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Articles avec #lgbt tag

Royaume-Uni Un jeune vendeur refuse de renoncer à se maquiller sur son lieu de travail

Publié le par justin

Royaume-Uni Un jeune vendeur refuse de renoncer à se maquiller sur son lieu de travail

Un jeune vendeur britannique s'estime victime de discrimination pour s'être vu interdit de maquillage sur son lieu de travail.

 

"Il n'existe aucune règle concernant le maquillage au travail!", a répliqué Scott Ayton-Laplanche, vendeur dans un magasin d'électroménager en Grande-Bretagne, à son employeur lui avait demandé de ne plus se maquiller pour venir travailler.

Le jeune homme de 20 ans a jugé cette interdiction "discriminatoire", comme il l'exlique dans un post publié sur Facebook le 6 juillet dernier.

"Je travaille ici depuis huit/neuf mois et je n'ai jamais été réprimé à cause de mon maquillage. En réalité c'est même le contraire... Des supérieurs m'ont même encouragé et complimenté", explique le vendeur qui lie cette mesure à son encontre à l'arrivée d'un nouveau manager dans l'entreprise.

"Je ne vais pas arrêter de me maquiller alors que d'autres collègues féminines sont autorisées à venir travailler comme elles le souhaitent", a-t-il prévenu.

Et il ne devrait pas encourir de sanction car l'entreprise qui l'emploie, Currys PC World, soutient son vendeur expliquant qu'il s'agit d'un malentendu qui ne concerne que le magasin où il travaille.

"Scott est fier de son apparence et Currys PC World est fier de la diversité de ses employés", a-t-elle réagi. 

.e-llico.com

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Etats-Unis : Trystan, homme transgenre, donne naissance à son premier enfant

Publié le par justin

Etats-Unis : Trystan, homme transgenre, donne naissance à son premier enfant

Trystan Reese, un homme transgenre américain de 34 ans, a accouché d'un petit garçon, Leo, samedi 15 juillet.

"Nous sommes sur un petit nuage !" Trystan Reese et Biff Chaplow ont laissé éclater leur joie sur Facebook, samedi 15 juillet, après la naissance de leur petit Leo. Le premier, un jeune homme transgenre de 34 ans, a donné naissance à son premier enfant vendredi 14 juillet, rapporte Le Parisien. Une nouvelle aussitôt partagée par son compagnon, Biff Chaplow, sur le réseau social.

"Leo est magnifique et en très bonne santé", annonce le couple dans une vidéo publiée sur leur page Facebook"La prochaine fois que quelqu'un vous dit que les hommes ne peuvent pas avoir d'enfant... Montrez-lui cette vidéo", poursuit, ému, Biff Chaplow

"Mon corps est génial"

Le couple, qui vit à Portland, dans l'Oregon, a annoncé la grossesse de Trystan Reese en juin, également via une vidéo diffusée sur Facebook. Le jeune homme transgenre, né femme il y a 34 ans, a pu attendre un enfant car il n'a pas souhaité changer son corps. Il a également arrêté de prendre des hormones pour pouvoir tomber enceinte. "J'ai l'impression que c'est un cadeau d'être né avec un corps comme le mien, témoignait-il dans cette vidéo en juin. J'ai fait tous les changements nécessaires pour continuer à vivre avec. Je pense que mon corps est génial."

.francetvinfo.f

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Le gouvernement ne permettra pas l’adoption par des couples homosexuels en Israël

Publié le par justin

Le gouvernement ne permettra pas l’adoption par des couples homosexuels en Israël

Répondant à une demande de la Haute cour, l’Etat cite les “difficultés” pour l’enfant ; des députées accusent le gouvernement d’homophobie

 

Le gouvernement a annoncé dimanche qu’il n’avait pas l’intention de modifier la loi pour permettre aux couples homosexuels d’adopter en Israël.

En réponse à une demande de la Haute cour de Justice, l’Etat a indiqué qu’il ne voulait pas permettre aux couples de même sexe d’adopter car cela placerait un « fardeau supplémentaire » sur l’enfant.

« L’opinion professionnelle du service de l’aide à l’enfance soutient la préservation de la situation existante », om un couple adoptant doit être composé d’un homme et d’une femme, a écrit le gouvernement à la cour.

Ceci « prend en compte la réalité de la société israélienne et la difficulté que peut éprouver l’enfant adopté. »

Le gouvernement répondait à une demande d’autorisation d’adoption par les couples en concubinage et les couples homosexuels.

Plusieurs députées ont condamné la décision du gouvernement

Le gouvernement ne permettra pas l’adoption par des couples homosexuels en Israël
Michal Rozin, députée de Meretz qui préside le Lobby LGBT de la Knesset, Yael German, députée de Yesh Atid, Merav Michaeli, députée de l’Union sioniste, et Merav Ben Ari, députée de Koulanou, ont déclaré dans un communiqué que la décision était homophobe et montrait l’utilisation cynique de la communauté homosexuelle par le gouvernement.
 
« C’est une décision discriminatoire et stupide qui est accompagnée par une homophobie sans précédent, ont-elles dit. Le gouvernement israélien abandonne à nouveau la communauté homosexuelle et ceci souligne l’usage cynique que fait le gouvernement de cette communauté : en anglais, il se vante [d’être un pays progressiste pour les homosexuels], mais en hébreu, ils dénient les droits fondamentaux. »
 
Cependant, pour la première fois, les couples en concubinage auront le droit d’adopter en Israël.
 
L’Etat a indiqué que la position du ministère de la Justice et du ministère des Affaires sociales avait changé et qu’il permettrait aux couples non mariés qui vivent ensemble depuis au moins trois ans d’adopter.
 
Précédemment, seuls les couples mariés étaient éligibles à l’adoption en Israël.
 
Comme les couples gays ne peuvent pas adopter en Israël, ils se rendent fréquemment à l’étranger pour pouvoir le faire
 
.timesofisrael.com

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Drôme : deux ans de prison avec sursis pour un complice d'une agression homophobe

Publié le par justin

Drôme : deux ans de prison avec sursis pour un complice d'une agression homophobe

Le tribunal correctionnel de Valence, dans la Drôme, a condamné, mardi 11 juillet, un homme à deux ans de prison avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve pour complicité de violences dans le cadre d'une agression homophobe, en février à Nyons, rapporte France Bleu Drôme-Ardèche.

Poursuivi à l'origine pour violences aggravées, le prévenu, âgé de 18 ans au moment des faits, avait assuré lors de l'audience, en mai, avoir seulement conduit les deux agresseurs présumés au lieu de rendez-vous avec la victime.

Deux agresseurs présumés jugés ultérieurement

Les deux suspects, âgés de 15 ans, seront jugés ultérieurement par le tribunal pour enfants. Les adolescents sont suspectés d'avoir tendu un guet-apens à leur victime, un habitant de Valréas, dans le Vaucluse.

A la recherche d'une relation amoureuse sur Internet, cet homme de 51 ans s'est rendu à un faux rendez-vous fixé au stade de Nyons par ses agresseurs, dans la soirée du 24 février. En arrivant sur les lieux, le quinquagénaire a été passé à tabac à coups de barre de fer. Ses agresseurs ont accompagné leurs gestes d'insultes homophobes.

La victime a dû être hospitalisée dix jours avant de pouvoir porter plainte. Les enquêteurs sont remontés jusqu'aux adolescents via leurs téléphones portables. Tous deux ont reconnu les faits et ont dit regretter leur geste. Scolarisés au lycée et décrits comme étant plutôt de bons élèves, fils de bonne famille, ils étaient inconnus de la justice.

.francetvinfo.fr

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Canada : une mère musulmane obligée de démissionner de son travail après avoir assisté au mariage de son fils gay

Publié le par justin

Canada : une mère musulmane obligée de démissionner de son travail après avoir assisté au mariage de son fils gay

Une mère musulmane canadienne a été forcée de démissionner de son travail après avoir assisté au mariage de son fils homosexuel .


Son fils, Ali Reza Jessa, a épousé son partenaire de longue date, Paul Hillsdon début juillet.


Bien que la famille de Jessa ait apporté son plein soutien à  cette union, elle a attiré l’attention des dirigeants de leur mouvement islamique Shia Ithna-Asheri.
Une pétition en ligne a circulé en appelant Siddika Jessa à démissionner de son poste de secrétaire général de NASIMCO (l’Organisation des communautés musulmanes nord-américaines Shia Ithna-Asheri).


«Traditionnellement, un mariage est une démonstration publique d’une relation. Ce péché n’a pas été fait en privé, mais a été célébré et promu publiquement. Cela va à l’encontre des interprétations majoritaires légitimes de Jaffari fiqh, que NASIMCO doit défendre.


«Bien que nous croyons qu’il n’est pas nécessaire d’examiner de manière exhaustive ou approfondie la vie personnelle des membres de NASIMCO, cet incident ne peut être rejeté comme« la vie personnelle de la famille d’Ali Reza », indique la pétition
 

La pétition a recueilli plus de 1000 signatures depuis jeudi.
Siddika Jessa a été obligé de démissionner.


Elle a écrit dans une lettre : «Aujourd’hui, en tant que musulmane et mère dévouée qui a eu le privilège de servir nos institutions communautaires, je suis obligé de démissionner par NASIMCO … pour la seule raison que mon fils s’est marié avec un homme, et je voudrais souligner c’est que s’est légal au Canada».


«Ma position aujourd’hui n’est pas seulement celle d’une mère dévouée, mais celle d’un être humain qui a observé avec douleur comment la communauté a usurpé les droits de la création de Dieu au nom de l’islam et a jugé», continue t’elle
«La seule personne à juger mon fils serait Dieu le Jour du Jugement» . «Comment pourrais-je, en tant que mère, discriminer mon propre fils?» conclue t’elle

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Allemagne : un couple gay réfugié interrogé pendant 4 heures

Publié le par justin

Allemagne : un couple gay réfugié interrogé pendant 4 heures

Un couple gay russe qui demandait l’asile en Allemagne aurait été interrogé par un juge pendant quatre heures sur leur sexualité parce que le juge ne croyait pas qu’ils étaient homosexuels.


Pavel Tupikov et Igor Popialkovskii ont fui la Russie après que leur vie ai été menacé alors lorsqu’un policier les faisaient chanter


Les deux hommes ont demandé l’asile à l’Allemagne et Pavel Tupikov devait comparaître devant un juge pour faire appel d’un avis d’expulsion de l’Office fédéral des migrations.
Tupikov a déclaré qu’il avait été interrogé par le juge pendant quatre heures au sujet de sa sexualité parce que le juge ne croyait pas qu’il était gay.


Le juge aurait demandé à propos des partenaires de Tupikov, combien de rencontres sexuelles il avait eut et quelques détails intimes.


«Il voulait tout savoir », Il m’a demandé quand j’avais eu ma première fois, avec qui et comment c’était».


«Le juge a également déclaré qu’il ne croyait pas que nous étions un couple. Comment puis-je prouver que nous sommes un couple? Devions-nous nous embrasser à la cour?»
Popialkovki a déclaré qu’ils vivaient dans la peur alors quand ils étaient encore en Russie. «Nos amis y vivent dans la peur», a-t-il déclaré.


Il a ajouté que son ex-petit ami avait été poignardé dans une attaque homophobe.
Pour Popialkovkii et Tupikov, la Russie ne pourra plus jamais être leur maison, ils espèrent que leur cas sera accepter et qu’ils pourront continuer à vivre et à travailler en Allemagne

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Les demandeurs d'asile gay battus a mort en Allemagne

Publié le par justin

Les demandeurs d'asile gay battus a mort en Allemagne

Après avoir récupéré de leurs blessures, ils sont susceptibles d'être renvoyés dans le même camp de réfugiés où ils ont été attaqués

Un couple gay serbe qui demande l'asile en Allemagne a à peine survécu à une attaque vicieuse dans le camp de réfugiés où ils vivaient.

L'incident a été révélé dans un article de Facebook par Javid Nabiyev sur la page Orgueil Queer Refugees Pride. Les hommes ont été battus la semaine dernière et «étaient presque morts» lorsqu'ils sont arrivés à l'hôpital.

Nabiyev et l'équipe de la fierté Queer Refugees ont débattu de publier une vidéo sur ce qui s'est passé. Mais ils ont décidé de publier non seulement un rapport sur l'événement, mais aussi une vidéo sur les blessures des hommes.

Les hommes mariés sont arrivés à l'hôpital après l'attaque et peuvent être vus couvert de sang. L'un des hommes devra subir une intervention chirurgicale pour ses blessures.

Ils ont été attaqués dans le camp de réfugiés où ils séjournaient, même s'ils avaient essayé de cacher le fait qu'ils étaient homosexuels.

«Combien de personnes doivent faire face à ce type d'attaque, de faire croire à tous, de vous convaincre, que notre situation est urgente? Nabiyev a déclaré dans la vidéo.

«Ce qui s'est passé hier se déroule partout.

«Si cette personne était un citoyen allemand, la police réagirait-elle de la même manière?

Nabiyev avait essayé de faire déménager les hommes dans un camp de réfugiés plus tolérant, mais a été refusé. On leur a dit qu'ils devaient avoir une «bonne raison» d'être déplacé.

«Pour que les fonctionnaires puissent croire et prouver l'urgence de la situation dont ils ont besoin pour faire face à une attaque», at-il déclaré dans la vidéo.

«Ils ne veulent pas croire quand ils se plaignent de la situation de manière verbale».

Nulle part n'est en sécurité

Le nom et l'emplacement des hommes ont été gardés confidentiels pour leur sécurité. Mais aussi parce que les autorités ont déclaré que les hommes devront retourner au réfugié où ils ont été attaqués.

«Chaque fois que nous disons des gens étranges, les réfugiés ont besoin de protection, des abris spéciaux, parce que nous sommes également membres de ce groupe particulier par la convention sur les réfugiés», a déclaré Nabiyev.

"Mais comment les autorités réagissent," hmm, vous êtes un petit groupe par rapport à d'autres réfugiés ".

"Mais précisément à cause de cela, nous avons besoin de protection".

C.L.

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Un Jeune accuse la police civile d'agression motivée par l'homophobie au sein du poste de police à Niteroi

Publié le par justin

La police civile interne des affaires intérieures (Coinpol) enquête sur une plainte d'agression commise par un agent de l'institution contre un jeune homme de 23 ans, qui peut avoir la motivation homophobe. L'étudiant Andrei Apollonius dos Santos avait demandé un poste de police pour enregistrer le vol de votre téléphone mobile, à Niterói, région métropolitaine, mais a fini avec des écorchures, des ecchymoses et trois dents cassées.

Le garçon dit que était le 81e DP (Itaipu), dans la région océanique de Niterói, pour enregistrer le vol, mais la foudre de la victime par la police civile. « Je suis venu et il a commencé à attaquer avec des mots et des insultes homophobes au fond de l'oreille, ce qui m'a fait très peur », se souvient le jeune.

Andrei a dit qu'il y avait deux officiers au poste de police, mais qu'un seul avait été agressé alors que l'autre regardait tout sans réagir. Il dit que la seule motivation pour les attaques - qui dure environ une heure et également inclus coups de poing et serre le cou était son orientation sexuelle.

« Il n'a pas fait mon BO [rapports de police] et a été très plaidé avec ma façon d'être. Je pouvais voir qu'il était mal à l'aise avec qui je suis, parce que je suis gay. Il a trouvé un affront moi d'être gay et que vous voulez faire il fonctionne à 4 heures « , a déclaré l'étudiant, ajoutant que les menaces encore entendu à libérer.

« L'attaquant a dit:« Bon, je l'espère, vous êtes intelligent, parce que je serais très en mesure de passer un peigne munção entier sur vous, » at-il rappelé.

Andrei a demandé la Commission des droits de l'homme de la ville de Niterói, où il a reçu le soutien d'aller à Coinpol et la Division des affaires internes unifiée du Département d'Etat de sécurité, où l'événement a été enregistré. Benny Briolli, conseille la commission Niterói, le jeune homme a été torturé. Malgré les menaces, il dit qu'il veut aller tout le chemin dans la détermination de la plainte.

Le contrôleur interne de la police civile a indiqué que la reconnaissance de la police sera lundi prochain (17).

C.L.

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Les 27 hommes soupçonnés d'avoir été tués lors d'une purge anti-gay en Tchétchénie ont été révélés.

Publié le par justin

Les 27 hommes soupçonnés d'avoir été tués lors d'une purge anti-gay en Tchétchénie ont été révélés.

La Russie Novaya Gazeta a brisé l'histoire que la région qui est un sujet fédéral de la Russie était de persécuter, de détenir, de torturer et d'assassiner des hommes à la fin de 2016

Dimanche, il a fait l'audace de publier les noms de 27 hommes exécutés dans la capitale Grozny..Novaya Gazeta a signalé jusqu'à 56 personnes ont été tuées par le gouvernement de Ramzan Kadyrov.

Dans cette enquête, la Gazeta a constaté que les personnes ont été détenues à des dates différentes, mais toutes ont été exécutées dans les nuits du 25 au 26 janvier.

 

"Selon nos informations, les détenus ont été abattus cette nuit-là et ont transporté divers cimetières, y compris chrétiens, et enterrés dans des tombes hachées", a déclaré Novaya Gazeta.

Le service d'information a enquêté sur les détentions illégales depuis des mois et a demandé à un certain nombre d'organismes gouvernementaux et d'organismes d'application de la loi d'obtenir de l'information. Quand il est apparu clairement qu'ils ne seraient pas utiles, Novaya Gazeta a décidé de publier les noms des victimes.

«Deux mois, nous avions espéré que la coopération au début [de l'enquête] soit efficace», a déclaré Gazeta dans un rapport.

«Aujourd'hui, il est évident que le Comité d'enquête de la Russie perd du terrain sur cette situation ... C'est pourquoi nous publions la liste de ceux qui, selon nos informations, ont été victimes des pires exécutions extrajudiciaires possibles à Grozny.

 

"Et maintenant, l'enquête, qui a un manque de vie de témoins, devra faire face aux témoins spéciaux.

«Parce que les morts n'ont rien à craindre en Tchétchénie»

27 noms

Voici les noms de 27 hommes exécutés par le gouvernement tchétchène. On ne sait pas si tous ces 27 ont été tués parce qu'ils étaient homosexuels ou en raison d'autres crimes perçus.

Certaines des victimes étaient aussi jeunes que 18 ans.

  1. Abdulmezhidov Adam Isaevich, né le 27.5.1987
  2. Abumuslimov Apti Hasanovic, né le 02.06.1989, Shali, Street School, 16.
  3. Abdulkerimov Side Ramzan Ramzanovich, né le 25.03.1990, enregistré au village de Kurchaloy, rue Dohtukaeva 18.
  4. Alimhanov Islam Aliev, né le 6.7.1998
  5. Abubakarov Adam Dzhabrailovich, né le 05.05.1995
  6. Bergan Ismail Shadidovich né le 19.08.1998
  7. Dasaev Adam Ilyasovich, DOB 16/06/1988, Shali.
  8. Dzhabayev Zelimhan Hizirovich, né le 12.18.1993
  9. Ilyasov Adam Huseynovich, né le 22.09.1997
  10. Lugano Rizwan Saeed-Hamzatovich, DOB 13/09/1987, Shali.
  11. Malikov Rizwan Agdanovich, né le 01.06.1990
  12. Musk ICYE Turpalovich, DOB 19/07/1988, enregistré au village de Tsotsi-Yurt, New Street, 10.
  13. Muskhanov Temirlan Ahmadovich, né le 28.4.1986, rue Shali Chicherina, 2.
  14. Ozdiev Usman Vahaevich, DOB 12/24/1989, enregistré à la ville de Shali, rue Grozny, 39.
  15. Rashidov Doc Ibrahimovic, né le 30.05.1995
  16. Siriev Magomed Musaevich, né le 23.02.1993
  17. Soltahmanov Ismail Ezer-Aliyev, né le 30.03.1994, enregistré au village Mairtup, rue Nuradilova.
  18. Suleymanov Magomed Arbievich, DOB 01/03/1987, village de Shali au Caucase, 8, appartement 4.
  19. Tuchaev Ahmed Ramzanovich, né le 23.02.1987, Shali, Street School, 30.
  20. Habu Khamzat Slaudinovich 14.02. Né en 1993
  21. Khakimov Alvi Aslambekovich, 16.11. Né en 1992
  22. Hamidov Shamil Ahmedovich, né le 14.11.1986
  23. Tsikmaev Sultanovich Ayoub, né le 02.04.1984, le village de Germenchuk, rue de la jeunesse.
  24. Shapiev Muslim Isaevich, né le 28.11.1989, enregistré à la ville de Shali, dans la rue Kutuzov, 12.
  25. Eskarbiev Sayhan Vahamsoltovich, né le 23.5.1992
  26. Yusupov Sahab Marshak, né le 19.1.1990
  27. Yusupov Shamhan Shayhovich, DOB 17/06/1988, enregistré au village de Kurchaloy, ul. Sovetskay

C.L.

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Sousse : Deux homos portent plainte pour agression policière

Publié le par justin

Sousse : Deux homos portent plainte pour agression policière

Deux homosexuels accusent des policiers à Sousse de les avoir agressés et insultés. Ils dénoncent une agression à caractère homophobe.

Cela s’est passé dans la soirée de mercredi 12 juillet 2017, près de la Corniche. Les victimes, souhaitant garder l’anonymat, ont confié à Kapitalis qu’une plainte sera portée contre les policiers, d’autant qu’ils estiment n’avoir rien fait pour mériter d’être violentés.

Selon Tarek (pseudonyme), un policier les a interpellés, lui et son ami Sami (pseudonyme) leur reprochant d’être efféminés. Il leur a demandé de rentrer chez eux estimant «qu’ils font honte à voir». Sami, se sentant agressé, a répondu qu’il n’a rien à se reprocher et que les policiers devraient s’occuper d’autre chose au lieu de les embêter sans raison.

La remarque n’a pas été appréciée (c’est un euphémisme) par la patrouille, qui a emmené le jeune homme au poste de police, où, selon ses dires, il a été de nouveau violenté. Tarek l’a rejoint et a été à son tour arrêté puis tabassé.

Le procureur a relâché ce dernier après lui avoir infligé une amende de 4,5 DT. Quant à Sami, il a été transporté à l’hôpital Farhat Hached pour être soigné des coups qu’il a reçus avant d’être présenté au procureur, qui a décidé de le poursuivre pour ivresse et trouble à l’ordre public. Il comparaîtra en état de liberté.

«Je n’étais pas saoul et nous n’avons rien fait; c’est injuste que l’on soit battus, juste parce que notre apparence est différente», a-t-il déploré.

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Tarek et Sami ont entamé les procédures pour porter plainte contre les policiers. Ils affirment vouloir aller jusqu’au bout dans leur démarche, ne supportant plus l’homophobie qu’ils subissent au quotidien.

Notons que les 2 jeunes hommes ont préféré garder l’anonymat, parce qu’ils n’ont pas révélé leur homosexualité à leurs familles respectives

kapitalis.com

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Des homosexuels rejoignent Daech pour éviter d’être tués

Publié le par justin

Des homosexuels rejoignent Daech pour éviter d’être tués

Certaines voix dénoncent une hypocrisie de l'État islamique sur le sujet.

C’est un paradoxe mis en lumière par un article du Daily Beast repéré par Reader: des homosexuels rejoignent Daech pour se protéger et protéger leur famille. Combien? Les chiffres ne sont pas connus, mais le phénomène existe, relève Subhi Nahas, un Syrien gay qui a échappé aux griffes de l’organisation terroriste et est devenu célèbre après avoir prononcé un discours devant l’ONU pour alerter la communauté internationale sur le sort des homosexuels sous le drapeau noir.

«Nous avons connaissance de témoignages selon lesquels des homosexuels ont été recrutés par Daech, ou qu'ils ont eu des rapports sexuels avec des membres de Daech», explique Subhi Nahas.

Selon ce militant de l’organisation Oram, qui défend les réfugiés syriens, des homosexuels s’engageraient aussi pour protéger leur famille et continuer à avoir des relations homosexuelles en secret. «Ainsi ils savent qu’il sont protégés. Et qu’on ne viendra pas les questionner», avance Subhi Nahas. 

Viol, défenestration

D'autres se sont réellement convertis, au moins en apparence, à l'idée que l'homosexualité serait une «abomination» et auraient adopté un comportement de prosélyte. «Des nouvelles recrues accusent des anciens partenaires sexuels parce qu’ils se disent que c’est juste», relate Subhi Nahas. Et sans doute aussi, par paranoïa, pour éviter de se faire dénoncer eux-mêmes par ces anciens partenaires.

Des faits qui s'ajoutent à la défenestration par l'organisation d'un adolescent violé par un responsable de Daech, alors que ce dernier a été épargné. Ce qui fait dire au Daily Beast que Daech est «hypocrite», parce que sa condamnation de l'homosexualité est à deux vitesses.

SLATE.FR

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Un médecin de Cherbourg suspendu pour six mois après des propos sur les handicapés et les homosexuels

Publié le par justin

Un médecin de Cherbourg suspendu pour six mois après des propos sur les handicapés et les homosexuels

Un médecin de Cherbourg va laisser le stéthoscope de côté. Il est suspendu six mois de ses fonctions, dont trois ferme. Décision la chambre disciplinaire de l'ordre régional des médecins, vendredi, après des propos déplacés envers les personnes handicapées et les homosexuels.

Les faits remontent au mois de janvier. Devant une infirmière et un patient, le médecin expose durant de longues minutes des thèses défendant la stérilisation des personnes handicapées, mais aussi. Des "la solution finale des nazis appliquée aux handicapés et aux homosexuels" propos qu'il ne nie pas d'ailleurs, il y a un peu moins d'un mois, lors de sa convocation devant la chambre disciplinairede l'ordre régional des médecins.

Le généraliste cherche simplement à minimiser. "Des  paroles sorties de leur contexte et mal comprises par l'infirmière", dit-il. "Des propos cyniques, désabusés et philosophiques". Quant à l'allusion à l'extermination des handicapés, elle aurait été faite, selon son avocat, dans la sphère privée.

L'ARS avait demandé la radiation 

Pas de quoi convaincre donc, l'ordre régional des médecins, qui le suspend six mois de ses fonctions, dont trois ferme, "au principe de la moralité". Une peine moins lourde que la radiation, demandée par l'ARS.

Une décision lourde voire injuste", Frédéric Bastian, président de SOS Médecins à Cherbourg

Le médecin, qui , a travaille pour SOS Médecins à Cherbourg,  la possibilité de faire appel. Le président de l'association, Frédéric Bastian, estime de son côté que cette décision est "lourde voire injuste, qu'elle porte atteinte à la personne."

 

francebleu.fr

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Les homosexuels sérieusement traqués au Cameroun

Publié le par justin

Les homosexuels sérieusement traqués au Cameroun

Aucun jour ne passe au Cameroun sans que les homosexuels ne soient victimes d’une traque jusque dans leur dernier retranchement. On pourrait, sans tomber dans l’exagération, parler même de chasse à l’homme tant les courses poursuites dans les rues de Yaoundé et villes environnantes entre les populations et les homosexuels s’intensifient.

Exceptées les Forces de sécurité qui sont tenues de protéger la population y compris les homosexuels, la majorité des Camerounais abhorre cette pratique sexuelle contre nature. Dans les Bars, les Restaurants, les Hôtels, les lieux et Espaces attrayants, les homosexuels qui vivent et assument publiquement leur penchant, risquent gros en s’exposant à des lynchages d’une violence particulière.

Une tenancière de Bar raconte le calvaire d’un couple homosexuel qui a failli passer de vie à trépas n’eût été l’arrivée salvatrice et la présence dissuasive de deux agents de la Police nationale au lieu où ils se prélassaient.

 racontait la gérante du Bar en question.

Entre lynchage, poursuite, injures ou paiement de fortes rançons, les homosexuels au Cameroun ont une existence périlleuse. C’est le lieu de le préciser, qu’au Cameroun, l’homosexualité est punie par le Code Pénal. Les homosexuels risquent cinq ans de prison et une amende de 20 000 à 200 000 FCFA.

 

http://www.afrique-sur7.fr

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Toutes les personnes LGBT sont ciblées en Tchétchénie, mais la situation est beaucoup plus urgente pour les homosexuels

Publié le par justin

Toutes les personnes LGBT sont ciblées en Tchétchénie, mais la situation est beaucoup plus urgente pour les homosexuels


Le réseau LGBT russe n'a pas été surpris du fait que le gouvernement tchétchène a recommencé à persécuter les homosexuels.

 

Un porte-parole du Réseau a déclaré à Gay Star News que la persécution ralentit probablement pendant le mois sacré islamique du Ramadan. L'attention internationale peut aussi avoir été une autre raison.

«Malheureusement, je dois confirmer cette information et nous commençons à recevoir de nouvelles demandes sur notre hotline et les gens nous contactent en disant que la situation est dangereuse», a déclaré le porte-parole.

Le réseau LGBT russe a déclaré qu'il est devenu plus efficace pour aider les hommes à sortir de la Tchétchénie.

 

«Nous avons dû redémarrer l'évacuation, nous avons commencé dès le début et nous pouvons travailler à l'évacuation de la région le lendemain après le premier contact», ont-ils déclaré.

«Donc, nous prenons des gens de la Tchétchénie dans d'autres régions de la Russie et nous leur fournissons tout le nécessaire, l'hébergement, la nourriture, le soutien médical, le soutien psychologique car presque tous en ont besoin.

"Nous essayons de les déplacer vers un autre pays".

Depuis début avril, plus de 120 personnes ont demandé une aide d'urgence par le biais de la hotline du réseau Le Réseau a interviewé les hommes et ont des comptes rendus de première main de la situation extrême en Tchétchénie.

 

"Ils racontent tous des histoires horribles, beaucoup d'entre eux ont été arrêtés à la maison ou au travail ou juste dans la rue", a déclaré le porte-parole.

"Et alors, ces gens ont été emmenés dans des prisons secrètes et sont restés là de quelques jours à quelques semaines. Et tout ce temps-là, ils ont été privés de nourriture et d'eau.

«Ils ont été battus et torturés. Beaucoup ont été battus avec un courant électrique.

"Donc, toutes ces histoires sont vraiment horribles et il est tout simplement incroyable de se passer ces choses en Russie en ce moment et le gouvernement n'agit pas du tout".

Toutes les personnes LGBTI sont à risque

Les hommes accusés d'être gay sont le risque le plus immédiat de détention et de torture. Mais toutes les personnes LGBTI en Tchétchénie sont confrontées à la persécution.

"Bien sûr, il y a des lesbiennes et des transgenres en Tchétchénie comme dans toutes les parties du monde", a déclaré le porte-parole du réseau Russe LGBTI.

"Bien sûr, ils sont ciblés, mais il existe différents types de persécutions.

«Les hommes gais qui sont emmenés dans les prisons, c'était une sorte d'attaque massive contre ces personnes homosexuelles. Les femmes homosexuelles sont traitées différemment.

"Donc, il est considéré que les familles devraient s'engager à leur égard, donc il y a beaucoup de violence domestique et nous avons entendu dire qu'il y a beaucoup de meurtres d'honneur de ces femmes lesbiennes".

La famille compte

Plus de 60 personnes ont été évacuées de la Tchétchénie et 27 d'entre elles ont été expulsées de la Russie entièrement.

Bien qu'il n'y ait pas d'autre option pour les hommes, laisser leurs familles peut être une expérience hargneuse.

«Lorsque les gens nous contactent, ils savent qu'il n'y a pas de retour, qu'après leur émigration, ils ne peuvent pas revenir en arrière», a déclaré le porte-parole.

«Ils doivent donc rompre toutes les relations avec leurs familles. Pour les Tchétchènes, la famille est une question très importante, pour eux, c'est énorme.

Médias Watch

Le réseau LGBT russe a travaillé en étroite collaboration avec All Out - un groupe international de défense des LGBTI.

Les deux organisations ont publié une déclaration conjointe corrigeant les rapports médiatiques selon lesquels 27 hommes homosexuels avaient été exécutés en Tchétchénie.

Les rapports des médias ont suivi la décision de Russie Novaya Gazeta de publier les noms de certains hommes exécutés.

"En ce qui concerne le réseau LGBT russe et All Out, la liste des noms figurant dans cette publication ne comprend pas les victimes assassinées en raison de leur orientation sexuelle", ont-ils déclaré dans le communiqué.

«Jusqu'à présent, il existe des preuves d'au moins 6 hommes homosexuels qui sont morts dans la purge anti-gay et que les organismes d'application de la loi fédéraux de la Fédération de Russie continuent de garder le silence sur cette question.

En attendant, les deux organisations travaillent sur des campagnes pour soutenir les homosexuels en Tchétchénie. Ils veulent également s'assurer que le crime contre l'humanité qui se passe en Tchétchénie sera étudié et que les responsables seront tenus responsables ».

C LOUSTAU

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Tchétchénie: ‘Novaïa Gazeta’ publie les noms de 27 hommes tués lors de la répression anti-gay

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Tchétchénie: ‘Novaïa Gazeta’ publie les noms de 27 hommes tués lors de la répression anti-gay

De récents rapports montrent que la répression anti-gay aurait repris en Tchétchénie. Le journal russe qui a été le premier à sortir l’information en avril dernier, Novaya Gazeta vient de publier les noms de 27 hommes qui auraient été tués en une seule nuit, en janvier dernier. La liste comprend trois adolescents, et la plupart des personnes ont entre 20 et 30 ans, le plus âgé ayant 33 ans.

Novaya Gazeta a publié la liste des hommes après avoir perdu espoir que l’enquête officielle de la Russie sur la purge entraînerait des actions importantes, peut-être en raison de l’obstruction des fonctionnaires tchétchènes.

Venger les morts

En s’appuyant sur ses sources, Novaya Gazeta conclut que les 27 hommes ont tous été détenus peu de temps après que la Tchétchénie a commencé sa répression anti-gay à la fin de décembre 2016. Ils pensent que les hommes ont été abattus à la fin de janvier 2017 et enterrés à la hâte dans des fosses de plusieurs cimetières locaux.

Parce que les meurtres ont été commis hors de toute contrôle judiciaire (c’est-à-dire en dehors du système de police officiel du pays), des parents des défunts se demanderaient si leurs enfants ont fui ou reviendront un jour. Certains sont même allés à la police pour obtenir de l’aide, et on leur a seulement répondu d’être patients.

Dans son enquête, Novaya Gazeta affirme (traduit du russe):

« Nous insistons sur l’ouverture d’une affaire criminelle, dans laquelle la vérification de ces faits ne devrait pas être si difficile. Tout d’abord, nous avons donné au Comité d’enquête de la Russie plus que suffisamment de preuves des données personnelles des victimes. Deuxièmement, l’exhumation et l’autopsie des cadavres est tout à fait capable de détecter les blessures par balle – elles restent visibles sur les ossements pour toujours. L’identité de la personne décédée est aussi facile à faire – pour cela, les parents des victimes doivent simplement prendre des échantillons d’ADN pour une analyse comparative « .

Détails des tortures

Les rapports sur les tortures ont été horribles. Dans de nombreux cas, des responsables tchétchènes ont détenu des homosexuels et des hommes bis sous de fausses accusations de possession de drogue ou d’autres prétextes, les ont emmenés dans des centres de détention sans chauffage où les hommes ont été affamés, liés à des luminaires muraux et ont dormi sur le sol en béton. Les enquêteurs ont fouillé les téléphones et les médias sociaux de chaque détenu pour essayer de trouver plus d’homosexuels soupçonnés afin de les arrêter

Comme nous l’expliquait la journaliste de Novaïa Gazeta Irina Gordienko lors de son passage à Paris, les hommes ont été torturés pour obtenir les noms d’autres homosexuels soupçonnés en utilisant l’électrocution répétée jusqu’à ce que les victimes tombent dans le coma en raison de la douleur, en répétant un nouveau cycle d’électrocution dès que les hommes retrouvaient leurs esprits.

Les gardiens forcent également les compagnons de cellule à se battre dans un rituel appelé « le carrousel ». Finalement, les prisonniers sont morts ou sont ensuite renvoyés à leurs familles pour les soi-disant «meurtres d’honneur» (c’est-à-dire assassiner des mains de leurs proches honteux).

Les femmes lesbiennes et bis ont également été arrêtées durant cette répression, mais elles sont souvent rendues à leurs familles pour être punies à la maison.

La liste des hommes présumés décédés:

Voici les noms des hommes qui auraient été tués dans la répression anti-gay en Tchétchénie, ainsi que leurs dates de naissance et leur âge au moment de leur décès.

Malikov Rizvan Agdanovich (1er juin 1990) – 26 ans

Mussanov Temirlan Ahmadovich (28 avril 1986) – 30 ans

Khamidov Shamil Ahmedovich (14 novembre 1986) – 30 ans

Alimkhanov Islam Alievich (6 juillet 1998) – 18 ans

Suleimanov Magomed Arbeevich (3 janvier 1987) – 30 ans

Hakimov Alvi Aslambekovich (16 novembre 1992) – 23 ans

Abubakarov Adam Dzhabrailovich (5 mai 1995) – 21 ans

Soltamanov Ismail Ezer-Aliyevich (30 mars 1994) – 22 ans

Abumuslimov Apti Hasanovich (2 juin 1989) – 27 ans

Rashidov Doku Ibrahimović (30 mai 1995) – 21 ans

Dasaev Adam Ilyasovich (16 juin 1988) – 28 ans

Abdulmezhidov Adam Isayevich (27 mai 1987) – 29 ans

Shapiev Muslim Isayevich (28 novembre 1989) – 27 ans

Yusupov Sakhab Isayevich (19 janvier 1990) – 27 ans

Jabaev Zelimkhan Khizirovich (18 décembre 1993) – 22 ans

Ilyasov Adam Khuseinovich (22 septembre 1997) – 19 ans

Syriev Magomed Musayevich (23 février 1993) – 23 ans

Tuchaev Ahmed Ramzanovich (23 février 1987) – 29 ans

Lugaev Rizvan Said-Khamzatovich (13 septembre 1987) – 28 ans

Abdulkerimov Said-Ramzan Ramzanovich (25 mars 1990) – 26 ans

Bergaev Ismail Shadidovich (19 août 1998) – 18 ans

Yusupov Shamkhan Shaykhovich (17 juin 1988) – 28 ans

Khabuev Khamzat Slaudinovich (14 février 1993) – 23 ans

Tsikmaev Ayub Sultanovich (4 avril 1984) – 32 ans

Muskiev Mohma Turpalovich (19 juillet 1988) – 27 ans

Eskarbiev Saikhan Vahamsoltovich (23 mai 1992) – 24 ans

Ozdiev Usman Vakhaevich (24 déc. 1989) – 27 ans

  • unicornbooty.com

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Homophobie: deux présumés gays sauvagement agressés à Casablanca

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Homophobie: deux présumés gays sauvagement agressés à Casablanca

Décidément, les gays marocains mangent toujours leur pain noir fait d’homophobie manifeste, de quolibets de toutes sortes, voire d’agressions caractérisées et… impunies. En tout cas, c’est ce qu’écrit le quotidien arabophone, Akhir Saa, en rapportant l’info selon laquelle cinq individus, dont deux barbus, ont sauvagement agressé deux homosexuels présumés, aux alentours du Parc de la Ligue arabe, à Casablanca.

La poursuite et l’agression auraient entraîné des blessures graves à l’une des victimes, tandis que son compagnon d’infortune a eu des dents cassées. Ce dernier, dont le journal a recueilli le témoignage, a relaté dans le moindre détail les péripéties de l’agression. D’après ses dires, son compagnon et lui ont été suivis par une Peugeot grise qui s’est arrêtée à leur niveau près de la station du tram, avenue Hassan II. L’occupant du siège passager a alors apostrophé les deux amis d’un tonitruant « Ne craignez-vous pas Allah? ». Sentant le danger, le témoin et son ami ont pris leurs jambes à leur cou. Cela n’a pas empêché les cinq individus de les poursuivre et de les encercler près du Parc de la Ligue arabe. « Les coups de pied ont alors plu sur nous et nous avons été aussi frappés à l’aide d’une barre de fer », a affirmé la victime, âgée de 25 ans. Qualifiant cette agression de « hogra », le jeune homme a déclaré à Akhir Saa que son compagnon et lui n’ont pas osé porter plainte auprès de la police de crainte d’être interpellés pour homosexualité.

D’un autre côté, des témoins oculaires ont soutenu que les cinq agresseurs font partie de bandes « spécialisées » dans ce genre d’agressions visant les homosexuels et que c’est devenu monnaie courante par les temps qui courent. Quant aux deux  infortunées victimes du Parc de la ligue arabe, elles déplorent que les autorités  ne réagissent pas fermement dans de tels cas, alors que la Constitution du Royaume garantit la sécurité des citoyens marocains. De TOUS les citoyens!

lesiteinfo.com

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L'acteur Irakien Karar Noshi a été kidnappé, torturé et tué pour avoir un look gay

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L'acteur Irakien Karar Noshi a été kidnappé, torturé et tué pour avoir un look gay

Un étudiant diplômé du Collège des Beaux-Arts de l'Université de Bagdad a eu un grand suivi en ligne en raison de ses longs cheveux blonds et son style à la mode. Beaucoup l'ont appelé le «roi de la beauté d'Irak».

Le corps de Noshi a été déversé dans une rue du centre de Bagdad, le Kurdistan 24 rend compte, avec des preuves "qu'il avait été torturé et puni avec violence".

Sur Facebook, une photo prétendant être un cadavre du corps a circulé en ligne.

 

L'acteur Irakien Karar Noshi a été kidnappé, torturé et tué pour avoir un look gay

Sa famille a confirmé sa mort le jour même où son corps a été découvert.

L'idéologie [ISIS] est toujours active ", a déclaré Hussain Al-Iraqi en arabe sur Twitter. «Vous voulez une preuve? Le meurtre de Kara Noshi.

L'activiste irakien des droits de l'homme Faisal Al Mutar a écrit sur Facebook Noshi avait été tué après avoir été accusé d'être gay. Il a également blâmé les milices extrémistes chiites pour la mort de Noshi.

Noshi avait déjà critiqué des commentaires négatifs sur son apparition, affirmant que le véritable «roi de la beauté» de l'Irak était «chaque jeune homme qui se battait avec tout son honneur de défendre la nation».

L'acteur Irakien Karar Noshi a été kidnappé, torturé et tué pour avoir un look gay

«En ce qui concerne les images, elles proviennent d'œuvres d'art théâtrales et cinématographiques dont je me suis fier», a-t-il ajouté.

"Ils ont tué [Karar Noshi] seulement parce qu'il ne ressemble pas à eux".

«Je chéris ma liberté personnelle de créer une apparence extérieure unique. Je reste silencieux sur les réponses abusives qui reflètent indubitablement le niveau de leurs écrivains.

Sur Shakwmakw, une page Facebook populaire pour les Irakiens, le meurtre de l'acteur a été condamné. Ils ne l'ont tué que parce qu'il ne ressemble pas à eux.

 

C.L.

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TCHÉTCHÉNIE Le site Vice a accédé à une prison pour homosexuels en Tchétchénie

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TCHÉTCHÉNIE Le site Vice a accédé à une prison pour homosexuels en Tchétchénie

Un premier journaliste étranger a pu accéder à un camp de concentration pour homosexuels en Tchétchénie. Un journaliste de Vice News a pu filmer le site d'Argoun encadré par les gardiens du lieu qui démentent les faits et soutiennent la version officielle des autorités dans une mise en scène propagandiste.

Hind Hassan, qui travaille pour Vice Media et HBO, a pu accéder à la prison située dans la ville d'Argoun. Avec son équipe, il a été autorisé- de manière très encadrée - à filmer et interroger les gardiens de la prison dans laquelle le journal russe indépendant Novaya Gazet a affirmé que jusqu'à 100 hommes homosexuels ont été détenus, interrogés et torturés. Trois auraient été tués.

Ces révélations, qui datent d'avril 2017, ont suscité une forte émotion internationale, aussi bien au niveau de la communauté LGBT que des organisations de défense des droits humains et de responsables politiques occidentaux. 

La visite « guidée » de la prison supposée tourne rapidement à la propagande et à la désinformation puisqu'elle présentée simplement comme un « entrepôt » par le gardien Ayub Kataev, accusé d'avoir torturé personnellement les hommes qui y ont été détenus.

« Des centaines d’empreintes de pieds couvraient le sol des couloirs, bien qu’ils aient nié plusieurs fois que le bâtiment avait été utilisé récemment », remarque Vice pour souligner le mensonge flagrant qui entoure les propos officiels.

 Dans l'interview, le chef de la prison adopte la même ligne que le président tchétchène Ramzan Kadyrov, affirmant qu'il ne connaît pas d'hommes homosexuels.

« Imaginez qu'il y a des homosexuels ici », dit-il. « Est-ce que nous, les Tchétchènes, communiquerions avec eux? », demande Kataev. »Mes officiers ne voudraient même pas toucher de telles personnes, si elles existent, et encore moins les frapper ou les torturer ».

À un autre moment du reportage, on voit plusieurs hommes, armés et vêtus de tenue militaire, répondre à leur supérieur dans une mise une scène surréaliste. « Vous ai-je une seule fois demandé d’arrêter des homosexuels? - Non. Vous ai-je une seule fois ordonné de torturer ici quelqu’un, illégalement ? – Non. »

Ces affirmations sont battues en brèche par le témoignage d'un homosexuel passé par la prison d'Argoun, aujourd'hui réfugié. Interviewé par Vice, il assure être « certain à 200 % » qu’il a été battu par Kataev en personne.

Deux camps de détention et de torture pour homosexuels ont d'abord été signalés, basés dans les villages d'Argoun et de Tsotsi-Yurt, mais d'autres recherches ont révélé quatre autres prisons pour homosexuels existent, qui porte jusqu'à six au total le nombre estimé de tels sites en République tchétchène.

fugues.com

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En Russie, une chaîne veut payer pour que des homosexuels quittent le pays

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En Russie, une chaîne veut payer pour que des homosexuels quittent le pays

Une chaîne de télévision religieuse russe a offert de payer des billets d'avion en allers simples à des gays qui désireraient quitter le pays. La BBC rapporte que dans une vidéo postée sur ses réseaux, Tsargrad TV a appelé la population gay à participer pour gagner un billet.

«Encore récemment, la Californie –l'Etat qui est par ailleurs le plus libéral des Etats-Unis– a proposé de faciliter l'accès à une green card pour les perverts russes» a expliqué le présentateur Andrei Afanasyev, dans un vocabulaire fréquent sur la chaîne pour parler des gays. «L'équipe de Tsargrad TV soutient cette initiative. Plus encore, nous sommes prêts à payer un aller simple pour quiconque prévoit d'émigrer en toute honnêteté et qui pourra fournir un certificat médical prouvant qu'il est sodomite ou a d'autres formes de perversions. Nous voulons vraiment que vous déménagiez là-bas, où vous pourrez commettre vos péchés ouvertement».

Violences homophobes

Tsargrad est une chaîne qui entend promouvoir les valeurs chrétiennes orthodoxes, revendique être regardée par un quart de la population russe et critique très souvent la «basse moralité» des pays occidentaux. Le 5 mai, avant le second tour de la présidentielle française, une présentatrice de la chaîne avait d'ailleurs lâché à propos de Macron (présenté dans les médias russes comme un homosexuel caché, sortant avec une professeure «pédophile»), qu'il n'était «pas exclu que le candidat sodomite» l'emporte.

Le fondateur de Tsargrad TV, Konstantin Malofeev, est devenu l'un des hommes d'affaires et lobbyistes les plus influents du pays, notamment grâce à ses valeurs orthodoxes, de nouveau en vogue dans la Russie de Poutine. Il est d'ailleurs un ardent soutien du président russe, –et sa chaîne est, selon ses mots, l'équivalent de Fox News aux États-Unis.

Au-delà de ce canal, et de la violence des propos tenus dessus, c'est la Russie dans son ensemble qui a durci son discours et ses actes vis-à-vis de la population LGBTQ, ces dernières années. L'homophobie n'est pas neuve dans le pays, mais une loi contre « la propagande homosexuelle devant mineurs» empêche toute manifestation pour les droits depuis juin 2013. Et un sondage de 2016 notait que 81% des Russes considèrent les relations homosexuelles comme répréhensibles. En Tchétchénie, République constitutive de laFédération de Russie, des pogroms anti-gays ravagent actuellement le pays.

De nombreux voisins occidentaux ont dénoncé ces persécutions mais, jusqu'ici,seule laLituanie a choisi d'accueillir ces réfugiés. Une quarantaine de gays ont fui la région semi-autonome de Tchétchénie et se cachent dans d'autres parties de la Russie, en attendant d'essayer de quitter le pays. Certains ont fui sans attendre d'obtenir un visa.

slate.fr

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En Tunisie, un ado condamné pour homosexualité à cause d’un «test anal»

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Shams est une association qui milite pour la dépénalisation de l'homosexualité en Tunisie© FETHI BELAID / AFP

Shams est une association qui milite pour la dépénalisation de l'homosexualité en Tunisie© FETHI BELAID / AFP

Un juge pour enfants de Sousse, en Tunisie, a condamné, par contumace, un adolescent de 16 ans, à 4 mois de prison ferme, pour homosexualité. Il a été condamné sur la base du code pénal, qui prévoit l’utilisation d’un test anal censé prouver l’orientation sexuelle des accusés. Cette condamnation montre que la Tunisie a encore des réformes à faire pour lutter contre les discriminations sexuelles.


Dans l’affaire Sousse, «l’ado a été condamné sur la base de l’article 230 du code pénal, qui prévoit un test anal censé prouver l’orientation sexuelle des accusés dans les affaires d’homosexualité. Or, il n’a pas effectué ce test, parce qu’il a refusé d’y être soumis, le considérant comme une atteinte à sa dignité humaine. Son refus a été considéré par le juge comme une preuve de "culpabilité"», rapporte le site tunisien Kapitalis.  

L’article 230 stipule que «la sodomie… est punie de 3 ans d’emprisonnement». «Dans sa version arabe, qui prévaut sur sa version française, il condamne explicitement l’homosexualité. Il s’appuie donc sur une discrimination basée sur l’orientation sexuelle, en totale contradiction avec l’article 21 de la Constitution qui affirme que "les citoyens et les citoyennes sont égaux en droits et devoirs. Ils sont égaux devant la loi sans discrimination"», précise d’ailleurs un rapport sur la situation des personnes LGBTQI en Tunisie. 

Test de la honte»
Appelé aussi «test de la honte», «cette pratique est en opposition flagrante et choquante avec la Convention internationale contre la torture ratifiée par l’Etat tunisien», a fait savoir l’Association tunisienne de soutien des minorités dans un communiqué. «L'association Damj, pour la justice et l'égalité en a dénombré 22 depuis le mois de janvier, et estime leur nombre entre 60 et 70 par an», rapporte le site Vice News.

Très critiqué, ce test a aussi été dénoncé par les médecins tunisiens. Le 3 avril 2017, le Conseil national de l’Ordre des médecins a appelé les médecins légistes réquisitionnés par la justice à «informer les personnes qu’ils ont à examiner de leur droit de refuser un tel examen». Un appel jugé insuffisant par l'association Shams (qui milite pour la dépénalisation de l’homosexualité en Tunisie). Elle invite le conseil de l’ordre à «aller encore plus loin» en prononçant des «sanctions disciplinaires contre les médecins qui acceptent de pratiquer les tests anaux». Pour son porte-parole Bouhdid Belhedi, «cela permettra de passer vraiment de la théorie à la pratique».

En Tunisie, un ado condamné pour homosexualité à cause d’un «test anal»
Le jugement de Sousse témoigne, au-delà de la question de ce «test de la honte», des difficultés faites par la loi, mais aussi par les secteurs les plus conservateurs de la société, contre les homosexuels. Toujours à Sousse, deux jeunes de 20 et 21 ans ont été condamnés à 8 mois de prison pour «pratiques homosexuelles»… malgré les résultats négatifs du test.
 
Un cinéaste arrêté
Le journal Jeune Afrique évoquait lui une autre affaire: «Le cinéaste tunisien Karim Belhaj – dont le premier court-métrage Case départ (2012) évoque les difficultés des diplômés de l’enseignement supérieur en Tunisie – a été arrêté le 13 mars à son domicile en compagnie d’un homme qui a reconnu avoir eu une relation homosexuelle avec lui. Le juge d’instruction du tribunal de Tunis a alors ordonné un test anal et émis un mandat de dépôt à leur encontre, indiquent les communiqués de Shams, fondation de défense de la communauté LGBTQ tunisienne.»
 
SIx ans après la Révolution, l'homosexualité est toujours interdite et le sujet est loin de faire l'objet d'un débat important dans le pays. Les partis politiques préfèrent éviter d'en parler. Mais dans la Tunisie démocratique, la situation des homosexuels peut désormais être évoqués, grâce à la liberté d'association.Le jugement de Sousse témoigne, au-delà de la question de ce «test de la honte», des difficultés faites par la loi, mais aussi par les secteurs les plus conservateurs de la société, contre les homosexuels. Toujours à Sousse, deux jeunes de 20 et 21 ans ont été condamnés à 8 mois de prison pour «pratiques homosexuelles»… malgré les résultats négatifs du test.
 
 

 

francetvinfo.fr

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