a invité son gouvernement "à tout mettre en oeuvre afin d'élargir la couverture des services (de prise en charge) sur toute l'étendue du pays". "Un accent particulier doit être mis sur l'élimination de la transmission du VIH de la mère à l'enfant", a-t-il insisté.

"Nous devons redoubler d'efforts pour apporter les services au plus près de nos populations afin de permettre à ces dernières d'accéder plus précocement au paquet de services le plus approprié. Ainsi nous parviendrons à réduire de façon continue l'émergence de nouvelles contaminations", a ajouté Denis Sassou Nguesso.

Les participants à la session du CNLS ont recommandé la création d'un Fonds national de lutte contre le Sida dont les modalités de financement restent à déterminer.

Le CNLS est l'organe de référence en matière d'enquête sur le sida au Congo. Ses chiffres sont considérés comme fiables par l'UNFPA ou encore l'ONUSIDA qui y font référence. Ses enquêtes sont appuyées financièrement et techniquement par la Banque mondiale,

Selon le ministère de la Santé, la baisse de l'épidémie est générale mais il y a des disparités selon les couches d'âge. Si le taux général est de 3,2%, il est de 7,5% chez les professionnels de santé et de 26% chez les homosexuels notamment dans les prisons où l'Observatoire congolais des droits de l'homme (OCDH) a dénoncé la désorganisation et les défaillances de prise en charge.

Le Congo où le revenu par habitant en 2011 était estimé à 4. 600 dollars a pris l'engagement en 2001 d'affecter 15% de ses dépenses au secteur de la santé mais à ce jour, il n'y consacre qu'environ 9% de son budget, selon la Banque mondiale. Dans le classement du PNUD sur l'indice de développement humain le Congo était en 2011 au 137ème rang mondial sur 187 pays.

source:Jeuneafrique.com

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Devenir hétéro en… brossant un cheval

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Devenir hétéro en… brossant un cheval

Devenir hétéro en… brossant un cheval

C’est la technique, pour le moins cavalière, que prône un pasteur cowboy de Virginie avec ses jeunes paroissiens gay.

On aura tout vu en matière de thérapies farfelues destinées à «guérir» l’homosexualité. Ainsi, un pasteur de Virginie, Raymond Bell, préconise-t-il une forme d’hippothérapie pour débarrasser les jeunes gay de ce qu’il désigne non comme un état ou une maladie, mais comme une «addiction». Le révérend de la Cowboy Church of Virginia (ça ne s’invente pas) propose des séances d’«Equine Assisted Psychotherapy» où le patient caresse, brosse, nourrit et promène les canassons sous l’œil d’un professionnel, rapporte le site Gay Star News.

D’après lui, ces actions ont pour vertu de rendre les hommes gay plus masculins. La technique identifierait, notamment, comment un individu s’est «retrouvé homosexuel», par exemple, selon lui, après un viol ou un abandon, ou encore par manque de modèle masculin. Et il va sans dire que, d’après le pieux cow-boy, ça marche: la technique «n’est pas et n’a jamais été remise en question», affirme-t-il.

source:360.ch

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Bachelot, la PMA et les Sages

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Bachelot, la PMA et les Sages

Bachelot, la PMA et les Sages

Favorable au mariage pour tous et à la procréation médicalement assistée (PMA), Roselyne Bachelot s’inquiète du passage du texte gouvernemental devant les Sages du Conseil constitutionnel. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy estime que l’introduction de la PMA dans le texte du gouvernement via un amendement des députés socialistes risque la censure. "Ce sera catastrophique. C’en serait fini pour la PMA pour au moins vingt ans", juge en privé l’ex-députée UMP.

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Publié le par STOP HOMOPHOBIE

16 décembre 2012_La France manifeste pour l'égalité des droits, le mariage pour tous, l'adoption et la PMA pour les couples homosexuels. Un reportage fait à Paris. Gays, lesbiennes ... etc, le combat de personnes ayant les mêmes devoirs que tout le monde, pour obtenir les mêmes droits.

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Lors de la manif du 16 décembre dernier à Paris,...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Lors de la manif du 16 décembre dernier à Paris, j'ai pris ma caméra sous le bras, et ça donne ça ...

Un combat pour l'égalité des droits, des témoignages poignant de vérité, d'amour, du sarcasme pour interpeller ... régalez-vous bien ! :)

Noémie Vieillard Polyvalente Audiovisuel

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Bruxelles : des journalistes ont suivi deux hommes...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Bruxelles : des journalistes ont suivi deux hommes bras dessus, bras dessous ou se tenant par la main, dans certains quartiers de la Capitale. Moqueries, insultes, menaces, certaines réactions sont des plus interpellantes.

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For a lost soldier

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For a lost soldier
1992 (VOSTF)

For A Lost Soldier (1992) décrit l'aventure amoureuse d'un jeune hollandais de 12 ans et d'un soldat canadien à travers les souvenirs du garçon devenu adulte. Jeroen est envoyé pendant l'hiver 1944 dans le nord du pays, loin de la faim qui règne à Amsterdam. Le jeune garçon va alors devoir s'adapter à sa famille d'accueil, mais aussi à l'éveil de sa sexualité. Walt, un des soldats canadiens venus libérer le village, va permettre à Jeroen de s'épamouir et de vivre ses premiers émois amoureux, malgré les différences d'âge et de langue.

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Saint-Brieuc. Un spécialiste du dialogue...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Saint-Brieuc. Un spécialiste du dialogue...

Saint-Brieuc. Un spécialiste du dialogue interreligieux favorable au mariage pour tous

Spécialiste briochin du dialogue interreligieux, Patrick Léger exprime une position différente de celle adoptée par l’Église. Dans une lettre ouverte à Mgr Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier et à Mgr Barbarin, évêque de Lyon (1), Patrick Léger, de la Pastorale des migrants, évoque le mariage pour tous.

« Je conçois que ceux qui sont en responsabilité de l’Église veuillent demander à la société d’être prudente quand elle remet en jeu la différence des sexes pour la conception et l’éducation des enfants. Pourtant, cela n’a pas gêné l’Église, pendant plus d’un siècle, d’enlever les enfants de leur milieu familial pour les instruire et les éduquer dans des milieux exclusivement masculin ou féminin.

Personnellement, je pense que c’est la différence en elle-même qui est essentielle et qu’elle est préservée dans les couples homosexuels : deux personnes, différentes nécessairement, s’unissent pour élever un petit d’homme. À ce niveau, les familles monoparentales me paraissent un sujet beaucoup plus préoccupant que les couples homosexuels. Tout humain a une part masculine et une part féminine. Il y aura humanisation possible de ce petit être s’il y a adoption par deux personnes qui se reconnaissent à la fois différentes et unies par l’amour. Le mariage pour tous ne me paraît pas remettre en cause l’essentiel du message chrétien. Un certain Jean-Paul II disait : « N’ayez pas peur ! ».

(1) Comme de nombreux responsables hiérarchiques de l’Église, les deux évêques se sont exprimés contre le mariage pour tous.

Source : http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Saint-Brieuc.-Un-specialiste-du-dialogue-interreligieux-favorable-au-mariage-pour-tous_40771-2148679-pere-bre_filDMA.Htm

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Un seul coeur et une seule âme ?

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Un seul coeur et une seule âme ?

Un seul coeur et une seule âme ?

De l'unanimité de l'Eglise sur la question du mariage pour tous

Il est bien des organisations humaines (gouvernements, partis politiques, entreprises commerciales), trop humaines peut-être, où la capacité à afficher une unanimité de façade dans les situations d’adversité est un atout de poids, voire une nécessité. Il est bien des circonstances dans lesquelles il faut accorder au rassemblement des forces une priorité qui justifie qu’on diffère l’ouverture d’un débat de fond où viendraient se confronter des perspectives diverses et des opinions contradictoires. Plus encore, certaines organisations sont jugées sur leur capacité à juguler efficacement l’expression de la diversité des opinions : ainsi les ministres de notre République sont-ils sévèrement jugés lorsqu’ils manifestent de manière désordonnée leur désaccord avec la ligne officielle. Jean-Pierre Chevènement l’a brillamment résumé, alors qu’il s’apprêtait à donner sa démission du gouvernement Mauroy en 1983 : « Un ministre, ça ferme sa gueule ; si ça veut l'ouvrir, ça démissionne ».

L’Église n’est pas au nombre de ces institutions humaines, trop humaines. Le consensus auquel elle aspire partout où, en son sein, on délibère, on décide et on agit, va bien au-delà d’une simple convergence des opinions et des intérêts. Ce consensus doit se fonder sur une unité que réalise en elle Celui qui en est la tête, notamment lorsque les chrétiens se rassemblent en son Nom, sous le signe de la croix, pour communier à son corps et à son sang. L’Église n’est pas un parti. Elle n’est d’aucune tribu, d’aucun clan, d’aucune faction : elle entend être et elle est vraiment le sacrement visible de l’unité du genre humain. En elle se réalise l’« unité catholique du Peuple de Dieu qui préfigure et promeut la paix universelle » (Lumen Gentium, n. 9). A cette unité, tous les hommes sont appelés, de même qu’à tous est destinée la promesse de vie.

L’Église n’a pas le droit de délaisser ne serait-ce qu’un seul instant cette perspective de l’unité qu’elle est vouée à réaliser en son sein. Il est vrai que le consensus et la concorde ne seront parfaitement établis que lorsque le Royaume lui-même trouvera son parfait achèvement – c'est-à-dire à la fin des temps. Dans le temps présent, il nous faut composer avec bien des dissensions et une diversité souvent compliquée à gérer. Il n’en reste pas moins que la perspective du dépassement de toutes les divisions et de toutes les dissensions, la perspective du grand rassemblement des enfants de Dieu ne peut pas disparaître de notre horizon. C’est pourquoi il est bon de réentendre l’exhortation que l’apôtre Paul prodiguait aux Philippiens : « Mettez le comble à ma joie par l'accord de vos sentiments : ayez le même amour, une seule âme, un seul sentiment ; n'accordez rien à l'esprit de parti. » (Ph 2,2-3)

Nous faisons fausse route lorsque nous affichons une unanimité qui n’est que de façade. Nous faisons fausse route lorsque nous nous comportons en militants d’un parti qui chercherait à gagner une cause dans l’espace politique. Lorsque nous nous prenons pour des miliciens ou des légionnaires. Lorsque quelques uns d’entre nous, fussent-ils pasteurs ou théologiens, croient pouvoir imposer dans les rangs des mots d’ordre ou des consignes de vote… ou encore lorsque nous nous prenons à rêver que l’Église y gagnerait à faire plier un gouvernement par une démonstration de force. Lorsque nous agissons ainsi, l’Église est défigurée et affaiblie. De l’extérieur, elle n’est plus reconnaissable qu’à ses « positions » : elle agit comme si devait prendre au sérieux la provocation de Staline (« Le pape, combien de divisions ? »). Vue de l’intérieur, les choses ne sont guère plus favorables, car en se comportant comme une puissance séculière, l’Église laisse circuler en ses veines certains de ces poisons qui font que toutes les organisations humaines (trop humaines) sont périssables.

Je ne sais par quel miracle l’Église de France a réussi à faire taire en son sein tous ceux qui ne se reconnaissent pas dans les opinions exprimées par ses chefs sur le projet de loi du mariage pour tous. J’aurais pourtant parié, au moment où le cardinal Vingt-Trois a pris l’initiative de publier la prière du 15 août, que le débat qui anime l’espace public trouverait un écho retentissant dans l’Église. Nous arrivons à la fin du mois de décembre et c’est seulement ces jours-ci qu’un prêtre français fait connaître publiquement son soutien au projet de loi, dans une lettre ouverte adressée aux évêques de France. Aucun évêque, à ce jour, n’a fait savoir ses réserves à l’égard des opinions exprimées par les ténors de l’opposition au mariage gay. De manière peut-être encore plus troublante, aucun évêque n’a osé s’aventurer à l’exercice de la correction fraternelle lorsque l’un ou l’autre de ses confrères s’est laissé aller à des débordements de langage. Un tel exercice, aussi périlleux soit-il, aurait pourtant été bien salutaire en plusieurs occasions, ne serait-ce que pour fournir l’attestation de ce qu’il y a des ecclésiastiques qui, non contents de n’être pas homophobes (puisqu’il est entendu que les catholiques ne sont pas homophobes), n’entretiennent vraiment aucune complicité avec l’homophobie : il est vraiment désolant que nul évêque ne s’y soit risqué publiquement.

Depuis des mois, la hiérarchie catholique ne parle que d’une seule voix. Comme si tout le monde était d’accord. Comme s’il n’y avait plus qu’à choisir les moyens d’action et à entrer en campagne. On peut craindre que cette fausse unanimité desserve profondément la cause de l’unité de l’Église : beaucoup de catholiques aujourd'hui, sans être nécessairement de grands partisans du mariage pour tous, ne sont pas convaincus par l’argumentaire anthropologique qui a été retenu pour la cause ; ils entretiennent des doutes qui méritent d’être pris au sérieux et qui ne le sont pas.

Rien n’est évident dans cette histoire. Rien n’est évident et rien n’est simple. Comme l’indiquent les sondages (ceux des instituts comme celui que n’importe qui peut faire dans la plupart des paroisses), les fidèles sont partagés. Beaucoup ne demanderaient qu’à voir ouvrir vraiment le débat, non seulement dans la société, mais aussi et d’abord dans l’Église. Les prêtres sont également partagés. Oserai-je dire enfin que les évêques eux-mêmes sont certainement partagés ? Je ne suis pas journaliste d’investigation, je n’ai recueilli aucune confidence, je n’ai aucun enregistrement téléphonique… mais considérant d’une part que les prêtres français sont très partagés et d’autre part que les évêques ne sont pas des hommes extrêmement différents des simples prêtres, il est assez clair que les évêques ne partagent pas tous l’ardeur des leaders. Il n’y a pas de vraie unanimité, même au sein du collège épiscopal, au sujet du fameux projet de loi. Nous jouons depuis des mois une grande partie de cache-cache, dans laquelle certains pourraient finalement se lasser de s’être si bien cachés.

L’Église a sans doute beaucoup à perdre à dissimuler qu’il y a aujourd'hui en son sein une très grande diversité de points de vue au sujet du projet de loi sur le mariage pour tous. Les opinions de l’auteur de ces lignes sur la question de fond (l’ouverture du mariage aux couples homosexuels) n’ont pas ici grande importance [1]. Quelles qu’elles soient, elles susciteront nécessairement de la sympathie chez quelques uns, des hésitations chez d’autres, une franche opposition chez d’autres encore. Peu importe : c’est en assumant tout cela, toutes ces différences et toutes ces dissensions, que l’Église se construit, en se donnant délibérément pour horizon de conduire les enfants de Dieu au grand rassemblement promis à tous.

Puisse donc l’Église se donner comme perspective de rassembler ses enfants. Non dans une militance toute séculière, dans une logique toute humaine qui justifierait la mise à l’écart des fortes têtes et le mépris des hésitants, mais au contraire dans le souci tout évangélique de n’en perdre aucun (Jn 18,9). Pour cela, il faudrait qu’elle renonce à tout ce qui risque de faire d’elle une institution très humaine, trop humaine peut-être.

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[1] Disons en quelques mots, pour couper court à d’inutiles spéculations, que je suis 1) convaincu de la légitimité et du bien-fondé des principales revendications des familles homoparentales, ainsi que de la nécessité de leur accorder une juste reconnaissance, 2) assez convaincu que le projet de loi transforme en profondeur l’institution civile du mariage, 3) très dubitatif sur l’opportunité de procéder à cette transformation, 4) plutôt favorable à l’ouverture du droit à l’adoption pour les couples homosexuels, 5) très réticent à l’ouverture du droit à l’A.M.P. pour les couples de lesbiennes, 6) farouchement opposé à la légalisation de la G.P.A., et donc 7) très hésitant dans l’ensemble.

source:dominicains.fr

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