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Articles avec #refuge tag

Des garçons syriens pris dans un engrenage d'abus sexuels

Publié le par justin

Des garçons syriens pris dans un engrenage d'abus sexuels
© AFP | Des membres de l'organisation syrienne pour les victimes de la guerre (SOVW) regardent des photographies montrant la torture de détenus dans les prisons et les centres de détention du régime d'Assad, le 17 mars 2016 à Genève
BEYROUTH (AFP) - 

Des garçons et hommes syriens sont victimes d'un "cercle vicieux" d'abus sexuels dans leur pays en guerre ou comme réfugiés, a affirmé jeudi une agence de l'ONU dans un rapport sur cette question taboue.

Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) affirme avoir documenté de nombreux cas de violences sexuelles contre des hommes et garçons syriens, après avoir interviewé 196 réfugiés et 73 travailleurs humanitaires.

"Il y a déjà eu des rapports sur les abus sexuels envers les femmes et filles syriennes. Mais cette question est le côté moins connu de cette histoire sordide: les (victimes) mâles", a indiqué à l'AFP le porte-parole du HCR Andrej Mahecic.

"Il s'agit d'un cercle vicieux", selon lui.

Le rapport affirme que, depuis le début du conflit en 2011, hommes et garçons ont été victimes de violences sexuelles dans des centres de détention et à des barrages de factions armées en Syrie, mais également dans des pays les accueillant comme réfugiés.

Les formes de violences sexuelles sont, entre autres, des chocs électriques et des brûlures de cigarettes sur les parties génitales et l'anus, la castration et le viol collectif.

"L'un de mes oncles en Syrie a été arrêté. Quelques mois après sa libération, il nous a dit --après s'être effondré en larmes devant nous -- qu'il n'y a pas une partie de son corps qui n'ait pas souffert d'abus au moyen d'un marteau-piqueur électrique", affirme Ahmad, un réfugié syrien en Jordanie.

"Après sa libération, il a arrêté de manger et est devenu alcoolique. Il est mort à la suite d'une insuffisance rénale".

Les LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) sont particulièrement vulnérables.

"Il n'y a pas un seul (membre de la communauté LGBT) qui n'ait pas souffert de violence sexuelle. Cela nous arrive à tous", assure Mazen, transgenre cité dans le rapport.

Dans les pays qui accueillent des réfugiés syriens, des garçons et des hommes ont fait l'objet de chantage pour les forcer à avoir des relations sexuelles ou ont été exploités par leurs employeurs, selon le rapport.

D'après l'ONU, ces abus ont eu des conséquences "psychologiques profondément débilitantes" sur des familles entières.

Des garçons victimes d'abus ont parfois abandonné l'école et ont été, tout comme les hommes, rejetés, pointés du doigt et parfois menacés de mort.

Les victimes ont peur d'être stigmatisées si elles parlent de leur expérience et des travailleurs sociaux ont parfois manqué de personnel ou ignoré leurs témoignages.

"Les victimes évitent de demander de l'aide aux services d'assistance et rejettent la faute sur eux-mêmes. Cela renforce le mythe selon lequel il s'agit d'un problème rare alors que cette étude montre le contraire", a expliqué M. Mahecic.

© 2017 AFP

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L'avocat Emmanuel Pierrat, défenseur du Refuge, évincé suite à l'affaire Hanouna de CNews

Publié le par justin

L'avocat Emmanuel Pierrat, défenseur du Refuge, évincé suite à l'affaire Hanouna de CNews
Cet avocat était régulièrement invité à débattre sur le plateau de CNews. Mais Emmanuel Pierrat vient de voir sa participation arrêtée brusquement. Selon lui, ce serait à cause de ses liens avec l'association Le Refuge qui lutte contre l'homophobie.
 

Me Emmanuel Pierrat était un invité régulier des plateaux deCNews. Cet avocat participait notamment à l'émission "Duel des avocats" diffusée le mercredi soir sur la chaîne d'info. Pour cela, il avait signé un contrat de travail avec CNews. Pourtant, le 6 juin dernier, il est contacté par les services juridiques et administratifs de Canal+. Selon l'Obs, il apprend qu'il est écarté de l'antenne, sans véritable raison.

Pourtant, lui pense savoir pourquoi. Avocat de profession, il défend Le Refuge, une association contre laquelle Cyril Hanouna a porté plainte pour diffamation. En effet, Le Refuge, engagé pour la défense des homosexuels, avait vivement protesté lors de l'affaire du canular homophobe du présentateur de Touche pas à mon poste.

Pour se défendre, Emmanuel Pierrat a envoyé une lettre à Vincent Bolloré, Cyril Hanouna ainsi qu'à plusieurs dirigeants de la chaîne cryptée, dans laquelle il dit être victime de discrimination. "Il apparaît, d’après différents éléments en ma possession, que mon éviction soudaine est liée à mon rôle de défenseur, en ma qualité d’avocat, de Monsieur Nicolas Noguier, Président et Fondateur de l’association Le Refuge, reconnue d’utilité publique, qui lutte pour la mise en sécurité des jeunes chassés du foyer familial en raison de leur homosexualité", écrit-il dans des propos rapportés par l'Obs.

L'avocat n'exclut pas de porter l'affaire devant les tribunaux. "La France n’est certes pas la Tchétchénie, mais le groupe Canal Plus n’est pas à l’abri des lois républicaines contre les discriminations", ajoute Emmanuel Pierrat.

Interrogée par l'Obs, la direction de la communication de Canal+ rejette cette version des faits, affirmant qu'ils font juste "tourner tous nos intervenants".

.levraisite.fr

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La société d'Hanouna dépose 3 plaintes dont une contre Nicolas Noguier: "Le jeune rejeté n'a jamais existé !"

Publié le par justin

La société d'Hanouna dépose 3 plaintes dont une contre Nicolas Noguier: "Le jeune rejeté n'a jamais existé !"

La parole est désormais à la police et à la justice.

 

Après plusieurs jours de réflexions, Cyril Hanouna et sa société H2O ont décidé hier de déposer trois plaintes en justice, deux contre X et une troisième contre Nicolas Noguier le patron du Refuge.

Pendant tout le week-end, de façon très factuelle, jeanmarcmorandini.com avait listé un nombre incroyable de contradictions dans le discours de Nicolas Noguier, pendant que ce dernier semblait s'en amuser sur twitter postant des messages accompagnés de smileys "mort de rire".

Mais ces messages dont pas fait rire tout le monde, car dans le Parisien, de ce matin, Me Hasbanian, avocat de la société de Cyril Hanouna affirme tout simplement que "le jeune homme prétendument rejeté par ses parents n'a jamais existé" .

Une plainte contre X a donc été déposé pour dénonciation calomnieuse au Tribunal de Montpellier où se trouve le siège du Refuge, une plainte contre X pour diffusion de fausses nouvelles a également été déposée devant le TGI de Paris, et une plainte visant directement Nicolas Noguier, le patron du Refuge, a été déposée pour diffamation.

H2O insiste également sur les conséquences qu'ont eu ces pseudo révélation avec un boycott des annonceurs, sans parler des conséquences "sur les salariés" de H2O et de la diffusion de dizaines d'articles reprenant comme des informations fiables les propos du Président du Refuge.

 

jeanmarcmorandini.com

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Le témoignage du jeune gay piégé par Hanouna mis en doute

Publié le par justin

Le témoignage du jeune gay piégé par Hanouna mis en doute

Depuis la séquence homophobe dans TPMP, l'association le Refuge affirme qu'une des jeunes victimes du canular a été mise à la porte par ses parents après son outing dans l'émission. Un récit mis en doute par plusieurs médias, dont «BuzzFeed» et «le Parisien», pour ses incohérences.

L’association LGBT le Refuge a-t-elle bidonné le témoignage du jeune lycéen homosexuel piégé par Cyril Hanouna et viré de chez lui par ses parents ? Depuis le canulard homophobe et signalé par 37 000 personnes au CSA, la structure, qui héberge des jeunes LGBT mis à la porte par leur famille, affirme en effet qu’une des victimes qui aurait répondu en direct à la fausse petite-annonce de l’animateur de TPMP a été virée de chez elle par ses parents quand ces derniers ont reconnu sa voix dans l’émission. Il s’agirait d’un lycéen de 19 ans, dont l’association n’a ni l’identité, ni le numéro de téléphone.

«Nombreuses incohérences» 

Mais cette version est depuis vendredi mise en doute par plusieurs de nos confères de buzzfeed et du parisien. En cause ? Les «nombreuses incohérences» du récit distillé tout au long de la semaine par les responsables du Refuge, Nicolas Noguier, son président, Frédéric Gal, son directeur général, et Véronique Lesage, la coordinatrice de la ligne d’écoute d’urgence. Des contradictions auxquelles s’ajoute le refus de l’association, dont les manquements ont déjà été pointés du doigt par plusieurs enquêtes de presse, de communiquer aux médias concernés les éléments susceptibles d’accréditer ce témoignage. 

Concernant notre affaire, selon le site BuzzFeed, «aucun des jeunes victimes de l’émission de Cyril Hanouna ne correspond» par exemple au profil décrit depuis lundi par Nicolas Noguier. Au cours de la semaine, le président-fondateur du Refuge a également plusieurs fois rendu compte d’un témoignage, dont la première version le 19 mai, au lendemain de la séquence décriée, est très différente. 

«J’ai toujours dit que nous avons été contactés à deux reprises par un jeune qui nous a indiqué avoir été piégé lors de l’émission», a confirmé pour sa part par SMS au Parisien Nicolas Noguier. «Faux»,lui rétorque le quotidien précisant que dans son premier post sur Facebook faisant part du témoignage, le montpelliérain était ce jour-là beaucoup plus prudent. 

Dans l’édition du jour du Midi Libre, Nicolas Noguier maintient cependant la dernière version en date du Refuge à savoir qu’un jeune garçon a appelé deux fois sur la ligne d’écoute de l’association et qu’il a été mis dehors par son père. «On a eu des nouvelles il y a trois jours,raconte-t-il dans un entretien avec le quotidien régional. Il a rappelé notre numéro d’écoute, il est chez une tierce personne, il allait mieux que lors de son premier appel, il est en sécurité. Il nous a dit que son père l’a mis dehors après le sketch.»

Le militant ajoute par ailleurs que le Refuge «est en train de réfléchir» à porter plainte contre C8 et son animateur vedette. «On ne le fera que si l’on est quasiment sûr de gagner. Si Cyril Hanouna gagne, ce sera comme une jurisprudence comme si le sketch n’était pas homophobe, et il pourra continuer… Nous, on souhaite plutôt accompagner une démarche de la personne piégée, et être partie civile», développe Nicolas Noguier. En revanche, selon le Parisien, une autre plainte contre X pour faire la lumière sur l’identité de la personne est envisagée, ajoutant de la confusion à la confusion. 

La pleine confiance de la Secrétaire d’Etat

Au lendemain de sa rencontre avec l’association, Marlène Schiappa, la secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes interrogée ce matin sur franceinfo, a néanmoins assuré le Refuge de son soutien, expliquant faire «pleinement confiance par principe aux associations».

Elle a par ailleurs annoncé avoir sollicité un rendez-vous avec Cyril Hanouna. «Je voudrais lui parler de la culture du viol, car il y a eu des agressions sexuelles en direct sur son plateau. Mais aussi lui parler de la question de la lutte contre l’homophobie», a aussi justifié Marlène Schiappa, préconisant le dialogue avec l’animateur de TPMP.

Aux dernières nouvelles, l’émission de Cyril Hanouna a été signalée plus de 37 000 fois au CSA qui a ouvert une procédure de sanction. Un record auquel s’ajoute le boycott inédit des annonceurs de TPMP qui privent ainsi C8 de 40% de ses recettes publicitaires. L’animateur s’est lui fendu d’une lettre, dont Libération a publié le contenu, dans laquelle il fait part de ses excuses pour un sketch qui selon lui «n’avait pas lieu d’être»

 

.liberation.fr

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Témoignage d'un ancien bénéficiaire du Refuge

Publié le par justin

Témoignage d'un ancien bénéficiaire du Refuge

Par la présente, et en tant qu'ancien bénéficiaire de l'association Le Refuge (association reconnue d'utilité publique),  je souhaite attirer votre attention sur les principaux dysfonctionnements de celle-ci , qui présentent de graves conséquences néfastes et dangereuses pour ses bénéficiaires, et ainsi  vous alerter sur un certain nombre de manquements qui régissent cette structure.

Manquements graves d’accompagnement aux droits fondamentaux  et citoyens : 

Aucune information n'est véhiculée par l'équipe éducative du Refuge concernant les droits du travail relatifs à tout un chacun bien qu'il s'agisse d'une structure dont l'objectif premier est l'accompagnement social de ses bénéficiaires et dont l'équipe, d'après les clauses stipulées dans le contrat d'accompagnement remit aux jeunes accompagnés, est engagée à rester mobilisée autour de l'accompagnement de ceux-ci. 

Manquements grave d’accompagnement à  la professionnalisation de jeunes sans emploi ni formation : 

En plus de ne pas informer ses bénéficiaires des droits dont ils disposent comme souligné précédemment, l'équipe pédagogique fait preuve de manque d'engagement en spécifiant, toujours dans ce même contrat, la fixation de rendez-vous avec un travailleur social censés renforcer l'accompagnement des jeunes dans leur recherche de travail. Or, la présence de ceux-ci et de cet accompagnateur n'a jamais eue lieue. Quant à la proposition de formation professionnelle, celle-ci ne figure en aucun cas dans le contrat établi, ce qui souligne le manque de suivi concernant l'entrée dans la vie professionnelle des différents bénéficiaires de cette association.

Manquements graves de protection sanitaire et social : 

Bien plus grave encore que le manque d'accompagnement des jeunes hébergés au sein du Refuge, ceux-ci sont directement mis en danger par les denrées fournies par la structure, dont la date limite de consommation est pour le plus souvent dépassée de quelques semaines, voire plusieurs mois, ce qui a conduit à des complications d'ordre médical dont je fus moi-même touché. Concernant la prise en charge médicale pour chacun, celle-ci n'est, encore une fois, pas établie par la structure, bien qu'énoncée dans le livret d'accueil de celle-ci et censée être obligatoire.  A ce jour, je n'ai pas bénéficié de cet encadrement comprenant la mise en place d'une Couverture Maladie Universelle et reste redevable d'un certain nombre de frais médicaux que je n'ai pu régler, par manque de moyens et dans l'attente de la mise en place de cette prise en charge par l'association.

Formes d’abus de pouvoir exercé par le représentant de l'association : 

Lorsque ces différents manquements ont été soulignés auprès du directeur régional par une partie des jeunes hébergés et moi-même lors de différents entretiens ceux-ci n'ont pas du tout été pris en compte et ont été catégoriquement rejetés par ce dernier. Ainsi, celui-ci se permet de ne pas prendre en considération les clauses établies dans le contrat d'accompagnement et le livret d'accueil remis lors de notre arrivée au sein de cette structure sociale et déclare même que celles-ci ne sont pas recevables et que seul ses dires et  son bon vouloir le sont. 

Formes de menaces de délit et intimidations : 

De plus, n'ayant pas été entendu sur les manquements de cette structure, je suis rentré directement en contact avec le directeur national du Refuge qui n'a deigné m'écouter et prendre position. A la suite de cela, le directeur régional m'a clairement intimidé et menacé d'expulsion définitive si je venais à divulguer à qui que ce soit les manquements graves constatés. Enfin, de nombreux bénéficiaires de l'association sur le plan national m'ont contacté pour témoigner des mêmes manquements ainsi que d'autres faits nuisibles, ce qui leur à value à leur tour des formes de menaces et d'intimidations similaires. 

Formes de non assistance à personne en danger :  

De surcroît, Certains bénévoles ne respectent pas les clauses établies par le contrat qui les lie à l'association et se permettent des attitudes envers les jeunes qui demeurent nuisible à l'évolution de chacun au sein de la structure. Une grande proximité entre Bénévole et Bénéficiaire a pu être constatée et dénoncée sans pour autant avoir été sanctionnée. Plus grave encore, certains membres de l'équipe pédagogique se permettent de demander explicitement des substances illicites aux jeunes hébergés et entretiennent des relations qui dépassent l'ordre professionnel qui n'ont donc pas lieu d'être. Or, il est bien notifié dans le contrat des bénévoles que ceux-ci doivent "garder au quotidien une distance à minima avec chaque jeune y compris lors des soirées ou tout type de rencontres à l'extérieur des locaux de l'association". Enfin, après avoir constaté et dénoncé ces manquements et dangers non pris en compte, j'ai été mis à la rue le 1er février 2014 par l'association en recevant différents avertissements censés justifier la rupture de contrat envers ma personne le même jour que mon expulsion. Je n'ai donc pas été prévenu de ces avertissements au préalable, ce qui n'est pas en adéquation avec la procédure à suivre. Mis à la rue en pleine période hivernale et donc mis directement en danger par l'équipe associative, je n'ai eu d'autres choix que de joindre différents contacts pour trouver une solution d'urgence. Encore une fois, cette manière de procéder m'a été signalée et témoignée par d'autres bénéficiaires sur le plan national. A présent, quatre jeunes dont moi-même ont été expulsés de manière inconcevable. Concernant le Refuge Toulouse, seul trois jeunes restent hébergés par la structure. Quant aux autres, ils ont préfèrés partir de eux-mêmes après avoir constatés ces anomalies et par peur des possibles représailles.

Formes d’atteinte à la vie privée ainsi que publications de photos sur un réseau social sans accord au préalable par la (les) personne(s) concernée(s) : 

Bien que "chaque bénévole est tenu à un devoir de réserve et est soumis aux règles de confidentialité en cours dans le secteur de l'accompagnement psychologique et social", comme l'indique le contrat qui lie les bénévoles à la structure, des informations confidentielles concernant ma vie privée ont circulées au sein de l'association et un contact avec mon paternel a été établi pour l'informer de mes différentes actions au sein de l'association alors que je suis en rupture filiale avec celui-ci depuis des années pour motifs personnels. Ceci m'a alors value bon nombre de préjudices dans mes rapports personnels et privés. De plus, le directeur régional s'est permis d'exiger une preuve de mon activité professionnelle auprès de mon employeur et a même insisté pour me rencontrer sur mon lieu de travail alors que ma situation personnelle et confidentielle ne regarde en aucun cas mon employeur ou tout autre membre de mon équipe de travail. Il a ensuite exigé, et ce après ma rupture de contrat avec l'association, une copie de mon contrat de travail, ce qui ne relève pas de ses droits ni même de mes devoirs puisque une rupture totale et définitive a été établie à ce jour avec la structure. En outre, l'équipe d'encadrement de l'association s'est permise de photographier mon conjoint (qui n'a jamais bénéficié de la structure) et moi-même, et a délibérément rendu publique les clichés en les publiant sur une page d'un réseau social consacrée à l'association alors qu'il "est demandé à chacun de ne pas diffuser les informations concernant les jeunes, quelles qu'elles soient. Celles-ci restant à disposition de l'équipe exclusivement" et que "de la même façon, il est demandé à chacun(e) de ne pas publier les photos prises avec les jeunes quel que soit le contexte y compris avec l'accord de ceux-ci" , d'après les règles de vie adressées aux bénévoles. De même, un paragraphe figurant dans le contrat d'accompagnement des bénéficiaires stipule que l'équipe s'engage à consulté le jeune lors d'une possible utilisation de ses données personnelles dans le cadre de la communication externe de l'association et qu'il suffit de signifier un refus si le jeune ne souhaite pas que cette utilisation se fasse.

 

Dès lors, j'en appelle à votre personne pour dénoncer ces abus et manquements qui demeurent dangereux et inacceptables pour l'ensemble des bénéficiaires de l'association Le Refuge et dont j'ai été victime. Après avoir alerté les autorités publiques ainsi que La mairie et des représentants politiques tels que des ministres et des députés, je me permets de vous signaler ces fautes graves et souhaite, par le recours à votre personne, déposer une plainte contre cette structure qui ne respecte pas ses engagements et exerce une emprise absolue selon ses bons vouloir sans se soucier des différentes règles concernant le bon déroulement social associatif qui régissent toutes structures semblables. Je vous fais part des différents témoignages sur le plan national qui m'ont été adressés ainsi que les plaintes de mon conjoint et de moi-même concernant la violation de vie privée qui a été faite par le corps associatif, des documents d'anciens bénévoles de l'association, une copie du contrat d'accompagnement et du livret d'accueil qui m'ont été remis dès mon arrivé au sein de l'association, une copie du règlement destiné aux bénévoles de la structure et autres documents recueillis par mes soins afin de prouver et certifier l'exactitude de mes dires. 

 

Pour mémoire

/http://www.medias-presse.info/scandales-autour-du-refuge-association-lgbt-accreditee-aupres-des-etablissements-scolaires-et-grassement-subventionnee/18694/

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20141124.RUE6745/apres-notre-enquete-le-refuge-choisit-l-attaque-pour-se-defendre.html

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L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Publié le par justin

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Le 18 mai, suite à une annonce sur un réseau social Cyril Hanouna a répondu au téléphone en direct sur « TPMP » à de jeunes homosexuels.

Il s’en est suivi une hystérie collective de la presse bien pensante et des milieux homo qui n’ont pas trouvé la séquence à leur goût.

Le 23 mai « LCI » publie sans vérification le témoignage de l’association « le refuge ».

Selon cette association un jeune homme apeuré les aurait contacté pour exprimer son désarroi et informer le refuge que ses parents ont reconnu sa voix au téléphone et menacent de le virer !

Le bénévole de l’association « le refuge » précise qu’il n’a ni le nom ni les coordonnées de « la victime ». Comment « le refuge » a t’il pu identifier qu’il s’agissait bien d’une victime du canular .

Mais peu importe, l’association « Le refuge » coutumière de ce genre de « bad buzz » se précipite pour alerter la presse.

La presse française bien pensante saisit cette occasion pour démolir Cyril Hanouna et son émission TPMP . Aucune vérification de l’information, la parole de cette association à la sinistre réputation fait foi !

Aujourd’hui l’association « le refuge » en quête de notoriété va plus loin en ameutant la presse pour leur signaler que la jeune « victime » a été viré par ses parents.

Une fois de plus sans aucune vérification la presse se déchaine contre l’animateur de « TPMP » et son émission.

La vérité est tout autre. L’association  « Le refuge » n’a jamais eu de victime de Cyril Hanouna au téléphone.

Il s’agit d’ une information totalement inventée pour faire parler de l’association et salir Cyril Hanouna que l’association juge homophobe.

Je dispose de plusieurs enregistrements de collaborateurs de l’association controversée « Le refuge » qui me confirment cette supercherie.

Dans leurs déclarations le directeur de l’association et  le bénévole qui a soit disant eu « la victime » se contredisent ( voir documents à la fin de l’article) sans que cela n’ émeuve la presse.

Ce n’est pas la première fois que l’association « Le refuge » utilise ce procédé scabreux pour faire parler d’elle. http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20141120.RUE6693/les-coulisses-genantes-du-refuge-l-asso-pour-homos-qui-fait-l-unanimite.html

Les journalistes auraient du vérifier les sources avant de relayer ces escrocs.

Je tiens à la disposition des services de police ces enregistrements, si Cyril Hanouna juge utile de déposer une plainte pour diffusion de fausses nouvelles.

En attendant la presse française si prompte à donner des leçons de déontologie est une nouvelle fois ridiculisée.

Sur ce Tweet, Nicolas Noguier le directeur de l’association « Le refuge » déclare que « la victime avait peur d’être reconnu par ses parents »

 

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Le même jour dans cette interview de Romain le bénévole du « Refuge » qui a parlé avec « la victime », déclare que « des membres de la famille et ses parents ont reconnu « la victime ». Cela est totalement contradictoire avec les propos tenus par le directeur du refuge Nicolas Noguier! Curieusement cela n’interpelle pas les journalistes.

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Ce n’est pas la première fois que l’association « Le refuge » diffuse des fausses nouvelles pour faire du buzz, allant jusqu’à exploiter la mort d’un jeune homme !

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Romain et Didier Noguier font le tour des rédactions distillant leurs mensonges.

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Pour l’express, « la victime imaginaire » qu’ils n’ont jamais rencontré est « dans un état épouvantable »

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

« L’état épouvantable » ayant fait son temps, Romain « du refuge » invente que « le jeune gay a reçu des menaces » sans que cela n’éveille de doutes dans l’esprit anesthésié de nos journalistes.

 

Pour rappel

http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20141120.RUE6693/les-coulisses-genantes-du-refuge-l-asso-pour-homos-qui-fait-l-unanimite.html

 

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Après « les menaces », « l’état épouvantable », c’est « la jeune victime viré de chez lui ».  C’est au tour de France Info de relayer du vent.

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Voici Veronique Lesage bénévole au refuge qui déclare avoir parlé à « la victime ». Le problème est qu’ils n’ont toujours pas identifié cette « victime », et qu’ils n’ont aucun moyens de la joindre. Bien curieuse et mystérieuse « victime » qui apparait et disparait en fonction des intérêts médiatiques. Encore une contradiction dans les propos du refuge, pour Véronique « la victime va le mieux possible, il nous a appelé pour nous rassurer » alors que dans le même article il est écris que « la victime » est dans un état épouvantable. Bientôt ça va être « la victime » qui va remonter le moral fragile des bénévoles du refuge.

L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !

Europe 1, LCI, France Info, L’express, Gala, etc … toute cette presse bien pensante se précipite sur Hanouna, juste sur les accusations d’une association d’escrocs ! Ils n’ont même pas pris la précaution de mettre l’information qu’ils n’ont pas vérifié au conditionnelle.

 

Un commentaire pour “Exclusif ! L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !”

Véronique Lesage n’est pas bénévole mais salariée du Refuge

http://elfassiscoopblog.com/

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