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Procès en appel de Pierre-Nicolas Nups, qui appelait à « casser du pd »

Publié le par justin

Procès en appel de Pierre-Nicolas Nups, qui appelait à « casser du pd »

En mai 2013, le militant d’extrême-droite Pierre-Nicolas Nups avait publié sur la page Facebook du GUD [Groupe Union Défense, un groupuscule violent d’extrême-droite] de Nancy une vidéo intitulée « On va casser du PD » dans laquelle un personnage de fiction appelle à trouver « des matraques » pour « casser du pédé ».

Il avait été condamné par le Tribunal correctionnel de Nancy le 7 avril 2017 à une peine de 6 mois d’emprisonnement avec sursis et de 5 ans d’inéligibilité pour incitation à la haine homophobe et à verser aux associations constituées parties civiles –  Couleurs Gaies, Mousse , l’Inter-LGBT et SOS homophobie – la somme de 1 000 € à titre de dommages et intérêts et 1 500 € au titre de leurs frais d’avocats.

Pierre-Nicolas. Nups a fait appel et sera à nouveau jugé ce jeudi 23 novembre devant la Cour d’appel de Nancy.

Dans un communiqué SOS homophobie annonce qu’elle est toujours partie civile (les autres associations également) et qu’elle sera représentée à l’audience.

« SOS homophobie rappelle que les témoignages d’actes homophobes ont augmenté de 19,5% selon le rapport annuel 2017 de l’association. La diffusion de contenus homophobes sur internet encourage, nourrit et légitime la haine à caractère homophobe qui peut se traduire en actes réels graves. », écrit l’association dans son communiqué.

Pierre-Nicolas Nups, la pire extrême-droite du pays

Sur son compte Twitter, Pierre-Nicolas Nups se présente comme « Nationaliste, Frontiste, SD du Comité Jeanne 54, Ami de la Russie, Fondateur du Comité des Français avec Donald Trump, Candidat aux élections législatives ». Il relaie abondamment les tweets de Jean-Marie Le Pen, Donald Trump, Alexandre Gabriac, Eugénie Bastié et continue à publier des tweets où l’antisémitisme côtoie l’islamophobie ou la transphobie. Un vrai best of de la pire extrême-droite du pays, dont quasiment chacun des propos pourrait être poursuivi en justice.

 

hornetapp.com

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Mariage gay en Australie : la superbe réponse après la dégradation d'une fresque de George Michael

Publié le par justin

Mariage gay en Australie : la superbe réponse après la dégradation d'une fresque de George Michael

Le jeune artiste avait baptisé son œuvre "Saint George" pour que les homosexuels aient eux aussi un Saint auquel ils peuvent se vouer.

L'Australie a dit oui au mariage homosexuel. Et depuis l'annonce des résultats de cette consultation, les réactions sont nombreuses sur le sujet.

Comme le symbole d'une décision qui divise, une fresque peinte sur un mur dans la banlieue ouest de Sydney a été la cible de détériorations volontaires. Cette peinture mettait en scène le chanteur George Michael portant une écharpe arc-en-ciel autour de son cou.

 

Peinte quelques semaines seulement après la disparition du chanteur britannique le 25 décembre dernier, la fresque était devenue un lieu très visité par les fans de George Michael. "Certains laissaient même des fleurs, des cartes et des bougies au pied du mur ", explique l'auteur de la fresque Scott Marsh, au HuffPost Australie. Le jeune artiste avait baptisé son œuvre : "Saint George" pour que les homosexuels aient eux aussi un Saint auquel se vouer.

 

C'était sans compter sur l'expédition nocturne d'un groupe d'anti-mariage gay qui, dans la nuit du 17 au 18 novembre, a littéralement saccagé ce "Saint George", le recouvrant de peinture noire sur plus de la moitié de sa surface.

 

L'homme à l'origine de cet acte de vandalisme a rapidement été interpellé par la police. Il est âgé de 23 ans et comparaîtra devant un tribunal local le 7 décembre prochain.

 

Suite à cette dégradation, de nombreux locaux se sont mobilisés dans la soirée du 18 novembre. Leur idée? Combler tout cet espace noir avec leurs messages d'amour, de paix et de tolérance. Un des habitants locaux venus admirer la "nouvelle" fresque expliquait ceci au HuffPost Australie: "C'est un acte qui divise, mais nous n'allons pas envenimer la chose. Nous allons rester forts et nous allons faire quelque chose autour de l'amour plutôt que de prôner la haine."

Sur le mur, on peut lire entre autre: "L'amour vaincra", "Trop tard, on a gagné" ou encore "Non à la haine et à l'intolérance".

https://www.instagram.com/p/BbnWTBBFeQk/?taken-by=scottie.marsh

 

Une pétition défendant le coupable

Depuis l'arrestation du vandale, une pétition le défendant a cependant été lancée sur change.org. "En tant que chrétiens, nous sommes profondément blessés et alarmés par les manifestations publiques de haine, de diffamation et de moquerie de notre foi", peut-on y lire. Le 20 novembre, la pétition comptait 26.000 signataires.

Scott Marsh a également vu une autre de ses fresques vandalisée en l'espace de quelques jours. Une peinture murale du premier ministre australien Tony Abbott, les mains dans le pantalon du controversé Cardinal George Pell, avait été dégradée le 16 novembre dernier.

huffingtonpost.fr

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ZIMBABWE : Mugabe l’homophobe mis sur la touche

Publié le par justin

ZIMBABWE : Mugabe l’homophobe mis sur la touche

Déposé par l'armée, l'autoritaire dirigeant du Zimbabwe, 93 ans, n'a cessé de décliner sa haine des homosexuels au nom des valeurs africaines. Mais son probable effacement ne garantit pas un changement d'atmosphère pour les LGBT. 

l semble que l’interminable règne du «crocodile» de Harare ait pris fin. Robert Mugabe, ancien héros de la décolonisation et dirigeant autoritaire du Zimbabwe depuis 1980, a été placé mercredi en résidence surveillée par l’armée.

La mise à l’écart du président de 93 ans est sans doute un soulagement pour de nombreux gays et lesbiennes de ce pays de 16 millions d’habitants. Tabou social, l’homosexualité y était aussi une des obsessions politiques de Mugabe depuis le milieu des années 1990. «Nous n’accepterons jamais, jamais, jamais l’homosexualité», martelait-il jusqu’à la tribune de l’ONU. Selon lui, les gays étaient pires que les animaux, «car même les porcs savent comment s’accoupler». Le mois dernier encore, un tollé avait été suscité par désignation à l’OMS de Mugabe comme «ambassadeur de bonne volonté», lui qui avait qualifié l’homosexualité de «maladie dégoûtante».

Les diatribes homophobes étaient constamment utilisées pour discréditer les tentatives de pressions occidentales sur le régime ou contre l’opposition. L’homosexuel était, selon les observateurs, un bouc-émissaire commode pour détourner l’attention du désastre économique dans lequel la population se débat depuis des décennies.

Changement peu probable

La mise à l’écart du «crocodile» par l’armée n’augure pas nécessairement un changement de régime politique, et encore moins une amélioration des conditions de vie pour les LGBT zimbabwéens. Ni les militaires ni leur possible candidat, l’ancien vice-président Emmerson Mnangagwa, ne semblent mieux disposés à l’égard des minorités sexuelles. En 2016, ce dernier avait défendu la pénalisation de l’homosexualité lors d’une session du Conseil des droits de l’homme, à Genève: «Il y a des domaines que nous n’accepterons pas, comme celui des gays et de l’homosexualité, qui sont illégaux dans notre pays. Nous rejetons cela.»

Tout aussi virulent dans son homophobie d’Etat, mais sans doute moins brutal dans sa répression que l’Ouganda, le Zimbabwe applique encore néanmoins les antiques lois coloniales anti-sodomie, renforcées par des dispositions réprimant les associations et mêmes les gestes d’affection entre personnes du même sexe, tels que se tenir par la main, s’étreindre ou s’embrasser.

Antoine Gessling / 360.ch

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Assises du Bas-Rhin - Meurtre d'un homosexuel dans une péniche : L'accusé condamné à 20 ans de réclusion criminelle

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Assises du Bas-Rhin - Meurtre d'un homosexuel dans une péniche : L'accusé condamné à 20 ans de réclusion criminelle

 

Zabih Jafari vient d'être condamné à vingt années de réclusion criminelle pour le meurtre d'Ahmed Bouhafs.

L'homme de 48 ans, responsable de la cafétéria Relais H du CHU de Hautepierre qui assumait pleinement son homosexualité, avait été retrouvé mort le 27 janvier 2015 dans les toilettes de sa péniche d'habitation, amarrée en face du parc de la Citadelle à Strasbourg. Il avait succombé à trois coups de hache et à une trentaine de coups de couteau assénés par le jeune homme de 22 ans qu'il fréquentait depuis quelques semaines.
"L'intention de tuer n'est pas évidente, elle est hurlée à la face du monde", a appuyé l'avocat général, évoquant une "mise à mort". Ce dernier avait également requis une interdiction du territoire contre le jeune Afghan de 22 ans, qui n'a finalement pas été retenue.

dna.fr

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Un législateur américain, anti-homosexualité, surpris en plein rapport sexuel avec un autre homme

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Un législateur américain, anti-homosexualité, surpris en plein rapport sexuel avec un autre homme

Wesley Goodman, membre de la chambre des représentants de l'Ohio, opposé au mariage gay et qualifiant de "non-naturelle" l'homosexualité, a démissionné après avoir été surpris en plein rapport sexuel avec un autre homme dans son bureau.

Un membre de la chambre des représentants de l’Ohio, la branche législative de l’état américain, connu pour ses "valeurs traditionnelles", a brutalement démissionné de son mandat mercredi, pour "comportement inapproprié avec un autre homme", selon plusieurs médias américains.

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Le mariage pour tous en Australie reçoit un large soutien des électeurs, une loi va être présentée au Parlement

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Le mariage pour tous en Australie reçoit un large soutien des électeurs, une loi va être présentée au Parlement

LGBT - Les Australiens ont largement voté en faveur de l'ouverture du mariage aux couples de même sexe, a annoncé ce mercredi 14 novembre le Bureau australien des statistiques après une consultation organisée par le gouvernement.

 

61,6% des électeurs ayant participé ont voté pour le mariage pour tous. Au total, 12,7 millions de personnes -soit 79,5% des électeurs enregistrés- ont participé à ce sondage qui s'est déroulé sur huit semaines.

 

Le Premier ministre conservateur Malcolm Turnbull avait promis d'organiser un "plébiscite" sur le sujet (un vote obligatoire mais dont les résultats ne sont pas contraignants) mais le Sénat a fait échouer deux fois cette proposition.

 

Promesse d'un vote si le "oui" l'emportait

Le chef du gouvernement avait alors annoncé début août l'organisation d'un vote par voie postale -une procédure très rarement utilisée- qui permettrait aux électeurs d'exprimer leur opinion sur la base du volontariat. Il a promis un vote sur le sujet au Parlement si le "oui" l'emporte. Il s'est félicité ce mardi d'une "participation massive" et d'un soutien "massif" à l'ouverture du mariage.

 

Si rien n'est encore acquis, la nouvelle devrait ouvrir le débat et donc forcer le dossier à être prochainement soumis à un vote des élus, internautes et personnalités du monde entier ont salué les résultats comme une étape primordiale dans ce combat pour l'égalité.

 

 

huffingtonpost.fr

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Egypte: Amnesty dénonce un projet de loi criminalisant l'homosexualité

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Egypte: Amnesty dénonce un projet de loi criminalisant l'homosexualité

EGYPTE Le texte proposé par plusieurs députés égyptiens prévoit des peines d'un à trois ans d'emprisonnement pour les personnes de même sexe ayant eu des relations sexuelles..

« Un revers pour les droits de l’Homme » en Egypte, s’alarme Amnesty International. L’association dénonce un projet de loi criminalisant l’homosexualité dans le pays, qu’elle qualifie de « profondément discriminatoire ».

Actuellement, le droit égyptien ne pénalise pas l’homosexualité en tant que telle mais les tribunaux utilisent les incriminations de « débauche » ou de « prostitution » pour condamner les homosexuels.

En octobre, plusieurs députés égyptiens ont proposé un texte prévoyant des peines de prison pour les personnes de même sexe ayant eu des relations sexuelles, dans les lieux publics comme privés. Les peines vont d’un à trois ans d’emprisonnement, selon le projet de loi. Les accusés risquent en cas de récidive jusqu’à cinq ans de prison.

Vague de répression contre la communauté homosexuelle

« Ce projet de loi profondément discriminatoire serait un énorme revers pour les droits de l’Homme et un autre coup de grâce porté aux droits sexuels en Egypte », a déclaré Najia Bounaim, directrice des campagnes pour l’Afrique du Nord à Amnesty International.

Une vague de répression contre la communauté homosexuelle a été menée dans le pays ces dernières semaines, après le concert au Caire le 22 septembre du groupe libanais Mashrou' Leila, connu pour ses positions en faveur de la communauté LGBT. Une partie du public avait alors brandi des drapeaux arc-en-ciel symbole de la communauté LGBT, soulevant la polémique dans les médias et les réseaux sociaux.

20minutes.fr

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Encore un adolescent gay sauvagement tué au Brésil

Publié le par justin

Encore un adolescent gay sauvagement tué au Brésil

Ce n’est malheureusement qu’un mort de plus qui vient s’ajouter à une longue liste dans ce pays d’Amérique du Sud.

Jonas Correia dos Santos a été sauvagement tué la semaine dernière au Brésil, dans un village de l’est du pays. Il n’avait que 18 ans.

Selon les médias brésiliens, il est le troisième jeune homme homosexuel a avoir été tué dans l’État des Alagoas (petit État au bord de l’océan atlantique) depuis le début de l’année.

Les autorités n’ont pas trouvé le suspect de ce crime.

Ce meurtre n’est malheureusement pas un crime isolé dans ce pays. En effet, plus tôt dans l’année, l’association brésilienne Gay Group of Bahia avait révélé qu’une personne LGBT était tuée toutes les 25 heures au Brésil.

Il y a quelques mois, une mère avait poignardé son propre fils de 17 ans parce qu’il était gay. Après l’avoir jeté dehors, elle l’avait retrouvé dans la rue pour lui demander de rentrer à la maison et faire la paix. Lorsqu’il est arrivé, deux hommes que la mère avait engagé l’ont roué de coups. Décidant que ce n’était pas assez, la mère leur ordonna de le tuer. Les deux jeunes hommes refusant le meurtre, elle a elle-même poignardé son fils à mort.

Il y aussi eu le meurtre choquant d’une femme transgenre en pleine rue, filmé et partagé sur internet, qui a fait le tour du monde il y a quelques semaines. Nous avions alors décidé de ne pas partager cette vidéo pour ne pas tomber dans le voyeurisme sordide et déshumanisant.

 

Encore un adolescent gay sauvagement tué au Brésil

La violence envers la communauté LGBT ne cesse donc d’augmenter depuis quelques années.

En 2000, le Gay Group of Bahia avait enregistré 130 meurtres de personnes LGBT. En 2010, le nombre avait doublé. En 2015, il s’élevait à 318 cas.

En sachant qu’il y a 365 jours dans l’année, le calcul est vite fait et laisse sans voix.

Il ne s’agit là que des meurtres répertoriés. Il est fort probable que le chiffre réel soit encore plus effarant.

En effet, le Brésil ne fait pas de statistiques sur les crimes de haine envers la communauté LGBT. Les associations doivent donc compter sur les chiffres qu’ont gardés (ou non) chaque municipalité du pays.

codesdegay.com

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L’ADO S’EN PREND À SES PARENTS ADOPTIFS GAY

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L’ADO S’EN PREND À SES PARENTS ADOPTIFS GAY

Un père de famille américain de 45 ans est mort dans l'incendie allumé par son aîné. L'ado de 16 ans avait dit vouloir «aller en prison pour se rapprocher de son père biologique».

«Il s’est sacrifié pour nous, afin d’être sûr que nous soyons indemnes», a témoigné Alan Marin à la station Fox59. Cet habitant d’Indianapolis a perdu son mari dans l’incendie qui a ravagé leur maison, le 2 novembre. Jason Doan, un entrepreneur de 45 ans, a eu le temps de mettre en sécurité Alan et deux de leurs enfants avant de succomber à une intoxication par la fumée.

Le fils aîné du couple, Jordan, a été arrêté deux jours plus tard et inculpé de meurtre. Le garçon de 16 ans a avoué avoir allumé le feu en versant du carburant sur un tapis. Il a ensuite pris la fuite dans la Jeep familiale.

MENACES
Jordan et ses deux frères avaient été adoptés par le couple l’an dernier. Mais l’aîné leur avait causé des soucis. Il aurait menacé de tuer toute la famille quelques jours avant le drame, lançant à ses parents qu’il voulait «aller en prison pour se rapprocher de son père biologique». Une main courante avait été déposée à la police.

Selon Alan Marin, l’adolescent a été profondément traumatisé par l’arrestation de son père biologique sous ses yeux, quand il était enfant. «Il n’a pas eu le soutien qu’il aurait mérité – et les conséquences sont là», a déclaré Alan Marin. «Mais je lui pardonne parce que Jason était quelqu’un qui pardonnait.» Présenté devant le juge cette semaine, Jordan n’a pas su expliquer son geste.

http://360.ch

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Sex-toy coincé dans le rectum: "Une histoire qui restera dans les annales"

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Sex-toy coincé dans le rectum: "Une histoire qui restera dans les annales"

Un homme a porté plainte contre un praticien des urgences, pour une mauvaise blague liée à la situation: le patient avait un sextoy coincé dans son rectum.

Tout est parti d'une réflexion humoristique de ce radiologue de Mont-Saint-Martin, de l'autre côté de la frontière, à une petite poignée de kilomètres de Rodange. Ce sont nos confrères du Républicain Lorrain qui racontent cette histoire. 

"IL A DE LA CHANCE QU'IL N'Y AIT PAS DE PILES!"

Dans la salle d'attente des urgences, un homme patiente avec... un godemiché coincé dans le rectum. "Il a de la chance qu’il n’y ait pas de piles!" lance alors le praticien à ses collègues, dans une pièce de l'hôpital. Mais les murs ont des oreilles et le patient a tout entendu, d'autant plus que le médecin en a remis une couche en lui lançant un: "vous êtes gourmand, vous!"

Aujourd'hui, le praticien s'est retrouvé à la barre du tribunal correctionnel de Briey pour injure publique envers un particulier en raison de son orientation sexuelle.L'ancien patient dit s'être senti profondément blessé et humilié. 

"CERTES, LE DOCTEUR A MANQUÉ DE DOIGTÉ..."

"Je voulais le décontracter, le rassurer" se défend le radiologue, qui affirme n'avoir pas voulu viser l'orientation sexuelle du patient. "Je ne savais même pas qu’il était homosexuel." "Ce n’est pas parce que l’on a un sex-toy dans le rectum que l’on est forcément gay" rappelle d'ailleurs son avocat.

Dans le tribunal, les propos sont secs. "Avez-vous de l’humour ? Auriez-vous préféré que le radiologue vous annonce un cancer en phase terminale ?" a demandé la vice-procureure au plaignant. Mais certains mots employés prêtent à sourire... "Certes, le docteur a manqué de doigté mais pénalement, il n’a pas fauté. Si l’on commence à juger systématiquement tous les propos manquant de finesse, on ne s’en sortira plus !"

Finalement, le praticien a été relaxé. Et son avocat ne s'est pas prié de conclure par un trait d'humour... dans le ton de cette affaire. "On fait perdre du temps et de l’argent à la justice, cette affaire restera dans les annales."

5minutes.rtl.l

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Un réfugié guinéen bisexuel sera déporté aujourd'hui

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Devant la cour fédérale mardi matin dernier, juste avant l'audience de Karim. Des gens de différents groupes communautaires venus l'épauler et manifester leur mécontentement contre cette déportation. PHOTO FABRICE GAËTAN, COLLABORATION SPÉCIALE

Devant la cour fédérale mardi matin dernier, juste avant l'audience de Karim. Des gens de différents groupes communautaires venus l'épauler et manifester leur mécontentement contre cette déportation. PHOTO FABRICE GAËTAN, COLLABORATION SPÉCIALE

Un jeune réfugié guinéen bisexuel arrivé à Montréal il y a un an pour demander l'asile sera déporté ce vendredi après-midi. Le Canada met ainsi sa vie en réel danger, selon son avocat, alors que l'homosexualité est considérée criminelle dans ce pays de l'Afrique de l'ouest.

 

 

 

 

 

C'était son ultime chance mardi dernier. Karim (nom fictif) était assis avec les spectateurs à la première rangée de la salle d'audience de la cour fédérale, sur la rue McGill, entouré d'une quinzaine d'amis et supporteurs. Les bras et les jambes croisés, la mâchoire serrée, le jeune homme dans la vingtaine écoutait son avocat et la Couronne débattre des preuves dans son dossier, à savoir si elles prouvaient ou non sa bisexualité. 

S'il avait encore un peu d'espoir en quittant la salle ce jour-là, Karim s'effondre lorsque la décision tombe à 36 heures du départ prévu.  La cour fédérale ordonne son renvoi et se range derrière la décision qu'avait auparavant rendue la Commission de l'immigration et du statut de réfugiés du Canada (CISR).

Le motif du refus : on ne croit pas à son histoire de bisexualité. Sa demande d'asile est donc considérée frauduleuse, incongrue et trop similaire à trois autres cas passés.

«Le Canada m'envoie à la boucherie », dit Karim, la voix étranglée. S'il accepte qu'on raconte son histoire, il insiste pour que son nom ainsi que ceux de sa famille ne soient pas divulgués. Pour ne pas les mettre encore davantage en danger.

«C'est la détention ou la mort qui l'attend en Guinée», affirme sans hésiter son avocat Stewart Istvanffy. Si la police le met en prison, il ne va peut-être pas mourir tout de suite, mais s'il est dans les rues, il va peut-être mourir beaucoup plus vite. »

En Guinée, l'homosexualité est considérée comme criminelle et passible de prison, les peines pouvant aller jusqu'à trois ans. «Et sur le terrain, la réalité de la communauté LGBTQ+ et de leur entourage est très difficile», souligne Meryem Benslimane, administratrice à AGIR, un organisme montréalais d'Action LGBT avec les immigrants et les réfugiés que fréquentait Karim. 

Persécutés en raison de l'orientation sexuelle de Karim, sa femme et ses enfants vivent actuellement cachés en Guinée. Un mandat d'arrêt a aussi été émis en septembre contre un des amis dont la maison s'est fait attaquer. Motif d'inculpation inscrit sur le mandat d'arrêt : « avoir aidé Karim, homosexuel, à fuir la Guinée. »

Une décision qui contrevient à la charte des droits et libertés

Me Istvanffy ne mâche pas ses mots : « cette décision est complètement farfelue et va à l'encontre de la Charte canadienne des droits et libertés et de la convention de Genève, affirme-t-il, dénonçant aussi les délais qu'il trouve déraisonnables dans le traitement du dossier alors que les heures étaient comptées. Selon lui, Karim a été victime de pratiques homophobes et discriminatoires.

« On met clairement une personne en danger de mort, déplore aussi l'administratrice d'AGIR. Renvoyer Karim en Guinée en sachant ça, c'est criminel, on ne peut pas faire ça. »

« J'ai l'impression que l'agente de renvoi qui a pris la décision n'a pas lu le dossier, ajoute Me Istvanffy. Sa décision et ses explications donnent une impression d'insouciance devant la vie humaine. »

Car les preuves qui ont été avancées pour démontrer sa bisexualité et les dangers pour sa vie étaient fortes et nombreuses, selon lui. Mais une fois qu'une décision est rendue par le CISR, difficile de la faire changer. « Entre 10 et 15% des demandes de révision faites à la cour fédérale sont acceptées pour être entendues, et parmi celles-ci, de 7 à 10% réussissent à renverser le jugement de la CISR », estime M. Istvanffy.

L'avocat avait aussi commencé son plaidoyer devant la cour fédérale mardi dernier en demandant une récusation de la juge, ayant « perdu confiance dans son jugement par rapport aux gais de l'ouest de l'Afrique », rappelant un autre dossier de demande d'asile qu'elle avait refusé d'entendre il y a un an. Le demandeur d'asile en question s'était violemment fait battre dès son arrivée dans son pays. La juge a toutefois rejeté sa demande.

Incompréhension et préjugés autour de la bisexualité

«Homosexualité ou bisexualité, peu importe, on ne va pas jouer avec les mots », a laissé tomber l'avocate de la Couronne entre deux arguments durant l'audience de mardi dernier.

Mais jouer sur les mots, ici, aurait pu faire une différence, selon plusieurs intervenants.

«La méconnaissance de la bisexualité peut mener à un mauvais jugement, fait valoir Meryem Benslimane de AGIR. Les cas de bisexuels sont vraiment très difficiles à gérer dans le système des réfugiés. Souvent, ils ne sont pas cru parce qu'on s'attend à ce qu'une personne corresponde aux stéréotypes du gai ou de la lesbienne. S'il a des enfants ou une famille comme Karim, on trouve que son témoignage n'est pas fiable. »

«La bisexualité n'est pas juste d'avoir des relations avec un homme ou une femme, c'est une identité, pas nécessairement un choix, ajoute Christian Tanguay, directeur général du centre communautaire LGBTQ+ de Montréal que Karim fréquentait assidument depuis son arrivée à Montréal. Si les commissaires qui étudient les dossiers ne comprennent pas ça, il peut facilement y avoir discrimination. »

M. Tanguay souligne que de nouvelles directrices à l'intention des commissaires ont été mises en place en mai dernier, mais ne semblent pas encore être effectives. «Ces recommandations disent que le dossier d'un demandeur d'asile homosexuel, bisexuel ou trans doit être traité au même pied d'égalité qu'un dossier de répression politique », explique-t-il

Le Canada pour vivre en sécurité

« Je croyais que les bisexuels pouvaient vivre en paix ici», dit Karim, déboussolé. L'an dernier, le premier ministre canadien Justin Trudeau a d'ailleurs été nommé champion de la lutte contre l'homophobie par la fondation Émergence en raison de son engagement et ses gestes pour protéger les droits de la communauté LGBT.

« Montréal est aussi supposée être une ville sanctuaire, on est supposé s'occuper des personnes réfugiés », rappelle aussi l'administratrice d'AGIR.

Ce cas survient aussi alors que les déportations du Canada vers la Guinée sont plus nombreuses depuis un an. Quelques manifestations et dénonciations ont été organisées à ce sujet. Selon l'organisme Statut pour les Guinéens, cette multiplication coïncide avec l'entrée en vigueur d'un Accord sur la protection et la promotion des investissements étrangers entre le Canada et la Guinée.

«Ce n'est pas la première fois que nous sommes témoins d'une déportation comme celle-là et que la personne arrive chez elle et se fait tuer très vite, se désole Viviana Medina, porte-parole du Centre des travailleurs immigrants dont est membre Karim depuis plusieurs mois. Ce sont des histoires terribles, mais le système ferme les yeux, ne les écoute pas,  on ne les croit pas.»

Le Centre des travailleurs immigrants, AGIR, le centre communautaire LGBTQ+ de Montréal et d'autres organismes s'allient pour  interpeller le ministère de l'immigration par des lettres, le sommant de stopper cette déportation, prévue pour 15h cet après-midi.

 

lapresse.ca/

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Trois Royal Marines ont été virés de l’armée pour avoir fait une sex tape en étant ivres

Publié le par justin

Trois Royal Marines ont été virés de l’armée pour avoir fait une sex tape en étant ivres

Trois hommes ont été virés de l’armée pour avoir fait une sex tape.

Luke Bowen, Jordan Coia et Ben James ont été arrêtés au club DeVito à Arbroath en Ecosse. Les trois ont été vus sur des caméras de surveillance en train de boire leur urine et de se faire des fellations. Quand un gardien est venu voir ce qu’ils faisaient, ils se sont rapidement rhabillés.

Selon le rapport de police:

L’enregistrement montre l’un des accusés se tourner et commencer à uriner. Luke Bowen s’approche de lui, se baisse et place sa tête au niveau de l’entrejambe de l’autre homme et commence à boire son urine. Luke Bowen défait ensuite sa ceinture et on peut le voir boire son urine.

Ben James (left) and Luke Bowen (right) pleaded guilty

Jordan Coia 

 

Ben James se baisse alors et boit l’urine de Luke Bowen, qui met son pénis dans la bouche de James. Jordan Coia se baisse et fait la même chose. Craig Lynch se baisse alors, prend le pénis de Bowen dans sa bouche et Bowen lui prend la tête et lui fait faire des mouvements avant/arrière pour simuler l’acte sexuel. Bowen remonte ensuite son pantalon lorsque le gardien arrive à l’image.

Les trois hommes ont plaidé coupable d’outrage aux bonnes mœurs. Bien qu’ils aient été limogés de la Royal Marine, leur peine a été plutôt légère. Tous ont été condamnés à des travaux d’intérêt général: Bowen à 300 heures, Coia 225 et James à 240. Le juge a estimé qu’il n’y avait « aucun élément sexuel significatif » donc aucun des hommes ne sera incarcéré ou enregistré dans une liste de délinquants sexuels.

Lynne Sturrock, l’avocate de Bowen, a déclaré:

Il avait espéré faire toute sa carrière dans l’armée, mais celle-ci est terminée. Il a honte et il est gêné par cet incident et sa famille, ainsi que ses amis en connaissent tous les circonstances.

Image de une par melanjurga via iStock

 

hornetapp.com/

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Torture, homosexualité, terrorisme...La directrice de la prison civile de la Rabta revient sur les conditions de détention

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Torture, homosexualité, terrorisme...La directrice de la prison civile de la Rabta revient sur les conditions de détention

Fraîchement désignée à la tête de l’établissement pénitentiaire de la Rabta, Leila Jdidi à livré au journal Assbah, l'état des lieux des prisons en Tunisie. À noter que Jdidi est une psychologue de formation, elle occupait jusque-là le poste de conseillère générale des prisons et de la rééducation de première classe, et avait déjà assumé différentes fonctions de responsable, dont celles de directrice du centre de rééducation des jeunes délinquantes de Mghira.

Encombrement des prisons

Leila Jdidi admet que les prisons en Tunisie sont surpeuplées mais elle dit ne pas avoir une marge de manoeuvre sur le sujet: "Quand on reçoit un mandat d'arrêt, le détenu doit être incarcéré, même si cela dépasse notre capacité d'accueil (...) la seule solution est la mise en place de peines alternatives à la prison indique-t-elle préconisant également de construire plus de prisons

La prison: une niche du terrorisme?

Pour la directrice de la Rabta, contrairement à ce que véhiculent certains, la prison ne fabrique pas des terroristes. Et pour cause, si les leaders des réseaux terroristes sont isolés des prisonniers de droit commun, les autres mêlés aux affaires de terrorisme peuvent partager avec eux les mêmes cellules mais ils subissent un contrôle rigoureux de leurs moindres faits et gestes.

La torture

Leila Jdidi écarte les accusations de torture dans les prisons tunisiennes parce qu' "il n'y a aucune justification pour recourir à la torture", dit-elle. Jdidi évoque des morts naturelles et selon elle, les familles ont toujours un soupçon quand un de leur proche décède dans une prison refusant ainsi d'admettre sa mort.

Favoritisme

La directrice de la Rabta nie le fait que certains prisonniers bénéficient de meilleures conditions de détention par rapport aux autres. "Il n'y a pas de népotisme dans les prisons". Elle explique le fait que certaines personnalités politiques ou sécuritaires sont éloignées des autres détenus par le souci de préserver les secrets d'État, susceptibles de circuler à travers la proximité entre les détenus.

L'homosexualité

Pour Jdidi, l’homosexualité est l’une des pratiques qui pourraient exister dans plusieurs endroits et pas que dans les prisons. Les détenus, qui sont privés de relations sexuelles avec leurs conjointes, ont recours à ce genre de pratiques pour assouvir leurs envies sexuelles et leurs instincts. Toutefois, les agents pénitentiaires prennent des mesures disciplinaires à l'encontre des concernés, met-elle en garde, en signalant que si le rapport est consenti, les détenus sont déplacés dans une autre cellule et des mesures sont prises à leur encontre, sans préciser la nature de ces mesures.

La recrudescence des crimes

Pour la responsable pénitentiaire, le nombre des crimes équivaut à celui de l'avant révolution, ce qui a changé, d'après elle, c'est que les médias mettent en avant les criminels et les valorisent. "Les enfants qui regardent ces émissions sont influencés par ce qu'ils voient et sont tentés de reproduire la même chose sans en mesurer la portée et la dangerosité", déplore-t-elle.

.huffpostmaghreb.com

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Roland, agressé en pleine journée dans la rue à Verviers parce qu'il est gay!

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Roland, agressé en pleine journée dans la rue à Verviers parce qu'il est gay!

Ce lundi en fin d’après-midi, Roland Mary a été agressé par trois personnes au beau milieu de la rue des Raines, à Verviers. Son tort aux yeux de ses agresseurs ? Il est homosexuel. Insulté et frappé à plusieurs reprises, le trentenaire témoigne, en espérant que les mentalités puissent changer.

Ce mardi, Roland Mary est sous le choc. Le Verviétois n’arrive pas à croire à ce qui lui est arrivé ce lundi en fin de journée, vers 16 heures. «  Je suis sorti de chez moi, rue des Raines, et je me dirigeais vers la rue du Collège. Je me rendais à la salle de sport. J’ai croisé trois hommes, des étrangers. Ils m’ont traité de ‘sale PD’, ont dit qu’on devrait ‘tous les tuer’ les gens comme moi, etc. C’était trois hommes entre 30 et 40 ans, je ne les connaissais pas du tout  » raconte Roland Mary, qui n’a pas tardé à prendre des coups. «  Ils m’ont insulté puis l’un d’eux m’a frappé au visage. Les deux autres regardaient et m’insultaient. Il m’a frappé à plusieurs reprises. Quand j’ai vu qu’ils s’éloignaient je me suis mis à courir dans l’autre sens  », se souvient tristement le trentenaire qui a directement appelé la police pour expliquer ce qui s’était passé.

 

sudinfo.be

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Un activiste gay brutalement attaqué à Londres, la police tarde à enquêter

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Un activiste gay brutalement attaqué à Londres, la police tarde à enquêter

«Les crimes de haine sont en hausse, la police doit passer à la vitesse supérieure»

Tom Knight , écrivain, producteur et militant de 31 ans basé à Londres, a été brutalement agressé pour être gay le vendredi 3 novembre. Knight écrit pour Gay Times Magazine et est un producteur pour Pride à Londres.

«J'étais en route pour aller chercher de la nourriture après une bonne nuit glacée avec mes amis, et alors que nous approchions du restaurant de Hoe Street à Walthamstow, trois gars nous ont attaqués à la recherche d'ennuis», se souvient Knight.

J'ai haussé les épaules en disant: «Très bien les gars, allez» et avant que je ne le sache, l'un d'entre eux m'a frappé à la mâchoire tout en m'appelant de la gueule. Cela a été suivi par un coup énorme à mon oeil qui m'a frappé à la terre.

"Mon visage ne me semble pas très bon maintenant et je me suis fait couper les bras et les jambes", raconte Knight à GSN. «Je trouve toujours du sang autour de mon appartement depuis mon retour après l'incident.

Réponse de la police

Cependant, le plus inquiétant est qu'en dépit du fait que Knight a signalé l'incident à la police presque immédiatement, ils semblaient cavaliers au sujet de l'enquête sur le crime de haine.

"Après une longue conversation avec eux, ils m'ont informé qu'ils ne pouvaient pas assister à la scène, et ne pourraient pas me voir et prendre une déclaration jusqu'à lundi après-midi", dit Knight.

"J'ai été choqué", déclare Knight. «Surtout que nous étions à quelques minutes de la gare, dans un quartier animé de la ville un vendredi soir et il n'y avait pas de police en vue. Ils auraient pu les attraper s'ils venaient.

«Beaucoup trop de gens hésitent à dénoncer les crimes tels qu'ils sont, alors quand la police ne semble pas prendre les choses au sérieux, ça n'aide vraiment pas», dit Knight.

Knight a été la victime de la haine anti-gay dans le passé, mais rien d'aussi grave que cela. Même dans ces incidents moins graves, Knight se souvient que la police n'était pas utile non plus.

«Cela peut laisser un goût amer dans la bouche et il peut être difficile de ne pas perdre la foi», explique Knight. "Mais nous devons signaler chaque crime de haine. Sinon, cette personne peut aller le faire à quelqu'un d'autre et ils pourraient ne pas être aussi chanceux.

«Je suis une personne confiante et forte, et cela m'a beaucoup frappée», dit Knight. «J'ai eu de la chance, ça aurait pu être bien pire.

«Les crimes de haine sont en hausse, la police doit passer à la vitesse supérieure et s'assurer qu'ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour protéger non seulement notre communauté, mais tous ceux qui sont victimes du crime».

Cet incident intervient quelques jours après l' annonce de la fermeture de la moitié des postes de police de Londres en raison des coupes budgétaires.

Le mois dernier, il a été révélé que le nombre de crimes de haine en Angleterre et au Pays de Galles a augmenté de 29% cette année.

 

C L

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Papa tue un adolescent de 14 ans: "Il préfèrerait avoir un fils mort qu'un fils gay"

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Papa tue un adolescent de 14 ans: "Il préfèrerait avoir un fils mort qu'un fils gay"

Un père a tiré sur son fils homosexuel de 14 ans, la police attribuant en partie l'assassinat à l'orientation sexuelle du garçon.

Selon la police de Henderson au Nevada, Wendell Melton, 53 ans, a abattu son fils Giovanni dans la matinée du jeudi 2 novembre.

Sonja Jones est l'ancienne mère adoptive de Giovanni et a dit que Wendell avait toujours quelque chose contre la sexualité de son fils.

Elle a dit 3 Nouvelles : «Il détestait le fait que son fils était gay.

«Je suis sûr que dans son esprit, il préfèrerait avoir un fils mort plutôt qu'un fils gay», a-t-elle dit.

Papa tue un adolescent de 14 ans: "Il préfèrerait avoir un fils mort qu'un fils gay"

Giovanni a fréquenté Coronado High School, et des amis disent qu'il a apporté des sourires sur le visage de tous ceux qu'il connaissait.

Jones prétend que Wendell a déjà attrapé Giovanni avec son petit ami et ensuite tiré une arme sur lui.

Elle a ajouté: "Giovanni a été abusé physiquement et mentalement et spirituellement pendant de nombreuses années."

L'argument chauffé est devenu violent

Les voisins disent qu'un débat houleux a tourné à la violence dans le complexe d'appartements Horizons at Seven Hills le jour de l'incident.

Michael Chandler vit dans l'immeuble et a déclaré que beaucoup de voisins avaient entendu les coups de feu. Il a dit: "Ils ont entendu un énorme argument.

"Ils ont écouté l'argument et apparemment le père a tiré sur son fils", a-t-il dit.

Les voisins prétendent également que le fils gay était souvent laissé seul à la maison et sans surveillance. Ils racontent aussi des cas où Giovanni prétendait que son père le maltraitait.

Jones a dit: «J'espère qu'ils lui jettent le livre. J'espère qu'il ne verra jamais la lumière du jour.

"J'espère que chaque jour, quand il se regarde dans le miroir, il voit le visage de son fils", dit-elle.

Wendell Melton fait face à des accusations de meurtre ouvert, de maltraitance d'enfants et de personne interdite possédant une arme à feu.

 

C L

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ÉCLATS DE VOIX HOMOPHOBES AUTOUR DE LA CRISE CATALANE

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ÉCLATS DE VOIX HOMOPHOBES AUTOUR DE LA CRISE CATALANE

Les LGBT espagnols s'inquiètent de voir l'extrême droite et son discours de haine gagner du terrain à la faveur du conflit qui oppose Madrid à Barcelone.

Voilà plus d’un mois – depuis le référendum contesté du 1er octobre – que la crise catalane secoue l’Espagne. A priori, l’affaire ne semble pas avoir de rapport avec les questions LGBT. Sinon que, comme le relève le site DosManzanas, les éclats de voix à caractère homophobe se font entendre çà et là dans manifestations publiques anti-indépendance.

Un de ces épisodes s’est déroulé le 27 octobre à Barcelone, devant Catalunya Ràdio. Des jeunes agitant des drapeaux espagnols ont fait le siège de la station indépendantiste, frappant les vitres aux cris de «Voilà les amis des gays». Un autre incident s’est produit jeudi dernier, alors qu’un politicien catalan ouvertement gay, Santi Vila, se présentait à la convocation de l’Audience Nationale, à Madrid. Il a été accueilli par des «maricón» («pédé») et des «traîtres», lancés par une poignée de militants nationalistes devant les caméras de télévision.

https://www.youtube.com/watch?v=JZQAbgp-g60

Le même jour, le journal catalan «La Vanguardia» captait une conversation entre deux policiers postés devant le bureau de la juridiction. Les fonctionnaires commentaient l’envoi en détention préventive du vice-président catalan destitué, Oriol Junqueras: «Tu vas voir comment ils vont le mettre en prison, le nounours! A quatre pattes, ça va lui remettre les yeux en place! (ndlr: en référence au strabisme de l’élu).»

LES PLUS VULNÉRABLES SONT LES PLUS LÉSÉS
Les trois incidents ont été dénoncés à la justice par le collectif Arcópoli, qui gère un observatoire des LGBT-phobies à Madrid. «On a enregistré d’autres incidents homophobes en relation avec le conflit en Catalogne dans diverses villes de la région madrilène, précise l’association. Dans des moments de polarisation politique et sociale comme ceux que nous vivons actuellement, ce sont les communautés les plus vulnérables qui sont les plus lésées. Ainsi dans ce cas, on utilise l’orientation sexuelle comme attaque.» La police, de son côté, a annoncé une enquête sur la discussion entre les deux policiers.

Tout en s’abstenant de prendre parti dans l’affaire catalane, DosManzanas rappelle que la crise actuelle constitue une «fenêtre d’opportunité unique» pour l’extrême droite espagnole, en veilleuse depuis la fin du régime franquiste en 1975. Si cette percée se confirme, «elle signifiera sans aucun doute la remise en cause des droits du collectif LGBT, prévient le blog LGBT espagnol. Les éclats d’homophobie que nous signalons aujourd’hui sont un signal. Les ignorer, les minimiser ou même «blanchir» l’extrême droite quand elle est dans votre camp ne peut qu’apporter des malheurs. Il appartient aux forces politiques, aux médias et aux personnalités qui soutiennent les actions du gouvernement espagnol, ainsi qu’au gouvernement lui-même, de faire l’effort [de dénoncer l’homophobie]. Et en ce moment, nous pensons qu’ils n’en font pas assez.»

 

http://360.ch

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Grande Bretagne : un joueur de cricket suspendu pour avoir sauvé deux hommes d’une agression homophobes

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Grande Bretagne : un joueur de cricket suspendu pour avoir sauvé deux hommes d’une agression homophobes

 Deux hommes gays, victimes d’une agression, défendent celui qui les a aidé, Ben Stokes, une star du cricket,  qui a été arrêté en septembre suite à l’incident devant une boîte de nuit Bristol.

 Kai Barry, 26 ans, et Billy O’Connell, 20 ans, ont déclaré dans une interview à The Sun que Stokes est venu à leur secours en résistant aux intimidateurs menaçants.


Stokes a été arrêté, soupçonné d’avoir causé des lésions corporelles et libéré sans inculpation, mais il est toujours sous enquête policière.


Le joueur de 26 ans, qui a également eu un doigt cassé, ne partira pas avec le reste de l’équipe pour participer aux Ashes  , après avoir été suspendu à la suite de l’incident. Son coéquipier, Alex Hales, a également été suspendu.


(The Ashes, littéralement « les Cendres », est une série de test-matchs de cricket qui opposent tous les ans, les équipes d’Angleterre et d’Australie.)


Barry et O’Connell ont affirmé avoir rencontré le joueur et son coéquipier de l’équipe d’Angleterre Alex Hales dans une boîte de nuit le soir en question et Stokes leur a payé à boire. Le couple affirme qu’ils n’avaient aucune idée qu’ils étaient des joueurs de cricket.


Stokes et Hales marchaient prés du couple, après avoir quitté la boîte de nuit, lorsque Barry et O’Connell ont été pris à parti.
O Connell a déclaré au Sun : « Nous étions très reconnaissants à Ben de nous être venu en aide, il a été un vrai héros, Kai craignait qu’il puisse être attaqué et si Ben n’était pas intervenu, ça aurait pu être bien pire pour nous. »


Barry a ajouté: «Je ne suis pas un combattant et nous ne voulions pas nous battre, nous aurions pu avoir de gros problèmes, Ben a été un vrai gentleman».


Le couple expliquent qu’ils n’avaient pas conscience des répercussions de  cet incident, les découvrant seulement quand la police est venue les interroger

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Italie : le passé d’un ancien acteur porno devenu prof refait surface

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Italie : le passé d’un ancien acteur porno devenu prof refait surface

Ruggero Freddi est sous les feux des médias italiens, cette semaine.
Son passé d’acteur porno au sein des studios Colt a été révélé par la presse.


Sous le nom de Carlo Masi, il a tourné de nombreux films avec les studios Colt de 2004 à 2013.( les photos sont là)


«Honnêtement ce n’était pas vraiment un secret», a répliqué l’ex acteur de bientôt 42 ans. Il a expliqué qu’il était parti aux Etats-Unis démoralisé par les faibles salaires offerts dans son pays. «Et on m’a proposé de faire un film (« Big N Plenty»). Et je me suis dit pourquoi pas.»


Le pseudo-scoop a été relayé dans plusieurs journaux, dont «La Verità», qui a illustré sa Une d’une photo de Masi en pleine action, entre deux autres étalons. «Nouveaux enseignants en chaire à La Sapienza: celui d’ingénierie est au milieu», a titré le quotidien de droite.


Ruggero Freddi dit n’avoir eu aucune retombée négative au sein de l’université… et n’avoir aucun regret quant à son passé. «J’étais content d’être un beau mec reconnu dans le monde entier. Je suis content que le monde reconnaisse que je suis aussi un mec intelligent!» s’amuse le chercheur, interrogé par le site britannique GayStarNews.


Apprécié pour sa virilité et son corps musclé, il est un promoteur de sexualité sans risque et a toujours été proche du monde italien GLBT


En Octobre 2009 , après avoir temporairement abandonné le cinéma porno , il a fait ses débuts au théâtre avec Senzaparole , d’après Samuel Beckett , avec le réalisateur Andrea Adriatico et mis en scène à Bologne avec la société du Teatro Testoni .


En 2013 , après avoir terminé un diplôme en trois ans en mathématiques à La Sapienza , il annonce officiellement la fin de sa carrière pornographique .


En 2016, il obtient une maîtrise en mathématiques à l’Université La Sapienza  . Après l’obtention de son diplôme, il obtient un doctorat et s’est occupé d’un cycle de cours d’analyse I au département de sciences de base et d’ingénierie appliqué

plus de photos ci dessous (more…)

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DAVE RÉVÈLE AVOIR ÉTÉ VICTIME D’UNE AGRESSION SEXUELLE À 19 ANS

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DAVE RÉVÈLE AVOIR ÉTÉ VICTIME D’UNE AGRESSION SEXUELLE À 19 ANS

Suite à l’affaire Gilbert Rozon, le chanteur néerlandais a décidé de témoigner.

 

Depuis l’affaire Weinstein, la parole autour des violences sexuelles continue de se libérer. Récemment, le producteur canadien Gilbert Rozon, président du festival «Juste pour rire» et ancien jurée de l’émission «La France a un incroyable talent» a été accusé par plusieurs femmes de harcèlement ou d’agression sexuelle. Interrogé au sujet de son ancien partenaire dans «La France a un incroyable talent» par Télé Star, le chanteur Dave a confié : «C’est extrêmement compliqué quand on a un ami qui a une ombre dans sa vie (...) Toutes les familles ont des cadavres dans le placard ... ».

Le chanteur néerlandais âgé de 73 ans a profité de cet entretien pour raconter qu’il avait été lui même victime d’agression sexuelle. Alors qu’il démarrait sa carrière de chanteur aux Pays-Bas, un éditeur de chansons avait tenté d’abuser de lui : «J’avais 19 ans, il m’a fait boire et tout d’un coup, il avait sa main dans mon slip. Je sais ce que c’est de se faire violenter», a-t-il expliqué à Télé Star.

 

Dix femmes accusent Gilbert Rozon

Après les témoignages de neuf femmes accusant Gilbert Rozon de harcèlement ou d’agressions sexuelles la semaine dernière, c’est l’animatrice et productrice québécoise Julie Snyder qui a porté plainte pour agression sexuelle auprès de la police de Montréal.

Gilbert Rozon a quitté ses fonctions au sein du groupe «Juste pour rire», a été évincé de l’émission «La France a un incroyable talent» sur M6 et les chaînes M6 et C8 ont déprogrammé les émissions auxquelles Gilbert Rozon est associé.

 

laparisienne.com

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