Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Articles avec #lgbt tag

États-Unis: Gabriel, enfant martyr mort sous les coups de son beau-père qui le pensait homosexuel

Publié le par justin

États-Unis: Gabriel, enfant martyr mort sous les coups de son beau-père qui le pensait homosexuel

Gabriel, un jeune Américain de 8 ans, a été contraint de manger son vomi et ses excréments pendant de longs mois avant de mourir sous les coups de son beau-père…

Quatre ans après la mort du petit Gabriel, le procès de sa mère et de son beau-père vient de débuter aux Etats-Unis. Les magistrats vont se pencher sur le décès du garçon de 8 ans, survenu en mai 2013, et sur les sévices qu’il a subis pendant de longs mois, rapportent plusieurs médias américains.

Soupçonné d’homosexualité

D’abord élevé par ses grands-parents, l’enfant est parti vivre chez sa mère et le compagnon de cette dernière huit mois avant sa mort. C’est là que son calvaire a commencé.

Pensant que Gabriel était homosexuel, Isauro Aguirre, son beau-père, lui a fait vivre un véritable enfer. Le jeune garçon a été contraint d’avaler son propre vomi, ses excréments mais aussi ceux du chat de la famille ainsi que la litière. C’est ce qu’a révélé l’autopsie menée sur le corps de l’enfant.

Brûlé avec des cigarettes, habillé en fille pour l’humilier

Le calvaire de Gabriel ne s’arrêtait pas là. Isauro Aguirre l’aspergeait aussi régulièrement de gaz poivré, lui brûlait la peau avec ses cigarettes, l’obligeait à s’habiller en fille pour le ridiculiser devant l’école et le faisait dormir dans un minuscule placard avec une chaussette dans la bouche et les yeux bandés.

Après huit mois de traitements atroces, l’enfant est décédé, frappé à coups de batte de baseball. « Lorsque les secours l’ont retrouvé, il était déjà dans un état de mort cérébrale », rapporte RTL.

Isauro Aguirre a décidé de plaider coupable. En revanche, l’homme de 37 ans a tenu à préciser à la barre : « Je n’ai jamais voulu qu’il meure. » Une défense bien légère au vu des faits qui lui sont reprochés

20minutes.fr/

Voir les commentaires

Harcèlement sexuel : les langues se délient aussi chez les hommes

Publié le par justin

Harcèlement sexuel : les langues se délient aussi chez les hommes

Depuis la révélation du scandale Harvey Weinstein, la parole se libère à Hollywood. Et si la liste des femmes concernées ne cesse de s'allonger, de premiers témoignages masculins émergent également.

 

Ils sont deux : James Van Der Beek et Terry Crews.

Comédiens à Hollywood, les deux hommes ont révélé avoir été, eux aussi, victimes d'agression sexuelle.

"Il m'a tripoté les parties intimes"

Le premier à avoir parlé est Terry Crews, 49 ans, un ancien joueur de NFL devenu acteur.

Sur Twitter, celui qui est notamment apparu dans le deuxième volet de la saga "Expendables", a expliqué que "toute cette histoire autour de Harvey Weinstein réveille chez [lui] un trouble de stress post-traumatique".

Et de décrire : "Ma femme et moi étions à Hollywood l'année dernière. Un grand ponte de Hollywood est venu vers moi et m'a tripoté les parties intimes. J'ai bondi et je lui ai dit : "Mais qu'est-ce que tu fais ?" Ma femme a tout vu et nous avons regardé ce type comme s'il était dingue. Il nous a juste souri comme un crétin."

S'il affirme avoir été sur le point de "lui botter son cul", Terry Crews explique s'être retenu en imaginant "les titres [de la presse] du lendemain : "Un Noir de 120 kilos se défoule sur un patron de Hollywood" ".

"Des hommes plus vieux et plus puissants m'ont tripoté le cul"

James Van Der Beek, héros de la série Dawson entre 1998 et 2003, a lui aussi réagi sur Twitter, ce jeudi, au scandale sexuel qui agite Hollywood : "Ce dont Weinstein est accusé est de l'ordre du crime. Ce qu'il a fait est inacceptable, dans n'importe quel métier. J'applaudis ceux qui prennent la parole".

Le comédien de 40 ans a ensuite évoqué son cas personnel : "Moi aussi, des hommes plus vieux et puissants m'ont tripoté les fesses et m'ont coincé contre le mur pour me faire des allusions sexuelles inappropriées quand j'était plus jeune."

Si l'identité des personnes incriminées par les deux acteurs n'a pas été dévoilée, la parole semble néanmoins se libérer à Hollywood. Chez les femmes, comme chez les hommes.

ledauphine.com

Voir les commentaires

RUSSIE: UN MILITANT HOMOSEXUEL RACONTE LES VIOLENCES POLICIÈRES EN TCHÉTCHÉNIE

Publié le par justin

RUSSIE: UN MILITANT HOMOSEXUEL RACONTE LES VIOLENCES POLICIÈRES EN TCHÉTCHÉNIE

Tabassage, humiliations et menaces de mort: un militant homosexuel russe a raconté lundi, une première à visage découvert, l'enfer des violences policières en Tchétchénie, république du Caucase russe très conservatrice.

Si des victimes ont déjà parlé à des médias sous couvert d'anonymat ou après avoir fui la Russie, Maxime Lapounov est devenu le premier à s'exprimer publiquement et à déposer une plainte depuis les révélations en mars dans la presse russe sur les persécutions subies par les homosexuels dans cette région à majorité musulmane.

"L'accusation principale contre moi était d'être homosexuel", a-t-il assuré lors d'une conférence de presse.

Originaire d'Omsk, en Sibérie, M. Lapounov, 30 ans, dit avoir travaillé en Tchétchénie depuis 2015, vendant notamment des ballons près d'un centre commercial à Grozny, la capitale tchétchène.

Il affirme avoir été arrêté le 16 mars par des personnes en civil et emmené vers un poste de police où il a passé 12 jours dans une cellule.

"Toutes les 10 ou 15 minutes, ils (policiers, ndlr) venaient dans ma cellule en me disant que j'étais gay et qu'il fallait tuer des gens comme moi", affirme M. Lapounov, qui dit avoir ensuite été "battu très longtemps avec des bâtons (...) sur les jambes, les cuisses, les fesses et le dos".

"Ils se comportaient de manière très agressive, cruelle, en m'humiliant et m'insultant", assure-t-il, en affirmant avoir entendu quotidiennement "les cris et les demandes de grâce" des autres homosexuels arrêtés et torturés selon lui par la police.

Maxime Lapounov affirme avoir été contraint de laisser ses empreintes sur une arme et admettre dans une vidéo qu'il était homosexuel, avant d'être libéré le 28 mars et de quitter la Tchétchénie.

"La seule chose que je souhaite maintenant, c'est que justice soit faite", dit M. Lapounov, dont la conférence de presse a eu lieu dans les locaux du journal indépendant Novaïa Gazeta.

Ce journal a été le premier en mars à affirmer que des homosexuels étaient la cible de persécutions de la part des autorités tchétchènes. Des témoignages similaires ont ensuite été recueillis par plusieurs médias dont l'AFP.

Une enquête a alors été ouverte par le parquet général russe, mais les enquêteurs ont dit n'avoir reçu "aucune plainte officielle" de victimes.

Vendredi, la déléguée russe pour les droits de l'Homme, Tatiana Moskalkova, a annoncé avoir reçu la première plainte -- celle de Maxime Lapounov -- et l'avoir remise au Comité d'enquête russe, chargé des principales investigations dans le pays.

 

 

AFP

Voir les commentaires

L'ONU préoccupée par l'arrestation de dizaines de personnes LGBT en Azerbaïdjan, Egypte et Indonésie

Publié le par justin

L'ONU préoccupée par l'arrestation de dizaines de personnes LGBT en Azerbaïdjan, Egypte et Indonésie

13 octobre 2017 – Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) s'est déclaré profondément préoccupé par l'arrestation de plus de 180 personnes perçues comme lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres en Azerbaïdjan, en Egypte et en Indonésie. Nombre d'entre elles auraient été maltraitées par les forces de l'ordre.

 

« En Azerbaïdjan, comme viennent de le dire plusieurs experts indépendants de l'ONU, plus de 80 personnes présumées homosexuelles ou transgenres ont été arrêtées à Bakou depuis la mi-septembre », a souligné vendredi le porte-parole du HCDH, Rupert Colville, lors d'un point de presse à Genève.

 

« Certaines auraient subi des chocs électriques, des passages à tabac, des rasages forcés et diverses autres formes d'humiliation apparemment dans le but qu'elles se dénoncent et dénoncent d'autres personnes. Bien que toutes les personnes détenues aient été libérées, plusieurs ont purgé des peines de détention administrative pour 'hooliganisme' et 'résistance à un ordre de la police'. Beaucoup ont été obligées de subir des examens médicaux et les autorités ont divulgué aux médias les informations sur leur état de santé », a-t-il ajouté.

En Egypte, plus de 50 personnes ont été arrêtées ces dernières semaines en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre. Deux d'entre elles ont été arrêtées pour avoir brandi des drapeaux arc-en-ciel lors d'un concert et l'une pour avoir créé une page Facebook. Dans certains cas, des personnes auraient été arrêtées après avoir été piégées par des responsables des forces de l'ordre sur des applications et des forums de discussion sur Internet.

Les accusations incluent 'débauche habituelle', 'incitation à l'indécence et à la débauche' et 'adhésion à un groupe interdit'. Au moins dix hommes ont été condamnés à une peine de prison d'un à six ans, la plupart des autres sont en attente de jugement et quelques-uns ont été libérés. Plusieurs de ces détenus ont été soumis à des 'examens' physiques intrusifs. Dans de nombreux cas, les droits de procédure régulière semblent avoir été violés, a souligné le porte-parole du HCDH.

En Indonésie, plus de 50 personnes ont été arrêtées dans un sauna à Djakarta vendredi dernier, en raison de leur orientation sexuelle perçue. Alors que beaucoup ont été relâchés depuis, quatre hommes et une femme ont été inculpés en vertu d'une loi vague sur la pornographie, qui a été utilisée pour arrêter des personnes ayant eu des relations homosexuelles consensuelles.

« Arrêter ou détenir des personnes en fonction de leur orientation sexuelle ou de leur identité sexuelle réelle ou perçue est par définition arbitraire et viole le droit international », a dit M. Colville. « Arrêter et détenir des personnes pour s'être exprimé légitimement - y compris en arborant un drapeau arc-en-ciel - est également arbitraire et viole le droit des individus à la liberté d'expression ».

« Dans les trois pays, les autorités ont affirmé que les personnes arrêtées étaient impliquées dans la prostitution - bien que dans presque tous les cas, les accusés aient nié ces allégations ou indiqué avoir été contraints d'avouer leur participation. Quoi qu'il en soit, les experts des droits de l'homme des Nations Unies ont souligné que les États devraient abroger les lois qui criminalisent les travailleurs du sexe », a-t-il ajouté.

Selon le HCDH, l'Azerbaïdjan, l'Égypte et l'Indonésie devraient prendre des mesures immédiates pour libérer toute personne détenue sur la base de son orientation sexuelle ou de son identité sexuelle réelle ou perçue, abandonner les accusations fondées sur des lois vaguement formulées et discriminatoires et abroger ces lois conformément à leurs obligations juridiques internationales et les recommandations des Nations Unies. « Ils devraient également libérer immédiatement toutes les personnes détenues pour avoir légitimement exercé leur droit à la liberté d'expression », a dit M. Colville.

« L'Égypte devrait interdire d'urgence la pratique d'examens physiques intrusifs et l'Azerbaïdjan devrait immédiatement cesser de soumettre des personnes à des tests et examens médicaux imposés ou forcés qui violent l'interdiction internationale de la torture et des mauvais traitements », a-t-il ajouté. « Les allégations de torture et de mauvais traitements devraient faire l'objet d'une enquête rapide et approfondie ; et, s'ils sont reconnus coupables, les auteurs présumés devraient être punis ».

 

un.org

 

Voir les commentaires

Dubaï. Il encourt la prison pour avoir effleuré la hanche d’un homme

Publié le par justin

Dubaï. Il encourt la prison pour avoir effleuré la hanche d’un homme

Un touriste écossais qui tentait de rattraper son verre et qui a touché la hanche d’un client d’un bar à Dubaï (Émirats Arabes Unis), a été arrêté par la police en juillet. Après cinq jours de prison, ce Britannique de 27 ans est désormais bloqué dans le pays en attendant son procès. Accusé d’indécence publique, il pourrait écoper d’une peine de prison ferme.

Jamie Harron, un Britannique de 27 ans, est bloqué à Dubaï (Émirats Arabes Unis) depuis juillet dernier, date à laquelle il a été arrêté dans un bar pour avoir touché la hanche d’un client de l’établissement.

Il attend désormais d’être jugé pour « consommation d’alcool » et « indécence publique ». Des faits qui pourraient lui valoir jusqu’à trois ans de prison, rappelle vendredi The Guardian.

Passeport confisqué

Le jeune homme affirme que c’est pour rattraper son verre en train de lui échapper qu’il a effleuré un homme qui se trouvait à côté de lui. Ce dernier a alors appelé la police qui a immédiatement arrêté cet électricien écossais

Conduit à la prison d’Al-Barsha, il est resté incarcéré pendant cinq jours. Le touriste a finalement été libéré mais son passeport a été confisqué et il n’a donc pas pu rentrer dans son pays. Résultat : Le jeune homme a perdu son travail et a déjà dû dépenser 30 000 livres (plus de 33 000 euros) pour assurer sa défense.

Soutenu par une association

Un représentant du bureau des Affaires étrangères britannique a cependant expliqué fournir à l’Écossais « une assistance consulaire ». Il est également soutenu par l’association « Detained in Dubai » (retenu à Dubaï).

Il « subit une pression et un stress immenses. Il devait comparaître devant le tribunal dimanche (le 1er octobre, ndlr) mais la date a été modifiée sans que lui ou son avocat n’en soient informés. Il a donc écopé d’une sentence de 30 jours d’emprisonnement pour ne pas s’être présenté à l’audience », a ainsi déploré Radha Stirling, responsable de l’association.

ouest-france.fr

Voir les commentaires

VALENCE : UN HOMME CONDAMNÉ À 3 ANS DE PRISON POUR UNE AGRESSION SUR UN HOMOSEXUEL

Publié le par justin

VALENCE : UN HOMME CONDAMNÉ À 3 ANS DE PRISON POUR UNE AGRESSION SUR UN HOMOSEXUEL

Un homme de 29 ans a organisé un traquenard le 29 septembre dernier sur les bords de l’Isère.

Apres avoir donnez rendez vous un personne rencontrée sur un réseau, il a poussé la victime , un homme de 53 ans, 20 mètres en contrebas dans un ravin au bord de l’eau. Le jeune homme a volé sa voiture et il est allé fouiller son appartement.

La victime , poignet cassé a dû rester toute la nuit dans les ronces pour ne pas tomber dans la rivière , ce sont des kayakistes qui l’ont aperçu le lendemain. L’organisateur du guet-apens a été identifié et interpellé en début de semaine et donc condamné ce mardi à Valence. Récidiviste de faits de violence et de vol il est parti en prison dès la fin de son procés.Il écope de 3 ans de prison dont un an et demi ferme

.gaydial.com

 

Voir les commentaires

Villaz: condamnés à 3 ans de prison pour avoir tiré à la carabine sur des homosexuels

Publié le par justin

Villaz: condamnés à 3 ans de prison pour avoir tiré à la carabine sur des homosexuels

Samedi 30 septembre dernier, dans l’après-midi, deux personnes qui se promenaient chacune de leur côté au Pont d’Onnex, à Villaz, avaient été touchées, respectivement à la poitrine et dans le dos, par des tirs de petit calibre.

Les tireurs n’avaient pas pu être identifiés sur le coup, ce qui avait amené la gendarmerie à lancer, dès le lendemain, un appel à témoins. Et les premières informations recueillies par les enquêteurs faisaient alors état de trois hommes se déplaçant à bord d‘un utilitaire blanc, aperçu non loin des lieux.

C’est ce véhicule qui a permis aux gendarmes de remonter jusqu’à la piste de trois jeunes, qu’ils ont interpellés lundi 9 octobre. Il s’agit de deux majeurs, âgés de 22 ans, et d’un mineur, pas encore 17 ans, tous trois issus de la communauté des gens du voyage.

Lors de leur garde à vue, les trois hommes ont expliqué avoir l’habitude de tirer à la carabine, ce qu’ils avaient d’ailleurs fait deux jours auparavant, à Annecy-le-Vieux, blessant un chien et effrayant un pêcheur qui se trouvait au bord du Fier.

Le 30 septembre, ils auraient d’ailleurs vu des hommes s’embrasser et, « dégoûtés », ils auraient alors décidé de revenir pour leur tirer dessus. Ce qu’ils ont fait en utilisant pour cela une carabine à air comprimé.

Le jeune mineur va être présenté à un juge des enfants, tandis que ses deux comparses ont été jugés en comparution immédiate mercredi 11 octobre en début d’après-midi. Poursuivis pour violences volontaires assorties de trois circonstances aggravantes (utilisation d’une arme, action en réunion et le fait d’avoir agi en raison de l’orientation sexuelle des victimes) ils ont été condamnés par le tribunal à trois ans de prison ferme et six mois avec sursis et mise à l’épreuve. Les victimes, quant à elle, seront indemnisées mais le montant de leur préjudice n’ayant pas encore été déterminé, les accusés devront réaliser une provision de 2000 euros chaun.

lessorsavoyard.fr

 

Voir les commentaires

USA : Trump honore les groupes hostiles aux droits LGBT

Publié le par justin

USA : Trump honore les groupes hostiles aux droits LGBT

Le président Donald Trump a participé ce 13 octobre à une conférence organisée par une organisation militant contre les droits des personnes homosexuelles.


Il est le premier président américain en fonction à participer à une conférence hostile aux personnes LGBT. Cette conférence était organisée par une organisation ouvertement homophobe, le Family Research Council (Conseil de recherche sur la famille). Le Family Research Council considère l’homosexualité comme une conduite dangereuse pour la société et s’oppose à son acceptation.


Le président du Family Research Council, Tony Perkins, a déclaré ce mardi que « les électeurs « pro-valeurs » viennent à Washington pour entendre le discours d’un président qui tient les promesses qui l’ont fait élire. […] Le président Trump est engagé dans la déconstruction des politiques anti-croyants de l’administration Obama et veut restaurer la véritable liberté religieuse. »


Cependant, lors de son discours, Trump n’a pas abordé les questions LGTB comme il l’a fait lors de la campagne présidentielle de 2016.
Lors de son discours à la Convention nationale républicaine 2016, Trump avait appeler à défendre les Américains gays et transgenres.
La convention homophobe comportait une exposition sur la thérapie de conversion gay, qui vise à diriger les homosexuels et les membres de leur famille vers une perspective anti-gay.


L’organisation PFOX (Parents and Friends of Ex-Gays and Gays) fondée en 1998 «qui se veut une alternative aux groupes de familles homosexuelles mal informées qui insistent pour que les parents puissent prouver leur amour à leur enfant gay s’ils soutiennent les droits des homosexuels et affirment l’identité homosexuelle autoproclamée de leur enfant », a distribué un certain nombre de brochures et de documents sur la façon d’orienter les familles sur ce qu’elles font quand elles apprennent que leur enfant est homosexuel. Les brochures comprennent deux descriptions des types d’homosexuels: «le combattant» et «le chercheur».


Le combattant, dit PFOX, est «quelqu’un qui lutte avec des sentiments indésirables d’attirance sexuelle pour le même sexe».
«Cette personne a du mal à comprendre ce que tout cela signifie, mais elle a souvent l’impression que personne ne la comprendra ni ne l’aidera à lutter», peut on lire


Le chercheur est «quelqu’un qui a été, ou est actuellement, en train de surmonter une attirance sexuelle non désirée.»
« Ils sont » ex-gay  c’est à dire qu’à un moment alors qu’il était identifier comme gay,il a pris la décision de changer sa vie
Sur le stand du PFOX, des volontaires distribuaient également de petits boutons qui lisaient « Ex-Gay Is OK! »


Parmi les autres articles distribués figuraient des brochures et des conseils sur le traitement des transgenres, citant un individu qui «surmontait» son transgendérisme et redevenait un homme après avoir été une femme.


«Grâce à des efforts de collecte de fonds, PFOX a recueilli assez d’argent pour que Darryl puisse reprendre sa masculinité en subissant de nombreuses interventions chirurgicales pour renverser son apparence de femme», peut on lire sur la brochure

Voir les commentaires

Roumanie : la greffière Kim Davis poursuit son combat contre le mariage homosexuel

Publié le par justin

Roumanie : la greffière Kim Davis poursuit son combat contre le mariage homosexuel

Kim Davis continue son combat contre le mariage homosexuel bien au-delà des frontières de son Kentucky natal ces derniers temps
 

La greffierre du comté de Rowan, qui a été brièvement emprisonné en 2015 pour avoir refusé de délivrer des licences de mariage à des couples de même sexe, s’est rendu en Roumanie cette semaine pour demander un changement à la constitution du pays.
 

Ce changement clarifierait la définition du mariage de «entre conjoints» à une délimitation plus claire des genres. En Roumanie, où l’homosexualité a été complètement dépénalisée en 2002, le code civil spécifie déjà que le mariage est une union légale entre un homme et une femme .
 

Une pétition  l’année dernière a appelé à un référendum qui cimenterait l’interdiction du mariage homosexuel. Tout référendum a encore besoin de l’approbation finale des législateurs du pays pour pouvoir être pris en considération
Davis a entrepris une visite de neuf jours pour soutenir la campagne, en compagnie de Harry Mihet de Liberty Counsel, le groupe juridique conservateur qui l’a représentée lors de son combat juridique de 2015. Selon le groupe, ce voyage comprend des réunions avec des archevêques dans le pays chrétien à prédominance orthodoxe et  des allocutions à Bucarest, ainsi que dans plusieurs autres villes.
Les défenseurs locaux des LGBT, tels que l’organisation roumaine « Accepter », sont hostiles à cette visite

 

Les organisateurs de évenement à Bucarest «promeuvent faussement le héros chrétien Kim Davis, un citoyen américain condamné par les tribunaux américains en 2015 … en tant qu’héroïne de la liberté religieuse», a déclaré le groupe mardi dans un communiqué . «Le droit à la dignité est également garanti à tous les citoyens roumains, y compris dans la Constitution, et sa violation ne peut être justifiée par des préjugés à motivation religieuse».
 

«Nous voyons une tentative déterminée d’utiliser la religion ou des thèmes traditionnels pour s’opposer aux droits de l’homme», a déclaré Cristian Parvulescu, fondateur d’une plate-forme qui revendique le soutien de 100 organisations non gouvernementales, selon The Guardian . «Nous savons comment cela se termine.»

 

/infolgbt.com

Voir les commentaires

Ramid qualifie les homosexuels d'"ordures" et s'attire les foudres d'associations marocaines

Publié le par justin

Ramid qualifie les homosexuels d'"ordures" et s'attire les foudres d'associations marocaines

SOCIETE - Enième sortie controversée de Mustapha Ramid sur l'homosexualité. En marge d'une réunion sur la prévention de la torture, le ministre d'Etat chargé des droits de l'Homme a été interrogé par des journalistes au sujet de la pénalisation des homosexuels.

Des questions auxquelles ce dernier a répondu avec agacement, disant qu'il ne fallait pas "donner trop d'importance à ce sujet". Il a ensuite qualifié les homosexuels d'"ordures", comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous diffusée par Le Site Info:

Des propos qui ont provoqué l'ire de nombreuses associations de défense des droits humains, comme l'Association marocaine des droits de l'Homme et l'Association de lutte contre le sida, pour n'en citer que quelques unes. Ces dernières ont rédigé une lettre commune à l'attention du chef du gouvernement, Saad Eddine El Othmani.

Un texte dans lequel elles condamnent "fermement les récentes déclarations du ministre marocain des droits de l'homme, Mustapha Ramid, sur les homosexuels au Maroc".

"Nous considérons que qualifier de 'saleté' des citoyens marocains comme tout autre citoyen, est une violation flagrante de la constitution marocaine, qui dans son préambule, adopte l'engagement de l'État marocain aux droits de l'homme tel que reconnu internationalement", continue le communiqué. "Le ministre d'État, avec de telles déclarations, encourage l'homophobie".

Les organisations en appellent au roi pour "protéger les droits et les libertés des individus et des groupes, étant le garant de l'exercice par la Constitution". Elles demandent également au "président du ministère public d'ouvrir une enquête sur le ministre Ramid" suite à ces propos qu'ils jugent "inconstitutionnels et discriminatoires".

Ce n'est pas la première fois que Mustapha Ramid fait une déclaration homophobe. En 2015 notamment, alors qu'il était invité chez Chada FM, il avait été interrogé sur la criminalisation de l'homosexualité. Le ministre PJD avait estimé que les homosexuels devraient changer de sexe pour ne pas être inquiétés par la loi.

.huffpostmaghreb.com

Voir les commentaires

Victor Meyniel est victime d'homophobie et prend son envol dans Rock In Rio: "La violence n'a aucune justification"

Publié le par justin

Victor Meyniel est victime d'homophobie et prend son envol dans Rock In Rio: "La violence n'a aucune justification"

 

Ce qui aurait dû être un moment d'amusement avec les amis s'est avéré être des moments d'agonie pour Victor Meyniel. Le jeune homme, qui a commencé à la Vine, aurait volontairement posté un Twitter sur sa photo de Twitter un visage saignant.

"Pour ceux qui disent que l'homophobie n'existe pas, bonjour et bonne semaine", a déclaré Victor à ses adeptes que, malgré l'épisode, tout se passe déjà bien. "La violence n'a aucune justification", a-t-il déclaré.

Sur Twitter, les amis et les célébrités ont commencé à envoyer des messages positifs au jeune homme qui a été conduit par beaucoup pour faire un bulletin d'occurrence. "Qui sont les scélérats qui ont fait cela? Ils devraient être punis et exposés ", 

https://twitter.com/victeiro/status/912304125844574208/photo/1?ref_src=twsrc%5Etfw&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.superpride.com.br%2F2017%2F09%2Fvictor-meyniel-e-vitima-de-homofobia-e-apanha-no-rock-in-rio-violencia-nao-tem-justificativa.html

Il vaut la peine de se rappeler que la semaine dernière, une injonction judiciaire a mis l'accent sur le Brésil, car le pays a maintenant reculé et considère les gays et les lesbiennes comme malades.

 

 

 

Voir les commentaires

Une nouvelle Tchétchénie? Une centaine de gays et de personnes trans arrêtés en Azerbaïdjan

Publié le par justin

Une nouvelle Tchétchénie? Une centaine de gays et de personnes trans arrêtés en Azerbaïdjan

Des militants LGBT en Azerbaïdjan affirment que des douzaines de gays et de personnes trans ont été arrêtés et détenus « après plusieurs rafles dans Baku (la capitale) ». Et on rapporte et « des passages à tabac et de la torture ».

Si ces affirmations sont vraies, elles rappellent furieusement la campagne d’arrestation et de torture des gays dans la région semi-autonome de Tchétchénie.

Raids anti-LGBTQ en Azerbaïdjan

Selon une vidéo postée le 22 septembre par Javid Nabiyev (ci-dessous), le président de la  Nefes LGBT Azerbaijan Alliance, la police a effectué des rafles visant des gays chez des particuliers et dans des lieux publics . Il ajoute que la police a forcé les détenus à dénoncer leurs amis LGBT et leur a interdit l’accès à un avocat ou à des membres de la famille.

Dans les médias locaux, la police prétend que toutes les personnes arrêtées étaient des travailleurs du sexe ou des dealers. Un politicien a même affirmé que les détenus répandaient des infections sexuellement transmissibles, bien qu’aucune preuve n’ait été avancée.

Voici la vidéo de Javid Nabiyev’s sur les rafles de Baku:

https://www.facebook.com/nefeslgbt/videos
 

Des militants de Baku décrivent leur conditions de détention

L’association suédoise Civil Rights Defenders affirme avoir parlé anonymement à des militants de Baku et a publié le communiqué suivant:

Les militants signalent que les détenus ont été passés à tabac, insultés et ont subi des examens médicaux forcés. Les femmes trans ont eu leur tête rasée. Beaucoup ont été relâchés après avoir donné les noms d’autres personnes LGBTI, qui ont à leur tour été arrêtées et soumises au même traitement. Un nombre indéterminé de ces détenu.e.s ont été condamné.e.s à une détention administration comprise en 20 et 30 jours.

La police a été fait chanter plusieurs personnes LGBTI n’ayant fait leur coming-out pour les forcer à témoigner dans des affaires motivées politiquement, les menaçant de les outer si elles n’obéissaient pas. 

Les relations entre personnes de même sexe sont légales, mais le pays est toujours homophobe

Le pays a abrogé en 2000 ses lois anti-sodomie héritées de l’époque soviétique. Mais il est toujours compliqué pour les gays de faire leur coming-out. D’autant que ces dernières années le harcèlement des travailleurs du sexe gay par la police a été très médiatisé. La police a également ordonné le retrait d’un roman gay des librairies en 2009 et en 2014, un couple gay a dû fuir le pays après qu’un journal local a publié des informations personnelles sur eux.

En 2016, l’ILGA-Europe a classé l’Azerbaïdjan bon denier des 49 pays européens en termes de protection et d’égalité des personnes LGBTQ.

hornetapp.com

Voir les commentaires

Bresil un jeune homosexuel est retrouvé mort à la frontière de Hortolândia / Campinas

Publié le par justin

Bresil un jeune homosexuel est retrouvé mort à la frontière de Hortolândia / Campinas

Un garçon de 25 ans connu sous le nom de Spencer Netto a été retrouvé mort avec une perforation dans son dos, une coupe du cou profond et des signes d'agressions faciales samedi 23 sur un terrain près de la ligne de train dans le quartier Chácara Boa Vista, Ligne de Campinas avec Hortolândia.

Le jeune homme qui était  homosexuel était très connu de la population lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre (LGBT), les amis organisent une marche d'hommage, samedi prochain (30) par des itinéraires importants du centre de Campinas.

Le lundi (25), la police civile a déclaré entendre des témoins et que l'enquête était avancée, mais jusqu'à présent, personne n'a été arrêté.

Voir les commentaires

La justice hongkongaise donne raison à un couple de lesbiennes

Publié le par justin

La justice hongkongaise donne raison à un couple de lesbiennes

La justice hongkongaise a accordé à une lesbienne britannique le droit de vivre et de travailler dans la mégapole dans un arrêt salué par les défenseurs des droits des gais comme une «grande victoire».

La Cour d'appel de l'ex-colonie britannique examinait le recours d'une Britannique privée d'un visa marital parce qu'elle est en couple avec une femme.

La requérante, identifiée seulement sous les lettres «QT», est arrivée à Hong Kong en 2011 après avoir conclu en Grande-Bretagne un partenariat civil avec «SS». Cette dernière s'était rendue à Hong Kong pour y occuper un nouvel emploi.

QT n'a pu obtenir un visa de dépendant, qui permet de travailler, mais seulement un visa touristique.

Elle avait perdu en première instance en mars 2016 mais la Cour d'appel a annulé ce jugement lundi.

Les services de l'immigration «n'ont pas étayé la discrimination indirecte (infligée à QT) au motif de son orientation sexuelle», écrit la Cour dans son arrêt. «Le fait d'être ensemble, unis sont les signes d'une relation maritale hétérosexuelle mais ne le sont pas, ou ne le sont plus, exclusivement», ajoutent les juges.

Hong Kong ne reconnaît pas le mariage gai. L'homosexualité n'y a été dépénalisée qu'en 1991.

Ville ouverte et cosmopolite où une gay pride attire chaque année des milliers de personnes, Hong Kong est aussi un repaire de mouvements conservateurs qui dénoncent les avancées, pourtant timides, de la cause LGBT dans l'ex-colonie revenue en 1997 dans le giron de la Chine.

Les défenseurs des droits LGBT ont salué la décision.

Ray Chan, un démocrate et premier député ouvertement gai de Hong Kong, a estimé qu'il s'agissait d'une «grande victoire pour les conjoints homosexuels souhaitant obtenir un visa de dépendant à Hong Kong».

«Ce jugement est un pas en avant envers l'amélioration des droits des couples du même sexe à Hong Kong et la reconnaissance que les couples homosexuels ont une relation valide», a réagi Geoffrey Yeung, du groupe des Avocats progressistes.

La Cour d'appel a également mis en avant des arguments économiques pour étayer sa décision, expliquant qu'empêcher un conjoint de travailler était «contre-productif» car susceptible de dissuader les gens de venir travailler à Hong Kong.

Douze grandes institutions financières internationales dont Morgan Stanley, Goldman Sachs et Credit Suisse, étaient venues au secours de QT devant la Cour d'appel, arguant qu'une politique de recrutement «diversifiée» était vitale pour attirer les talents.

Les services de l'immigration ont déclaré qu'ils étudieraient l'arrêt avant de décider ou non de faire appel.

tvanouvelles.ca

Voir les commentaires

La Tunisie s'engage à interdire la torture forcée par anal et génitale

Publié le par justin

La Tunisie s'engage à interdire la torture forcée par anal et génitale

Interdit en vertu du droit international, ces «examens de sonde» sont largement connus en Afrique comme les «tests de la honte»

La Tunisie s'est engagée à interdire les tortures anales et génitales forcées qui «testent» pour être gay.

Alors que le sexe homosexuel est toujours illégal, les médecins ont appelé le gouvernement à interdire les tests «cruels» et discrédités.

Et dans un état de progrès, le gouvernement semble avoir écouté.

Le ministre des droits de l'homme, Mehdi Ben Gharbia, a déclaré que ces examens ne peuvent plus être imposés par la force, physique ou morale, ou sans le consentement de la personne concernée.

Cependant, les juges peuvent toujours demander au suspect de subir la torture.

La Tunisie affirme que les hommes peuvent refuser de tuer les analgésiques et génitaux

«Cette personne a tout le droit de refuser, sans que son refus soit considéré comme une preuve d'homosexualité», a déclaré Ben Gharbia.

Il a insisté sur le fait que la Tunisie «s'engage à protéger la minorité sexuelle contre toute forme de stigmatisation, de discrimination et de violence».

Ces «tests» envahissants et humiliants impliquent d'examiner l'anus de quelqu'un pour voir s'ils avaient été pénétrés, vérifier les traces de sperme et prendre une photo pour «étudier» la forme du trou. Si elle est plus large, plus «probable», la personne s'est engagée dans le sexe gay, selon le test largement discrédité du 19ème siècle.

Interdit en vertu du droit international, ils sont largement connus en Afrique comme les «tests de la honte».

Les groupes de défense des droits de l'homme font preuve de "torture"

Campagne des droits de l'homme, Amnesty International et d'autres ont claqué ces tests de sonde comme torture.

Le Conseil national de l'Ordre médical en Tunisie a également critiqué les examens anaux.

En raison de leur «nature non scientifique», l'utilisation d'examens anaux pour tester ... devrait cesser totalement, quel que soit leur consentement », ont-ils déclaré.

Les médecins dans les villes tunisiennes de Sousse et Kairouan ont soumis au moins sept hommes accusés de sodomie en vertu de l'article 230 du code pénal aux examens anaux forcés en 2015, provoquant un mouvement de la société civile contre la pratique.

La Tunisie conserve trois ans de prison pour homosexualité

Bien que ces sondes n'aient pas été entièrement interdites, Amnesty International a déclaré que ce mouvement était «bienvenu».

Cependant, le gouvernement s'engage toujours à maintenir la peine de trois ans pour l'homosexualité.

Le président Beji Caid Essebsi a déclaré que cela ne serait pas abrogé.

"La société civile doit d'abord être préparée" pour un tel changement en Tunisie, a déclaré Ben Gharbia.

C.L.

Voir les commentaires

Bourgoin-Jallieu : un tract jugé homophobe suscite l’indignation

Publié le par justin

Bourgoin-Jallieu : un tract jugé homophobe suscite l’indignation

Un tract distribué jeudi, jour de marché, dans la rue piétonne de Bourgoin-Jallieu, a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux notamment. Édité par Media Espérance, il porte le tampon de l’Église aux Portes de l’Isère à l’Isle-d’Abeau.

Titré “L’homosexualité est-elle insurmontable ? “, il reprend les propos de Philippe Auzenet, fondateur de l’association “Oser en parler” dont le but est d’accompagner les dépendants sexuels et les personnes en mal-être dans leur sexualité, tel qu’il se présente sur ledit tract. Le contenu du tract, quant à lui, fourni un “mode d’emploi” pour accompagner les homosexuels vers l’hétérosexualité.

L’Église Aux Portes de l’Isère, dont le lieu de culte se trouve à L’Isle-d’Abeau, appartient à la Fédération des Églises du Plein Évangile en Francophonie (FEPEF). Son pasteur, Emmanuel Lambotin, a eu la surprise de découvrir que le nom de son église avait été utilisé sur ce tract : « Cette distribution s’est faite sans mon autorisation, ni mon accord. » Il précise : « L’Église reçoit tout le monde. »

Le pasteur reconnaît qu’avec son équipe, il est très mal à l’aise suite à cette distribution de tracts. Il a déjà répondu au téléphone à une personne qui s’en est indignée et ne voudrait pas que son église soit mise en porte-à-faux : « Nous avons des convictions, mais nous ne sommes pas là pour polémiquer. On préfère distribuer des flyers pour amener à la rencontre de Jésus. »

.ledauphine.com

Voir les commentaires

Égypte: au moins 6 personnes arrêtées pour un drapeau gay brandi

Publié le par justin

Égypte: au moins 6 personnes arrêtées pour un drapeau gay brandi

Au moins six personnes ont été arrêtées lundi après avoir brandi un drapeau arc-en-ciel LGBT lors d’un concert au Caire, a-t-on appris de sources sécuritaires et judiciaires.

Le concert du célèbre groupe libanais « Mashrou’ Leila » s’est déroulé vendredi dernier dans une banlieue chic de l’est de la capitale égyptienne.

Selon les mêmes sources, les personnes interpellées doivent répondre des chefs d’accusation suivants: « indécence publique, incitation des jeunes à l’immoralité ».

Par ailleurs, selon une source judiciaire, les investigations sur cette affaire ont été confiées au parquet national égyptien pour la sécurité d’État.

Si la législation pénale n’interdit pas l’homosexualité en Égypte, les hommes gays sont parfois arrêtés pour « incitation à la débauche » ou encore « mépris de la religion ».

En 2001, l’affaire dite du « Queen Boat » avait défrayé la chronique: 52 personnes avaient été arrêtées par la police dans un club gay.

Plus récemment, en avril 2016, 11 hommes avaient été condamnés à des peines allant jusqu’à 12 ans d’emprisonnement pour « incitation à la débauche », provoquant l’indignation des chancelleries occidentales.

La célèbre application de rencontre gays Grindr est également utilisée par la police en Égypte pour traquer les homosexuels.

L’affaire du drapeau arc-en-ciel, symbole mondial de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre (LGBT), brandi lors du concert de Mashrou’ Leila, a provoqué une vive polémique ces derniers jours à travers les médias et sur les réseaux sociaux, entre les conservateurs et défenseurs des libertés individuelles.

Groupe arabophone le plus connu à travers le monde, Mashrou’ Leila ne sera pas autorisé à se produire de nouveau en Égypte, a annoncé le très conservateur syndicat des musiciens égyptien.

En juin, la Jordanie avait également interdit à Mashrou’ Leila de donner leur concert qui était prévu dans la capitale Amman à la suite de protestations de parlementaires conservateurs.

Hamed Sino, leader du groupe libanais et ouvertement gay, est connu pour son engagement en faveur de la communauté LGBT.

http://maliactu.net

Voir les commentaires

A Genève, le Maroc s'oppose à la dépénalisation de l’homosexualité et à l’égalité dans l’héritage

Publié le par justin

A Genève, le Maroc s'oppose à la dépénalisation de l’homosexualité et à l’égalité dans l’héritage

Dans sa réaction aux recommandations émises dans le cadre de l’Examen périodique universel effectué par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, le royaume a insisté sur la place de l’islam en tant que religion d’Etat.

C'est ce 21 septembre à Genève que le ministre d’Etat des droits de l’Homme, Mustapha Ramid, a présidé la séance consacrée à l’adoption  du rapport de groupe de travail de l’Examen périodique universel du Maroc. Lors de son intervention devant le Conseil des droits de l’Homme le ministre a fait part de l’"engagement résolu" du Maroc de mettre en œuvre les recommandations émises par ce mécanisme onusien. Celui-ci en avait fait 244, parmi lesquelles 191 ont été acceptées par le Maroc.

Engagement pour l’égalité homme/femme

Parmi elles, 168 sont en cours d’application selon le document remis au département interministériel des droits de l’Homme aux responsables onusiens. Elles concernent notamment les cadres légaux et institutionnels relatifs à l’égalité homme/femme, la lutte contre la violence faite aux femmes. Les recommandations acceptées par le Maroc concernent également la lutte contre la torture et la mise en place d’une politique nationale pour l’immigration, l’asile et la lutte contre le trafic d’être humain.

"Non" à l’abolition de la peine de mort

44 propositions ont été partiellement rejetées par le Maroc. L’une d’entre elles concerne la ratification par le royaume du statut de Rome instaurant la Cour pénale internationale (CPI). Pour justifier son refus, le département de Mustapha Ramid indique que "la Constitution condamne tous les crimes  figurant dans le Statut de Rome. Le projet de Code pénal criminalise tous les crimes figurant dans le Statut, génocides et crimes contre l’humanité inclus". On rappellera que les chefs d’État des pays membres du Statut de Rome peuvent être poursuivis par la CPI. C’est notamment le cas du président soudanais Omar El Bechir.

Autre proposition partiellement rejetée par le Maroc, celle relative à l’abolition de la peine de mort. Dans sa réponse aux responsables onusiens, le département de Mustapha Ramid  rappelle qu’aucun condamné à mort n’a été exécuté depuis 2013 et signale que "des réformes légales ont été entreprises […] réduisant le nombre de crimes punis par la mort et déterminant les conditions pour cette sentence". Le département interministériel des droits de l’Homme signale également que le "dialogue national pour l’abolition de la peine capitale est toujours en cours".

Constantes religieuses

Le royaume a également rejeté les recommandations relatives à la décriminalisation de l’homosexualité. Pour justifier ce rejet, le département interministériel des droits de l’Homme a expliqué que ces recommandations sont en contradiction avec l’Article premier de la Constitution faisant de l’islam modéré une "constante" de la nation marocaine.  Le rejet des recommandations relatives à l’égalité dans l’héritage sont justifiée par le même texte.

Lors de son intervention devant le Conseil des droits de l’Homme, le ministre a mentionné "les progrès enregistrés" par le royaume dans la "consolidation du cadre juridique et institutionnel" depuis l’examen du rapport national soumis en mai dernier à l’institution onusienne. Le prochain Examen périodique universel du Maroc aura lieu en mai 2022. Entre temps, le royaume devra soumettre un bilan d’étape au mois de novembre 2019.

 

http://telquel.ma

Voir les commentaires

120 battements par minute nommé aux Oscars : les tweets homophobes du réalisateur Vincent Maraval font polémique

Publié le par justin

120 battements par minute nommé aux Oscars : les tweets homophobes du réalisateur Vincent Maraval font polémique

Vincent Maraval est amer : le film 120 battements par minute vient d'être choisi pour représenter la France aux Oscars 2018. Le responsable des ventes internationales du film concurrent Le Redoutable a dérapé sur les réseaux sociaux.

Oups, cramé... Agacé que le film Le Redoutable dont il est le responsable des ventes internationales n'ait pas été sélectionné pour représenter la France aux Oscars 2018, le réalisateur français Vincent Maravall'a fait savoir sur les réseaux sociaux d'une manière plutôt malhabile. Comme l'ont remarqué nos confrères des Inrocks, le réalisateur a totalement vrillé en s'en prenant au film de Robin Campillo, 120 battements par minute.

Choisi pour représenter la France aux Oscars 2018, 120 minutes par minute a été la cible de tweets homophobes de Vincent Maraval. Des tweets que le réalisateur n'a pas daigner supprimer malgré la polémique qui enfle sur les réseaux sociaux, et qu'il semble totalement assumer. « La désagréable impression de se faire enc... » a osé Vincent Maraval avant d'enchaîner une deuxième sortie soigneusement réfléchie : « J'ai vu le Campillo, ça m'a retourné ». Ce second tweet plutôt suspect, Les Inrocks a bien du mal à l'interpréter : « Le "retournement" en question indique-t-il sa grande émotion face au film de Robin Campillo ou serait-ce une allusion à la façon supposée dont les gays font l'amour? Suite à sa "désagréable impression de se faire enculé", on croit deviner... » remarquent nos confrères.

https://twitter.com/MARAVALV/status/910125277933707265?ref_src=twsrc%5Etfw&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.closermag.fr%2Fpeople%2F120-battements-par-minute-nomme-aux-oscars-les-tweets-homophobes-du-realisateur-vincent-maraval-font-polemique-748242

Vincent Maraval n'en pense « rien »

Á la suite de la publication de cet article sur le site des Inrocks, Vincent Maraval n'a pas daigné réagir sur les réseaux sociaux. Lorsqu'un internaute a demandé au réalisateur ce qu'il avait à répondre, Vincent Maraval a tout simplement répondu par un « rien ». Le réalisateur a le droit d'être déçu, mais de tels propos sont inqualifiables : « La mort est un sujet qui ne devrait jamais donner lieu à des plaisanteries grasses aux dépends de ceux qui en sont victimes » souligne Les Inrocks.

Voir les commentaires

Cyril Hanouna : le fondateur d'Urgence Tchétchénie le remercie et prend sa défense

Publié le par justin

Cyril Hanouna : le fondateur d'Urgence Tchétchénie le remercie et prend sa défense

En juin dernier, les places pour le concert organisé par l'association Urgence Tchétchénie ne se vendaient pas suffisamment. Son fondateur, Guillaume Mélanie était venu faire la promotion de l'événement sur le plateau de "Touche pas à mon poste". Un coup de pouce considérable, selon le fondateur de l'association.

Le 19 juin dernier, au Palace de Paris, Karima Charni animait le concert Urgence Tchétchénie aux côtés du fondateur de l'association du même nom, Guillaume Mélanie. Quelques jours avant le concert, la moitié des places n'étaient pas encore vendues. Face à la nécessité de remplir la salle, Guillaume Mélanie a accepté l'invitation de Cyril Hanouna de venir en parler sur le plateau de "Touche pas à mon poste". Un geste qui avait été jugé opportuniste pour l'animateur en pleine polémique sur ses sketchs homophobes. Un coup de pouce pour l'association: "La promotion dans 'Touche Pas à Mon Poste' nous a permis de vendre des places, de recevoir des dons mais aussi des propositions d'hébergement, de parler de la Tchétchénie...", a-t-il confié à Telestar.fr. Ce soir-là, Cyril Hanouna avait aussi promis d'acheter 150 places qu'il ferait gagner aux téléspectateurs de son émission. Une promesse tenue.

"C'est le dernier des homophobes"

Et bien au-delà de cette promotion télévisuelle, l'animateur suivrait leur combat de près, sans que personne ne le sache. "Cyril Hanouna m'envoie régulièrement des messages pour savoir comment ça avance, si on tient le coup... Et tout ça, il ne le dit pas dans les médias. Je veux bien être très vigilant sur l'homophobie et on a signalé ses dérapages mais on l'a tout a fait pardonné. Et je trouve que c'est quelqu'un qui a fait beaucoup contre l'homophobie". Au moment du concert, Cyril Hanouna préférait se faire discret sur ce sujet. "Il pouvait être présent au concert mais on a fait le choix de ne pas relancer la polémique. On a pris la décision ensemble. Il m'a dit : 'on est d'accord que j'adorerais venir et être avec vous mais j'ai peur que ce soit mal pris'. Et je lui ai dit que j'étais d'accord avec lui", explique Guillaume Mélanie avant de préciser que le trublion de C8 avait pris part au combat bien avant la polémique. "Pour moi, c'est le dernier des homophobes. Avant les dérapages, je l'avais déjà eu au moment où ça commençait à déraper en Tchétchénie. Il avait été l'un des premiers avec Yann Barthès à en parler à une heure de grande écoute", conclut-il, visiblement reconnaissant du soutien que lui a témoigné Cyril Hanouna dans l'ombre.

Grâce aux artistes et aux techniciens "qui ont travaillé bénévolement", le concert du 19 juin a été un succès pour l'association. Toutes les places ont été vendues. "On a fait entre 15 et 20.000 euros de bénéfice grâce à cette soirée. Tout cet argent nous sert à payer des billets d'avion, de train, un hébergement, leur donner de l'argent pour qu'ils puissent laver leurs vêtements, se nourrir. Ça nous permet d'aider un peu plus de dix personnes actuellement". Urgence Tchétchénie va bientôt changer de nom. Ce sera désormais Urgence homophobie: "On aimerait élargir nos actions à l'homophobie en général". L'association pourrait organiser un nouveau concert dès cet hiver.

.telestar.fr

Voir les commentaires

<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 30 > >>