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L'Allemagne légalise le mariage gay contre l'avis de Merkel

Publié le par justin

L'Allemagne légalise le mariage gay contre l'avis de Merkel

L'Allemagne a rejoint vendredi la majorité des pays occidentaux en légalisant par un vote des députés le mariage gay, en dépit de l'opposition de la chancelière Angela Merkel.

Le texte, qui établit désormais que "le mariage est conclu à vie par deux personnes de sexe différent ou de même sexe", a été approuvé par une majorité de 393 élus constituée des députés des trois partis de gauche représentés à la chambre basse du Parlement - les sociaux-démocrates, les écologistes et la gauche radicale - rejoints par une partie des députés de la famille conservatrice d’Angela Merkel.

Parmi les conservateurs, 226 des 310 députés se sont prononcés contre.

Angela Merkel a annoncé avoir voté personnellement contre la légalisation du mariage homosexuel.

"Pour moi, le mariage est, au vu de notre Constitution, une union entre un homme et une femme, c'est la raison pour laquelle j'ai voté contre la proposition de loi", a indiqué la chancelière à la presse.

L'Allemagne va ainsi rejoindre les vingt pays occidentaux, dont 13 en Europe, qui ont déjà légalisé le "mariage homo".

Berlin avait adopté en 2001 une union civile offrant des droits équivalents au mariage, sauf pour certains avantages fiscaux et en matière d'adoption.

- Crise gouvernementale -

La nouvelle loi, qui doit encore être validée par la chambre haute du Parlement pour entrer en vigueur, sans doute d’ici la fin de l’année, va concrètement octroyer aux couples homosexuels le droit d’adoption.

Paradoxalement, c'est la chancelière qui avait ouvert la voie en début de semaine au mariage pour tous, en se disant pour la première fois prête à autoriser ses députés à voter librement sur ce sujet à l'avenir.

Mais elle planifiait un vote seulement après les prochaines élections législatives de fin septembre, le temps de mener un débat au sein de son parti, divisé sur la question.

Elle a été en fin de compte prise de vitesse par son partenaire minoritaire au sein de la coalition gouvernementale, le parti social-démocrate.

Ce dernier a imposé un vote quelques jours plus tard en s'alliant avec les deux autres partis de gauche à la chambre des députés, membres eux de l'opposition.

Cette décision du SPD, qui y a vu un moyen de se relancer dans la campagne électorale contre Angela Merkel alors qu'il est à la traîne dans les sondages, a provoqué une crise gouvernementale.

"C'est vraiment une reconnaissance, donc c'est quelque chose qui fait chaud au coeur", explique à l'AFP Christophe Têtu, homosexuel de 46 ans, qui vit à Berlin.

Mais "je ne suis pas très content de la manière dont ça a été utilisé dans la campagne électorale", s'agace son compagnon Timo Strobel, 51 ans, qui soupçonne Angela Merkel d'avoir agi à des fins politiques en levant son veto et pas par conviction.

L'opinion allemande est largement favorable au mariage gay (près de 75% des Allemands sont pour, et plus de 73% des électeurs de Mme Merkel, selon un sondage récent), mais la volte-face de la chancelière en début de semaine a des raisons surtout politiques.

- 'Valeurs conservatrices' -

Ses partenaires de coalition potentiels après les législatives, à gauche comme à droite, ont fait de l’autorisation un préalable à toute alliance.

Et pour la chancelière, même si elle s'y oppose personnellement, une adoption à trois mois des élections lui permet de couper l'herbe sous le pied de ses rivaux sociaux-démocrates en les privant dans la dernière ligne droite d'un argument de campagne.

Il reste que le calendrier accéléré imposé par le SPD la place en position délicate vis-à-vis de l'aile la plus traditionaliste de sa famille politique, qui se sent brusquée.

Une nette majorité de son camp a voté contre le mariage homosexuel.

Pour le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung, la CDU, la formation de Mme Merkel, "semble vouloir jeter par dessus bord toutes les valeurs conservatrices afin de coller à l'époque" et n'a plus rien d'un "parti conservateur".

.lavoixdunord.fr

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(VIDEO) Des centaines de personnes se rassemblent pour l'enterrement théâtral de la victime gay Martyn Hett de Manchester

Publié le par justin

(VIDEO) Des centaines de personnes se rassemblent pour l'enterrement théâtral de la victime gay Martyn Hett de Manchester

Des centaines de personnes se sont rassemblées pour célébrer la vie de Martyn Hett, un homme gay qui est mort à l'attaque terroriste de Manchester Arena.

Le 29 ans, de Stockport, a été l'une des 22 personnes tuées lors de l'explosion de la bombe le 22 mai.

Aujourd'hui, à la mairie de Stockport, de nombreux acteurs de  Coronation Street sont arrivés pour les funérailles.

Sa famille a déclaré que tout le monde était invité à assister au service de son fils, qui est destiné à être une célébration de sa vie.

Une figure prolifique sur Twitter et le défenseur des droits LGBTI, son ami Russell Hayward l'a décrit comme «laissant ce monde exactement comment il a vécu,avec sont centre d'attention».

«Martyn était l'icône de nos vies», a déclaré sa famille dans un communiqué . "Alors qu'ils ont pris la vie de Martyn, personne ne peut, et ne le fera jamais, prendre Martyn hors de nos vies".

Il fait l'objet d'une projection en direct à l'extérieur de tous ceux qui ne peuvent entrer dans la salle.

La star pop Michele McManus a joué aux funérailles.

«Personne ne peut, et ne le fera jamais, prendre Martyn notre vie de nos vies»

Martyn était connu pour son tatouage Deirdre Barlow sur sa jambe, ainsi que ses vidéos virales de Corrie.

 

 

 

 

C.L.

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Colombie: 108 personnes LGBT assassinées en 2016 (ONG)

Publié le par justin

Colombie: 108 personnes LGBT assassinées en 2016 (ONG)

Cent huit personnes homosexuelles, bisexuelles et transgenres (LGBT) ont été assassinées en 2016 en Colombie, selon un rapport de l'ONG Colombia Diversa, qui défend leurs droits dans ce pays. Parmi elles, huit lesbiennes, 43 hommes homosexuels, deux bisexuels, 27 femmes transgenres et sept hommes transgenres, indique l'ONG, qui n'a pas d'information dans le cas des 21 autres personnes assassinées.

A travers tout le pays, "108 personnes LGBT ont été assassinées, un chiffre qui ne représente pas de changement majeur par rapport à 2015, lorsque 116 homicides ont été enregistrés", a fait savoir l'ONG, qui a également répertorié 12 tentatives d'homicides et 256 agressions physiques contre des personnes LGBT en 2016. Dans de nombreux cas, les agresseurs sont des bandes qui prétendent "contrôler les territoires, +nettoyer+ les personnes, les groupes et les pratiques sociales qu'elles considèrent comme dangereuses pour l'ordre social, de leur point de vue moral", explique l'ONG.

Il s'agit d'"individus et d'organisations délinquantes qui profitent de l'absence de protection (...), en particulier des femmes +trans+, pour les intimider, les déplacer et y compris les extorquer", ajoute l'ONG.

.lefigaro.fr

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Tchétchénie Les persécutions contre les homosexuels ont repris depuis la fin du ramadan

Publié le par justin

Tchétchénie Les persécutions contre les homosexuels ont repris depuis la fin du ramadan

Les persécutions contre les homosexuels, qui avaient cessé durant le ramadan, ont repris de plus belle en Tchétchénie depuis la fin de cette période de jeûne musulman, a affirmé vendredi l'ONG Russian LGBT network (réseau LGBT russe).

 

"Depuis la fin du ramadan, les détentions ont repris. Pendant le ramadan, il n'y en avait plus", a déclaré Igor Kochetkov, le directeur du réseau LGBT russe, dans un entretien avec l'AFP réalisé à Paris, où il devait être reçu à l'Elysée, au ministère des Affaires étrangères ainsi qu'au Sénat.

"Des dizaines de personnes nous contactent sur notre hotline. Ils nous disent qu'on essaie d'accuser les gays sous de fausses preuves, qui vont du cambriolage au terrorisme. Cela se passe maintenant. C'est tout récent", s'est-il inquiété. "La même chose se passe qu'en mars", quand le réseau LGBT russe avait reçu de nombreux appels dénonçant des persécutions subies par les gays tchétchènes dans leur pays, a observé Igor Kochetkov.

Selon le journal russe Novaïa Gazeta, plus de cent homosexuels ont été arrêtés ces derniers mois dans cette république russe du Caucase, où les autorités ont incité leurs familles à les tuer pour "laver leur honneur". Toujours selon le journal, au moins deux personnes ont été assassinées par leurs proches et une troisième est décédée des suites d'actes de torture.

Pour le président du réseau LGBT russe, ce sont même "six gays" qui ont été "tués" dans cette république conservatrice et musulmane, alors qu'il chiffre à "300 à 400" le nombre d'homosexuels tchétchènes à avoir été détenus et torturés dans des lieux non officiels, comme des écoles abandonnées ou des garages.

Entre "60 et 70" d'entre eux ont été "exfiltrés" dans d'autres provinces russes, dont 14 ont depuis lors été admis dans des pays étrangers avec "visa humanitaire et asile garanti", a-t-il affirmé. L'un d'entre eux est arrivé fin mai en France.

Leurs familles ont récemment reçu la visite de la police tchétchène, qui les a forcées à signer des documents attestant qu'elles "ne déposent aucune plainte", que "leurs proches n'étaient pas gays", qu'ils "n'ont pas été maltraités" et qu'ils sont simplement "partis travailler" ailleurs en Russie, s'est indigné Igor Kochetkov. "La police tchétchène n'était pas contre les gays. Elles les faisait chanter. C'était un business stable", a-t-il affirmé.

Mais en février, "il y a eu un ordre du gouvernement tchétchène de mener des purges systématiques", a accusé Igor Kochetkov.

"La Tchétchénie est très petite. Une purge de cette taille n'a pu avoir lieu sans l'approbation du plus haut niveau de l'exécutif", a estimé Irina Gordienko, l'une des deux journalistes de Novaïa Gazeta ayant révélé l'affaire, ciblant le président de cette république du Caucase, Ramzan Kadyrov. "C'est lui qui fait les règles. S'il n'aime pas quelque chose, cela doit être effacé. (...) Là, il a juste décidé de torturer un groupe. Il ne pensait pas que cela serait rendu public", a estimé Irina Gordienko, venue jeudi à Paris recevoir un prix d'une cérémonie LGBT.

Mi-avril, Ramzan Kadyrov a démenti toute arrestation d'homosexuels. Son porte-parole avait de son côté estimé qu'il ne pouvait y avoir d'exactions contre les gays puisque ceux-ci "n'existent pas" en Tchétchénie.

(Source AFP)

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Lille : Violé dans le Jardin Vauban, un jeune homme tient à témoigner

Publié le par justin

Lille : Violé dans le Jardin Vauban, un jeune homme tient à témoigner

Un étudiant lillois a été victime d’une agression sexuelle le soir de la Fête de la musique…

Les Lillois qui affectionnent les longues soirées d’été au jardin Vauban vont-ils devoir changer leurs habitudes ? Un étudiant de 22 ans a porté plainte la semaine dernière, après avoir été violé dans ce parc municipal lillois, en marge de la Fête de la musique. L’agresseur n’a pas été retrouvé.

Un couteau sous la gorge

Le jeune homme, étudiant à Lille, était sorti en compagnie de quelques amis pour profiter des concerts. Alors que le petit groupe se trouvait à proximité de la citadelle, il dit s’être écarté quelques instants pour aller uriner dans le jardin Vauban, non loin du canal de la Deûle.

« Je suis jeune, je sais me défendre et je pratique le judo, jamais je ne pensais pouvoir risquer quelque chose », explique-t-il. Un homme a surgi derrière lui, un couteau à la main. Plaçant l’arme sous la gorge de sa victime, l’individu l’a violée à plusieurs reprises avant de prendre la fuite.

Le jeune homme a été conduit à l’hôpital Roger Salengro où un médecin légiste a relevé les éléments confirmant l’agression. Une enquête a été ouverte. Malgré l’absence de description précise de l’agresseur, outre que celui-ci parlait mal le français, les policiers disposent néanmoins de son ADN, recueilli sur les vêtements de la victime.

Un endroit « pas plus dangereux qu’un autre »

Contactée par 20 Minutes, une source policière ne se souvient pas, de près ou de loin, de précédents de ce type dans le secteur. Néanmoins, l’agression de cet étudiant n’est pas sans rappeler les rumeurs qui ont circulé à l’époque de l’ affaire des noyés de la Deûle, en 2011. Mais les différentes enquêtes n’avaient apporté aucun élément probant pour étayer la thèse de l’agression à caractère sexuel.

L’étudiant violé, lui, veut « mettre en garde les jeunes sur les dangers de cet endroit la nuit ». Selon Marc Bodiot, adjoint à la sécurité à Lille, « ce parc n’est pas plus dangereux qu’un autre », affirme-t-il. Il n’est d’ailleurs pas prévu de mesure spécifique de sécurisation.

20minutes.fr

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Les parents chinois face à l'homosexualité

Publié le par justin

Les parents chinois face à l'homosexualité

Dans une société très traditionnelle, les familles ont souvent beaucoup de mal à accepter l'homosexualité de leur enfant.

 

Quand son fils lui a appris qu'il préférait les garçons, Piao Chunmei a réagi comme beaucoup de mamans chinoises: des larmes et des nuits sans dormir.

Et puis Piao Chunmei a fini par se faire une raison. Aujourd'hui, elle s'occupe d'une association qui aide d'autres parents à accepter l'orientation sexuelle de leur enfant, dans un pays qui classait encore officiellement l'homosexualité comme une maladie mentale jusqu'en 2001 et où l'absence d'héritier reste mal vécue par beaucoup.

«Il ne faut pas les enfermer dans un placard pour qu'on ne les voie plus», tranche cette dynamique quinquagénaire, qui travaille à Shanghai dans le secteur des cosmétiques. Et elle n'est pas toute seule désormais à vouloir protéger un fils ou une fille homosexuel(le).

Le mois dernier, un groupe de mères a fait sensation dans la capitale économique chinoise en s'installant dans un parc où les parents d'enfants hétérosexuels se donnent rendez-vous pour trouver l'âme soeur à leur rejeton -- même à Shanghai, la tradition des mariages arrangés a la vie dure. Sauf que les mamans en question cherchaient des partenaires pour leur enfant gay. La police les a accompagnées vers la sortie.

Dépénalisation en 1997

Pékin a dépénalisé l'homosexualité en 1997, mais les unions homosexuelles ne sont pas autorisées légalement en Chine continentale et ne sont pas près de l'être. Et ce, alors même que la cour suprême taïwanaise vient d'autoriser les mariages entre personnes du même sexe - une première en Asie.

Les gays et lesbiennes chinois font encore l'objet d'une très forte pression familiale et sociale. Les contenus gays sont largement censurés sur internet. Et des cures censées «guérir» l'orientation sexuelle prospèrent malgré des décisions de justice les condamnant.

Dans les grandes villes, l'homosexualité est toutefois de mieux en mieux acceptée. Mais faire son «coming out» y reste très compliqué, surtout au sein de la cellule familiale.

«La famille, c'est le plus important sur le plan émotionnel, c'est aussi ce qui est le plus difficile à percer», témoigne l'architecte Duan Rongfeng, qui a épousé son compagnon à l'étranger il y a deux ans.

«Ma vie pour qu'il change»

La réaction initiale de Piao Chunmei à l'annonce de l'homosexualité de son fils reflète un manque de connaissance courant chez les parents. Elle s'est demandée si elle ne l'avait pas trop couvé quand il était petit ou bien s'il avait été corrompu à l'université ou par des étrangers. Elle lui a demandé de suivre un traitement médical.

Mais après avoir entendu parler des suicides d'homosexuels, elle s'est ravisée. «J'ai eu peur qu'il disparaisse sous mes yeux», raconte-t-elle.

Aujourd'hui, aux parents qui la joignent par téléphone, en personne ou sur les réseaux sociaux, elle répète inlassablement la même chose: vous ne pourrez pas transformer votre enfant. «Je donnerais ma vie pour qu'il change», dit-elle de son propre fils. «Mais c'est impossible».

A Shanghai, traditionnel laboratoire social chinois, de plus en plus de parents acceptent la réalité et les familles se retrouvent plus fortes qu'au début, observe Piao Chunmei. La vie reste toutefois plus compliquée en dehors des grandes villes.

Et la famille?

Craignant d'être rejetés, cette mère et son fils ont eux-mêmes quitté le nord-est de la Chine il y a déjà plusieurs années pour s'installer dans la métropole de l'est du pays. Ils vivent dans un appartement remplis de figurines de dessins animés et de livres qui traitent de l'homosexualité.

Le réseau d'aide de Piao Chunmei est affilié au PFLAG, une association américaine dont l'acronyme signifie «Parents, familles et amis de lesbiennes et de gays». Il a aidé une autre maman, He Fenglan, à sortir du désespoir après la révélation de l'homosexualité de son fils, il y a trois ans.

«La première chose à laquelle j'ai pensé, ça a été: comment vais-je faire face au reste de la famille? A la société? Aux amis proches?», raconte cette femme de 55 ans. En Chine, la peur de «perdre la face» reste prégnante, souligne-t-elle.

«Et puis on se rend compte que de plus en plus de gays sortent du placard, ainsi que leurs parents. On s'aperçoit qu'on n'est pas tout seul au monde», ajoute-t-elle. He Fenglan a fini par embrasser l'identité de son fils avec un optimisme bien chinois: «Maintenant j'ai deux fils pour le prix d'un !»

20min.ch

 

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Dans Garcon magazine Hanouna bâillonné ,Sophia Aram "On doit pouvoir rire de ce qui se passe en Tchétchénie".

Publié le par justin

Dans Garcon magazine Hanouna bâillonné ,Sophia Aram  "On doit pouvoir rire de ce qui se passe en Tchétchénie".Dans Garcon magazine Hanouna bâillonné ,Sophia Aram  "On doit pouvoir rire de ce qui se passe en Tchétchénie".

Non, Hanouna ne peut pas rire des homosexuels avec un canular-piège téléphonique mais Sophia Aram peut inciter à faire rire avec ce qui se passe en Tchétchénie.

 Cette couverture, la rédaction de "Garçon Magazine" savait que le sujet et le montage photographique étaient clivants. 

Ce montage photographique à deux niveaux de lecture : les LGBT dénoncent-ils(elles) l'homophobie d'Hanouna ou censurent-ils(elles) un animateur victime de sa liberté d'expression ? La bouche bâillonnée est un symbole à double tranchant. 

,Ce que l'on ne remarque pas immédiatement tellement l'oeil est attiré par le sujet central et la photo-choc, se situe en haut à gauche de la couverture. Cette photographie de Sophia Aram suivi de ce sous-titre sidérant : "On doit pouvoir rire de ce qui se passe en Tchétchénie". Boum. On sort une phrase malheureuse d'une interview pour faire vendre et cette phrase est absolument désastreuse pour une revue gay digne de ce nom. Mais le pire, c'est qu'accolée au sujet principal, cette erreur monumentale fait l'effet d'une bombe nucléaire.

L'un est homophobe, l'autre est drôle. Le premier ne nous fait pas rire, la seconde va nous faire rire . Et sur les réseaux sociaux, ça se déchaîne et pour une fois fanzouzes et Hanouna haters sont d'accord. C'est injustifiable. Cyril Hanouna va s'en servir, il aurait tort de s'en priver (c'est offert sur un plateau d'argent par la Maison) et nous ne pourrons rien excuser ou même argumenter.

 

C.L.

Cyril Hanouna va faire la UNE de "Garçon Magazine" pour le numéro de juillet/Août mais une phrase de l'humoriste, Sophia Aram, qui n'est pas en gros sur la couverture, choc les internautes.  

Cyril Hanouna ne fait pas la une du magazine pour faire sa promotion mais plus pour revenir sur la polémique de Radio Baba qui a beaucoup fait parler. Le titre est d'ailleurs très équivoque puisque le magazine titre "Hanouna est-il homophobe ?" avec le gogo détourné de Touche pas à mon poste par "Touche pas à nos droits !". 

Mais ce qui choque le plus les Twittos c'est la phrase en haut à gauche de Sophia Aram : "On doit pouvoir rire de ce qui se passe en Tchétchénie"  

Très étrange le contraste entre la une avec Cyril Hanouna revenant sur l'affaire "Radio Baba" et ce que dit Sofia Aram ! 

Nous pouvons lire sur Twitter :  
 

Elle est sérieuse et après c est @Cyrilhanouna l homophobe elle est grave rire du massacre en Tchétchénie ca va pas 

C est une blague la phrase de Sophia Aram ? 

Pour moi le plus choquant dans ce magasine est la phrase de Sofia Aram 

Oui tout le monde est focalisé sur Cyril 

Et "Hanouna est t il homophobe ? On connaît la réponse et la réponse est non ! 

Mais non, il n'y aura AUCUNE polémique car personne n'en a quelque chose à foutre de cette femme. Ça aurait été Cyril si il y aurait eu. 

Houla je vois encore une grosse polémique arrivée, cela dit c est dégueulasse ce qu elle dit s il s'avère que ç vrai et mérite polémique  

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Ministre de Singapour: il est inacceptable de harceler les personnes LGBTI ou les homophobes

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Ministre de Singapour: il est inacceptable de harceler les personnes LGBTI ou les homophobes

«Le harcèlement des militants LGBT n'est pas acceptable»

Le harcèlement des militants LGBTI et des homophobes est inacceptable, selon le ministre du Droit et des Affaires intérieures de Singapour.

K. Shanmugam s'est assis avec Oogachaga sans but lucratif pour révéler pourquoi le gouvernement «prendra des mesures» s'il y a du harcèlement sur les deux côtés.

«Le gouvernement est fermement opposé à tout harcèlement de n'importe quel groupe ... si le harcèlement traverse la ligne et est criminel, le gouvernement n'hésitera pas à prendre des mesures», a déclaré Shanmugam sur sa page Facebook.

L'homosexualité masculine est illégale à Singapour. Bien qu'il soit rarement appliqué, les relations de même sexe ne sont pas reconnues par la loi et l'adoption d'enfants par des couples de même sexe est illégale.

Ministre de Singapour: il est inacceptable de harceler les personnes LGBTI ou les homophobes

Parlant de Bryan Choong, un organisateur de Pink Dot - événement LGBTI à Singapour - il a déclaré que «les gens auront une vision forte» de ces problèmes.

Choong avait déclaré que les organisateurs et les sponsors de Pink Dot avaient été maltraités. Shanmugam a répondu: «Nous sommes très clairs. Quiconque franchit la ligne en termes de harcèlement, en termes d'agression, en termes de menaces contre tout groupe -

«Le gouvernement est très strict. Ce n'est pas la façon dont nous avons des discussions.

Le gouvernement de Singapour «est très strict»

Seuls les Singapouriens ou les résidents permanents peuvent assister au Pink Dot de cette année - un événement qui attirait de nombreux visiteurs étrangers. Ceci est dû à la façon dont les personnes locales peuvent entrer dans Speakers 'Corner.

«Le gouvernement est neutre au sujet des causes sous-jacentes», a déclaré Shanmugam à propos de l'événement.

«Les gens ont le droit de s'organiser pour quelque raison qu'ils souhaitent, tant que les règles des coins des conférenciers sont respectées».

 

C.L.

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SAINT-DIÉ-DES-VOSGES « Ils ont bousillé ma vie » témoigne la victime d'une agression homophobe

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SAINT-DIÉ-DES-VOSGES  « Ils ont bousillé ma vie » témoigne la victime d'une agression homophobe

Eric* a été violemment agressé la semaine dernière à Saint-Dié, à 21 h, près de la cathédrale. Deux hommes lui sont tombés dessus et l’ont frappé. Motif ? Eric est homosexuel et a eu le sentiment que sa façon de marcher n’a pas plu.

 

Suite à l’agression d’un jeune homme, le 22 juin dans une rue près de la cathédrale, (dont nous avons parlé dans nos colonnes ce 27 juin), l’enquête, menée par les policiers du commissariat de Saint-Dié-des-Vosges s’oriente vers un acte homophobe.

À 20 ans, Eric* est du genre fluet, à peine 40 kg. Impossible pourtant aujourd’hui de ne pas le remarquer, avec les bleus qui marquent son visage juvénile et le cocard impressionnant qui orne son œil droit.

Jeudi 22 juin, à 21 h, il s’est fait agresser par deux hommes près de la cathédrale. « Je sortais de mon travail aux alentours de 21 h, j’allais mettre du verre dans les containers de tri tout proches, quai du Torrent, quand deux hommes sont passés en voiture à ma hauteur à faible allure. Le passager a sorti la tête pour m’insulter », résume Eric, entre colère et larmes. Les propos fleuris fusent ‘’petite sal…’’ entre autres. Eric tourne les talons pour s’enfuir. « Les insultes, j’ai l’habitude, j’en ai toujours entendues. Je sais aussi qu’il y a certains quartiers de la ville dans lesquels je ne peux pas mettre les pieds. C’est trop risqué pour les gens comme moi. »

Œil explosé, pommette fracturée

Les gens comme lui ? Les homosexuels. « Oui je le suis et je l’assume mais je ne l’affiche pas », reprend le jeune homme qui, ce jeudi 22 juin a dû pour la première fois de sa vie faire face à la violence physique. « Le passager est descendu de la voiture, il s’est précipité vers moi et m’a donné un grand coup de poing dans la figure. » L’agression est interrompue par deux passants qui déboulent pour empêcher l’agresseur présumé de frapper à nouveau Eric. La voiture avec le chauffeur et son passager prennent la fuite. La victime est prise en charge par les pompiers et conduite à l’hôpital Saint-Charles. Bilan : une ITT de trois semaines, la mâchoire touchée à tel point qu’il a dû manger à la paille, la pommette droite fracturée et l’œil droit explosé. Des blessures qui ont nécessité une intervention chirurgicale au CHU de Nancy-Brabois. La vie d’Eric, elle, s’est arrêtée sur ce bout de trottoir. « Ces gens, je ne les connais pas. Ils n’ont pas aimé ma façon de marcher c’est tout. En quelques secondes, ils ont tout bousillé. J’avais un travail, j’économisais pour payer mon permis. Aujourd’hui ? J’ai peur. Peur de sortir, peur des représailles. »

Le jeune homme n’est pas tranquille. Impossible pour lui de retourner travailler, il craint de retomber sur ses agresseurs. « Je ne sais pas ce qui se serait passé si personne n’avait vu l’agression. Je ne sais pas jusqu’où ils seraient allés. Je veux prévenir : aujourd’hui encore, on peut se faire agresser juste parce qu’on est homo. »

*Le prénom a été modifié.
 

vosgesmatin.fr

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"La douleur a été terrible" : un couple victime d'une agression homophobe à Lyon lors de la Fête de la musique

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"La douleur a été terrible" : un couple victime d'une agression homophobe à Lyon lors de la Fête de la musique

Deux hommes d'une vingtaine d'années ont été agressés alors qu'ils étaient en train de regagner leur domicile aux alentours de 2h30.

Deux jeunes homosexuels, Boris et Alfredo, ont été violemment agressés par trois individus à Lyon, le soir de la Fête de la musique, le 21 juin, parce que les deux amoureux se tenaient par la main, rapporte mardi 27 juin France Bleu Saint-Étienne.

L'agression a eu lieu aux alentours de 2h30. Boris et Alfredo étaient en train de regagner leur domicile après avoir passé la soirée sur les quais à Lyon, quand ils ont croisé une femme et deux hommes d'une vingtaine d'années.

"Ils avaient tellement de haine qu'on aurait pu rester sur le carreau"

C'est là qu'a commencé leur calvaire. Les insultes à caractère homophobe ont fusé : "C'est la fille uniquement qui nous a insultés, explique Boris, encore sous le choc, à France Bleu Saint-Etienne. On n'a d'abord rien dit, puis on a fini par répondre et là, les deux gars ont commencé à nous taper. Ça a été très violent. J'ai pensé que ça pouvait très mal se finir. Ils avaient tellement de haine qu'on aurait pu rester sur le carreau."

Boris et son compagnon ont tenté de se défendre, mais leurs agresseurs se sont montré particulièrement déterminés et violents. L'un d'entre eux a porté un coup de bouteille à la tête d'Alfredo pendant que l'autre a violemment frappé Boris à la jambe, lui brisant le tibia. "La douleur a été terrible, je me suis effondré, incapable de me relever", se souvient-il. Leur calvaire s'est arrêté grâce à l'intervention d'une brigade de police qui patrouillait dans le secteur. "La bagarre n'a duré que quelques minutes mais ça m'a semblé une éternité", ajoute t-il.

45 jours d'ITT

Pendant leur interpellation, les agresseurs ont continué de verser leur haine sur Boris et Alfredo. "Tu as mal, hein, sale PD ?", leur a lancé la jeune fille. Boris a été transporté en urgence à l'hôpital, où il a été opéré dans la nuit. Il souffre d'une double fracture tibia-péroné, et bénéficie de 45 jours d'ITT (incapacité temporaire de travail). "Quand nous sommes arrivés, les médecins nous ont expliqués qu'on n'était pas les seuls homosexuels à s'être fait agresser ce soir-là."

Une semaine après l'agression, Boris est sorti de l'hôpital. Il est très fatigué et dit ne pas vraiment réaliser ce qui s'est passé cette nuit du 21 juin : "Quand on voit comment ça s'est terminé, on se dit qu'on n'aurait peut-être pas dû répondre et baisser les yeux. Et puis en fin de compte, je ne regrette pas, parce qu'il n'y a aucune raison que ça se passe comme ça."

Témoigner pour dénoncer

Boris et son compagnon ont tenu à témoigner auprès de France Bleu Saint-Etienne pour dénoncer ces comportements homophobes. "J'ai l'impression qu'il y a un discours ambiant très positif par rapport à l'intégration et aux droits des homosexuels, estime Boris. Que l'on vivrait dans une société très ouverte et tolérante. C'est vrai qu'il y a des tas de choses qui ont été faites. Ceci dit, je pense qu'il ne faut pas trop d'angélisme non plus et se rendre compte que les agressions comme ça continuent à exister. La lutte continue."

Le temps de se soigner, Boris va devoir mettre son travail de traducteur entre parenthèses. Il ne sait même pas encore s'il pourra être dédommagé par son assurance. Les deux jeunes hommes ont contacté un avocat. Ils espèrent une qualification pénale et une condamnation. "Ces choses-là ne doivent pas rester impunies", a-t-il conclu.

francetvinfo.fr

 

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Pau : l’agression avait-elle un caractère homophobe ?

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Pau : l’agression avait-elle un caractère homophobe ?

Agressé fin mai, un Palois est encore en soins intensifs. L’enquête ouverte déterminera s’il s’agit ou non d’un acte homophobe.

 Un quadragénaire palois agressé le 28 mai, rue Bordenave d’Abère, à Pau, est encore hospitalisé en soins intensifs. Plongé dans le coma pendant une quinzaine de jours, il mettra, à l’évidence, du temps à s’en remettre. Si l’on en croit ses proches, il n’aurait jamais dû tenter de dialoguer avec ceux qui venaient de lui jeter à la figure des insultes homophobes.

 

Pour l’heure, l’enquête ouverte ne permet pas de dire si l’homosexualité a constitué clairement un prétexte à la violence. La victime, par ailleurs, n’a pas encore été entendue. Elle a été placée dès son admission à l’hôpital au sein du service de réanimation, et son état ne lui permettait pas, quoi qu’il en soit, de témoigner. À ce stade, tout semble encore flou. Seules les investigations en cours pourront déterminer le déroulé des événements avec le plus de précisions possibles.

Un choc à la tête

Il est autour de minuit, ce soir-là, quand le Palois quitte un restaurant du quartier du château avec un ami. Le repas a été arrosé. Les deux hommes prennent la direction de la place Gramont quand ils croisent un "petit groupe" d’individus. C’est à ce moment que le mot "pédé" aurait été lâché. La future victime, elle, veut discuter. Son camarade lui déconseille et lui demande de passer son chemin comme il le fait lui-même.

 

Le message de prudence n’est pas entendu. Le quadragénaire, lui, s’arrête. Que s’est-il passé ensuite ? D’après les premiers éléments, un coup de poing part. Le Palois tombe au sol, la tête percute le bord d’un trottoir. Son ami s’est un peu éloigné. Quand il se retourne, il est déjà trop tard. Les agresseurs prennent la fuite sans laisser d’adresse. La victime est inanimée. Les gestes de premiers secours sont pratiqués dans l’attente de l’arrivée des pompiers.

Trois agressions en un an ?

"Son pronostic vital était engagé", raconte ce proche. "C’est terrible. C’est quelqu’un qui n’a jamais eu de problème. À ce jour, même s’il va mieux, on ne sait pas combien de temps il lui faudra pour se rétablir". Une plainte a été déposée par le frère de la victime quelques jours après l’agression.

"J’ai été informé d’un soupçon d’homophobie dans cette affaire et, pour moi, c’est une préoccupation", commente Marc Cabane, l’adjoint au maire chargé de la sécurité. "J’ai demandé de vérifier si d’autres actes de cette nature avaient eu lieu."

De son côté, le président de l’association Arcolan, Jérôme Masegoza, qui milite en faveur des gays et des lesbiennes, a eu connaissance d’une autre agression à Pau, en mai, dans le centre-ville et se prépare à se constituer partie civile. "Je n’étais pas au courant de celle du 28 mai. En un an, à Pau, ce serait la troisième agression physique. Si on ajoute les actes verbaux et l’homophobie au travail, on peut dire que plusieurs dizaines de cas nous sont remontés à l’échelle du département, en une année."

 

 

sudouest.fr

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Le mariage gay en Allemagne pourrait enfin être légalisé avec cette décision d'Angela Merkel

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Le mariage gay en Allemagne pourrait enfin être légalisé avec cette décision d'Angela Merkel

L'Allemagne fait partie des rares pays occidentaux à ne pas encore avoir légalisé le mariage pour tous.

 

Angela Merkel a levé ce lundi 26 juin dans la soirée son opposition de principe au mariage pour les couples de même sexe en Allemagne, au moment où son parti conservateur est sous pression croissante sur ce sujet avant les élections législatives de septembre.

 

Dans une interview accordée dans la soirée au magazine féminin Brigitte, organisée en direct dans un théâtre de Berlin, la chancelière s'est dite ouverte pour la première fois à un vote "en conscience" des députés allemands sur le mariage entre personnes du même sexe.

 

"Je souhaite orienter la discussion dans une direction qui relève de la décision de conscience, plutôt que de vouloir imposer quoi que ce soit", a-t-elle déclaré. Il s'agit d'un changement significatif de la position de la chancelière, qui en 2013 s'y était opposé en exprimant des craintes pour "le bien des enfants" de couples homosexuels mariés.

 

Merkel ouvre la voie à une légalisation

Jusqu'ici, son parti démocrate-chrétien (CDU) s'est opposé à la légalisation du mariage gay, pour ne pas froisser la frange la plus conservatrice de son électorat et ne pas entrer en conflit avec son allié bavarois, l'Union chrétienne-sociale (CSU), très traditionaliste sur les questions de société.

 

En se prononçant en faveur d'un libre choix des députés de sa formation, Merkel ouvre la voie à une légalisation au cours de la prochaine législature. Car, selon les médias allemands, en pareil cas de figure un vote positif est acquis: une partie des députés CDU y sont favorables et leurs voix viendraient s'ajouter à celles de tous les autres partis actuellement représentés au Bundestag, qui font campagne en faveur du mariage gay.

Selon l'agence de presse DPA, Angela Merkel a pris soin de se mettre d'accord avec le président de la CSU, Horst Seehofer, sur ce virage en faveur du libre choix des députés. La CDU et la CSU doivent présenter lundi prochain leur programme commun en vue des législatives du 24 septembre et la pression sur le sujet du mariage gay grimpe en Allemagne.

L'Allemagne à la traine

Tant les sociaux-démocrates du SPD que les Libéraux du FDP (centre-droit) font désormais d'une autorisation du mariage homosexuel en Allemagne une condition pour participer à une coalition avec Merkel dans le gouvernement qui sera issu des législatives.

Comme le montre la carte ci-dessous, l'Allemagne fait partie des rares pays occidentaux à ne pas encore avoir légalisé le mariage gay. Depuis 2001 une union civile offre néanmoins les mêmes droits, sauf en matière fiscale.

Le mariage gay en Allemagne pourrait enfin être légalisé avec cette décision d'Angela Merkel

L'actuelle chancelière part au vu des sondages largement favorite pour obtenir un quatrième mandat mais, compte-tenu du scrutin proportionnel, elle aura besoin d'un allié au gouvernement.

huffingtonpost.fr

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Des images choquantes montrent l'homme gay abusé verbalement et ensuite frappé dans une attaque surprise

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Des images choquantes montrent l'homme gay abusé verbalement et ensuite frappé dans une attaque surprise

«Je suis homophobe, si vous devez vraiment savoir. Je ne supporte pas les homosexuels et je ne peux pas supporter les lesbiennes

Des séquences vidéo choquantes montrent le moment où une femme a lancé un abus homophobe chez un homme gay, tandis qu'un autre homme l'a frappé et l'a frappé.

Barrie Griffith, artiste maquilleuse indépendante de Liverpool, a posté la vidéo sur Facebook, demandant des informations sur l'homme qui l'a attaqué.

Dans la vidéo, les films de Griffith comme une femme agitée appellent son petit ami un «batty man», puis appelle Griffith un «fucking poof».

Elle ajoute: "Personne ne se soucie de vous ou de personne qui vous entoure".

À ce stade, un homme non identifié sort d'un restaurant et se jette à Griffith.

Il a écrit: «Donc, aujourd'hui, j'ai été victime d'une attaque homophobe par ce type qui m'a frappé dans le visage.

'Si vous le connaissez, tout le voir s'il vous plaît contactez la police.

«Il m'a attaqué et mon copain, mais il a choisi le mauvais gay.

«Je n'ai jamais connu quelque chose comme ça, nommez et honte cet homme et sa petite amie. Si tu le vois ou le connais, publie et partage ", at-il dit.

rifith / FacebookAue homophobe à LiverDes séquences vidéo choquantes montrent le moment où une femme a lancé un abus homophobe chez un homme gay, tandis qu'un autre homme l'a frappé et l'a frappé.
 

Dans une vidéo ultérieure, Griffith filme la femme qui crie plus d'abus au couple gay.

Elle dit: "Je n'aime pas les poofs, maintenant baise.

«Je suis homophobe, si vous devez vraiment savoir», admet-elle. «Je ne supporte pas les homosexuels et je ne peux pas supporter les lesbiennes, alors maintenant bégayer loin de cette porte.

C.L.

 

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Afrique La Tanzanie menace d'arrêter les défenseurs des homosexuels

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Afrique La Tanzanie menace d'arrêter les défenseurs des homosexuels

Le gouvernement tanzanien a menacé d'arrêter tous les défenseurs des homosexuels et promis d'expulser les étrangers qui militeraient pour leurs droits, a rapporté lundi la presse locale.

"Je voudrais rappeler et avertir toutes les organisations et institutions qui font campagne et prétendent défendre les intérêts des homosexuels (...) Nous allons arrêter et traduire en justice tous ceux qui sont impliqués", a affirmé dimanche le ministre de l'Intérieur, Mwigulu Nchemba dans un discours public rapporté lundi par le quotidien gouvernemental Daily News.

"Ceux qui veulent l'homosexualité devraient partir vivre dans les pays qui acceptent ce genre de pratiques (...) S'il y a une organisation dans le pays qui soutient et plaide en faveur de l'homosexualité, elle perdra son enregistrement", a-t-il poursuivi.

Le ministre a averti que son pays n'hésiterait à chasser du pays tout étranger défendant les droits des homosexuels. "Si nous trouvons un étranger menant cette campagne, il ou elle sera déporté(e) sans le moindre délai. Ils n'auront même pas le temps de retirer leur téléphone portable de la prise électrique", a-t-il asséné.

Dans un discours très controversé prononcé jeudi dernier, le président tanzanien John Magufuli s'en était déjà pris aux organisations défendant les droits des homosexuels et plaidant pour le droit des mères adolescentes à poursuivre leur scolarité après des maternités. "Ceux qui nous enseignent des choses pareilles ne nous aiment pas, mes frères. Ils nous ont apporté la drogue, les pratiques homosexuelles que même les vaches réprouvent", avait affirmé le chef de l'Etat.

John Magufuli avait exhorté ses administrés à cesser "d'imiter ces pratiques indignes", même si cela risque d'entraîner l'arrêt de certaines aides extérieures. "Ils (les Occidentaux) brandissent l'aide, mais ce sont les ressources qu'ils nous volent!". "Vous, vous élevez du bétail; mais avez-vous jamais vu une chèvre ou un porc se livrer à ce jeu? Et ces gens veulent que les Tanzaniens s'y adonnent!", avait-il ajouté.

Le gouvernement tanzanien avait menacé au début de l'année de publier des listes d'homosexuels faisant commerce de leur corps, avant d'y renoncer par la suite. Quelques jours plus tôt, il avait ordonné la fermeture de centres de santé spécialisés dans la lutte contre le sida, accusés de promouvoir l'homosexualité, une décision critiquée par les États-Unis.

L'homosexualité est punissable en Tanzanie de très lourdes peines de prison, mais c'est seulement récemment que les autorités ont adopté une rhétorique anti-gay.

(Source AFP)

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Istanbul: la police fait usage de balles en caoutchouc pour disperser la "Gay Pride"

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Istanbul: la police fait usage de balles en caoutchouc pour disperser la "Gay Pride"
Istanbul (AFP) - La police turque a fait usage de balles en caoutchouc dimanche pour empêcher des manifestants de tenir la parade annuelle de la "Gay Pride" sur la place Taksim au centre d'Istanbul, au lendemain d'une interdiction de ce rassemblement décidée par les autorités locales.
 
La police a tiré des balles en caoutchouc vers un groupe d'environ 40 manifestants, a rapporté un journaliste de l'AFP.
 
De petits groupes se sont rassemblés sur la place Taksim pour une Marche des fiertés LGBTI (lesbiennes, gays,bisexuels, transgenres et intersexe) malgré l'interdiction des autorités, alors que les policiers étaient plus nombreux que les participants.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Homme contraint à enlever la chemise arc-en-ciel
 
 
Au moins quatre personnes ont été interpellées.
 
Les organisateurs avaient auparavant réitéré leur détermination à maintenir la manifestation, interdite pour la troisième année consécutive et qui coïncidait cette fois avec le premier jour de la fête célébrant la fin du mois de jeûne musulman du ramadan.
 
Après des menaces de groupes conservateurs et d'extrême droite, les autorités avaient annoncé samedi interdire cette manifestation pour préserver "l'ordre public" et la "sécurité des touristes".
 
Les organisateurs avaient alors annoncé qu'ils maintiendraient l'événement et encore affiché dimanche leur détermination, assurant dans un communiqué : "nous n'avons pas peur, nous sommes là, nous ne changerons pas. Vous avez peur, vous changerez et vous vous y habituerez".
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Avant la manifestation sur la célèbre place Taksim, d'importantes forces de police présentes dans le quartier avaient bouclé plusieurs accès, selon une journaliste de l'AFP.
 
La Marche des fiertés d'Istanbul avait rassemblé en 2014 des dizaines de milliers de personnes et constituait l'un des principaux événements LGBT au Moyen-Orient.
 
Elle est interdite depuis 2015 lorsque, selon l'association des LGBTI, les autorités avaient mis en cause la coïncidence de l'événement avec le ramadan.
 
En 2016, l'interdiction avait invoqué des raisons de sécurité alors que le pays était frappé par des attentats meurtriers liés aux jihadistes du groupe Etat islamique ou aux séparatistes kurdes.
 
Dans un cas comme dans l'autre, les manifestants avaient bravé ces interdictions et avaient été dispersés violemment par les forces de l'ordre.
 
Cette semaine, onze militants ont été jugés à Istanbul pour avoir bravé l'interdiction de la Gay Pride de 2016, mais ils ont été acquittés.
 
Les années précédentes, ces manifestations s'étaient déroulées sans incidents.
 
Le président turc Recep Tayyip Erdogan est accusé par ses opposants de conduire une islamisation rampante de la société. Ses commentaires conservateurs sur les femmes et la famille enflamment régulièrement la critique mais il se garde généralement d'évoquer publiquement les questions liées à l'homosexualité.
 
En 2010 toutefois, la ministre de la Famille et de la Femme Aliye Selma Kavaf avait suscité la colère des défenseurs des droits des homosexuels en qualifiant l'homosexualité de "désordre biologique" et "maladie" devant être soignée.
 
L'homosexualité n'est pas pénalement réprimée enTurquie, mais l'homophobie y reste largement répandue.
 
 
nouvelobs.com

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La police turque disperse violemment la «Gay Pride»

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La police turque disperse violemment la «Gay Pride»

Les manifestants qui ont tenté de braver l'interdiction décrétée hier par les autorités se sont heurtés à la police sur la place Taksim.

 

La police turque a fait usage de balles en caoutchouc dimanche pour empêcher des manifestants de tenir la parade annuelle de la «Gay Pride» sur la place Taksim au centre d'Istanbul, au lendemain d'une interdiction de ce rassemblement décidée par les autorités locales.

De petits groupes se sont rassemblés sur la place Taksim pour une Marche des fiertés LGBTI (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et intersexe) malgré l'interdiction des autorités, alors que les policiers étaient plus nombreux que les participants. Au moins quatre personnes ont été interpellées.

Les organisateurs avaient auparavant réitéré leur détermination à maintenir la manifestation, interdite pour la troisième année consécutive et qui coïncidait cette fois avec le premier jour de la fête célébrant la fin du mois de jeûne musulman du ramadan.

Après des menaces de groupes conservateurs et d'extrême droite, les autorités avaient annoncé samedi interdire cette manifestation pour préserver «l'ordre public» et la «sécurité des touristes».

Les organisateurs avaient alors annoncé qu'ils maintiendraient l'événement et encore affiché dimanche leur détermination, assurant dans un communiqué : «nous n'avons pas peur, nous sommes là, nous ne changerons pas. Vous avez peur, vous changerez et vous vous y habituerez».

Militants jugés

Avant la manifestation sur la célèbre place Taksim, d'importantes forces de police présentes dans le quartier avaient bouclé plusieurs accès, selon une journaliste de l'AFP. La Marche des fiertés d'Istanbul avait rassemblé en 2014 des dizaines de milliers de personnes et constituait l'un des principaux événements LGBT au Moyen-Orient. Elle est interdite depuis 2015 lorsque, selon l'association des LGBTI, les autorités avaient mis en cause la coïncidence de l'événement avec le ramadan.

En 2016, l'interdiction avait invoqué des raisons de sécurité alors que le pays était frappé par des attentats meurtriers liés aux djihadistes du groupe Etat islamique ou aux séparatistes kurdes.

Dans un cas comme dans l'autre, les manifestants avaient bravé ces interdictions et avaient été dispersés violemment par les forces de l'ordre. Cette semaine, onze militants ont été jugés à Istanbul pour avoir bravé l'interdiction de la Gay Pride de 2016, mais ils ont été acquittés.

Homophobie répandue

Les années précédentes, ces manifestations s'étaient déroulées sans incidents. Le président turc Recep Tayyip Erdogan est accusé par ses opposants de conduire une islamisation rampante de la société. Ses commentaires conservateurs sur les femmes et la famille enflamment régulièrement la critique mais il se garde généralement d'évoquer publiquement les questions liées à l'homosexualité.

En 2010 toutefois, la ministre de la Famille et de la Femme Aliye Selma Kavaf avait suscité la colère des défenseurs des droits des homosexuels en qualifiant l'homosexualité de «désordre biologique» et «maladie» devant être soignée.

L'homosexualité n'est pas pénalement réprimée en Turquie, mais l'homophobie y reste largement répandue.

(nxp/afp)

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Adolescent arrêté après avoir menacé de tuer des homosexuels avec des machettes lors de La Gay Pride Britannique

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Adolescent arrêté après avoir menacé de tuer des homosexuels avec des machettes lors de La Gay Pride Britannique

«Je vais marcher avec cette machette et massacrer tous les bâtards homosexuels

La police a arrêté un adolescent après avoir menacé d'aller dans un pub britannique avec une machette et de tuer des homosexuels lors de la gay pride

L'adolescent, qui ne peut pas être nommé, a publié une photo de la machette qu'il a achetée pour 19,99 $ (25,40 $ 22,70 €), ainsi que ses intentions de l'utiliser au pub New Empire à Barrow in Furness, Cumbria vendredi soir (23 juin )

Il a écrit: «Je vais marcher avec une putain de machette et massacrer tous les bâtards homosexuels.

«J'en ai eu assez», at-il poursuivi. «Je ne veux pas vivre dans un monde homosexuel et je ne veux vraiment pas que mes enfants vivent la Qu'est-il arrivé à nos qualités traditionnelles? Ils sont foutrement ruinés.

«Je ne me préoccupe pas si je meurs, je me bat pour ce que je crois et c'est l'avenir de mon pays, de mes gens et de ma race», a-t-il écrit.

Adolescent arrêté après avoir menacé de tuer des homosexuels avec des machettes lors de La Gay Pride Britannique

La police a été alertée de la menace et le surintendant Mark Pannone a répondu à l'arrestation.

«La priorité absolue de la police de Cumbria est toujours de garder les gens en sécurité», a-t-il déclaré. «Il n'y a maintenant aucune menace pour quiconque ou un groupe spécifique dans la région de Cumbria du Sud.

Le responsable du pub a déclaré à PinkNews : «[Nous] avons décidé que nous ne le laisserions pas nous battre.

«Nous avons demandé aux clients dans le pub s'ils voulaient rester ou partir, mais ils ont tous dit non. Nous nous sommes sentis en sécurité car des policiers armés étaient garés à l'extérieur. Nous avons eu beaucoup d'appels téléphoniques et de messages de soutien, mais évidemment, certaines personnes sont éloignées.

«Nous sommes très fiers de soutenir la communauté LGBTI et nous ne serons pas dissuadés de tout cela», a-t-il déclaré.

La police a également émis une déclaration sur l'arrestation de l'adolescent: «Au fur et à mesure que les procédures sont actives avec l'arrestation d'un homme de 19 ans, nous avons supprimé les publications originales.

C.L.

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La Marche des fiertés interdite à Istanbul

Publié le par justin

La Marche des fiertés interdite à Istanbul
Les autorités locales justifient leur refus d’autorisation de cette manifestation, qui doit se tenir dimanche, par des raisons de sécurité.
 
Le gouvernorat d’Istanbul n’autorisera pas la marche des fiertés LGBTI (lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexe), qui est prévue dimanche 25 juin sur l’emblématique place Taksim.
 
Les autorités locales ont décidé de refuser la tenue de la marche et des réunions associées pour des questions de « sécurité des touristes » dans la zone concernée, et « d’ordre public ». C’est ce qu’a annoncé le gouvernorat dans un communiqué publié sur son site.
 
Les autorités affirment avoir appris que la marche devait se tenir dimanche à 17 heures (14 heures GMT) par Internet et par la presse, sans qu’une demande d’autorisation formelle leur ait été adressée.
Une manifestation déjà interdite en 2015 et 2016
 
Le communiqué appelle les Stambouliotes à ne pas prendre en considération les appels à manifester et à respecter l’appel des forces de l’ordre.
La marche des fiertés avait déjà été interdite en 2015 et 2016, bien qu’elle se soit déroulée sans incidents les années précédentes, des milliers de personnes y prenant part pour défendre les droits des minorités LGBT, devenant la plus importante manifestation du genre dans un pays musulman du Moyen-Orient.
Les autorités ont interdit tous les rassemblements sur la place Taksim depuis une fronde anti-gouvernementale qui y est née en juin 2013 contre la « dérive islamiste » et « autoritaire » du président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan.
Le Monde avec AF

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"Comment reconnaître un gay d'un hétéro?": l'article qui scandalise les internautes

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"Comment reconnaître un gay d'un hétéro?": l'article qui scandalise les internautes

Le texte qui véhicule clichés et caricatures a été publié à l'intérieur d'un nouveau magazine destiné aux jeunes. L'auteur de l'article plaide l'humour.

"Homophobe", "honteux", "caricature", un article du magazineMillenials, a indigné les premiers lecteurs du tout nouveau bimensuel sorti dans les kiosques ce vendredi. Destiné à la génération née à la fin des années 1990 ou début 2000 -qui lui donne son nom, le magazine propose un article intitulé: "Comment reconnaître un gay d'un hétéro?". 

L'article, de quelques paragraphes, y propose quelques conseils pour distinguer les uns des autres, grâce à quelques astuces qui reprennent à peu près l'intégralité des stéréotypes attribués aux hommes hétéros -apparemment tous fans de foot- et aux hommes homos.  

 

Selon l'auteure, faire la différence est très simple: "Il suffit d'une simple séance d'observation pour mettre la puce à l'oreille". "Il existe des signes faciles à identifier, qu'il s'agisse du langage, de la gestuelle, du style vestimentaire ou même de l'entourage." 

Bière et foot pour les hétéros, mode et copines pour les homos

D'après le texte, contrairement à son homologue hétéro -qui préfère "ses potes masculins" pour "se lâcher lors d'un classico PSG-OM, bière à la main"- "le gay fréquente volontiers des femmes, avec qui il se sent en parfaite osmose".  

Toujours en lisant l'article, on apprend qu'en plus de s'entendre parfaitement avec la gente féminine, les gays ont aussi "une fibre esthétique particulière, un sens du chic et de l'harmonie qu'on ne retrouve pas ou peu chez les hétéros". Ce "sens du beau" leur donne même du goût en matière de mode et d'endroits branchés. Car le gay ne sort jamais "dans un vulgaire bar où la pinte est à 4 euros en happy hour". 

L'hétéro, lui, n'a "pas ou peu" ce sens de l'esthétisme. D'ailleurs, il n'est pas non plus capable de discuter avec des femmes. Pour preuve, "il suffit de voir son désarroi lors d'une conversation de filles pour comprendre qu'il ne se sent pas à sa place" -ceux qui s'y intéressent devraient peut-être repenser leur orientation sexuelle? 

"Millennials oui, mais en 1917"

L'article a provoqué de nombreuses réactions scandalisées ou sarcastiques sur les réseaux sociaux, y compris de la part du youtubeur Cyprien, qui découvre qu'il serait homosexuel, "parce qu'[il] n'aime pas le foot et [il] traîne avec des filles". 

L'article a également attiré l'attention de la page Facebook Ivre, (à lire "ivre-virgule") qui cumule près de 100 000 abonnés. 

 

"Un peu d'humour"

Face aux accusations d'homophobie, Millennials a "présenté ses excuses aux personnes qui ont pu être choquées et dont la sensibilité a été heurtée par le contenu de cette chronique" sur sa page Facebook. Cet article, "écrit sur un ton léger" n'avait "en aucun cas pour but de véhiculer des stéréotypes". "Nous avons voulu parler d'une anecdote réelle vécue par l'une de nos journalistes avec l'un de ses amis gay à la terrasse d'un café. Ils ont alors évoqué des clichés humoristiques sur les communautés aussi bien homo qu'hétéro," poursuit le magazine. 

De son côté, la journaliste auteure de la chronique a demandé aux personnes ayant critiqué son article d'avoir "un peu d'humour" et "de dérision": "Désolé si ça en a offensé certain [sic], ce n'était pas l'idée!". 

.lexpress.fr

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Homosexualité : Quatre mois de prison pour un ado de 16 ans

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Homosexualité : Quatre mois de prison pour un ado de 16 ans

Le juge pour enfants de Sousse a condamné, par contumace, un ado de 16 ans, à 4 mois de prison ferme, pour homosexualité.

Arrêté en mai dernier, il a été mis en liberté mais il devait comparaître en état de liberté, le mardi 20 juin 2017. Absent à l’audience, le juge l’a condamné par contumace à 4 mois de prison et il devra purger sa peine, non pas en prison puisqu’il est encore mineur, mais à la maison de redressement de Sidi El-Hani.

L’ado a été condamné sur la base de l’article 230 du code pénal, qui prévoit le fameux test anal censé prouver l’orientation sexuelle des accusés dans les affaires d’homosexualité. Or, il n’a pas effectué ce test, parce qu’il a refusé d’y être soumis, le considérant comme une atteinte à sa dignité humaine. Son refus a été considéré par le juge comme une preuve de «culpabilité».

Une source a indiqué à Kapitalis que la mère du garçon est décédée et que son père est en prison. Considéré comme orphelin, il est hébergé par un centre social à Sousse.

Il a été arrêté dans une maison, avec 3 de ses amis. Ces derniers, qui sont majeurs, sont aussi accusés d’homosexualité et devront comparaître devant le juge.

http://kapitalis.com/

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