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Agression homophobe à Metz : le difficile retour à la vie des victimes
Que reste-t-il à Jean Toniolo et Christophe Trépaut de l’agression homophobe subie le 18 décembre dernier à Metz ? De la souffrance, des difficultés à reprendre pied. Et un fort ressentiment : l’auteur principal court toujours.
Christophe Trépaut fuit le monde depuis l’agression. Mais il se montre optimiste et compte reprendre le travail dans son salon de coiffure en juin. Photo Anthony PICORÉ
MAROC : Le débat sur l’homosexualité s’invite au Parlement
L’échange a été houleux autour de la dépénalisation de l’homosexualité entre un député PPS et le ministre d’Etat chargé des droits de l’Homme lors d’une séance d’examen du budget sectoriel, jeudi soir à la Chambre des conseillers.
«L’homosexualité existe bien au Maroc comme partout. Aujourd’hui, il y a des gens qui appellent à un amendement du Code pénal pour que cette tendance sexuelle ne soit plus pénalisée, au même titre que le sexe hors mariage, la rupture de jeûne en public durant ramadan... Il faut leur donner la possibilité de s’exprimer, de défendre leur position», a déclaré à H24Info le député PPS Abdelatif Ouamou.
Revenant sur son débat avec Mustapha Ramid, ministre d’Etat chargé des droits de l’Homme, le député à la deuxième Chambre a souligné que le ministre veut garder ces sujets tabous et fermer tout débat.
«Le ministre agit comme si ses avis, ses interprétations conservatrices représentent celles de toute la société marocaine. Il renie les engagements du Royaume concernant l’adaptation du système juridique national avec ses engagements internationaux. Ceci alors que la constitution marocaine insiste sur les droits et les libertés dans leur globalité et leur universalité et la suprématie des conventions internationales sur les législations nationales», a martelé Ouamou.
Et d’ajouter: «Les homosexuels sont nés ainsi, pourquoi la loi s’acharne contre eux et les incrimine».
h24info.ma
CYRIL HANOUNA PRÊT À TOUT POUR AIDER LE JEUNE HOMME DU REFUGE
Cyril Hanouna veut venir en aide au jeune homme qui aurait été expulsé par sa famille suite à son appel dans "Radio Baba". Malgré le travail de son équipe, l’homme est introuvable et certains journalistes se questionnent sur la véracité des propos du Refuge. Non Stop Hanouna vous en dit plus.
La séquence de la fausse annonce, diffusée le 18 mai dernier, a pris d’incroyables proportions. Jugé homophobe par certains détracteurs, Cyril Hanouna doit faire face à un véritable lynchage médiatique. L’animateur de TPMP ne voulait pas blesser certains téléspectateurs et Cyril Hanouna a publié une lettre d’excuses dans les colonnes de "Libération". La polémique a pris un autre tournant lorsque le Refuge avoue qu’un jeune homme victime de la fausse annonce a appelé d’urgence l’association après avoir été expulsé de chez lui par sa famille. Cyril Hanouna veut aider cet homme blessé, mais il semble introuvable. Certains journalistes s’interrogent sur la véracité des propos du Refuge et Non Stop Hanouna vous en dit plus.
"Je ferai tout ce que je pourrai pour trouver la vérité"
Interrogé par nos confrères du JDD, Cyril Hanouna explique vouloir retrouver le jeune homme abandonné pour venir à son aide. "Depuis cette nouvelle, j’ai tenté de contacter ce jeune homme pour lui venir en aide par l’intermédiaire de M. Nicolas Noguier, président du Refuge. Or à ce jour, non seulement je n’ai aucune nouvelle de lui, mais, plus inquiétant encore, nous constatons que les déclarations des intervenants du Refuge le concernant sont soit divergentes, soit incohérentes... Cela m'interpelle a minima". cyril n’est pas le seul à constater l’inexactitude des propos de l’association et certains journalistes de "franceinfo" ou encore de "Buzzfeed" tentent de mener l’enquête. Le profil du jeune homme en question ne semble correspondre à aucune personne ayant passé à l’antenne.
Cyril Hanouna compte sur l’aide du président de l’association pour faire la lumière sur cette affaire. "Si c'est avéré, et croyez bien que j'ai des raisons de m'interroger, il m'est insupportable d'être à l'origine de conséquences pour ce jeune homme aussi graves que celles prétendues par une salariée du Refuge. Compte tenu de mon attachement au Refuge, qui n'est pas nouveau, je demande solennellement que M. Noguier, son président, remette aux services sociaux, et ce dès que possible tous les éléments permettant d'apporter toute l'aide nécessaire à ce jeune homme […] Je ferai tout ce que je pourrai pour trouver la vérité, pour l’aider et s’il le souhaite le rencontrer", explique-t-il. En attendant, Cyril Hanouna compte bien "rire de tout et de tous" et les fanzouzes pourront le retrouver plus agité que jamais dès ce lundi 29 mai.
nnon-stop-hanouna.fr
Hollywood a toujours un problème avec les personnages LGBTQ
Masculins, blancs, prétexte à de bonnes blagues et surtout peu présents. Les personnages LGBTQ servent encore trop souvent de caution dans les films américains regrette, chiffres à l’appui, le rapport annuel de l’association GLAAD.
Au début du mois de mars 2017, l’acteur Bill Condon révélait que LeFou, son personnage dans La Belle et la Bête, le film d’animation des studios Disney, serait « ouvertement gay ». Preuves (peu rassurantes) de l’originalité de l’annonce, aussitôt un cinéma de l’Alabama décidait de déprogrammer le film, la Russie l’interdisait aux moins de 16 ans et le Koweït le retirait purement et simplement des écrans.
Pour la communauté LGBTQ, toutefois, La Belle et la Bête faisait encore figure d’espoir : l’espoir qu’un jour, enfin, la représentation des personnages lesbiens, gays, bisexuels, transexuels et queers au cinéma soit normalisée. Un espoir affermi par les performances du film au box-office mondial, qui en font à l’heure actuelle le plus gros succès de l’année.
Mais un succès ne fait pas le printemps. Jeudi 25 mai, l’association américaine GLAAD a publié son rapport annuel consacré à la représentation des personnages LGBTQ au sein des productions hollywoodiennes. Son verdict est sans appel : sur les 125 films produits par les sept principaux studios d’Hollywood en 2016, seuls 23 incluent au moins un personnage LGBTQ, soit moins d’un sur cinq. Et près de la moitié d’entre eux le(s) font apparaître moins d’une minute à l’écran. Autres enseignements : 80 % de ces personnages sont blancs et 67% d’entre eux sont des personnages masculins.
Meilleure note ? Insuffisant
Dans le détail, l’organisation attribue une mention à chaque studio en fonction de ses efforts : « excellent », « bien », « insuffisant », « mauvais » ou « médiocre » – depuis le lancement de l’étude annuelle, il y a cinq ans, aucun studio n’a obtenu la note « excellent ». Cette année, c’est Universal Studios qui s’en tire le mieux, avec la mention « insuffisant » mais des efforts remarqués pour le film Nos pires voisins 2, qui comportait, selon GLAAD, une « sous-intrigue étonnamment bien amenée ».
A l’inverse, les studios 20th Century Fox, Paramount Pictures ou encore Sony Pictures obtiennent les mentions « médiocre » ou « mauvais ». Sausage Party, par exemple, pourtant plébiscité par une partie de la critique pour son esprit joyeusement libertaire, se voit ainsi épinglé : « Les scénaristes se croyaient progressistes en incluant plusieurs personnages LGBTQ, mais leur lecture renvoie plus à du buzz (en particulier avec l’enthousiasme de la presse pour le personnage du « taco lesbien ») qu’à un humour habile permettant aux personnages LGBTQ d’intégrer les sketchs ».
Les séries et productions indépendantes plus inclusives
Si le rapport ne concerne que les films issus des grands studios américains, l’association note que la situation est bien différente du côté des productions indépendantes, largement plus inclusives pour les personnages LGBTQ. « Les exécutifs des studios devraient prendre note des succès critiques de films indépendants comme Moonlight, The Handmaiden, ou Spa Night. Il existe un public avide de ce type de contenu, avide de nos histoires », précise l’étude. De fait, le plébiscite de Moonlight (qui raconte l’histoire de Chiron, personnage afro-américain qui se bat pour vivre son homosexualité), à la fois aux Oscars et en salles, lui donne raison.
A la fin de l’année 2016, GLAAD publiait un rapport similaire sur la représentation de la communauté LGBTQ, cette fois à la télévision. Ses conclusions étaient bien plus positives : sur 895 personnages récurrents, 43 (soit 4,8 %) étaient identifiés comme LGBTQ, un record selon l’association. « D’autres résultats encourageants montrent un pourcentage record de personnages réguliers noirs à la télévision (20 % de tous les réguliers), et un record de personnages réguliers ayant un handicap (1,7 %), écrivait GLAAD. De plus, le nombre de personnages transsexuels récurrents et réguliers sur toutes les plateformes a plus que doublé depuis l’année dernière (on est passé de 7 à 16 sur la télévision, le câble et les séries en streaming). L’année dernière, la télévision n’en comptait aucun. »
Des studios hollywoodiens (volontairement) ambigus
Pourquoi les grands studios sont-ils à la traîne, surtout par rapport aux séries et aux productions indépendantes ? La peur (théorique et assez malveillante) de voir une partie du public fuir les salles face à des personnages LGBTQ à l’écran compte pour beaucoup. Comme le notait un article de Slate, beaucoup de studios préfèrent donc jouer sur l’ambiguïté. En présentant, par exemple, des personnages très proches… mais jamais explicitement homosexuels. « En soufflant le chaud et le froid, les créateurs ne font qu’attiser la flamme des fans et bien sûr s’offrent le plus large éventail possible de spectateurs, du mâle hétéro qui ne remarquera pas les subtilités glissées ici ou là aux femmes hétéros qui glousseront de plaisir devant les insinuations à la communauté LGBTQ qui se consolera comme elle peut de l’absence de romance entre personnes du même sexe dans les films et séries grand public » note ainsi très justement le journaliste Michael Atlan à propos des personnages de Sherlock et Watson dans la série Sherlock.
De la même façon, beaucoup de fans de Star Wars se sont pris à rêver d’une histoire d’amour entre entre Finn (John Boyega) et Poe Dameron (Oscar Isaac), deux personnages de la nouvelle trilogie. Mais pour l’heure, la romance est bloquée à la case « théorie de fans ». La situation sera-t-elle clarifiée dans les prochains volets de la saga ? Ce serait, assurément, un signal fort envoyé à Hollywood.
Une autre affaire témoigne assez bien du malaise entourant les studios américains : l’été dernier, des internautes avaient cru voir un couple de lesbiennes avec enfant dans la bande-annonce du Monde de Dory (et s’en étaient, légitimement d’ailleurs, réjouis). Sauf que le réalisateur du film, Andrew Stanton, semblait très mal à l’aise avec le sujet, et pour le moins réticent à le confirmer : « Elles peuvent être ce qu’elles veulent. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse », avait-il déclaré à USA Today, comme par peur d’affirmer explicitement qu’il s’agissait d’un couple homosexuel. Espérons qu’à l’avenir, la représentation des personnages LGBTQ à l’écran ira au-delà de quelques captures d’écran équivoques…
Pablo Maillé / telerama.fr
Un homme gay à Berlin a été attaqué par une famille
Un homme gay à Berlin aurait été attaqué par une famille.
L'homme de 35 ans marchait à travers Neukölln, un quartier au sud-est de la ville, vendredi quand il a été attaqué.
Le groupe d'hommes, de femmes et d'enfants, qui a été identifié comme une famille, a insulté verbalement l'homme.
Les hommes l'ont également frappé et l'ont frappé avant qu'une intermittenteuse soit entrée et a appelé la police.
L'homme a été emmené à l'hôpital mais les agresseurs n'ont pas encore été identifiés ou arrêtés.
Un témoin a affirmé que le groupe était homophobe à l'homme.

Neuf crimes homophobes ont été signalés ce mois-ci seul dans la ville.
En 2016, les crimes homophobes augmentent de 16 p. 100, et 291 cas de violence sexuelle sont signalés dans la capitale allemande.
L'Allemagne a été nommée le «pays le plus étrange d'Europe» l'année dernière.
La Dalia Research de Berlin a découvert que le pays avait la plus grande population LGBT, avec 7,4 pour cent de l'identité allemande en tant que LGBT et 10,9 pour cent affirmant qu'ils n'étaient pas «exclusivement droites».
Bien que l'Allemagne soit modérément progressive sur les droits LGBT, la chancelière Angela Merkel a répété à maintes reprises des appels pour introduire un mariage égal , en disant: "Pour moi, le mariage est un homme et une femme vivant ensemble".
Selon Thomas Oppermann, leader parlementaire du SDP, le Parti Vert appuiera également le déménagement.
Malgré son opposition à l'égalité du mariage, Merkel a supervisé d'autres réformes, renforcé les protections pour les couples homosexuels et indemnisant les hommes ayant des infractions sexuelles homosexuelles historiques .
C.L.
Les personnes LGBT en Afrique du Sud sont confrontées à une violence sans précédent
Les personnes LGBT en Afrique du Sud sont confrontées à une violence sans précédent.
Les gens qui font partie de la communauté LGBT au Limpopo, une province du nord du pays, ont signalé qu'ils ont peur de la violence croissante contre eux.
Un certain nombre de personnes ont exprimé des craintes de leur mort, de leur viol ou de leur brûlure en raison de leur sexualité.
Les rapports initiaux présumés sont apparus dans SABC , un diffuseur public dans le pays.
Cindy Maotoana, une présidente d'un groupe LGBT local, a déclaré que leur communauté est visée, en particulier les lesbiennes qui sont victimes de «viol correctif».
Maotoana a déclaré: "Je veux simplement dire à la communauté que nous avons besoin de votre soutien. Les LGBTI se cachent parce qu'ils ont peur d'être violés et d'être brutalement brûlés ou quelque chose pourrait arriver, alors nous demandons l'aide de la province ".
Le président a ajouté que leur humanité était aussi précieuse que n'importe qui d'autre et qu'ils ne devraient pas être victimes de leur identité sexuelle ou sexuelle.
Cela ne veut pas dire que quelqu'un doit me violer ou me tuer ou même me brûler.Pouvez-vous imaginer que quelqu'un soit brûlé en vie? Ce n'est pas bien ce qu'ils nous font ", a ajouté Maotoana.
Le mariage homosexuel est légal en Afrique du Sud , et les couples peuvent légalement adopter conjointement des enfants et rechercher des traitements de FIV et de maternité de substitution.
Cependant, les personnes LGBT sont toujours confrontées à une stigmatisation sociale et à une violence homophobe sévère, 61% des Sud-Africains croient que la société ne devrait pas accepter l'homosexualité en 2013.
Une peinture de protestation représentant Nelson Mandela et le président sud-africain Jacob Zuma engagé sexuellement récemment ont émergé, provoquant des indignations .
La peinture, créée par Ayanda Mabulu, était destinée à critiquer Zuma pour les accusations de corruption et de viol.
Il a depuis déclaré qu'il respecterait la loi du pays.
C.L.
Des agressions violentes perturbent le rallye LGBT en Ukraine blessant les policiers et brûlant le drapeau arc-en-ciel
Deux policiers ont été blessés à Kharkiv, en Ukraine, après qu'un groupe d'agresseurs ait perturbé une manifestation pacifique LGBT.
L'incident est arrivé moins d'une semaine après que l'Ukraine ait accueilli le Concours Eurovision de la chanson sous le slogan «Célébrez la diversité».
Une trentaine de personnes, certaines couvrant leur visage avec des balaclavas, ont pris d'assaut la manifestation.
Ils ont utilisé un langage obscène et ont commencé à jeter des œufs et des colorants verts aux manifestants.
La police a essayé d'intervenir, mais leurs actions ont entraîné une explosion violente des assaillants, qui ont blessé deux officiers et attaqué un drapeau arc-en-ciel.
Les officiers ont été emmenés à l'hôpital où ils ont été traités pour subir des blessures à la tête. La police de Kharkiv a plus tard signalé à Facebook que les agents se sont rétablis.
Quatre des assaillants ont été placés en détention et peuvent être jugés.
Si elles ont été reconnues coupables de violence à l'encontre d'un agent d'application de la loi, elles pourraient être condamnées à cinq ans de prison.
Les organisateurs du rassemblement ont déclaré que l'événement était destiné à attirer l'attention sur l'homophobie généralisée en Ukraine.
Des séquences vidéo de l'incident ont été publiées montrant les hommes à capuchon qui attaquaient les participants au rassemblement et qui brûlaient un drapeau arc-en-ciel LGBT.
La manifestation a eu lieu lors de la Journée internationale contre l'homophobie, la biphobie et la transphobie (IDAHOBIT) , célébrée le 17 mai dans le monde entier.
Bien que l'homophobie soit encore un problème commun à travers l'Ukraine, les grandes villes telles que la capitale Kyiv et Kharkiv deviennent progressivement plus libérales.
L'année dernière, des milliers de personnes ont assisté au premier événement LGBT Pride de l'Ukraine à Kiev, malgré les menaces de l'extrême droite.
Les événements LGBT ont déjà été tentés en Ukraine, mais ils ont souvent entraîné des épidémies violentes.
En mars 2016, un festival LGBT a été annulé lorsque les groupes d'extrême droite autour du lieu ont commencé à chanter "tuer, tuer, tuer".
C.L.
L’Église d’Écosse présente ses excuses aux homosexuels et fait un pas vers le mariage pour tous
Vendredi 26 mai, l’Église d’Écosse a fait son mea culpa. Après avoir étudié la question, elle encourage désormais ses membres à s’excuser pour les discriminations envers les homosexuels et votera d’ici quinze jours sur la possibilité de célébrer des unions entre personnes de même sexe.
Mardi 25 mai, l’Église d’Écosse s’est réunie pour son assemblée annuelle, comme le rapporte le Guardian. À l’ordre du jour : la place des personnes homosexuelles en son sein. Les représentants de l’Église présents y ont étudié un rapport commandé l’année précédente et réalisé par le forum théologique. Ce dernier explique qu’il n’existe pas de " fondements théologiques suffisants pour nier aux ministres du culte et aux diacres l’autorité de célébrer des mariages entre personnes de même sexe". Par conséquent, l’Église d’Écosse préconise aujourd’hui à ses représentants, selon un rapport traduit par Libération de :
"Faire son inventaire sur les discriminations passées envers les homos afin de présenter individuellement et corporativement leurs excuses et chercher à faire mieux."
L’Église d’Écosse envisage également d’autoriser le mariage gay, tout comme l’Église épiscopale écossaise. Issue du protestantisme, l’Église d’Écosse est une Église presbytérienne, c’est-à-dire qu’elle rejette la hiérarchie du clergé catholique romain, est une Église nationale. On la différencie de l’Église épiscopale écossaise, qui est quant à elle une branche de l’Église anglicane d’Angleterre dirigée par des évêques. Cette dernière, diffuse dans le monde, est très divisée au sujet de l’homosexualité. Comme l’explique Le Figaro : la question "déchire depuis des années cette Église de quelque 85 millions de fidèles, opposant des branches plus libérales, aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, aux conservateurs majoritaires au Kenya ou au Nigeria par exemple". En juin 2017 devrait être adopté définitivement le retrait de la mention "union entre un homme et une femme" de la définition du mariage dans la doctrine de l’Église épiscopale écossaise.
Les représentants de l’Église d’Écosse ont quant à eux désormais quinze jours pour adopter une loi en interne afin de valider cette décision et autoriser les personnes homosexuelles à se marier entre elles. Cependant, The Guardian rappelle qu’entre législation et application, il y a plusieurs pas à franchir :
"Malgré un soutien important de la part du corps gouvernant de l’Église, il est probable que cela prenne plusieurs années avant que le premier mariage entre personnes de même sexe ne soit célébré par un pasteur de l’Église d’Écosse."
Le témoignage du jeune gay piégé par Hanouna mis en doute
Depuis la séquence homophobe dans TPMP, l'association le Refuge affirme qu'une des jeunes victimes du canular a été mise à la porte par ses parents après son outing dans l'émission. Un récit mis en doute par plusieurs médias, dont «BuzzFeed» et «le Parisien», pour ses incohérences.
L’association LGBT le Refuge a-t-elle bidonné le témoignage du jeune lycéen homosexuel piégé par Cyril Hanouna et viré de chez lui par ses parents ? Depuis le canulard homophobe et signalé par 37 000 personnes au CSA, la structure, qui héberge des jeunes LGBT mis à la porte par leur famille, affirme en effet qu’une des victimes qui aurait répondu en direct à la fausse petite-annonce de l’animateur de TPMP a été virée de chez elle par ses parents quand ces derniers ont reconnu sa voix dans l’émission. Il s’agirait d’un lycéen de 19 ans, dont l’association n’a ni l’identité, ni le numéro de téléphone.
«Nombreuses incohérences»
Mais cette version est depuis vendredi mise en doute par plusieurs de nos confères de buzzfeed et du parisien. En cause ? Les «nombreuses incohérences» du récit distillé tout au long de la semaine par les responsables du Refuge, Nicolas Noguier, son président, Frédéric Gal, son directeur général, et Véronique Lesage, la coordinatrice de la ligne d’écoute d’urgence. Des contradictions auxquelles s’ajoute le refus de l’association, dont les manquements ont déjà été pointés du doigt par plusieurs enquêtes de presse, de communiquer aux médias concernés les éléments susceptibles d’accréditer ce témoignage.
Concernant notre affaire, selon le site BuzzFeed, «aucun des jeunes victimes de l’émission de Cyril Hanouna ne correspond» par exemple au profil décrit depuis lundi par Nicolas Noguier. Au cours de la semaine, le président-fondateur du Refuge a également plusieurs fois rendu compte d’un témoignage, dont la première version le 19 mai, au lendemain de la séquence décriée, est très différente.
«J’ai toujours dit que nous avons été contactés à deux reprises par un jeune qui nous a indiqué avoir été piégé lors de l’émission», a confirmé pour sa part par SMS au Parisien Nicolas Noguier. «Faux»,lui rétorque le quotidien précisant que dans son premier post sur Facebook faisant part du témoignage, le montpelliérain était ce jour-là beaucoup plus prudent.
Dans l’édition du jour du Midi Libre, Nicolas Noguier maintient cependant la dernière version en date du Refuge à savoir qu’un jeune garçon a appelé deux fois sur la ligne d’écoute de l’association et qu’il a été mis dehors par son père. «On a eu des nouvelles il y a trois jours,raconte-t-il dans un entretien avec le quotidien régional. Il a rappelé notre numéro d’écoute, il est chez une tierce personne, il allait mieux que lors de son premier appel, il est en sécurité. Il nous a dit que son père l’a mis dehors après le sketch.»
Le militant ajoute par ailleurs que le Refuge «est en train de réfléchir» à porter plainte contre C8 et son animateur vedette. «On ne le fera que si l’on est quasiment sûr de gagner. Si Cyril Hanouna gagne, ce sera comme une jurisprudence comme si le sketch n’était pas homophobe, et il pourra continuer… Nous, on souhaite plutôt accompagner une démarche de la personne piégée, et être partie civile», développe Nicolas Noguier. En revanche, selon le Parisien, une autre plainte contre X pour faire la lumière sur l’identité de la personne est envisagée, ajoutant de la confusion à la confusion.
La pleine confiance de la Secrétaire d’Etat
Au lendemain de sa rencontre avec l’association, Marlène Schiappa, la secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes interrogée ce matin sur franceinfo, a néanmoins assuré le Refuge de son soutien, expliquant faire «pleinement confiance par principe aux associations».
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Je fais pleinement confiance par principe aux associations avec lesquelles je travaille. Évidemment j'ai une confiance totale dans @lerefuge
https://twitter.com/marleneschiappa/status/868365602372681728
Elle a par ailleurs annoncé avoir sollicité un rendez-vous avec Cyril Hanouna. «Je voudrais lui parler de la culture du viol, car il y a eu des agressions sexuelles en direct sur son plateau. Mais aussi lui parler de la question de la lutte contre l’homophobie», a aussi justifié Marlène Schiappa, préconisant le dialogue avec l’animateur de TPMP.
Aux dernières nouvelles, l’émission de Cyril Hanouna a été signalée plus de 37 000 fois au CSA qui a ouvert une procédure de sanction. Un record auquel s’ajoute le boycott inédit des annonceurs de TPMP qui privent ainsi C8 de 40% de ses recettes publicitaires. L’animateur s’est lui fendu d’une lettre, dont Libération a publié le contenu, dans laquelle il fait part de ses excuses pour un sketch qui selon lui «n’avait pas lieu d’être».
.liberation.fr
ILE de la REUNION : Naïl Varatchia le prédicateur, projetait un attentat à la Réunion, notamment contre des homosexuels
Après deux ans d’enquête, le Dionysien de 23 ans sera jugé le 16 juin prochain devant le tribunal correctionnel de Paris. Soupçonné d’association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste et d’apologie du terrorisme, notamment pour avoir aidé au départ de "combattants" en Syrie", Naïl Varatchia aurait également évoqué un attentat "dans une discothèque du sud de l’île".
Il nie en bloc. Et pourtant, au fil des auditions, ce volet du dossier est revenu à plusieurs reprises dans la bouche de ses anciens disciples. Alors qu’il est soupçonné d’avoir été un prédicateur salafiste, à l’origine de l’envoi de plusieurs Réunionnais pour faire le djihad en Irak et en Syrie, Naïl Varatchia aurait également exprimé son intention de commettre un attentat-suicide à la Réunion. Certains suspects et témoins évoquent un projet "en France", d’autres dans "une grande surface" ou "un endroit avec du monde" sans précision géographique. Mais plusieurs de ces récits s’accordent sur une cible plus concrète : "Une discothèque de Saint-Pierre tenue par un homosexuel" et perçue comme un lieu de "perversion".
Radicalisé en Égypte
Ces incohérences, et le fait qu’aucun élément permettant de commettre un attentat n’ait été retrouvé lors des perquisitions, peuvent laisser penser à des paroles en l’air. Pour autant, et toujours selon ses élèves, Naïl Varatchia aurait mené des recherches autour de ce projet. Il se vantait de "savoir fabriquer une bombe artisanale" et une photo de ceinture d’explosifs a été retrouvée sur son portable, sans qu’il puisse s’expliquer à ce sujet. Dans ces conditions, nul doute que cette question va peser sur les débats lors de son procès, désormais imminent. Après deux ans d’enquête, le Dionysien, âgé de 23 ans, sera jugé le 16 juin prochain devant le tribunal correctionnel de Paris. Pour rappel, Naïl Varatchia a été interpellé par les policiers de la Direction générale des services intérieurs (DGSI), le 2 juin 2015. À l’issue de sa garde à vue, le prédicateur présumé avait rapidement été transféré à Paris pour être placé en détention provisoire, où il se trouve toujours. Depuis, les investigations le concernant ont été menées par un juge d’instruction de la section anti-terroriste. L’arrestation de ce jeune homme avait profondément ému localement. Jusque-là préservée, La Réunion se trouvait confrontée au djihadisme pour la première fois. Et la future audience s’annonce tout aussi déconcertante tant le prévenu, et malgré des revirements, semble avoir été une porte d’entrée de la nébuleuse salafiste sur notre île. Sa radicalisation, qu’il reconnaît d’ailleurs, a débuté lors de voyages. Éduqué dans une famille à la réputation irréprochable, Naïl Varatchia obtient un BAC S en 2011 au lycée privé catholique Levavasseur, où il est considéré comme un élève studieux. Alors qu’il travaille dans la boutique de vêtements de son père, il part d’abord en Angleterre suivre des cours dans un institut théologique puis en Inde pour un pèlerinage spirituel. Pour autant, ce parcours n’a rien d’intrigant pour un jeune pratiquant. C’est lors d’un séjour en métropole, en 2012, qu’il dit avoir rencontré un homme, connu pour être un prédicateur très influent, qui l’aurait rallié à l’idéologie d’Al Qaïda et du Jabhat Al Nosra (branche syrienne d’Al Qaïda). Déjà en voie de radicalisation, Naïl Varatchia bascule lors d’un stage de trois mois dans un autre institut situé à Alexandrie, en Égypte, ce qui lui vaudra d’ailleurs le surnom de "l’Egyptien". Officiellement dédiée à l’apprentissage de la langue arabe, cette structure traîne une réputation sulfureuse qui a d’ailleurs débouché sur sa fermeture.
Les homosexuels pour cible
De retour à la Réunion, Naïl Varatchia commence ses "cours" début 2013. Son premier et "meilleur" élève sera Anthony M., qui deviendra son lieutenant. Dionysien au profil inquiétant, ce dernier serait encore combattant dans les rangs de Daesh (lire par ailleurs). Pendant 2 ans, Naïl Varatchia prêche et recrute. De son propre aveu, et même s’il nie avoir encouragé aux départs en Syrie, son groupe a compté jusqu’à 17 membres plus ou moins assidus. Mais au-delà de ces "enseignements", le Réunionnais est aussi très actif sur les réseaux sociaux. Internet lui permet de diffuser des photos et messages de propagande - et est d’ailleurs un vecteur important de radicalisation -, mais aussi d’entretenir des liens avec des "figures" du djihadisme international. Les investigations ont ainsi démontré des contacts avec des prédicateurs de la région lyonnaise et initiateurs d’une importante filière de recrutement. Plusieurs d’entre eux sont désormais en Syrie. Le Réunionnais entretenait aussi et surtout une correspondance régulière avec Omar Diaby, prédicateur djihadiste à l’influence considérable via des vidéos sur internet. Certains le désignent comme à l’origine d’une vague de départs en 2013, notamment de jeunes Niçois, ville où il a vécu, qu’il a ensuite rejoint pour en prendre la tête. Il aurait alors mené un groupe de 150 combattants affilié à Jabhat Al Nosra. Décrit comme l’un des fondateurs du "cyberdjihadisme", Omar Diaby, surnommé "Omar Omsen", est aussi inscrit sur la liste des "terroristes internationaux" établit par les États-Unis. Ce dernier aurait précisément invité Nail Varatchia à venir combattre en Syrie et avait visiblement une certaine ascendance sur lui. Selon ses élèves, le Dionysien avait prévu de rejoindre ses disciples une fois qu’ils seraient tous partis. Et aurait alors annoncé que, s’il ne parvenait pas à quitter le territoire français car se sachant signalé, il commettrait un attentat. Des actions violentes dans les pays d’origine justement prônées par les "cadres" du djihadisme international, tel Omar Diaby, depuis que les candidats au départ sont davantage surveillés. Alors qu’il aurait évoqué les homosexuels comme cibles, Naïl Varatchia, toujours sur les réseaux sociaux, s’intéressait précisément aux profils de travestis juste avant son interpellation... Contacts qui pourraient laisser penser à la première étape en prévision d’une opération. Autant de points sur lesquels il devra prochainement s’expliquer devant la justice. Contactés par le Jir, ses avocats, Mes Normane Omarjee et Gabriel Odier ont refusé de répondre à nos questions et "réservent leurs déclarations au tribunal".
Emprisonné en métropole
Naïl Varatchia a déjà connu une audience publique devant le tribunal de Paris. C’était le 28 avril dernier et celle-ci portait sur sa détention provisoire. Pour les suspects de délit, ces débats sur l’incarcération doivent se tenir tous les 4 mois et deviennent publics une fois que le procès au fond est audiencé et l’enquête est donc terminée. Sans surprise, le Réunionnais a été maintenu en détention provisoire où il se trouve depuis le 8 juin 2015 et son transfert à la prison de Fresnes, en région parisienne. Selon nos informations, il fait preuve d’un bon comportement en détention. De là à savoir s’il est complètement repenti... Sa position lors de la prochaine audience reste un mystère à cette heure. Il sera donc jugé devant la 16e chambre du TGI de Paris, spécialisée dans les affaires de terrorisme.
Des familles dépassées
C’est une constante dans les affaires de terrorisme, et notamment dans les cas de recrutement. Ce n’est qu’au moment de la disparition des intéressés que les familles prennent conscience de la gravité de la situation. Dans cette affaire encore, les signalements les plus sérieux ne viendront que trop tard pour les six jeunes que la filière Varatchia aurait envoyés au djihad. Ces futurs combattants, accompagnés de leur conjointe pour certains, étaient déjà arrivés au Proche-Orient ou déjà loin quand les proches ont prévenu la police via le centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation. Dans le cas de Naïl Varatchia, sa famille, dont la réputation est irréprochable, avait détecté un mal-être chez le jeune homme mais n’avait jamais imaginé une telle situation.
Entraînements au combat
Là encore, le principal intéressé s’en défend. Selon ses élèves, les cours de Naïl Varachia ne se limitaient pas un embrigadement idéologique. Ils étaient aussi accompagnés d’un entraînement physique et technique en vue du combat. Certains racontent de longues séances de musculation. D’autres indiquent aussi avoir suivi des exercices de tirs avec des carabines à plomb. Des sessions d’entraînements "militaires" dans le lit de la rivière du Mât sont aussi évoquées.
Jabhat Al-Nosra et Daesh
Ces organisations étant par définition opaques, même les plus grands experts n’arrivent pas à s’accorder sur leurs fonctionnements et notamment les alliances qui les lient. Toujours est-il que, en 2013, et même si les lignes ont bougé depuis, Jabhat Al-Nosra et Daesh (État islamique) ne partageaient pas les mêmes visions du djihad. Le premier groupe, affilié à Al Qaïda, défendait un combat régional contre le pouvoir de Bachar el-Assad. Le second a toujours adopté une rhétorique expansionniste et une lutte mondiale, notamment via des attentats à l’étranger. Une nuance qui peut avoir son importance dans le cas de Naïl Varatchia, qui prêchait en faveur de Jabhat Al-Nosra et non Daesh. Début 2015, la donne a cependant changé. Le dernier tweet du Réunionnais, posté la veille de son arrestation, est d’ailleurs sans équivoque : "Quiconque s’oppose à l’EI (Daesh) fait clairement parti du camp du Kufr (mécréant NDLR)".
BANGLADESH 27 personnes arrêtées pour homosexualité
La police bangladaise a arrêté vendredi à l'aube 27 jeunes hommes dans une application relativement rare de la loi criminalisant les relations homosexuelles, dans ce pays conservateur à majorité musulmane,
Un responsable du Bataillon d'action rapide (RAB), une force d'élite au sein de la police, a expliqué avoir fait une descente dans un centre communautaire de Dacca où ces jeunes gens étaient rassemblés.
La police y a découvert des préservatifs et des drogues, a déclaré le commandant Manzour, qui a refusé de donner son identité complète.
« Nous avons arrêté 27 personnes pour homosexualité. Ils sont homosexuels. Ils participaient à une fête », a-t-il dit
Il a ajouté que des poursuites judiciaires seraient lancées, sans préciser sur quel fondement juridique.
Les relations sexuelles entre personnes de même sexe sont un crime au Bangladesh, en vertu d'une loi héritée de l'Empire britannique qui est rarement appliquée.
En raison des discriminations qu'ils subissent, gais et lesbiennes sont souvent contraints de dissimuler leur identité sexuelle.
En avril 2016, Xulhaz Mannan, figure du mouvement LGBT du Bangladesh, et Mahbub Tonoy, un autre militant, avaient été tués à coups de machette à Dacca par un commando de tueurs se revendiquant de la branche bangladaise d'Al-Qaïda.
fugues.com
L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !
Le 18 mai, suite à une annonce sur un réseau social Cyril Hanouna a répondu au téléphone en direct sur « TPMP » à de jeunes homosexuels.
Il s’en est suivi une hystérie collective de la presse bien pensante et des milieux homo qui n’ont pas trouvé la séquence à leur goût.
Le 23 mai « LCI » publie sans vérification le témoignage de l’association « le refuge ».
Selon cette association un jeune homme apeuré les aurait contacté pour exprimer son désarroi et informer le refuge que ses parents ont reconnu sa voix au téléphone et menacent de le virer !
Le bénévole de l’association « le refuge » précise qu’il n’a ni le nom ni les coordonnées de « la victime ». Comment « le refuge » a t’il pu identifier qu’il s’agissait bien d’une victime du canular .
Mais peu importe, l’association « Le refuge » coutumière de ce genre de « bad buzz » se précipite pour alerter la presse.
La presse française bien pensante saisit cette occasion pour démolir Cyril Hanouna et son émission TPMP . Aucune vérification de l’information, la parole de cette association à la sinistre réputation fait foi !
Aujourd’hui l’association « le refuge » en quête de notoriété va plus loin en ameutant la presse pour leur signaler que la jeune « victime » a été viré par ses parents.
Une fois de plus sans aucune vérification la presse se déchaine contre l’animateur de « TPMP » et son émission.
La vérité est tout autre. L’association « Le refuge » n’a jamais eu de victime de Cyril Hanouna au téléphone.
Il s’agit d’ une information totalement inventée pour faire parler de l’association et salir Cyril Hanouna que l’association juge homophobe.
Je dispose de plusieurs enregistrements de collaborateurs de l’association controversée « Le refuge » qui me confirment cette supercherie.
Dans leurs déclarations le directeur de l’association et le bénévole qui a soit disant eu « la victime » se contredisent ( voir documents à la fin de l’article) sans que cela n’ émeuve la presse.
Ce n’est pas la première fois que l’association « Le refuge » utilise ce procédé scabreux pour faire parler d’elle. http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20141120.RUE6693/les-coulisses-genantes-du-refuge-l-asso-pour-homos-qui-fait-l-unanimite.html
Les journalistes auraient du vérifier les sources avant de relayer ces escrocs.
Je tiens à la disposition des services de police ces enregistrements, si Cyril Hanouna juge utile de déposer une plainte pour diffusion de fausses nouvelles.
En attendant la presse française si prompte à donner des leçons de déontologie est une nouvelle fois ridiculisée.
Sur ce Tweet, Nicolas Noguier le directeur de l’association « Le refuge » déclare que « la victime avait peur d’être reconnu par ses parents »
Le même jour dans cette interview de Romain le bénévole du « Refuge » qui a parlé avec « la victime », déclare que « des membres de la famille et ses parents ont reconnu « la victime ». Cela est totalement contradictoire avec les propos tenus par le directeur du refuge Nicolas Noguier! Curieusement cela n’interpelle pas les journalistes.
Ce n’est pas la première fois que l’association « Le refuge » diffuse des fausses nouvelles pour faire du buzz, allant jusqu’à exploiter la mort d’un jeune homme !
Romain et Didier Noguier font le tour des rédactions distillant leurs mensonges.
Pour l’express, « la victime imaginaire » qu’ils n’ont jamais rencontré est « dans un état épouvantable »
« L’état épouvantable » ayant fait son temps, Romain « du refuge » invente que « le jeune gay a reçu des menaces » sans que cela n’éveille de doutes dans l’esprit anesthésié de nos journalistes.
Pour rappel
http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20141120.RUE6693/les-coulisses-genantes-du-refuge-l-asso-pour-homos-qui-fait-l-unanimite.html
Après « les menaces », « l’état épouvantable », c’est « la jeune victime viré de chez lui ». C’est au tour de France Info de relayer du vent.
Voici Veronique Lesage bénévole au refuge qui déclare avoir parlé à « la victime ». Le problème est qu’ils n’ont toujours pas identifié cette « victime », et qu’ils n’ont aucun moyens de la joindre. Bien curieuse et mystérieuse « victime » qui apparait et disparait en fonction des intérêts médiatiques. Encore une contradiction dans les propos du refuge, pour Véronique « la victime va le mieux possible, il nous a appelé pour nous rassurer » alors que dans le même article il est écris que « la victime » est dans un état épouvantable. Bientôt ça va être « la victime » qui va remonter le moral fragile des bénévoles du refuge.
Europe 1, LCI, France Info, L’express, Gala, etc … toute cette presse bien pensante se précipite sur Hanouna, juste sur les accusations d’une association d’escrocs ! Ils n’ont même pas pris la précaution de mettre l’information qu’ils n’ont pas vérifié au conditionnelle.
Un commentaire pour “Exclusif ! L’association « Le refuge » a inventé le témoignage d’une victime de Cyril Hanouna et la presse reprend sans vérification !”
Véronique Lesage n’est pas bénévole mais salariée du Refuge
http://elfassiscoopblog.com/
La police indonésienne crée un groupe de travail pour surveiller les personnes LGBTI
Le chef de la police de West Java a déclaré que les homosexuels avaient une «maladie du corps et de l'âme» et «ne seraient pas acceptés dans la société».
La police de West Java, en Indonésie, a créé un nouveau groupe de travail chargé de surveiller les personnes LGBTI.
West Java est l'une des provinces les plus peuplées d'Indonésie, avec environ 47 millions de personnes vivant là-bas.
Son chef de police, Anton Charliyan, a annoncé mardi aux médias le plan de mise en place du groupe de travail.
Dans une des grandes villes, Bandung, il a déclaré que les homosexuels avaient une «maladie du corps et de l'âme» et «ne seront pas acceptés dans la société».
«J'espère qu'il n'y a pas d'adeptes dans West Java, pas de style de vie ou de tradition gay ou LGBT», a-t-il déclaré.
«S'il y a quelqu'un qui le suit, ils seront confrontés à la loi et aux lourdes sanctions sociales».
Charliyan a déclaré que l'unité comprendrait la police, l'armée et les fonctionnaires provinciaux. Leur rôle sera de garder un œil sur les endroits où les personnes LGBTI pourraient avoir des fêtes.
La situation s'aggrave
Ses commentaires viennent juste quelques jours après que deux hommes aient été chauve à Aceh pour avoir eu du sexe homosexuel et 1 41 hommes ont été détachés au «gay party» à Jakarta.
Le mois dernier, 14 hommes ont été arrêtés à Surabaya et ont été forcés de subir des tests de dépistage du VIH . Leurs photos et informations ont été rendues publiques.
La principale organisation indonésienne LGBTI, Arus Pelangi, a déclaré que le groupe de travail de la police de West Java était illégal.
La police a le mandat de suivre la loi. Ce ne sont pas la police de la morale ", a déclaré à Reuters Yuli Rustinawati, le président d'Arus Pelangi.
À l'exception d'Aceh, l'homosexualité n'est pas illégale en Indonésie.
C.L.
Le camp de concentration gay de Tchétchénie a été détruit, les prisonniers déplacés vers un lieu inconnu
Le Réseau LGBT russe a évacué au moins 42 hommes homosexuels en Tchétchénie
Les prisonniers du plus grand camp de concentration des homosexuels en Tchétchénie ont été déplacés vers un lieu inconnu.
Selon Novoya Gazeta, le journal qui a exposé l'abus des homosexuels dans la région autonome russe, la police a refusé de participer à une enquête officielle.
Lorsqu'il a été révélé pour la première fois, des homosexuels étaient détenus dans un camp de concentration en Tchétchénie, les anciens détenus ont déclaré qu'ils étaient gardés dans une ancienne caserne militaire à Argun.
Mais lorsque le Comité d'enquête de la Russie est arrivé là-bas, avec l'emplacement et la description précises de l'ancien témoignage des prisonniers, le camp a été enterré sur son toit dans les débris de la construction.
Les enquêteurs disent qu'ils ont appris que tout prisonnier aurait été transféré à une base de formation de la Force de police spéciale à Terek - à environ 60 km au nord d'Argun.
Cependant, on leur a refusé l'entrée, car «la formation se déroule».
Les militants craignent que les prisonniers ne soient déplacés vers un nouvel endroit inconnu.
Novoya Gazeta a également affirmé comment les forces de sécurité tchétchènes exercent une pression sur les proches des victimes et des fugitifs.
Le journal dit que les autorités «exigent qu'ils signent une déclaration avec le texte standard indiquant:« leur fils (ou frère) [NOM COMPLET] a quitté la république pour travailler à Moscou fin février. Il n'y a pas de lien avec la police tchétchène ".
Les noms des quatre homosexuels tués dans la région sont également connus du journal.Trois ont été tués par suspicion d'homosexualité. L'un d'eux était membre de la garde nationale de la Russie. Une quatrième a été détenue pour suspicion d'extrémisme et a également été tuée.
Le réseau LGBT russe évacue les hommes homosexuels en Tchétchénie
Le réseau LGBT russe a aidé à évacuer au moins 40 hommes homosexuels de la Tchétchénie, dont au moins neuf ont quitté complètement la Russie.
Ils demandent à de nombreux pays d'accepter des réfugiés, y compris le Royaume-Uni et les États-Unis.
"Nous sommes en train de déterminer quels pays sont prêts à accepter les réfugiés étranges tchétchènes", a déclaré un porte-parole, qui souhaitait rester anonyme pour protéger sa sécurité, a déclaré Gay Star News.
«Nous négocions ces possibilités avec les autorités étrangères et les ONG. Cela doit être fait afin d'assurer la sécurité et la sécurité maximales des victimes. Nous avons une forte preuve que les familles de ceux qui ont fui la Tchétchénie ont déjà commencé à les chercher.
Depuis le 25 avril, on pense que la Tchétchénie exploite six camps de concentration, avec au moins 200 hommes détenus illégalement là .
Kadyrov a également déclaré qu'il voulait éliminer la communauté homosexuelle «au début du Ramada» , cette année tombant le 26 mai.
Le porte-parole de Kadyrov, Alvi Karimov, a affirmé que les homosexuels «n'existent tout simplement pas» dans la république.
Il a dit: «S'il y avait de telles personnes en Tchétchénie, leurs proches les enverraient quelque part d'où ils ne pouvaient pas revenir.
C.L.
UN FAN GAY D’ARIANA GRANDE EST LA 10ÈME VICTIME CONFIRMÉE À L’ATTAQUE DE MANCHESTER
UN HOMME GAY A ÉTÉ CONFIRMÉ COMME L'UNE DES VICTIMES D'UNE ATTAQUE TERRORISTE LORS D'UN CONCERT ARIANA GRANDE.
Martyn Hett, âgé de 29 ans, était absent depuis lundi soir (21 mai), après avoir assisté au concert d'Ariana Grande à Manchester Arena.
Un kamikaze a tué 22 personnes, y compris une fille de huit ans, et blessé 59.
Immédiatement après l'attaque, le frère de Martyn, Dan Hett, a publié une photo de lui sur Facebook, demandant de l'aide pour trouver son frère ou sœur.
Maintenant, la police de Manchester a confirmé que Martyn est la 10ème victime identifiée.
C'est son petit ami Russell Hayward qui a tweeté les nouvelles
"Nous avons eu l'actualité la nuit dernière que notre merveilleux, emblématique et magnifique Martyn n'a pas survécu", a-t-il déclaré.
«Il a quitté le monde exactement comme il a vécu, centre d'attention. Je suis vraiment très mauvais, alors pardonnez-moi si je ne réponds pas.
«Heureusement, j'ai ses amis merveilleux et étonnants pour rester solides. Je t'aime Martyn. pour toujours.'
Martyn et Russell sont apparus et ont gagné, Come Dine With Me ensemble; Martyn, un grand fan de la rue Coronation, est également apparu sur Tattoo Fixers où il a montré son encre Deirdre Barlow.
Il venait de quitter son poste de directeur numérique chez Rumpus PR pour passer un voyage de deux mois aux États-Unis et a publié lundi une photo de ses dernières boissons de sortie avec son partenaire.
Martyn a également contribué aux magazines gay Attitude et QX.
Les noms des autres victimes identifiées sont
Marcin Klis, 42 ans, et son épouse Angelika Klis, 40
Kelly Brewster, 32
Olivia Campbell, 15
John Atkinson, 26
Alison Howe, 45
Lisa Lees, 47
Saffie-Rise Roussos, 8
Georgina Callander, 18 ans
C.LOUSTAU
Laurent Stefanini, cet ambassadeur homosexuel dont le Vatican ne veut pas
Le 5 janvier dernier, le Conseil des ministres a nommé Laurent Stefanini ambassadeur de France auprès du Saint-Siège. Son prédécesseur, Bruno Jouvert, a quitté la Villa Bonaparte, située Via Piave à Rome, depuis le 1er mars. Mais Laurent Stefanini n’est toujours pas arrivé.
Il se murmure que le Vatican n’en veut pas. Manuel Valls lui-même considère le choix de Laurent Stefanini comme une « provocation ». Car ce diplomate de 55 ans est notoirement… homosexuel.
On reconnaît là toute la finesse républicaine ! Hollande aura-t-il cette même « impertinence » à l’égard de l’Arabie saoudite ou du Qatar ?
medias-presse.info
Samedi 29 juin à Paris, marchez fièrement avec...
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Samedi 29 juin à Paris, marchez fièrement avec ECPM contre la peine de mort pour les homos ! http://bit.ly/133lroJ #LGBT