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Celebrity Big Brother : plaintes pour sexisme, racisme et homophobie

Publié le par justin

Celebrity Big Brother : plaintes pour sexisme, racisme et homophobie

 Lancée le 1er août dernier sur Channel 5 en Angleterre, la vingtième saison de la téléréalité d’enfermement choque de nombreux téléspectateurs.

En l’espace de huit jours de diffusion, l’Office of communications (Ofcom), équivalent du CSA au Royaume-Uni, a déjà reçu 22 plaintes concernant la saison 20 de Celebrity Big Brother. La téléréalité d’enfermement produite par Endemol réunit pendant un mois une vingtaine de personnalités à la notoriété très relative. Depuis le 1er août, une quinzaine de candidats ont pris le départ du programme diffusé sur Channel 5.

C’est la quotidienne de ce lundi qui a suscité le plus de réactions de la part des téléspectateurs après que Paul Danan se soit amusé à écorcher le nom de Karthik Nagesan, un homme d’affaire d’origine indienne révélé par The Apprentice. À plusieurs reprises, le comédien l’a interpellé en l’appelant «Kathar» avec la complicité d’autres candidats hilares. «Es-tu raciste Paul?! Mon véritable nom est Karthik» s’est agacé l’intéressé. Plus tard, au confessionnal, Paul Danan a déclaré comprendre la colère de Karthik Nagesan et la confusion que cela a pu provoquer auprès du public. Le comédien a promis de ne pas recommencer.

Les téléspectateurs ont également signalé la promotion non dissimulée de consommation d’alcool ainsi que des actes de grossièreté répétés, de sexisme, d’homophobie et de harcèlement. En réponse à toutes ces plaintes, l’Ofcom a déclaré que chacune sera étudiée avant d’envisager l’ouverture d’une enquête sur les écarts de Big Brother Celebrity. La téléréalité d’Endemol fait partie des programmes générant le plus de plaintes au Royaume-Uni.

.lefigaro.fr

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Projet de code pénal au Bénin: Guy Mitokpè en dent contre les pratiques “homosexuelles”

Publié le par justin

Projet de code pénal au Bénin: Guy Mitokpè en dent contre les pratiques “homosexuelles”
Le secrétaire national du Parti Restaurer l’Espoir, élu sur la liste de l’alliance Union fait la Nation (UN), l’honorable Guy Mitokpè n’est pas pour la dépénalisation de l’adultère telle que suggéré par le projet de loi portant code pénal en République du Bénin.
 
Il a été suffisamment clair sur sa position lors du débat général du vendredi 04 Août 2017 à l’hôtel Djecco à Dassa-Zouméy où s’est tenu un séminaire parlementaire d’imprégnation pour éclairer les députés de la septième législature sur les différentes innovations contenues dans le projet de loi portant code pénal en République du Bénin.
 
” Si jamais nous dépénalisons l’adultère, sachons que nous posons les balises pour une déstructuration de notre société et de nos valeurs“; a-t-il affirmé.
Il n’est pas allé par quatre chemins pour exprimer son désaccord sur la question de la dépénalisation de l’adultèr
 
Pour lui, la question de l’adultère ne saurait être évoquée sans se référer à nos valeurs culturelles et à la sociologie de notre société. A l’en croire, dépénaliser l’adultère, c’est ouvrir la porte à toutes les déviances qui s’observent autour de nous et dont les gens ont fini par s’accommoder.
 
“…Ce serait une porte ouverte à tous les vices que prônent les Occidentaux sur l’homosexualité et d’autres maux modernes. Nous devons condamner ces pratiques à travers le présent projet“, a-t-il fermement soutenu avant de conclure que les représentants du peuple sont garants de la fortification de notre société et à ce titre, ils doivent être dépositaires d’un code pénal adapté à nos réalités.
 
http://beninwebtv.com

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Marseille: portrait d'un jeune migrant ivoirien Homosexuel

Publié le par justin

Marseille: portrait d'un jeune migrant ivoirien Homosexuel

Homosexuel, ce jeune homme a fuit la Côte d'Ivoire car il était persécuté par ses proches et son voisinage. Il est arrivé à Marseille où il ne demande qu'une seule chose: des papiers d'identité. 

Sonny  a évité la mort en Côte d'Ivoire. Il risquait d'être lynché par ses proches en raison de son homosexualité. Alors il a fui Abidjan, son emploi, ses amis et sa famille pour partir en France.

Arrivé à Marseille, il ne peut désormais pas travailler car il n'a pas de papiers d'identité. Impossible donc de faire toute démarche pour obtenir un emploi alors qu'il gérait une entreprise d'extensions capillaires dans son pays.

Sonny a fait une demande d'asile mais les procédures sont longues. Il faut au moins compter cinq mois pour l’étape de l'Ofpra (l'Office français de protection des réfugiés et apatrides) entre l’introduction du dossier et la réponse. S’il est rejeté, le demandeur fait alors appel devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA), qui à nouveau dispose de six mois et demi pour statuer. 

Le ministère de l'Intérieur a confirmé la hausse de 6,5%, des demandes enregistrées à l'Ofpra. Les premières demandes sont très nombreuses : elles constituent la plupart de celles qui ont été enregistrées. On recense 77 886 premières demandes et 7 358 réexamens.

francetvinfo.fr

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Le Sénat haïtien cible les homosexuels

Publié le par justin

Le Sénat haïtien cible les homosexuels
Il y a une semaine, le Sénat haïtien a voté une loi étonnante, car elle interdisait une pratique qui n'avait auparavant jamais été autorisée : le mariage entre conjoints de même sexe.
 
Dans le même souffle, les sénateurs ont aussi prohibé tout geste susceptible de «faire la promotion de l'homosexualité». Les contrevenants s'exposeraient à une peine de prison maximale de trois ans.
 
Cette pièce législative, qui doit encore être approuvée par un vote parlementaire, a pris tout le monde par surprise. Haïti n'était pas en proie à un débat sur le mariage gai. En fait, le seul signe de tension sociale entourant la question des droits des homosexuels a été un projet de festival LGBT qui a fini par avorter, l'an dernier.
 
«Des sénateurs étaient alors montés au créneau pour empêcher la tenue de ce festival», explique Frantz Duval, rédacteur en chef du quotidien Le Nouvelliste, à Port-au-Prince.
 
Selon ce journaliste, c'était le premier signe d'une bataille menée par des sénateurs évangéliques au nom de la défense de la famille. Bataille qui a culminé la semaine dernière, avec la loi votée au Sénat.
 
En réalité, il ne s'agit pas d'une, mais de deux lois, qui auront pour effet indirect de «criminaliser l'homosexualité», craint Charlot Jeudy, président de Kouraj, l'une des rarissimes organisations de défense des droits des homosexuels en Haïti.
 
L'autre volet législatif priverait les personnes homosexuelles «avérées» de leur certificat de bonnes moeurs, précise Charlot Jeudy. Or, ce document peut être exigé pour une admission à l'université, ou encore pour obtenir certains emplois, en diplomatie ou dans les forces de l'ordre, par exemple.
 
Ce militant dénonce ces législations comme inconstitutionnelles, car elles violent le droit à la liberté d'expression et d'association.
 
Il croit lui aussi que ce discours anti-homosexuels est le fait de la montée des groupes évangéliques, venus notamment des États-Unis «avec beaucoup de moyens» et prêchant l'homophobie.
 
Tout en trouvant absurde qu'un pays où le tiers de la population vit dans la pauvreté extrême prenne la peine de s'en prendre aux homosexuels, il s'interroge aussi sur la portée de l'interdit visant la promotion de l'homosexualité. Est-ce que toute personne soutenant les droits des homosexuels risquerait d'aboutir en prison?
«Est-ce que ça veut dire que nous ne pourrons plus nous montrer? Il y a beaucoup de peur dans notre communauté. Des jeunes m'appellent et se demandent si on pourra encore circuler librement», s'inquiète Charlot Jeudy.
 
Quoi qu'il en soit, le président de Kouraj prévoit que la communauté LGBT n'aura d'autre choix que de «se mettre à l'abri» si jamais la loi finit par être votée par les parlementaires - ce dont personne ne doute.
 
Car même si l'homosexualité trouve sa place dans le vaudou, aucun politicien haïtien n'a eu le courage d'appuyer les militants de Kouraj dans leur bataille, déplore Charlot Jeudy.
 
Comme le résume le journaliste Frantz Duval : «Aucun élu n'osera s'opposer au projet de loi de peur de se faire taxer de gay...»
 
Répression en Russie
 
Le projet de loi haïtien n'est qu'un des exemples de pays où les droits des LGBT ont reculé depuis un an. Au sommet de la liste, il y a la Russie, en raison de la campagne féroce menée contre les homosexuels en Tchétchénie, république de la Fédération russe.
 
«Des gais et des personnes perçues comme gaies y sont incarcérés et torturés», déplore Helen Kennedy, coprésidente d'ILGA, organisation qui publie une compilation annuelle de l'état des droits des LGBT dans le monde.
 
La Russie et Haïti sont les exemples les plus flagrants de ces reculs. Mais ces droits régressent aussi aux États-Unis, où de plus en plus d'États restreignent la capacité d'adopter pour les couples homosexuels.
 
Ailleurs, les droits des homosexuels font aussi des gains. Ainsi, l'Allemagne vient d'autoriser le mariage gai - et ce, même si la chancelière Angela Merkel était ouvertement contre.
 
Pour Helen Kennedy, qui dirige aussi l'ONG canadienne Egale, Ottawa a fait un grand pas en avant avec la loi C-16 assurant la protection des droits des personnes transgenres.

 

.lapresse.ca

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Comment j'ai été harcelé par les fanzouzes de Cyril Hanouna sur Twitter

Publié le par justin

Comment j'ai été harcelé par les fanzouzes de Cyril Hanouna sur Twitter

Hanouna n'a guère d'humour le concernant. Il met des nouilles dans le slip de ses collaborateurs. Mais il ne faut pas le chatouiller.

Dans la torpeur de l'été, soudain, j'ai été assailli par les hordes en furie des "fanzouzes". Si vous ignorez cette expression, sachez qu'il s'agit de la meute des admirateurs de Cyril Hanouna, 42 ans, animateur de télévision sur C8.

 

Les adeptes d'Hanouna sont légion. L'amuseur rassemble chaque jour environ 1,5 million de téléspectateurs pour son émission "Touche pas à mon poste". Son compte Twitter est suivi par plus de 5 millions de personnes, trois fois plus que celui d'Emmanuel Macron.

 

"Touche pas à mon poste", mais surtout "Touche pas à mon Hanouna". Je l'ai appris à mes dépens. Tout commence gentiment pas un tweet anodin d'Hanouna par lequel il rectifie un horaire qu'il avait donné précédemment 

Comment j'ai été harcelé par les fanzouzes de Cyril Hanouna sur Twitter

Comme je suis espiègle, je lui réponds quelques heures plus tard :

Comment j'ai été harcelé par les fanzouzes de Cyril Hanouna sur Twitter

Hanouna n'a guère d'humour le concernant. Il met des nouilles dans le slip de ses collaborateurs. Mais il ne faut pas le chatouiller. Ça le met "en rassrah", l'une de ses expressions favorites qui signifie : "être en colère, irrité, furieux". Bref, ça ne le fait pas "darka" (rire). Je vous donne tout ce vocabulaire hanounesque pour vous permettre de comprendre la suite.

Et la suite ne tarde pas. Cyril réplique par deux premiers tweets courroucés me désignant nommément 

 
Et la suite ne tarde pas. Cyril réplique par deux premiers tweets courroucés me désignant nommément :
Comment j'ai été harcelé par les fanzouzes de Cyril Hanouna sur Twitter

Je passe sur le fait qu'Hanouna affirme ne pas me connaître alors que nous avons travaillé à la même époque sur RTL: il animait avec Jean-Pierre Foucault l'émission "La bonne touche" qui était diffusée juste avant le journal de la mi-journée que je présentais tous les jours. Je le croisais dans les couloirs. C'était alors un gentil garçon.

Les deux tweets d'Hanouna me désignant directement déclenchent la mobilisation de son armée de disciples. Les "fanzouzes" se déchaînent. Je suis injurié, ridiculisé, accusé d'être jaloux du succès du maître. Mon nom fait l'objet de railleries de potache

Comment j'ai été harcelé par les fanzouzes de Cyril Hanouna sur Twitter

Plus grave, l'homophobie surgit. On sait que le CSA a fortement sanctionné Hanouna pour un grave dérapage dans ce domaine au cours de son émission. Les admirateurs de l'animateur n'ont pas compris le message. Voici un tweet homophobe me visant personnellement:

Comment j'ai été harcelé par les fanzouzes de Cyril Hanouna sur Twitter

Au bout de quelques heures, voyant se multiplier les invectives à mon égard, Hanouna veut siffler la fin de la partie avec ce tweet :

Comment j'ai été harcelé par les fanzouzes de Cyril Hanouna sur Twitter

Me faire traiter de "bouffon" par Hanouna, cela ne manque pas de sel. Les insultes parfois menaçantes continuent néanmoins. Le point commun de tous les messages est une orthographe et une syntaxe très incertaines. Le lendemain, le gros de la tempête est passé. Les "fanzouzes" se lassent vite. Beaucoup souffrent de troubles déficitaires de l'attention. D'autres polémiques les accaparent.

Mais, au-delà de cette vague d'opprobre, beaucoup de gens sur Twitter m'ont apporté leur soutien et ont condamné les débordements parfois orduriers dont j'étais l'objet.

Cet épisode, sans grande conséquence pour moi, est assez significatif. Cyril Hanouna fonctionne sur l'humiliation des autres dans son émission mais il ne supporte pas la moindre remarque le concernant. Il se sent fort car il est capable, avec quelques tweets, de déclencher un déferlement de haine. Pouvoir malfaisant. Pouvoir inquiétant.

huffingtonpost.fr

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L’expulsion du journaliste ouzbek Ali Ferouz suspendue par la justice russe

Publié le par justin

L’expulsion du journaliste ouzbek Ali Ferouz suspendue par la justice russe

Militant en faveur des droits de l’Homme et ouvertement gay, Ali Ferouz craint d’être torturé en Ouzbékistan en raison de son orientation sexuelle et de ses activités

L’expulsion vers l’Ouzbékistan d’Ali Ferouz, journaliste homosexuel d’origine ouzbèke du journal Novaïa Gazeta, a été suspendue mardi 8 août par la justice russe dans l’attente de l’examen de sa plainte par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), rapportent les agences russes.

L’appel de la défense a été entendu. Ali Ferouz, de son vrai nom Khoudoberdi Nourmatov, 30 ans, est maintenu jusqu’à la décision finale de la CEDH dans un centre de détention provisoire pour étrangers à Moscou, selon la décision du juge.

Arrêté le 1er août par la police moscovite lors d’un contrôle d’identité, il avait été condamné le lendemain à être expulsé vers l’Ouzbékistan car se trouvant en situation irrégulière sur le territoire russe. L’homme avait alors tenté de s’automutiler.

Militant en faveur des droits de l’Homme et ouvertement gay, Ali Ferouz craint en effet d’être torturé en Ouzbékistan en raison de son orientation sexuelle et de ses activités, selon l’un de ses avocats, Filip Chichov.

L’ONG Amnesty International confirme également que le journaliste pourrait être exposé à de graves risques s’il était renvoyé en Asie centrale. « Ali Ferouz est ouvertement gay, il milite pour les droits humains et est correspondant à Novaïa Gazeta, un journal indépendant – autant dire un cocktail quasi mortel pour quelqu’un qui est sur le point d’être remis à l’Ouzbékistan, où la  » sodomie  » est un crime et où la torture est endémique », a déclaré Denis Krivosheev, directeur adjoint pour l’Europe et l’Asie centrale à Amnesty International.

De nationalité ouzbèke, Ali Ferouz, est né en Russie où il a vécu jusqu’à ses 17 ans quand il est parti vivre en Ouzbékistan et a pris la nationalité ouzbèke. En 2009, Ali Ferouz a fui l’Ouzbékistan après avoir été « arrêté et torturé » par des agents du Service ouzbek de la sécurité nationale pour avoir « refusé de devenir leur informateur secret », affirment Novaïa Gazeta et Amnesty International.

Le journal russe précise en outre qu’Ali Ferouz a perdu son passeport ouzbek en 2012. Craignant de rentrer en Ouzbékistan, il n’a pas réussi à en obtenir un nouveau. En 2014, il avait déposé une demande d’asile en Russie, qui lui avait été refusée. Arrêté une première fois en mars 2017, il avait été relâché. Sa dernière demande d’asile politique en Russie a été refusée en mai 217, précise le quotidien Kommersant. Après son arrestation et sa condamnation, la défense de Ferouz avait fait appel devant la CEDH le 4 août.

.lecourrierderussie.com/

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Tchétchénie : 33 victimes de la purge contre les homosexuels dénoncent un crime contre l’humanité

Publié le par justin

Fin juillet, l’ONG Russian LGBT Network et le journal d’opposition russe Novaïa Gazeta ont publié un rapport accablant la Tchétchénie, qui mène une véritable opération de purge contre la communauté homosexuelle. Trente-trois anciens détenus y racontent les horreurs qu’ils ont vécues, pour dénoncer un crime contre l’humanité. Nous tenons à vous prévenir que ces témoignages peuvent être très choquants.

Début avril, le journal russe Novaïa Gazeta dénonçait la purge menée contre la communauté homosexuelle par les autorités tchétchènes. Selon le directeur de l’ONG Russian LGBT Network, Igor Kochetkov, 300 à 400 homosexuels tchétchènes ont été emprisonnés et torturés dans des "prisons secrètes". Le gouvernement tchétchène a nié ces exactions, affirmant qu’aucune persécution n’était en cours, puisque les personnes homosexuelles "n’existent pas" en Tchétchénie. Le président Ramzan Kadyrov s’est tenu à ce discours lors d’une interview mi-juillet – tout en tenant de terribles propos homophobes. Il y a quelques semaines, on apprenait pourtant que la persécution des homosexuels en Tchétchénie s’était intensifiée depuis la fin du ramadan. Novaïa Gazeta a publié une liste de 27 personnes qui auraient été exécutées sans procès.
 
Une série de témoignages insoutenables
Un rapport publié le 31 juillet par Russian LGBT Network, en coopération avec une journaliste de Novaïa Gazeta, Elena Milashina, fait le point sur cette véritable purge, retraçant son fonctionnement, ses victimes et les horreurs qu’elles ont subies… et continuent de subir. En quatre mois, plus de 130 personnes auraient appelé l’organisation à l’aide pour fuir le pays. Les 30 pages sont remplies des témoignages de 33 anciens détenus, et montrent trois vagues de violence successives depuis la fin 2016. La lecture de cette série de témoignages est difficile, tant les victimes ont enduré tortures, violences et humiliations. Électrocutions, coups sur tout le corps, privations d’eau, de nourriture et de sommeil… Têtu mentionne par exemple ce témoignage, dont l’auteur est désigné par les initiales K. L. :
 
"On nous a obligés à nous allonger par terre, les fesses en l’air, et chaque personne de la cellule devait nous frapper trois fois. Au fil de la semaine, il y avait déjà 18 personnes LGBT détenues ici et torturées. Le plus jeune avait environ 17 ans, et le plus vieux 47. On n’avait pas le droit de se laver. Certains détenus avaient des plaies ouvertes et la cellule commençait à sentir la viande pourrie."
 
Les ex-détenus rapportent ainsi avoir été forcés de se frapper entre eux, de commettre les mêmes violences qu’ils subissaient eux-mêmes. L’un d’eux raconte qu’on lui a montré une vidéo d’un homme à qui l’on avait enfilé un "tube creux" dans l’anus, avant d’y introduire un fil barbelé. Une fois le tube enlevé, le fil barbelé était tiré "lentement". Un autre a été étouffé et battu en même temps. Autant d’horreurs qui ne s’arrêtent pas forcément à la libération des détenus – pour ceux qui sont libérés.
 
Un crime contre l’humanité auquel participent familles et autorités
Les personnes jugées trop "importantes", qui pourraient "apporter la honte sur les autorités ou l’administration", sont en effet tuées. Les autres sont libérées après quelques semaines, voire un mois. Mais leurs familles sont alors poussées à "laver l’honneur par le sang". Ce sont également ces dernières qui se font justice lorsqu’il s’agit de femmes lesbiennes. Le rapport raconte des coups et des tortures, allant jusqu’aux meurtres.
 
Les témoignages font mention d'une douzaine de morts, cette purge dépassant parfois les frontières de la Tchétchénie. Et les personnes qui survivent sont dans une condition physique et mentale critique : "Au moins trois d’entre eux ont tenté de se suicider", précise le rapport, qui conclut qu’il s’agit bien d’un crime contre l’humanité.
 
D’autant que la situation, dramatique, dépend en partie de personnes haut placées. Trois fonctionnaires y sont formellement identifiés : le porte-parole du Parlement tchétchène Magomed Daudov (qui aurait clairement demandé aux familles qui retrouvant des détenus de les éliminer), le chef du ministère des Affaires étrangères de la Russie Ayub Kataev, et le dirigeant d’un groupe d’intervention contre le terrorisme, Abuzaid Vismuradov.
 
Avec ce rapport, Russian LGBT Network, qui explique avoir évacué 64 personnes, compte bien agir. Les témoignages compulsés dans le dossier serviront de preuves dans le procès que les organisations internationales de défense des droits humains vont intenter contre Ramzan Kadyrov auprès de la Cour pénale internationale.
 
konbini.com

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USA :Un homme tué en défendant son cousin homosexuel

Publié le par justin

USA :Un homme tué en défendant son cousin homosexuel

Juan Javier Cruz, âgé de 22 ans, se tenait à l’extérieur du restaurant Las Flores à Lake Worth, en Floride , avec des amis tard samedi soir, quand il a été tué par une personne qu’il n’avait jamais rencontrée auparavant .
 

Des témoins disent qu’il y avait plusieurs groupes de clients à l’extérieur du restaurant, qui venait de fermer.


Nelson Hernandez Mena, 48 ans, était dans l’un de ses groupes. Il avouera plus tard aux enquêteurs qu’il avait bu de 15 à 20 bières au restaurant cette nuit-là.
 

Le cousin de Juan, Pedro Cruz, a dragué légèrement un ami d’Hernandez Mena et lui a demandé son numéro de téléphone, et, selon les témoins, c’est à ce moment-là que l’homme de 48 ans a commencé à regarder le groupe avec colère.


À un moment donné, Hernandez Mena a abordé le groupe de Juan et a commencé à les menacer . «Je déteste tous les gays. Je vais vous tuer tous ici », aurait-il crié, selon le rapport du shérif.


Hernandez Mena aurait également déclaré: «Si nous étions dans mon pays, je vous tuerais tous comme des rats».


Lorsque Juan a défendu Pedro, Hernandez Mena a sorti un pistolet et a tiré plusieurs coups de feu. Il a tiré sur Pedro le blessant à la cheville et a tué Juan.
Hernandez Mena a reconnu devant la police avoir tiré , mais qu’il avait été attaqué par un groupe de personnes. Il a également déclaré que «le mec qui était mort n’était pas son objectif visé», selon le rapport du shérif.


Hernandez Mena a été arrêtée et est accusé de meurtre au premier degré , de tentative de meurtre et d’agression grave avec une arme à feu.


Le bureau de l’avocat de l’État a déclaré qu’il était trop tôt pour dire s’il serait accusé d’un crime de haine .

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Si t'es pédé, je vais te descendre ici et maintenant : le cauchemar tchétchène continue

Publié le par justin

Si t'es pédé, je vais te descendre ici et maintenant : le cauchemar tchétchène continue
Un récent rapport décortique avec précision le crime contre l’humanité qui se poursuit en Tchétchénie. LECTEUR AVERTI.
 
« Si vous vous sentez en danger, vous êtes menacé, contactez-nous immédiatement à l’adresse kavkaz@lgbtnet.org », pouvait-on lire dans le post scriptum de l’article de Novaya Gazeta publié le 1er avril 2017. La purge anti-gay tchétchènes éclatait à la face du monde.
 
En quatre mois, plus de cent trente personnes ont crié à l’aide sur cette boite mail. La plupart cherchaient à être évacuées de Tchétchénie ou des régions voisines du nord du Caucase, où l’horreur a frappé par trois vagues de violences successives depuis la fin de l’année 2016.
 
« Les persécutions continuent à l’heure où est publié ce rapport », débute le texte lourd de 30 pages et d’autant de témoignages anonymes diffusé le 31 juillet.
 
E.F. : J’avais des bracelets au poignet et un sac en cuir qu’un homme « hétéro » n’aurait probablement pas porté, plein de produits de beauté – des lingettes, un set de manucure, etc. Les policiers ont vu tout ça et j’ai entendu « T’es pédé ? Parce que si tu l’es, je vais te tirer dessus ici-même ». C’est le responsable du Service régional des affaires intérieures (ROVD) d’Argun qui m’a dit ça. C’était suffisant pour m’emprisonner
 
 
Cruauté, sadisme et insalubrité
 
À la fin de l’année 2016, les entreprises – bien chiadées – d’extorsion de fonds, de menace et de chantage ont laissé place à une purge massive et organisée. Les personnes arrêtées pour possession de drogue ou pour sympathie terroriste, cibles régulières du régime autoritaire de Ramzan Kadyrov, bénéficient soudain d’un statut privilégié par rapport à leurs compagnons de cellule : un accès à la nourriture, à des lits superposés, aux effets personnels livrés par leurs proches. Coups répétés portés dans toutes les parties du corps, torture par électrocution attachés à des chaises, surnoms féminins et humiliation permanente, manque d’eau, de nourriture et de sommeil sont à l’inverse le lot de ceux « qui n’existent pas dans la République tchétchène », d’après les mots du porte-parole du régime.
 
A.B. : J’ai tenu autant que j’ai pu (…). Un jour ils m’ont montré une vidéo de torture qu’ils avaient filmée. Ils avaient attrapé un un gars qui aurait eu des contacts avec des terroristes. Ils lui ont enfilé un tube creux, dans l’anus, puis ils ont inséré le fil barbelé dans le tube. Ils ont ensuite retiré le tube et après ils ont lentement tiré le fil barbelé. Quand je regardais ça j’ai réalisé qu’ils avaient apporté le tube et le fil barbelé. J’ai craqué. J’ai accepté de collaborer.
 
 
G.H. : Nous n’avions pas le droit de manger, de marcher ou de dormir.
 
 
C.D. : Ils ont accroché des pinces à mon corps. Ils riaient pendant que je hurlais.
 
 
K.L. : On nous a obligés à nous allonger par terre, les fesses en l’air, et chaque personne de la cellule devait nous frapper trois fois. Au fil de la semaine, il y avait déjà 18 personnes LGBT détenues ici et torturées. Le plus jeune avait environ 17 ans et le plus vieux 47. On n’avait pas le droit de se laver. Certains détenus avaient des plaies ouvertes et la cellule commençait à sentir la viande pourrie.
 
 
A.B. : Ils appréciaient la torture. Nous étions forcés de frapper les autres et de les électrocuter. Ils ont ordonnés aux autres détenus de faire ce qu’ils voulaient de nous.
 
 
L.M. : Sur la machine d’électrocution, ils avaient écrit « détecteur de mensonge ». Ils ont jeté de l’eau sur ma peau pour me faire encore plus mal. »
 
 
E.F. : Ils me mettaient des sacs plastique autour de la tête et quand je manquais d’oxygène, ils déchiraient le sac et me frappaient les jambes en même temps.
 
 
Quel avenir en dehors des prisons ?
Ces détentions illégales durent quelques semaines; un mois dans les pires situations. Une fois sortis de ces enfers, le LGBT Russian Network déplore l’état critique et mental des survivants. « Au moins trois d’entre eux ont tenté de se suicider », mentionne ces lignes. Certains, dont le nombre est incertain, ont succombé aux actes de torture. Les victimes qui ont survécu sont relâchées à l’issue d’une sombre cérémonie en présence de leurs proches.
 
 
 
O.P. : Si tu es important, tu es libéré pour plus de 3.000 roubles. Si tu n’es rien, tu peux t’en tirer pour 300. Mais si tu es important et que tu peux apporter la honte sur les autorités ou l’administration, tu ne seras pas libéré. Tu seras tué. Tes proches ne pourront pas acheter ta libération. »
 
 
Une autre mesure conditionne la sortie de prison : “laver l’honneur par le sang”. Certaines familles se livrent au crime d’honneur en assassinant leur proche. D’autres le prétendent, allant même jusqu’à organiser de fausses funérailles pour cacher aux autorités le départ de leur parent, aux risque de de devenir eux-même la cible de ces exactions. « Par cette sévère exécution, la famille démontre qu’elle renonce seulement à son parent en vertu de la tradition tchétchène, mais aussi qu’elle valorise ces traditions davantage que ses liens de parenté », analyse le rapport qui ne fait pas non plus de doute sur l’implication des autorités tchétchènes.
 
L’association identifie même trois fonctionnaires haut placés et impliqués dans ces actes de violences, à commencer par le porte-parole du Parlement tchétchène, Magomed Daudov (surnommé « Le Seigneur »); ce dernier aurait animé ces cérémonies de remise des victimes, demandant expressément aux familles de se livrer au crime d’honneur. Le rapport blâme aussi Aiub Kataev à la tête du ministère des affaires étrangères de la fédération de Russie, et Abuzaid Vismuradov (surnommé « Le Patriote »), qui supervise la division « Terek » (СОБР), un groupe d’intervention rapide créé pour la lutte antiterroriste.
 
 
 
V.W. : On m’a dit : on a des affaires criminelles non résolues. Nous pouvons vous en accuser si vous ne collaborez pas.
Les femmes lesbiennes ne sont pas épargnées
« Les personnes LGBT elle-même pensent qu’elles devraient être traitées de cette façon, que leur sexualité est anormale, maladive, péché », s’inquiète l’association de défense des minorités sexuelles. Dans ce contexte général de violence, les femmes sont encore plus vulnérables. Les bourreaux ne sont pas nécessairement les autorités, mais leurs parents masculins, frères ou pères, qui récupèrent les outils des prisons : coups et torture.
 
 
 
P.Q. : Si n’importe quel adversaire avait appris que je suis lesbienne, ils m’auraient frappée et violée; ils auraient filmé la scène et l’auraient partagé avec d’autres, ou ils m’auraient simplement tuée… C’est ce qui arrive aux filles.
 
 
« Un jour mon frère est entré dans ma chambre, s’est assis face à moi avec un pistolet et m’a demandé de me tuer. (…) Il a dit que ce serait plus facile d’expliquer aux autres que je m’étais tiré dessus par accident. » L’auteure de ces mots, R.S., aurait tenté de s’enfuir à plusieurs reprises. Internée un mois entier dans un institut psychiatrique par demande de son frère, elle a même élaboré un plan pour atteindre à Moscou, sans succès. Ramenée de force au domicile familial, elle est décédée une semaine plus tard des conséquences de la grippe, comme l’indique son certificat de décès. Mais les sources de LGBT Russian Network dénoncent un empoisonnement.
 
Du témoignage au procès
Outre la centaine d’hommes arrêtés et torturés en dehors de tout cadre légal, les témoignages font état d’une douzaine de meurtre commis durant cette purge anti-gay, et parfois même au-delà des frontières tchétchènes. Soixante-quatre autres ont été secourus et envoyés en lieux sûrs, dans les régions centrales de Russie, grâce aux actions périlleuses du LGBT Russian Network. En France, Urgence Tchétchénie a participé au secours de l’un de ces hommes. En parallèle, plusieurs actions de sensibilisation ont soulevé l’émoi international, accentuant par la même occasion l’hostilité homophobe en Tchétchénie.
 
Tous les témoignages recueillis par Novaya Gazeta et les militants du LGBT Russian Network n’ont pas seulement vocation à alerter l’opinion publique et les gouvernements. Ils serviront de soutien probatoire dans un procès contre Ramzan Kadyrov, le leader tchétchène, qui sera mené par les organisation internationales de défense des droits de l’homme auprès de la Cour pénale internationale.

 

http://tetu.com

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Tchétchénie : les gays pourchassés et torturés

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Tchétchénie : les gays pourchassés et torturés

Le réseau russe LGBT vient de rendre publique une série de témoignages accablants sur la chasse aux homosexuels sous le régime de Ramzan Kadyrov.

 

Selon le rapport publié par le journal Novaïa Gazeta, les homosexuels arrêtés en Tchétchénie sont détenus dans des lieux tenus secrets, dans des conditions inhumaines et systématiquement soumis à des traitements dégradants. L'un d'entre eux, P. M., témoigne ainsi de son séjour en prison : « Tous les jours, des homosexuels étaient internés. Notre cellule était très petite et on devait s'y entasser à 15 ou 16. On ne pouvait ni manger, ni marcher, ni dormir. Il m'est arrivé d'être battu par 7 ou 8 gardiens. À coups de botte, car ils disaient qu'ils étaient dégoûtés de nous toucher avec les mains. Ensuite, ils ont commencé à me battre avec des tuyaux en plastique. »

Les prisonniers mentionnent également des cas de torture, notamment à l'aide de barbelés ou à l'électricité, comme l'explique L. M. : « Ils m'ont attaché les chevilles avec des pinces métalliques et placé des fils sous les ongles. J'ai ainsi été électrocuté plusieurs fois, également après qu'ils m'eurent aspergé d'eau pour que cela soit plus douloureux. Ensuite, ils nous ont allongés sur le dos et tous ceux qui étaient dans la pièce devaient nous frapper avec un tuyau. » « Tous les détenus LGBT ont été torturés de la même manière, précise K. L. Certains, à cause des coups de matraque sur les jambes, avaient des plaies ouvertes. Et comme nous n'avions rien pour désinfecter, elles finissaient par s'infecter. » M. N. ajoute : « Si j'étais resté là-bas, je me serais pendu. »

Faux sites de rencontres

Toutes les personnes arrêtées parce que soupçonnées d'avoir une « sexualité déviante » restent détenues au moins un mois. Et les tortures psychologiques sont également au programme, comme le raconte E. F. : « Il était presque impossible de dormir, car les gardiens pouvaient venir à tout moment. De toute façon, pour nous, c'était toujours la nuit, car les cellules n'avaient pas de fenêtres. Il leur arrivait de nous mettre un sac sur la tête, et quand ils voyaient que l'air s'épuisait, ils le retiraient rapidement. »

Pour confondre les personnes soupçonnées d'homosexualité, la police recourt à de faux sites de rencontres. Les victimes se voient proposer un rendez-vous et c'est là qu'elles se font interpeller. Les policiers utilisent ensuite les contacts trouvés sur leur portable pour en piéger d'autres, et ainsi de suite. Selon E. F., la police cherche également à recruter des indicateurs : « Un flic m'a dit : On te laisse sortir sur-le-champ, mais seulement si tu travailles pour nous. Tu vas traquer des pédés pour notre compte, tu es des nôtres, maintenant ! » Certains acceptent, comme le reconnaît A. B. : « J'ai craqué après avoir été obligé de regarder une vidéo dans laquelle on voyait les tortures qu'on voulait me faire subir si je ne collaborais pas : un tube entouré de fil barbelé introduit dans l'anus d'une victime. »

Des militaires en uniforme

Tous les témoignages concordent : ce sont les autorités tchétchènes qui orchestrent ces persécutions. E. F. se souvient : « Le chef s'appelait le Petit, il était en civil. Mais ceux qui m'ont livré à la police étaient des militaires en uniformes. » D'autres se remémorent avoir croisé dans leur lieu de détention le président du Parlement tchétchène, Magomed Daoudov, surnommé le « Seigneur » de sinistre réputation. « Quand on l'a vu arriver, on a tous perdu l'espoir de sortir vivants », explique O. P. C'est lui qui tentait de persuader les parents de « laver la honte de la famille par le sang ». Le journal Novaïa Gazeta, qui a enquêté sur la situation des homosexuels en Tchétchénie, a publié le mois dernier une liste de 27 personnes exécutées sans procès. Les autorités tchétchènes n'ont pas démenti.

 

.lepoint.fr

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Russie : un footballeur sanctionné pour avoir répondu à des insultes homophobes

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Russie : un footballeur sanctionné pour avoir répondu à des insultes homophobes

Yohan Mollo, un footballeur français qui évolue au poste de milieu offensif au Zénith Saint-Pétersbourg en Russie, a été suspendu pour deux matchs par la Russian Football Union suite à un doigt d’honneur qu’il a lancé aux supporters lors d’une rencontre disputée avec la réserve.


Le joueur français a dû supporter des chants homophobes répétés « Mollo est un PD » lors du match contre le FC Sibir Novosibirsk la semaine dernière, selon le site d’information russe Sovsport.


L’ancien Stéphanois âgé de 28 ans doit faire face à des insultes et des critiques depuis qu’il a posté sur Instagram une photo de lui, au lit, un autre homme l’embrassant sur le front. On a appris finalement que l’homme était tout simplement son  père !


Mollo, qui a signé pour le Zenit en janvier dernier, a fait un doigt d’honneur aux supporters alors qu’il quittait le terrain pour la mi-temps.
En plus de sa suspension pour deux matchs, le joueur français devra payer une amende de 20 000 roubles (soit 279 euros). Son club a annoncé par ailleurs qu’il le sanctionnerait aussi.


Punis pour avoir réagi aux insultes, il a déclaré au journal américain « Sport-Express »: «Ce n’était qu’une blague, ils jouaient avec moi et je faisais de même».
«Désolé, mais il est inutile de discuter d’un problème qui n’existe pas», a t-il ajouté.
Le président du Zenit, Sergei Fursenko, a déclaré que la sanction de Mollo était «juste».
«Nous travaillons également avec les fans pour éviter de telles choses, nous ne nions pas notre responsabilité».

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EN BRETAGNE, LA CPAM 29 (FINISTERE) DISCRIMINE LES TRANS !

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EN BRETAGNE, LA CPAM 29 (FINISTERE) DISCRIMINE LES TRANS !

Les personnes trans sont discriminées par la CPAM 29 : nous appelons à la mobilisation des partenaires locaux et nationaux, associations, collectifs et individu.e.s trans et allié.e.s. afin de dénoncer cet état de fait !

Ouest Trans vient d’apprendre la réponse négative à la procédure de recours entamée par l’un de ses adhérents. Après une rencontre peu satisfaisante ayant eu lieu au printemps avec l’association, la CPAM 29 fait toujours preuve d’un manque de volonté manifeste à améliorer l’accès aux soins des personnes trans et à s’engager contre les discriminations au sein même de leur propre administration et à simplement assurer le respect des droits de leurs assuré.e.s.

La CPAM du Finistère vient en effet de légitimer (en recours) une demande d'entente préalable pour une mammectomie selon une procédure "exceptionnelle" qui n'a aucune existence légale et s'appuie sur un protocole non-officiel établi par le médecin conseil national et l'organisme des tutelles: cette opération n’est en aucun cas soumis à entente préalable par le Code de la Sécurité Sociale.

Déjà alertée par plusieurs témoignages de refus de remboursement concernant des chirurgies de certaines personnes dans le cadre de leurs transitions, Ouest Trans a envoyé le 23 mars une lettre à la CPAM29 afin de débloquer ces situations de manière urgente. Plus d'un mois après, une réponse nous est parvenue afin de fixer un rendez-vous. Cette rencontre a eu lieu le 16 juin à la CPAM de Quimper en présence de deux des membres du bureau de Ouest Trans ainsi que du Directeur de la CPAM 29, M. Joel Quiniou et du Dr Isabelle Caprais, médecin conseil et responsable de l'échelon local du service médical.

Lors de ce rendez-vous , les réponses qui nous ont été faites sont restées vagues et insatisfaisantes, aucun engagement ne nous a été signifié et aucune preuve ne nous a été donnée d’une volonté quelconque de la part de la CPAM 29 de respecter les droits des personnes trans d'un point de vue général, ni même de débloquer les situations individuelles problématiques en cours.

Alors que des rendez-vous similaires avec les CPAM 35 et CPAM 22 avaient permis d'aboutir à un éclaircissement satisfaisant et des échanges constructifs allant dans le sens d'une véritable prise en compte des difficultés rencontrées par les personnes trans, la CPAM 29 est restée fermée au dialogue, et semble être restée sur un point de vue rigide, complètement aveugle aux réalités sociales de ses assuré.e.s.

LE FINISTERE, UNE SITUATION "D'EXCEPTION" PREOCCUPANTE

Depuis la création de Ouest Trans, nous avons pu nous rendre plusieurs fois dans le Finistère, notamment pour y tenir des groupes de parole. Nous avons été choqués par plusieurs témoignages de situations catastrophiques que peuvent rencontrer les personnes trans, à un niveau administratif mais surtout au niveau de l'accès au soin. En effet, des signalements de cas de maltraitances médicales nous ont été rapportés, ainsi que, plus globalement, de nombreux obstacles à l’accès aux soins, et à leur remboursement.

Nous rappelons que la situation géographique des personnes trans est souvent un obstacle supplémentaire dans leurs démarches, elle ne fait qu' accentuer des situations de précarité financière et renforce leur isolement, les privant ainsi d'informations sur leurs droits et de soutien communautaire mais aussi quelquefois d'une simple sociabilité sécurisante.

FACE A L'URGENCE DE LA SITUATION EN FINISTERE, OUEST TRANS APPELLE A UNE MOBILISATION COLLECTIVE POUR GARANTIR NOTRE ACCES AUX SOINS!

Si vous rencontrez vous aussi des difficultés auprès de la CPAM 29 concernant vos droits à remboursement de chirurgies, vous pouvez saisir le défenseur des droits, individuellement ou avec l’aide d'une association de plus de 5 ans d'existence. N'hésitez pas à nous contacter pour que nous aidions dans cette démarche.

Si une demande d'entente préalable vous est demandée pour une mastectomie, n'hésitez pas à faire un recours dans les deux mois après la notification du rejet, puis à aller jusqu'au tribunal administratif si il le faut (procédure non payante).

Contact : ouesttrans [at] gmail.com

[COMMUNIQUÉ DE OUEST TRANS]

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Etats-Unis : les musulmans plus tolérants que les évangéliques envers l’homosexualité

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Etats-Unis : les musulmans plus tolérants que les évangéliques envers l’homosexualité

Le Centre Pew Research a publié, mercredi 26 juillet, une nouvelle étude sur les musulmans américains. Parmi la mine d’informations révélées, l’une d'elles retient l'attention : au cours de la dernière décennie, les musulmans des Etats-Unis sont devenus de plus en plus tolérants vis-à-vis de l’homosexualité. 

Aujourd’hui 52 % d’entre eux estime que l’homosexualité devrait être acceptée par la société tandis que 33 % jugent qu’elle devrait être découragée. L’étude démontre que cette tolérance augmente à vitesse grand V. En effet, en 2007, ils n’étaient que 27 % a penser que l’homosexualité devrait être accepté, un chiffre monté à 39 % en 2011. 

Dans le même temps, les Américains qui tolèrent l'homosexualité représentaient 51% de la population en 2007 ; aujourd'hui, ils sont 63 % en 2017. En revanche, les protestants évangéliques tolérant l'homosexualité ne représentent que 34 %, ce qui en fait le groupe religieux le plus intolérant des groupes sondés. 

Les Américains musulmans ont toutefois des « opinions plus conservatrices » que le reste de la population, affirment les auteurs du rapport, pour qui l’évolution des positions des musulmans sur l'homosexualité est imputée à la jeunesse. 60 % des jeunes musulmans nés dans les années 2000 pensent en effet que l’homosexualité devrait être accepté par la société. 

 

saphirnews.com

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Une association catholique incite les homosexuels à la chasteté

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Une association catholique incite les homosexuels à la chasteté
« Les rapports homosexuels font du mal. Répondre à ses pulsions ne permet pas d’aller mieux. » Les propos de ce jeune diacre de 34 ans, membre de la Communauté de l’Emmanuel, peuvent surprendre. Ils ont en tout cas le mérite de résumer l’idéologie du parcours homosexualité, dont la troisième édition, organisée par l’association Courage, en partenariat avec la Communauté de l’Emmanuel, réunit, jusqu’à ce dimanche, une trentaine de fidèles, à Paray-le-Monial.
 
Qu’ils aient 25 ou 50 ans, ces chrétiens catholiques partagent le même idéal : vivre une vie de chasteté (sans masturbation ni rapport sexuel). Seulement, les attirances sont là et ils sont nombreux à rechuter. « J’ai annulé mes vacances en Corse pour venir assister à ce parcours. C’est là que le Christ veut que je sois. Je suis un homme vif. Les tentations sur la plage sont trop fortes », reconnaît Daniel* , un professeur de chant lyonnais de 53 ans. Pour beaucoup, lutter contre ses pulsions homosexuelles représente une souffrance quotidienne. C’est pourquoi Daniel a, pendant près de dix ans, arrêté de vivre sa foi...

 

.lejsl.com

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Annette Bening et Warren Beatty : Leur fils transgenre dévoile son nouveau corps

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Annette Bening et Warren Beatty : Leur fils transgenre dévoile son nouveau corps
A 25 ans, Stephen est l'aîné de la fratrie qui n'a jamais la langue dans sa poche.

En couple depuis vingt-six ans et mariés depuis 1992, Annette Bening (59 ans) et Warren Beatty (80 ans) sont les heureux parents de quatre enfants : Ella (17 ans), Isabel (20 ans), Benjamin (22 ans) et Stephen Ira (25 ans).

Annette Bening et Warren Beatty : Leur fils transgenre dévoile son nouveau corps
Né Kathlyn, l'aîné du clan avait affirmé très tôt qu'il n'était pas une fille mais bien un garçon. Malgré l'écrasante célébrité de ses parents, le jeune homme n'a jamais eu peur de prendre la parole pour s'affirmer tel qu'il est.
 
UN MILITANT "RÉVOLUTIONNAIRE"
Preuve en est avec les photos qu'il publie parfois sur son compte Twitter. Très actif sur le réseau social, une plateforme qui lui permet d'élever régulièrement la voix pour défendre les droits LGBT, Stephen Ira a posté plusieurs clichés où on le voit prendre la pose torse nu, la poitrine marquée par les cicatrices de sa mastectomie bilatérale de réassignation sexuelle. Une façon pour lui de contrer les différentes attaques menée contre la communauté transsexuelle, notamment avec les dernières mesures de Donald Trump aux Etats-Unis.
 
Depuis le début de son mandat, le président a annulé la plupart des décrets anti-discrimination mis en place par Barack Obama, la dernière en date étant l'exclusion des personnes transsexuelles au sein de l'armée américaine. "J'ai tweeté beaucoup de choses sur la misère transphobe aujourd'hui. Prenons en compte ceci avec cette jolie photo de moi. Les personnes trans sont belles", avait écrit Stephen le 22 avril dernier en légende d'une photo où il apparaît à la plage, serviette autour du cou.
Annette Bening et Warren Beatty : Leur fils transgenre dévoile son nouveau corps
Annette Bening et Warren Beatty : Leur fils transgenre dévoile son nouveau corps

En 2012, alors âgé de 20 ans, Stephen Ira s'était confié dans une vidéo réalisée pour le site internet WeHappyTrans.com pour se présenter officiellement. "Mon nom est Stephen. Je m'identifie comme un homme transsexuel, un homosexuel, une reine, un combattant nerd, un écrivain, un artiste et un garçon qui a besoin d'une coupe de cheveux", avait-il déclaré. Il avait aussi profité de cet enregistrement pour remercier toutes les personnes qui l'avaient soutenu dans sa transition. "Mes amis et mes pairs, que j'ai la chance d'avoir rencontrés depuis le lycée, depuis que j'ai fait mon coming out et ai décidé de vivre comme un garçon à l'âge de 14 ans", avait-il ajouté.

Mon fils transgenre est mon héros

En 2013, il s'était par ailleurs engagé dans la campagne Healthcare for All afin de défendre les droits des transsexuels dans l'Etat de New York. "J'ai grandi en dehors de New York, mais j'ai toujours su que je voulais y déménager pour y retrouver la vibrante communauté artistique. En tant que trans, j'avais espéré y être le bienvenu mais la plupart des personnes transsexuelles ne le sont pas, car nous n'avons pas accès à la couverture santé de base dont nous avons besoins pour survivre", avait-il déclaré.

En octobre 2016, Warren Beatty s'était exprimé au sujet de son fils lors d'un entretien accordé au magazine Vanity Fair, décrivant un jeune homme "révolutionnaire". "C'est un génie et c'est mon héros, comme le sont tous mes enfants", a déclaré l'illustre comédien. Le mythique interprète de Clyde a mis plusieurs années avant de soutenir la nouvelle vie de son fils, dont il avait seulement accepté le changement de sexe en 2012.

De son côté, Annette Bening s'était dite "super fière de lui" dans une interview publiée en février dernier pour le journal The Guardian. "Je lui laisse la responsabilité de dire ce qu'il veut au sujet de sa vie. Je ne pense pas que ce soit juste de parler pour mes enfants, très honnêtement", avait-elle alors glissé.

 

purepeople.com

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Bergoglio fait l'éloge du loup déguisé en prêtre Don Milani, juif marrane, homosexuel et pédophile

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Bergoglio fait l'éloge du loup déguisé en prêtre Don Milani, juif marrane, homosexuel et pédophile

Bergoglio a visité la tombe de Don Milani « prieur de Barbiana à partir de 1954».

 

Le 20 juin dernier, les grands quotidiens italiens, laïcistes, athées, agnostiques, gauchistes, radicaux-socialistes, anticléricaux, etc., ont salué, applaudi, célébré, à grands renforts de gros titres et articles louangeurs, cette visite pontificale à la tonalité particulière. Bergoglio a fait l‘éloge de ce loup déguisé en prêtre, en affirmant que « l’Église reconnaît en cette vie une façon exemplaire de servir l’Évangile, les pauvres et l’Église elle-même. »

 

Don Milani, juif marrane (juif faussement converti au catholicisme), « intellectuel inquiet, utopiste et intempérant » ne fut pas en effet seulement un "prêtre" révolutionnaire, anarchiste, rebelle envers l’autorité, et dont l’œuvre « Expériences pastorales » fut retirée de la vente en 1958 après sa mise à l’index par le Saint-Office. Il fut aussi un éducateur à la pédagogie bien particulière dans l’école de Barbiana qu’il fonda dans les années 50. « Audacieux et désinhibé ce qu’il faut, écrit Elisabetta Frezza sur Riscossa Cristiana, pour incarner l’éducateur parfait du monde nouveau. »

 

En Italie, n’est-il pas d’ailleurs considéré par les gauches progressistes au pouvoir un modèle d’éducateur ? « Théoricien de l’école égalitaire », maître à penser « des enseignants jacobins », apôtre de la Révolution française, il est la figure idéale pour asseoir le nouveau modèle culturel mondialiste, déstructurant, déconstructeur et destructeur de toute morale. Bergoglio avait bien fait remarquer dans un message vidéo retransmis en avril dernier à l’occasion de la réédition de l’Opera Omnia du loup déguisé en prêtre, retirée de l’index :

 

« Comme éducateur et enseignant il a indubitablement pratiqué des parcours originaux, parfois, peut-être, trop avancés et donc, difficiles à comprendre et à accepter dans l’immédiat. »

 

Pour appuyer son portrait d’un don Milani chouchou de l’intelligentzia actuelle, Elisabetta Frezza cite des passages d’un article paru dans la Reppublica, journal bien-pensant italien s’il en faut, à la pointe de toutes les révolutions culturelles post-soixante-huitardes :  la journaliste Silvia Ronchey n’hésite pas à décrire le prêtre comme

« un héritier de la haute bourgeoisie juive d’ancien lignage, aux positions libérales enracinées, et aux traditions culturelles raffinées… qui se fait traître à son milieu, et aux camps autoritaires de sa propre église, si ce n’est, ensuite, à ceux des partis… un juif non-pratiquant qui fait indigestion du Christ. »

 

Et plus loin, la description se fait plus précise :

« Fasciné par la littérature, par la poésie, par la peinture dès l’adolescence, artiste bohème à l’homosexualité non dissimulée dans la Florence des années 30, sa première rencontre avec le missel romain a quelque chose de dandystique. »

 

L’allusion à l’homosexualité du futur Don Milani par  Silvia Ronchey n’est pas même voilée ! 

 

Et voici maintenant quelques passage de l’œuvre republiée de Don Milani qui dévoile sa pédérastie :

«Et je sais que si je cours un risque pour mon âme ce n’est certainement pas d’avoir peu aimé, plutôt d’aimer trop (c’est-à-dire de me les porter aussi au lit!) ».

 

Dans une lettre à un journaliste qui deviendra son biographe il écrivait encore :

« Et qui pourrait aimer les enfants jusqu’à l’os sans terminer par le leur mettre aussi dans le derrière, si ce n’est un maître qui aime aussi Dieu et craint l’enfer. »

 

Et c’est ce loup pédophile déguisé en prêtre que Bergoglio loue et donne en exemple :

«J’aimerais que nous nous souvenions de lui surtout comme d’un croyant, amoureux de l’Église même si blessé, et éducateur passionné avec une vision de l’école qui me semble une réponse aux exigences du cœur et de l’intelligence envers nos jeunes et nos enfants. »

 

Le pape François, qui veut redorer le blason de don Milani, oublie

« le récent scandale pédophile du Forteto, où les disciples des méthodes éducatives du prêtre juif homosexuel, écrit Maurizio Blondetsur son blog, effectivement « le mettaient dans le derrière » des enfants et pas par métaphore. »

 

« Et Bergoglio, s’exclame Blondet que l’on sent scandalisé, a choisi ce moment-même, l’avancée du totalitarisme sodomite, pour le glorifier. »

 

D’ailleurs continue-t-il

« tout de suite la Fedeli [ministre actuelle de l’Éducation nationale en Italie, ndlr], cette ministre qui est à la tête de l’école dans le seul but d’imposer la théorie du genre a « recueilli avec satisfaction l’invitation de Bergoglio : nous nous souviendrons de don Milani et nous le rendrons protagoniste d’une mémoire active en le prenant comme modèle du vrai éducateur passionné par une école ouverte et inclusive. »

 

source : Medias Presse Info

 

"Nous avons fait entrer dans l'organisation catholique quelques-uns de nos enfants avec des instructions formelles de travailler d'une façon plus efficace à la rupture de l’Église catholique, en créant des scandales dans son sein. Nous suivons ainsi le conseil de notre Prince des Juifs qui nous a si sagement recommandé : "Faites de vos fils des chanoines afin qu'il puissent détruire l’Église." ... Mais l’Église catholique vit encore ... Il faut que nous la détruisions dans le moindre délai et sans la moindre pitié. Presque toute la presse du monde est entre nos mains : encourageons donc d'une façon plus violente la haine mondiale contre l’Église catholique." propos tenus en 1936, à Paris, par le Suprême Conseil de la secte judéo-maçonnique des B'nai B'rith (source : Catholic Gazette)

 

 

Lire aussi : à propos de l'amalgame honteux entre l'Eglise catholique et les affaires de pédophilie dans "l'Eglise" (secte) conciliaire

Lire aussi :Bergoglio reçoit le Congrès Juif Mondial pour vanter les idéologies maçonniques du cosmopolitisme, de la religion mondiale et de la fraternité universelle

Lire aussi :la secte maçonnique du Grand Orient d'Italie (G.O.I) avoue que Bergoglio partage le même message que la franc-maçonnerie

Voir aussi : le père Joseph-Marie à propos de Bergoglio

Voir aussi : Johan Livernette : Bergoglio, les preuves d’une imposture

Voir aussi : Bergoglio, l'ami des athées

Lire aussi :[la Sapinière.info - Rivarol] François et les sodomites

Voir aussi : les hérésies de Bergoglio sur les juifs

Lire aussi : Quand le "pape" François recevait le Congrès Juif Mondial (WJC)

Voir aussi : Bergoglio reçoit la secte judéo-maçonnique du B'nai B'rith

Voir aussi : Quand les judéos-maçons du B'nai Brith et les francs-maçons du Grand Orient d'Italie (GOI) se félicitaient de l'élection du "pape" François

Lire aussi : "Chrétiens ou Marranes", par Louis-Hubert Remy

Lire aussi : [Sodalitium] le problème des marranes, par l'abbé Curzio Nitoglia

Lire aussi : "des francs-maçons au Vatican", par Arnaud Delassus

Voir aussi : Mgr Fellay (FSSPX) évoque l'influence des sectes maçonniques au sein de l'Eglise conciliaire

Lire aussi : [PDF] "Infiltrations ennemies dans l'Eglise", par Henry Coston

 

 

http://valentin.beziau-ump77.over-blog.com

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Les feux de l’amour : vers la première histoire d’amour gay du soap ?

Publié le par justin

Les feux de l’amour : vers la première histoire d’amour gay du soap ?

Les feux de l’amour vont-ils finalement s’aventurer sur des terrains inexplorés ? Au cours des dernières semaines dans le feuilleton aux Etats-Unis, une attraction progressive a été construire entre Tessa (Cait Fairbanks) et Mariah (Camryn Grimes), deux femmes qui sont en relation mais insatisfaisante avec des hommes. Jusqu’à présent, cette romance potentielle se résumait principalement à regards désordonnés, des pauses significatives et quelques approches maladroites. Jusqu’à ce que leurs lèvres se croisent finalement…

Les deux actrices ont eu interdiction de parler à la presse de cette intrigue et TV Insider révèle par ailleurs que des sources internes de la chaîne sont très fileuses au sujet de cette histoire en développement. Le support tente de comprendre cette frilosité. Cette réticence pourrait venir du fait que le soap vient tout juste de chnager de scénriste en chef. Mais il n’y a aucun doute sur le fait que Les feux de l’amour est le seul soap sans personnage LGBT éphémère ou historique.

En 1977, les soupçons d’une liaison entre Katherine Chancellor et son amie Joann avaient par ailleurs déclenché une telle indignation du public que l’intrigue avait été instantanément interrompue. Il a fallu plus de 30 ans pour deux personnages masculins - Phillip et Rafe - puissent être identifiés comme homosexuels.

 

toutelatele.com

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En Russie, un journaliste gay menacé d'expulsion tente de se suicider

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En Russie, un journaliste gay menacé d'expulsion tente de se suicider

Par décision de justice, les autorités russes ont décidé d’expulser en Ouzbékistan Ali Feruz, journaliste à Novaïa Gazeta. Homosexuel, ce dernier craint de retourner dans un pays où il a déjà été torturé.

Ali Feruz, c’est son nom de plume. Un alias qui témoigne de la difficulté d’exercer le métier de journaliste en Russie. Khoudoberdi Nourmatov, de son vrai nom, était journaliste indépendant pour le journal russe Novaïa Gazeta. C’était avant de se faire arrêter par la police lors d’un contrôle d’identité, le 1er août, et d’être transféré dans un commissariat à Moscou. Présenté à un juge le lendemain, Ali Ferouz tente de s’ouvrir les veines à l’aide d’un stylo à l’annonce de son expulsion vers l’Ouzbékistan. Des huissiers présents lors de l’audience l’empêchent d’aller au bout de son geste.

Depuis mai, et le refus du département de l’immigration russe de lui accorder le statut de réfugié, Ali Feruz est plus que jamais en danger. Tous les recours possibles sont épuisés. Lui, comme sa famille, redoute une expulsion vers l’Ouzbékistan. Et pour cause. Ouvertement gay, militant pour les droits de l’homme et journaliste, Ali Feruz représente tout ce qu’il y a de plus insupportable, dans un pays qui occupe la 169e place sur 180 au classement mondial 2017 de la liberté de la presse, et où l’homosexualité entre hommes est passible de trois ans d’emprisonnement. De nombreux rapports mettent également en exergue un usage généralisé de la torture dans les geôles ouzbèkes.

Première alerte

Une réalité que le journaliste a déjà éprouvée. De nationalité ouzbèke mais né en Russie, Ali Feruz est parti s’installer dans son pays d’origine à la fin de ses études en 2008. Il est alors rapidement approché par les services de sécurité intérieure qui souhaitent qu’il collabore avec eux afin d’obtenir des informations sur les islamistes, première force d’opposition dans le pays. Il refuse, et est alors torturé avant de parvenir à quitter le pays. «Il s’est d’abord installé au Kazakhstan, mais ils l’ont retrouvé. Ils ont même menacé sa femme, à l’époque enceinte», confie Alexander Artemyev, porte-parole d’Amnesty International au bureau de Moscou.

Ali Feruz fuit à nouveau. De retour en Russie en 2011, il attendra trois ans avant de régulariser sa situation. Sa demande d’asile ne lui sera refusée qu’en mai dernier. «La Russie n’accorde que très rarement le statut de réfugié», se désole Alexander Artemyev. Selon le rapport d’Amnesty International, Indice d’acceptation des réfugiés, seuls 33% des Russes sont prêts à accueillir des réfugiés dans leur pays, et 1% seulement se dit prêt à les héberger chez soi. Bien qu’à l’époque, Ali Feruz n’ait pas encore eu de retour sur sa demande d’asile, il est quand même arrêté en mars 2017, les autorités le considérant en infraction au regard de la législation migratoire russe. Il finira par être relâché après quelques jours de détention. Tant qu’aucune décision n’avait été rendue sur son cas, rien ne justifiait légalement qu’il soit retenu.

Une situation plus alarmante

Actuellement dans une prison pour migrants sans papiers à Moscou, le journaliste peut encore faire appel contre la décision prise mercredi par le tribunal ordonnant son expulsion. Il aura alors quelques semaines de répit. «Il a dix jours pour faire appel de sa décision. Il sera ensuite fixé sur son sort à la fin de la procédure d’appel», se rassure Alexander Artemyev. Et de poursuivre : «Il faut maintenant que la mobilisation soit grande pour essayer d’obtenir une décision politique favorable à Ali. Nous avons espoir. L’exécutif russe est imprévisible. Quand on voit qu’après trois ans de prison, Ildar Dadin a finalement été libéré sur décision de la Cour suprême, ça nous donne de l’espoir.»

 

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Une jeune fille se fait rouer de coups à la sortie de la fête

Publié le par justin

Une jeune fille se fait rouer de coups à la sortie de la fête

Dans la nuit de samedi à dimanche alors qu'elle s'apprêtait à quitter la fête d'Estramiac, Élodie de Fleurance a été très violemment agressée par trois individus certainement en état d'ébriété. Ces derniers ont été identifiés.L'enquête suit son cours.

Que s'est-il exactement passé dans la nuit du samedi 29 au dimanche 30 juillet sur un parking non loin de la fête d'Estramiac ? Les enquêteurs de la gendarmerie de Fleurance tentent de l'établir, et plus particulièrement depuis mercredi après-midi. En effet, ce jour-là, ils ont enregistré la plainte de la victime d'un véritable passage à tabac ! Les conséquences physiques de cette agression (cf. photo) attestent d'une violence qui rend finalement un tantinet secondaire le partage des torts initiaux qui ont suscité le déchaînement de coups… Récit d'une aube aux brumes alcoolisées qui aurait pu tourner au drame.

Un accrochage d'abord

Samedi dernier donc, la fête bat son plein. Mais, d'évidence, tout le monde n'accorde pas la même signification à cette dernière expression populaire. En conséquence de quoi nombre de jeunes gens et jeunes filles arrivent déjà bien «pleins» sur la fête. Élodie Sainte-Livrade, 23 ans, avoue volontiers qu'elle est de ceux-ci. Le petit groupe qui l'accompagne (sa sœur jumelle et 3 garçons) itou. Mais, tout le monde n'a pas forcément l'alcool mauvais… Élodie passe donc sa soirée tranquille jusqu'au moment — affirme-t-elle — où un gars la bouscule : «Je lui ai signifié qu'il aurait pu s'excuser ; il m'a envoyé bouler.» Et, Élodie d'ajouter : «Un peu plus tard, il est revenu. Il m'a demandé une cigarette. Je lui ai dit qu'il n'avait qu'à s'en acheter… Il m'a alors insulté en me traitant de grosse, puis a tenu des propos homophobes à l'encontre d'un ami. Je l'ai giflé ! Je le reconnais. Mais, j'avais déjà pas mal bu… Apercevant l'embrouille, des gens du comité des fêtes sont venus calmer les esprits.»

Le trio identifié

Élodie croyait bien que l'affaire allait en rester là. Hélas, l'excès de boisson n'a pas — disions-nous — le même effet sur tous les esprits.

«Vers 5 heures, alors que nous nous apprêtions à partir, le gars est revenu avec deux autres jeunes. Il nous a lancés : Nous, on est d'ici… Il m'a sauté dessus. J'ai pris un violent coup de poing dans le visage ! Je suis tombée et je crois que j'ai perdu connaissance. Je ne me souviens plus très bien de tout ! Le trio m'a arrosé de coups de pieds.»

La suite ? Les séquelles que portent sur son corps Élodie semblent en attester : 18 points de sutures au front ; les yeux ensanglantés et entourés d'énormes coquards, une fracture du nez, des cervicales très endolories… «J'ai passé deux jours au centre hospitalier et j'ai 8 jours d'ITT», précise Élodie.

Les agresseurs, tous âgés de moins de 30 ans, ont été rapidement identifiés par les gendarmes et auditionnés. Il s'agira désormais de déterminer le rôle des uns et des autres. On doit donc de toute manière s'attendre à des suites judiciaires.

 

 

ladepeche.fr

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Agde : Adeline, 18 ans, passée à tabac à cause de son homosexualité

Publié le par justin

Agde : Adeline, 18 ans, passée à tabac à cause de son homosexualité

Adeline, jolie brunette, 18 ans depuis le 13 juillet, se terre chez sa maman, Pascale, à Agde. Son visage et son corps portent les traces de coups, mais c’est sans doute psychologiquement qu’elle souffre le plus.

 

Ce jeudi 3 août, la jeune fille rentre à son appartement pour sa pause de l’après-midi. Elle travaille comme serveuse, à l’année, dans un restaurant du Cap-d’Agde. Sa mère lui a loué un petit appartement à deux minutes de là, pour qu’elle n’ait pas de trajet à faire en scooter, tard dans la nuit.

Deux hommes casqués ont agressé la jeune fille chez elle et lui ont crié des insultes homophobes. . Adeline, jolie brunette, 18 ans depuis le 13 juillet, se terre chez sa maman, Pascale, à Agde. Son visage et son corps portent les traces de coups, mais c’est sans doute psychologiquement qu’elle souffre le plus.  

midilibre.fr

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