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Articles avec #agression tag

Des agressions homophobes en centre-ville de Dieppe

Publié le par justin

Des agressions homophobes en centre-ville de Dieppe
Fait divers. Deux individus ont commis des agressions ouvertement homophobes, samedi soir en plein centre-ville. Des victimes ont accepté de témoigner, en soulignant le caractère exceptionnel des faits.
 
C’est une publicité dont il se serait bien passé. Quand il est interrogé par la presse, d’habitude, c’est pour parler de culture, de cinéma, de rêve et de paillettes... Mais plusieurs raisons l’ont mené à vouloir parler publiquement du drame qui s’est joué dans la nuit de samedi à dimanche, vers 1 h 30, place du Puits-Salé.

Nicolas Bellenchombre, bien connu à Dieppe pour être le président de l’association Ciné Deep et le directeur artistique du festival du film canadien, rentrait du casino, avec son compagnon Alexis. « On chantait. Rue du 19-Août-1942, on a dépassé deux hommes qui fumaient. Une fois passés, ils nous ont interpellés et envoyé des projectiles, des briquets ». Nicolas et Alexis continuent à avancer sans se retourner ni répondre aux provocations. Mais les deux hommes les rattrapent et les prennent à parti : « Pourquoi vous nous regardez ? C’est quoi ce parapluie de pédé ? » Avant que Nicolas et Alexis se rendent compte de quoi que ce soit, les coups pleuvent : « Alexis a pris un coup de poing et a réussi à se sauver en courant, reprend Nicolas Bellenchombre. Et ils ont dit : On se met sur la grosse tarlouze. Alors, je leur ai proposé de prendre mon argent, mon téléphone, mon sac. Ils ont répondu : C’est pas ça qu’on veut, c’est ta gueule. Ils m’ont frappé au visage, je suis tombé, ils ont continué à me frapper aux jambes et à la tête. Mes oreilles bourdonnaient et un voile blanc est passé devant mes yeux, mais j’ai réussi à me relever. Quand ils ont vu qu’Alexis, un peu plus loin, appelait à l’aide et téléphonait aux secours, ils sont partis en courant. Juste après avoir écrasé mon téléphone, par terre, d’un coup de talon. »

À l’arrivée de la police, les pompiers sont alertés : ils emmènent Nicolas, en sang et très choqué, aux urgences. Souffrant de multiples traumatismes crâniens et d’un épanchement de liquide céphalorachidien, il y restera jusqu’au lendemain soir. Alexis, lui, embarque à bord de la voiture de police, qui va tourner en ville à la recherche des agresseurs. En vain.

« Ils auraient pu me tuer »

Si Alexis a pu porter plainte dès le lendemain au commissariat, Nicolas, lui, doit rester immobile, chez lui, pendant six semaines : « Des policiers viendront chez moi prendre ma plainte. » Et il redoute déjà de ressortir, surtout le soir : « Alexis est angoissé, il regarde derrière lui sans cesse quand il est dans la rue. On est hypertraumatisés : ce qui nous est arrivé est inattendu, totalement gratuit et extrêmement violent. Ils auraient pu me tuer. »

Pourtant, quelques jours à peine après l’agression, le visage et le corps encore tuméfiés et endoloris, en proie à de sérieuses céphalées, Nicolas veut passer un message. Un message important qui justifie en grande partie son envie de parler : « Je ne veux pas en rester là car ça doit servir d’exemple pour l’avenir : je veux que ces deux hommes soient retrouvés et jugés. Dieppe n’a jamais été et n’est pas une ville homophobe. Il s’agit, surtout, de ne pas faire d’amalgame : ça peut arriver n’importe où, Dieppe n’est pas une ville où ça craint. Mais de la misère humaine et de la connerie, on en trouve partout. » Autre précision qui peut avoir son importance : « Mes agresseurs étaient Français et bien blancs, ce n’étaient pas des migrants ! »

Le caractère homophobe ne fait aucun doute, puisqu’un autre Dieppois, qui lui souhaite garder l’anonymat, témoigne à son tour : « C’était vers minuit, le même soir. Je rentrais chez moi, accompagné. Quatre hommes se sont mis à nous insulter de « pédé » et « fils de pute », en nous suivant vers l’église Saint-Rémy. Mon ami est rentré dans un bar mais je n’ai pas entendu qu’il m’appelait et j’ai continué à marcher. Alors l’un des hommes m’a roué de coups, y compris quand j’étais à terre, pendant qu’un autre regardait et que les deux derniers se tenaient plus loin. Ça s’est arrêté quand des clients du bar sont ressortis. Je suis allé direct à l’hôpital. » Il assure ne jamais avoir subi de près ou de loin de telles agressions auparavant à Dieppe « où je suis né et où j’ai toujours vécu. Et je ne changerai pas ma façon de vivre et de sortir ».

Nicolas Bellenchombre va lui aussi se soigner et reprendre une vie aussi normale que possible. À Dieppe, cette ville qu’il aime, où il s’est installé et où une foule innombrable lui a témoigné, par mille biais, son soutien. Parmi ces attentions, celle du maire Nicolas Langlois : « J’ai eu Nicolas au téléphone. Ce qui s’est passé est intolérable et ne doit pas se reproduire. J’ai ensuite échangé avec le commissaire pour faire le point, lui faire part de mon opinion et lui demander de me tenir informé des suites. »

Des faits « complètement isolés »

La police dieppoise s’est saisie de l’affaire et mène l’enquête.
De mémoire de Dieppois, une seule autre agression explicitement homophobe a eu lieu dans la cité d’Ango. C’était aussi un samedi soir, en juillet 2010 : trois jeunes interpellent un couple d’hommes à proximité du pont Colbert, avec des propos clairement homophobes, avant de rouer de coups l’un d’entre eux, tandis que le second fuit pour prévenir les secours. La victime, un cinéaste parisien, ressort des urgences douze heures plus tard, avec une trentaine de points de suture. Et la ferme intention de revenir à Dieppe voir ses amis, malgré tout.
« Ça ne colle pas 
avec Dieppe
 »
Quelques jours plus tard, les policiers appréhendaient les auteurs des faits, trois individus, âgés de 17 et 18 ans, avant leur passage devant la justice, l’année suivante.Une source policière confirme que ce sont là les seuls faits qualifiés d’homophobie qui se soient produits à Dieppe : « Les faits de samedi soir sont complètement isolés. Ils sont curieux et ne collent pas du tout à ce qui se passe à Dieppe en général. Nous ne recevons pas même de main courante pour des problèmes d’homophobie et nous n’avions aucun signe avant-coureur » pour les derniers faits survenus samedi soir. Des faits qui sont confirmés mais pas commentés, une enquête étant en cours. Au commissariat, on confirme également, néanmoins, qu’une « autre agression, moins grave, a eu lieu le même soir non loin de là, sûrement perpétrée par les mêmes auteurs ».
Dernière confirmation : le commissaire de police dieppois a été en contact avec le maire Nicolas Langlois et le député Sébastien Jumel au sujet de l’agression de samedi soir : « C’est le procédé normal en cas d’infraction et de trouble à l’ordre public 
 
 
.paris-normandie.fr

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L'ONU met en garde l'Indonésie contre la répression anti-LGBT

Publié le par justin

L'ONU met en garde l'Indonésie contre la répression anti-LGBT

Le haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Zeid Ra'ad Al Hussein, a mis en garde l'Indonésie mercredi contre la montée de l'intolérance à l'égard de la communauté LGBT, à la suite de récentes arrestations dans l'archipel d'Asie du Sud-Est.

Depuis quelque temps, des ministres, des conservateurs et des groupes islamistes se livrent publiquement à des propos homophobes, tandis que la police indonésienne a fréquemment recours aux strictes lois anti-pornographie pour réprimer des membres de la communauté LGBT.

« Le discours haineux contre cette communauté, qui est semble-t-il utilisé cyniquement à des fins politiques, ne va qu'aggraver ses souffrances et créer des divisions inutiles », a déclaré Zeid Ra'ad Al Hussein lors d'une conférence de presse à Jakarta, à l'issue d'une visite de trois jours.

Depuis la chute du régime dictatorial de Suharto en 1998, l'Indonésie est devenue l'un des pays les plus progressistes de la région, a observé le haut commissaire de l'ONU.

« Depuis 1998, l'Indonésie a réussi une transition vers la démocratie et l'a associée à une importante croissance économique. À un moment où elle consolide ses avancées démocratiques, nous recommandons avec insistance aux Indonésiens d'aller de l'avant - et non pas en arrière - en matière de droits humains », a souligné Zeid Ra'ad Al Hussein.

Ses déclarations interviennent sur fond de répression visant la petite communauté LGBT dans le pays musulman le plus peuplé au monde, alors que les organisations de défense des droits de l'homme ne cessent de dénoncer les abus.

Les relations homosexuelles sont légales en Indonésie, à l'exception de la province d'Aceh, la seule du pays à appliquer la loi islamique (charia).

La police y a récemment interpellé des femmes transgenres, leur a coupé les cheveux de force et les a contraintes à mettre des habits d'hommes.

Par ailleurs, le Parlement indonésien examine actuellement un amendement au Code pénal qui rendrait illégales les relations homosexuelles ainsi que l'adultère.

afp

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Afrique du Sud Un couple gay insulté et humilié par la police, la scène diffusée dans une vidéo

Publié le par justin

Afrique du Sud Un couple gay insulté et humilié par la police, la scène diffusée dans une vidéo

Un couple homosexuel sud-africain a été victime d'insultes et d'humiliation homophobes de la part de deux policiers. La scène a été filmée et diffusée sur internet dans une vidéo devenue virale, ruinant la vie des deux victimes

Deux agents de police ont intimidé, insulté et humilé deux hommes qu'ils ont surpris alors qu'ils avaient une relation sexuelle dans une voiture à Pietermaritzburg, en Afrique du Sud.

Une vidéo de la scène est apparue sur les réseaux sociaux dans laquelle on voit les deux hommes, affligés et effrayés, essayant de couvrir leurs parties génitales mais s'en voyant interdits par leurs agresseurs.

Assis dans leur véhicule, complètement exposés, ils sont l'objet des insultes et des injures des policiers.

Un des officiers demande même à son collègue de prendre des photos du couple, avant de leur crier dessus alors qu'ils tentent une fois de plus de se couvrir.

Le couple s'excuse désespérément, mais l'un des agresseurs leur dit: "C'est une honte de ce que vous faites. Les hommes ne sont pas censés faire cela".

L'un des policiers plaisante alors sur l'arrestation du couple, avant de leur dire finalement de s'habiller et de s'en aller.

Thabiso Mogapi, président d'Action for Social Justice International, a déclaré que son organisation avait identifié le couple et les soutenait avec une aide psychologique et juridique.
"Ils ne s'en sortent pas du tout", a-t-il dit. L'un des deux hommes est un enseignant et il se fait maintenant moquer par ses propres élèves et ses collègues".

La famille de l'autre l'a renié. Ils ne savaient pas qu'il était gay. 
Il a déclaré que les hommes qui avaient filmé la vidéo et l'avaient mise en ligne sur les réseaux sociaux avaient "ruiné et détruit" la vie des deux victimes.

Le Réseau gay et lesbien de Pietermaritzburg a déclaré que la vidéo était "méprisable" et "bouleversante".
"Nous voulons aller plus loin et nous essayons de mettre la main sur le couple afin que nous puissions les aider à faire des déclarations s'ils veulent faire ouvrir une enquête", a-t-il ajouté.

Le porte-parole de la police d'Alexandra a déclaré qu'elle essayait de déterminer qui étaient les officiers présumés responsable de la vidéo.
Elle a précisé que si le couple ne se présentait pas et n'engageait pas de poursuites contre les hommes qui les ont maltraités, il serait difficile d'enquêter. "La police est formée pour ne pas discriminer. C'est contre la loi", a-t-elle a ajouté.

Il est cependant probable que le couple ne décidera pas d'engager des poursuites car la plupart du temps les victimes ont peur d'être identifiées et abusées à plus grande échelle encore.

 

 

e-llico.com

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Polémique au Ghana après des tests d'homosexualité

Publié le par justin

Polémique au Ghana après des tests d'homosexualité

Amnesty International dénonce la décision des autorités ghanéennes d'avoir fait passer des tests médicaux à deux étudiants accusés d'avoir eu des rapports sexuels entre eux.

Les tests se sont traduits par "la torture et la dégradation de leur dignité humaine", a protesté l'organisation de défense des droits de l'homme.

Le fait de soumettre les deux étudiants à ce genre de test est une violation de la constitution ghanéenne, a dit à la BBC le porte-parole d'Amnesty International au Ghana, Robert Amoafo.

Les deux étudiants âgés de 18 et 23 ans auraient été surpris en train d'avoir des rapports sexuels, dans une chambre d'étudiants d'une université de Takoradi, une ville située dans l'ouest du Ghana.

Une porte-parole de la police, Olivia Adiku, a confirmé à la BBC que des tests médicaux avaient été effectués sur les organes génitaux des deux étudiants, dans le cadre d'une enquête sur l'incident.

L'homosexualité est une pratique illégale au Ghana.

Des chefs religieux et des hommes politiques, dont l'actuel président du parlement, s'opposent à sa légalisation.

 

 

.bbc.com

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La bisexualité de Nordahl Lelandais, un axe d’enquête pour la justice

Publié le par justin

La bisexualité de Nordahl Lelandais, un axe d’enquête pour la justice

Mis en examen pour meurtre dans deux affaires, Nordahl Lelandais fait l’objet de vérifications dans quinze dossiers différents. L’homme de 34 ans fréquentait des sites de rencontres homosexuelles, ce qui intéresse la justice.

C’est sans doute la part la plus mystérieuse du profil de Nordahl Lelandais que les gendarmes sont en train d’examiner. Ils ont découvert, au fil de leurs investigations sur le meurtre et la disparition de la petite Maëlys, 9 ans, à Pont-de-Beauvoisin (Isère), et sur l’assassinat du caporal Arthur Noyer, 23 ans, à Chambéry (Savoie) en avril 2017, qu’il avait une fréquentation très assidue de sites de rencontres homosexuelles.

Un travail de titan pour les enquêteurs car il faut retrouver des listes interminables de contacts et des échanges de messages sur des forums. Les gendarmes veulent savoir notamment si ces rencontres auraient pu déboucher sur des rendez-vous.

L’objectif est clair : il s’agit d’identifier des partenaires éventuels de l’ex-maître-chien pour mieux cerner son profil et son comportement avec ces hommes. L’enquête doit établir si, parmi ces contacts, il n’y a pas aussi des personnes portées disparues depuis. Un travail de longue haleine.

Car la bisexualité de Nordahl est un tabou cadenassé qu’il n’aurait jamais avoué à ses proches. S’il a bien eu des aventures féminines, et dès son plus jeune âge comme avec Delphine qui le décrit comme « un garçon doux » et « gentil », « incapable de faire du mal », il a aussi approché des hommes plus tardivement pour des relations souvent furtives. Toute l’enquête technique sur les supports informatiques doit retracer la vie intime de l’ex-maître-chien.

Un homme affirme avoir été abordé par lui en boîte de nuit

Un élément troublant est venu récemment alimenter cet axe d’enquête. Un homme s’est présenté dans une brigade de gendarmerie en région parisienne, assurant avoir reconnu Nordahl Lelandais comme étant l’inconnu qui l’avait abordé dans un établissement de nuit à Chambéry. Il a décliné ses avances à plusieurs reprises avant de partir. Mais le même homme a eu la surprise de découvrir que celui qu’il désigne bien comme Nordahl Lelandais l’avait suivi en voiture pour le relancer sur une aire d’autoroute de la région où il s’était arrêté. Une aire d’autoroute identifiée comme celle du Guiers sur l’A 43, connue pour être un lieu de rendez-vous sur des forums spécialisés. Elle se trouve aussi à proximité immédiate de la sortie de l’autoroute pour rejoindre Domessin, où vivait Nordahl Lelandais.

Ce scénario s’apparente au mode opératoire présumé de la disparition du caporal Noyer, sans doute pris en stop par son assassin à la sortie de la boîte de nuit en avril dernier.

 

 

leparisien.fr

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JeremstarGate : ouverture d'une enquête préliminaire après le dépôt de quatre plaintes à Nîmes

Publié le par justin

JeremstarGate : ouverture d'une enquête préliminaire après le dépôt de quatre plaintes à Nîmes

Nouveau tournant dans le JeremstarGate. Selon les informations de Closer, une enquête préliminaire a été ouverte à Nîmes après le dépôt de quatre plaintes. 

Les ennuis ont débuté il y a plus de deux semaines pour le blogueur Jeremstar, et cela ne semble être que le début. En effet, depuis les révélations d'Aqababe, le chroniqueur des Terriens du Dimanche, suspendu depuis le début de l'affaire, est pris dans une tempête médiatique, qui est entrain de se transformer en tempête judiciaire. Selon les informations de Closer, une enquête préliminaire a été ouverte à Nîmes suite au dépôt de quatre plaintes.

Dans les prochains jours, JeremstarPascal Cardonna, alias Babybel, visé par une plainte pour viol sur mineur, et deux de ses victimes présumées, Annoir et Jason, vont être entendus par les forces de l'ordre. Dans le cas du blogueur, les enquêteurs vont déterminer s'il a été "complice" de son ancien ami, dont il s'est récemment désolidarisé. A-t-il participé à l'organisation de soirées dans la résidence de Nîmes de "Babybel" où se seraient déroulés les viols sur mineur ?  Ils sont encore tous les deux présumés innocents et ont eux aussi porté plainte. Jeremstar pour "dénonciation calomnieuse et diffamation" nous confirme son avocate.

"Le #CardonnaGate existe"

Jeremstar est sorti du silence deux fois, par le biais de communiqués publiés dans les réseaux sociaux. La seconde fois, le blogueur n'avait pas hésité à pointer du doigt les agissements de son ami, tout en clamant son innocence : "Je suis innocent. Que me reproche-t-on, au final, sinon d'avoir eu le malheur de connaître Pascal Cardonna ? Pascal Cardonna n'est pas moi (...) Le #JeremstarGate n'existe pas. Le #CardonnaGate existe. Aucun doute n'est possible désormais à ce sujet mais c'est à la justice de se prononcer."

closermag.fr

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Cameroun: Agression homophobe d’un gay à Bertoua

Publié le par justin

Cameroun: Agression homophobe d’un gay à Bertoua

Un bourreau homophobe attaque et fait chanter un responsable de l’organisation Health And Human Rights Cameroon. L’attaque l’expulse de son domicile et prive l’association de son siège.

Dans la nuit du 16 janvier, le directeur administratif et financier de l’organisation Health And Human Rights Cameroon, nommé sieur Krys (pseudonyme), est agressé dans son domicile par un repris de justice aux environs de 2 heures du matin.

D’une orientation sexuelle discrète, le défenseur des droits humains vit depuis plusieurs années déjà dans la ville de Bertoua. Leader communautaire et point de référence sanitaire des personnes LGBTI. D’une réputation grandissante, il fait aujourd’hui l’objet de plusieurs attentions dans la ville, d’où la naissance de plusieurs inimitiés.

Krys déclare :

«  Comment peut-on s’en prendre aux personnes sans défense ? Tout le monde a droit à la vie »

C’est de ce fait que, dans la nuit du 16 janvier 2017 aux environs de 2 heures du matin, pendant que Krys est endormi. Meyo Bilounga Audrey, le repris de justice, s’avance vers son domicile.

Arrivé sur le lieu, armé d’un poignard, le bourreau qui s’est au préalable bien informé sur sa cible, commence à hurler son nom tout en défonçant sa porte : « Homo! Pedé! Ouvres ta porte! Je sais que tu es là! Association de diables! »

Il faut noter que, le lieu d’habitation de la victime sert également de lieu de rencontres des bénéficiaires LGBTI et de réunions pour l’association Health And Human Rights Cameroon (2HRC) car n’ayant pas encore de siège.

D’un réveil brutal, la victime pris de panique, se met à négocier avec le bourreau après avoir ouvert la porte. Ne voulant pas céder à la requête d’une somme émise par le bourreau d’un montant de 250.000 francs CFA (380 euros), il subit une sévère bastonnade. Par la suite, le bourreau le rassure qu’il prendra la peine d’informer toute sa famille et ses collègues de son orientation sexuelle après l’avoir poignardé (ce qui n’était qu’une menace).

À ce moment, la victime qui possède une somme de 83 000 francs CFA (126 euros) dans son compte Orange Money, passe son téléphone et son mot de passe au bourreau qui effectue un transfert vers son compte. Insatisfait du montant, Meyo replonge Krys dans la bastonnade. À bout de souffle, la victime lui apprend qu’il détient une bonne somme d’argent chez un ami et qu’ils doivent s’y rendre pour la récupérer.

S’étant mis en route, à la vue d’une patrouille de gendarmes la victime commence à crier à l’aide.  Meyo prend fuite en amenant avec lui son téléphone, son ordinateur et ses clés en faisant la promesse de revenir lui régler son compte.

Les gendarmes tenus aux faits, une plainte a été déposée contre la personne inconnue. Mais plus tard sa véritable identité sera connue. Les enquêtes continuent en cours jusqu’à ce jour.

Cependant, la victime est dorénavant déclarée persona non grata dans le quartier suite  aux informations relatives à son orientation sexuelle. Pour le moment, il se fait héberger par un ami, n’ayant pas de revenu pour prendre un cadre dans une cité sécurisée.

Tout terrifié, la victime et tous les autres défenseurs de l’organisation 2HRC vivent désormais dans la peur et un traumatisme avancé. Par ricochet, l’association n’a plus de lieu de rencontre pour leurs bénéficiaires.

À cet effet, Krys déclare :

« Comment protéger les personnes vulnérables si notre propre sécurité  n’est pas assurée ? »

 

76crimesfr.com

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JEREMSTARGATE : LA VERMINE SE PORTE TRÈS BIEN !

Publié le par justin

JEREMSTARGATE : LA VERMINE SE PORTE TRÈS BIEN !

On rêvait de le voir tomber. C’est arrivé. Jeremstar a explosé en plein vol. Accusé de complicité de viol sur mineur, le blogueur reçoit la punition suprême du lynchage populaire. Retranché dans son appartement parisien depuis l’éclatement de l’affaire, la vermine a stoppé toutes ses activités et ne s’exprime plus que par communiqués. D’après la presse, Jeremstar serait « très affecté » par les polémiques. Vous allez voir qu’en réalité, le blogueur se porte très bien, et que son business se porte à merveille, malgré les affaires ! 

LES PRÉCIEUSES AMITIÉS DE JEREMSTAR :

Au-delà des candidats de télé-réalité, Jeremstar a un carnet d’adresse rempli de relations clé. Sachez que la vermine possède de solides amitiés qui occupent des positions de pouvoir dans les milieux financiers, politiques et médiatiques. Des amitiés sur lesquelles il sait pouvoir compter. Dès les premières révélations d’Aqababe, le célèbre blogueur s’est empressé d’alerter les dirigeants français de Facebook, Twitter et Snapchat pour exiger la suspension des comptes du lanceur d’alertes. Abrités derrière les beaux discours de la liberté d’expression, les patrons des réseaux sociaux n’hésitent pas à la contourner lorsqu’il s’agit de sauver l’un des leurs. Jeremstar est un peu leur enfant. Les intérêts sont puissamment liés. Il fallait donc agir.

Bilan des sollicitations : Emmanuel Durand, directeur de Snapchat France, ordonne la suppression du compte du lanceur d’alerte et Damien Viel, directeur de Twitter France, fait disparaître le hashtag #Jeremstargate du classement « Top Tweet ». Pour Jeremstar, l’opération de déminage est réussie. L’entre soi et le réseautage n’ont jamais été aussi bien pratiqués.

JEREMSTARGATE : LA VERMINE SE PORTE TRÈS BIEN !

Même chose chez C8. Lorsque la chaîne apprend l’affaire, elle met en place sa stratégie : il faut sauver le soldat Jerem ! L’offensive est fixée. Jeremstar n’est pas « coupable » mais « victime ». La chaîne opère un bluffant tour de magie réthorique et sémentique que les animateurs et chroniqueurs reprendront en boucle pour tenter de faire basculer l’opinion publique. Une surprenante stratégie, à contre-courant de l’air du temps : alors qu’une écrasante majorité d’individus ont été sensibles à #BalanceTonPorc, mouvement qui dénonçait les cochons en tous genres, C8 fait bloc derrière l’une des figures les plus éloquentes de la porcherie.

En volant au secours du blogueur, ces gens-là ne lui ont pas rendu le service. Au contraire : leurs actions ont renforcé les soupçons d’un cercle privilégié ultra protecteur, qui pratique l’entre-soi et se moque éperdument des lois. Devant de tels agissements, la contestation populaire s’intensifie. Les internautes hallucinent et s’interrogent sur ceux qui font tourner le monde : ces gens de pouvoir ont-ils de la merde dans les yeux ? Les voilà en train de protéger un garçon qui, pendant des années, n’a cessé de déverser son venin à jet continu sur des victimes qui ne lui ont rien demandé. Jeremstar s’est construit sur la délation, le harcèlement et le pourrissage médiatique. Il a brisé de nombreuses vies, en y éprouvant de l’amusement et beaucoup de plaisir. Quel genre de dirigeant faut-il être pour soutenir un personnage aussi immonde ? Quelque chose cloche chez les puissants…

 

JEREMSTAR ACHÈTE DES FOLLOWERS SUR TWITTER :

Dès les premiers instants du « Jeremstargate », la vermine en chef a perdu plusieurs milliers de jeremstarlettes, révélant toute l’étroitesse et la fragilité de son assise. Pourtant, le compte Twitter du blogueur affiche une incroyable santé de fer : + 10 000 abonnés en quelques jours. Par quel prodige ? Chacun le sait : le diable se cache dans les détails ! Pour palier au désamour des followers, Jeremstar s’est empressé d’acheter en masse des centaines de faux comptes ainsi que des bots distributeurs de faux likes. Une façon de faire illusion et montrer que tout va bien, y compris en pleine tempête.

Cette pratique, Jeremstar s’y est déjà adonnée goulument par le passé. Le blogueur a très vite compris que le succès digital était indexé sur les statistiques. Plus elles sont gonflées, mieux c’est. Alors, autant en acheter ! Bâtie sur du bluff, cette performance vient nourrir la fable de la fulgurante réussite de ce garçon, racontée par tous ceux qui y ont intérêt. Elle permet surtout à Jeremstar de vendre ses espaces publicitaires au prix fort à tous ceux qui ont de l’argent à perdre.

 

MALGRÉ LE JEREMSTARGATE, SES AFFAIRES SE PORTENT À MERVEILLE :

 

Que ceux qui s’inquiètent pour les affaires de Jeremstar se rassurent : son entreprise se porte à merveille ! La S.A.R.L Jeremstar, c’est d’abord une société de production qui produit des vidéos. Ses interviews-baignoire, toujours disponibles sur Youtube, continuent à générer beaucoup l’argent. Malgré le « Jeremstargate », le blogueur percevra entre 1200 et 19 700 euros ce mois-ci.

Deuxième activité : les placements de produits.

JEREMSTARGATE : LA VERMINE SE PORTE TRÈS BIEN !
JEREMSTARGATE : LA VERMINE SE PORTE TRÈS BIEN !
JEREMSTARGATE : LA VERMINE SE PORTE TRÈS BIEN !

Partenaires historiques de la vermine purulente, « Uber » et « My Jolie Candle » constatent l’étendue des dégâts : elles assistent, impuissantes, à la chute de le leur meilleur levier commercial. Pas la peine d’être un directeur marketing pour observer que « Pédophilie », « détournement de mineurs », « prostitution » et « complicité de corruption » ne sont pas des termes de très bon augure pour les affaires. Ce sont pourtant les mots que Jeremstar traine avec lui depuis plusieurs semaines ! Et cela restera, comme une trace indélébile. Toutefois, ni la compagnie de VTC, ni l’entreprise de bougies parfumées n’a rompu son partenariat avec le rabatteur (présumé) de mineurs. À l’heure où cet article est écrit, le code de promotion « JEREMSTAR » est toujours actif sur les plateformes Uber et continue de générer des revenus très juteux pour le blogueur. Tout comme la bougie « JEREMSTAR », toujours disponible à la vente. Si vous trouvez ça honteux, rien ne vous empêche de hurler ! Les marques, elles, s’en moquent éperdument !

Cerise sur le gâteau : selon mes informations exclusives, même si Jeremstar a été mis à pied et n’apparaît plus sur C8, la vermine soupçonnée de complicité de viol sur mineur continuerait de percevoir une rémunération de TéléParis, la société de production de Thierry Ardisson. Hallucinant ? Mais non voyons ! Bienvenue dans le monde de la télévision !

La vermine peut être ravie : même après avoir stoppé ses activités, elle continue à amasser de l’argent. Le Jeremstargate n’a pas empêché Jeremstar de se constituer un patrimoine sur le dos des ados (ceux que Babybel n’a pas encore mis dans son lit !).

 

 

 

letelespectateur.com

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#MeToo De nouvelles accusations de viol contre la pornstar Topher DiMaggio

Publié le par justin

#MeToo De nouvelles accusations de viol contre la pornstar Topher DiMaggio

Après les accusations d'un collègue acteur X contre lui, Topher DiMaggio fait face à de nouveaux témoignages de viols de deux hommes

Les allégations contre la star du porno Topher DiMaggio, qui a travaillé pour les labels NakedSword, Cocksure et Cockyboys depuis 2007, se multiplient.

Deux hommes - qui ne travaillent pas dans l'industrie du porno - ont rendu publiques des histoires similaires au viol relaté la semaine dernière par l'acteur X Tegan Zayne.

Sur le blog du site de rencontre gay "Hornet" un certain "Dan" relate comment DiMaggio l'aurait violé en 2016 après une fête. Il raconte s'être réveillé nu sur le ventre alors que DiMaggio essayait d'avoir un rapport sexuel avec lui. Il aurait demandé à DiMaggio de s'arrêter, mais ce dernier aurait passer outre et l'aurait pénétré sans protection.

Après l'incident Dan s'est immédiatement rendu à l'hôpital afin de  se faire prescrire un traitement post-exposition au VIH. Il n'est pas allé à la police par crainte de représailles de la star du porno.

Un autre homme a rapporé au portail porno "Str8UpGayPorn" un incident similaire. Bryan, 33 ans, affirme avoir été violé par DiMaggio l'année dernière. Il avait rencontré la star du porno dans une discothèque, puis s'était rendu avec lui et des amis chez un ami.

Quand les deux se sont retrouvés seuls dans la salle de bain, DiMaggio est devenu violent et a pressé brutalement la tête de sa victime contre le mur. Tellement fort que sa lèvre a été blessée alors que DiMaggio pénétrait oralement sa victime avec son pénis.

La semaine dernière, DiMaggio a vivement rejeté les allégations de viol de son collègue Tegan Zayne.

http://e-llico.com

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VIDEO - La police rase les têtes de 12 femmes transgenres en Indonésie, les force à porter des vêtements pour hommes

Publié le par justin

VIDEO - La police rase les têtes de 12 femmes transgenres en Indonésie, les force à porter des vêtements pour hommes

La police retiendra les femmes trans jusqu'à ce qu'elles aient fait du coaching pour «apprendre à être de vrais hommes»

Un groupe de femmes trans arrêtées en Indonésie se sont battues et ont pleuré lorsque la police les a arrêtées dans la province d'Aceh, au nord-ouest du pays.

Ils ont ensuite été exhibés dans un lieu public où ils ont eu la tête rasée et ont été contraints de porter des vêtements pour hommes. Cela s'est passé devant un grand groupe de personnes qui ont filmé l'incident sur leur smartphone.

Aceh est la seule province d'Indonésie autorisée à pratiquer la charia islamique.

Les 12 femmes trans ont été arrêtées dans six salons locaux tôt dimanche matin.

Des policiers locaux et des miliciens civils ont arrêté les femmes dans le cadre d'une «opération de la maladie communautaire».

Le chef de la police, Ahmad Untung Surianata, a déclaré que les femmes seraient détenues au poste de police pour suivre une formation "jusqu'à ce qu'elles deviennent vraiment des hommes".

"En outre, les officiers les ont aussi nourris en les faisant courir pendant un certain temps et en leur disant de chanter fort jusqu'à ce que leurs voix masculines soient diffusées", a déclaré Untang, selon l'agence de presse officielle  Antara .

Kompol Edwin Aldro, chef des opérations de la police du nord d'Aceh, a déclaré que les femmes trans seraient rendues à leurs familles une fois leur «formation» terminée.

«Il y a environ six salons que nous avons attaqués à Lhoksukon et à Pantonlabuukon et à Pantonlabu», a déclaré Aldro à Serambinews.com.

«Ensuite, les policiers ont détenu 12 femmes transgenres au poste de police d'Utara pour que nous fassions du coaching. Ils resteront détenus et après avoir terminé leur entraînement, ils seront renvoyés dans leurs familles.

«Leurs cheveux étaient taillés en officier, parce que c'est long. Alors que cela s'est passé, ils ont dit que leur identité sexuelle était féminine, alors nous avons rangé (leurs cheveux).

 

Prévenir l'augmentation de LGBTI

Le chef de police Untang a déclaré que les raids avaient reçu la bénédiction d'érudits islamiques locaux influents.

"En principe, les chercheurs soutiennent cet effort", a-t-il déclaré à Kompas.com .

«L'expression d'hommes habillés comme des femmes a besoin d'une attention sérieuse.

Untang a déclaré que les raids ont été menés pour empêcher l'augmentation des personnes LGBTI à Aceh, qu'il considérait comme dangereuses pour les générations futures.

Il est entendu que la police a trouvé de la pornographie sur les téléphones des femmes trans et prévoit de les inculper en vertu des lois anti-pornographie de l'Indonésie.

Les salons où les femmes ont été arrêtées ont reçu des avertissements de la police.

Un certain nombre de parents de femmes trans ont dit à la police que leurs enfants avaient été «séduits» par les salons.

«Ces mères sont venues me pleurer», a déclaré Untang.

'Ils ont dit que leurs fils (sic) ont été traités gratuitement au salon, et ont été séduits par les transgenres.

Ce n'est pas bon et nous devons être disciplinés. J'espère que nous pourrons endiguer la maladie de cette société.

Loi de Sharia d'Aceh

En décembre de l'année dernière, 12 femmes trans ont été suivies et détenues par des «militants islamistes militants» tels que décrits par Human Rights Watch (HRW) . La police a détenu les femmes détenues pendant 24 heures et les a relâchées le lendemain.

Les arrestations de deux hommes au début des années 20 pour homosexualité ont attiré l'attention internationale après avoir été condamnées à 82 coups de fouet .

Bien que le transgendérisme et l'homosexualité ne soient pas illégaux en Indonésie, il y a eu récemment une répression contre la communauté LGBTI. Les personnes LGBTI ont été la cible de descentes de police, de surveillance et d'actions de vigilance.

 

C.L.

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Un ancien employé d'Amazon affirme que "les homosexuels devraient s'attendre à être agressés"

Publié le par justin

Un ancien employé d'Amazon affirme que "les homosexuels devraient s'attendre à être agressés"

L'ex-employé a récemment été reconnu coupable d'un crime haineux

Un jury fédéral a condamné l'ancien employé d'Amazon James William Hill III d'un crime de haine, mardi 23 janvier.

En mai 2015, il a attaqué un collègue au Amazon Fulfillment Center à Chester, en Virginie. Selon les rapports, Hill, 36 ans, a reconnu avoir été agressé parce qu'il pensait que le collègue était homosexuel. Il a frappé l'employé au visage trois à cinq fois dans le service d'emballage.

À l'origine, le juge a rejeté l'affaire , mais le gouvernement a interjeté appel de cette décision.

Fait sciemment

Un porte-parole du bureau du procureur des États-Unis a commenté l'affaire.

«Les preuves ont montré que Hill a agressé le collègue en raison de l'orientation sexuelle perçue du collègue», ont-ils déclaré.

Hill aurait également admis avoir détesté les personnes homosexuelles.

Il a ajouté que les personnes homosexuelles devraient s'attendre à être agressées en raison de leur orientation sexuelle.

Un juge condamnera Hill à une date ultérieure. Il fait face à 10 ans de prison.

En août, un couple a poursuivi Amazon pour discrimination "cruelle et persistante" anti-transgenre.

 

C.L.

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Ils avaient séduit un homme via un site de drague gay et l'avaient agressé, 30 mois de prison

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Ils avaient séduit un homme via un site de drague gay et l'avaient agressé, 30 mois de prison

Deux jeunes hommes ont été envoyés pour 30 mois en prison par le tribunal correctionnel de Nice, ce jeudi 25 janvier, pour avoir dragué et agressé un Niçois.

Kilian, 19 ans et Corentin, 23 ans, avaient séduit en novembre dernier Mehdi sur un site de drague gay sur Internet.

Ce dernier, à la situation professionnelle confortable, les a conviés chez lui, dans un appartement du port de Nice. Mal lui en a pris.

Il a été ligoté et littéralement dépouillé. Ses agresseurs ont en plus pris sa voiture qu'ils ont ensuite incendiée

Inconnus à ce jour de la justice, les policiers étaient parvenus à les interpeller en décembre.

Ils ont été envoyés pour 30 mois en prison par le tribunal correctionnel de Nice, ce jeudi.

 

 

 

nicematin.com

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Grande-Bretagne Un jeune néo nazi jugé pour avoir projeté un attentat contre un bar gay

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Grande-Bretagne Un jeune néo nazi jugé pour avoir projeté un attentat contre un bar gay

Dans le nord de l'Angleterre, un néo nazi est jugé pour avoir planifié une attaque terroriste contre un événement gay dans un pub.Un néo nazi britannique âgé de 20 ans est jugé depuis mardi à Leeds, en Angleterre, pour avoir planifié un attentat terroriste motivé par sa haine des homosexuels.

Selon le procureur, Ethan Stables (photo) voulait attaquer un bar le "New Empire" dans sa ville natale à Cumbria lors d'un événement gay et ainsi tuer des gens.

Il avait rassemblé des armes - dont un fusil, un pistolet, une machette et une hache - pour commettre une attaque meurtrière. Il aurait également expérimenté des explosifs.

Son plan aurait été déjoué après qu'il s'en soit ouvert sur un groupe Facebook sur le thème nazi. Cela a conduit une femme à téléphoner à la police et à publier un avertissement sur Twitter.

Sur le chat, Ethan Stables a fait part de son aversion pour les "bâtards homosexuels". "J'en ai assez, je ne veux pas vivre dans un monde gay et je ne veux pas que mes enfants vivent dans un tel monde", "je m'en fous si je meurs, je me bats pour quelque chose en quoi je crois, l'avenir de mon pays, mon peuple et ma race", avait-il écrit.

Il a agi à partir d'une "haine profonde" contre les minorités, en particulier les homosexuels et les lesbiennes, a déclaré le procureur Jonathan Sandiford.

"Le 23 juin 2017, il a appris que le pub New Empire organisait un événement LGBT, une 'nuit de la fierté', qui l'a mis en colère, a-t-il expliqué. Il a commencé à prendre des photos et à scruter le pub, et il voulait commettre l'attaque le soir même".

L'avocat de l'accusé a nié toutes les allégations. Son client n'est pas un néo-nazi, mais un "fantastmeur", soutient-il. Il affirme qu'il voulait juste s'amuser sur les réseaux sociaux, mais ne s'attendait jamais à ce que quelqu'un le croie. Il souffrirait également du syndrome d'Asperger, un trouble du développement qui rend difficile les interactions sociales. 

L'accusé est menacé d'une longue peine de prison. La procédure devrait être terminée dans deux semaines. 

 

 

 

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L'acteur X gay Tegan Zayne accuse Topher DiMaggio de l'avoir violé la veille d'un tournage

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L'acteur X gay Tegan Zayne accuse Topher DiMaggio de l'avoir violé la veille d'un tournage

La porn star Tegan Zayne, qui a travaillé entre autres pour les studios gay Raging Stallion et Hot House Vidéo, accuse sur Twitter son collègue du X Topher DiMaggio de l'avoir violé.

Tous les deux ont tourné un film ensemble pour le label Cockyboys, il y a deux ans.

Tegan Zayne prétend sur le réseau social que son partenaire à l'écran Topher DiMaggio l'a forcé à avoir des relations sexuelles la nuit avant le tournage en question.

DiMaggio se serait manifesté à 2h du matin et aurait proposé un rapport sexuel anal à Zayne. Ce dernier aurait refusé, mais malgré son absence de consentement, DiMaggio l'aurait forcé et aurait de surcroît éjaculé en lui malgré le fait que Zyane lui ait demandé à plusieurs reprises de ne pas le faire.

"J’étais dans un demi sommeil avec la télé allumée quand il est venu. Je me suis relevé pour le saluer et tout de suite il a voulu coucher avec moi. Dans le porno, il y a une règle : 'Ne pas éjaculer la nuit qui précéde une scène !', ceci pour des raisons évidentes. Étant une pute pro, je suis cette règle pour donner au public la meilleure performance. Mais il a insisté", relate Tegan Zayne.

L'acteur explique que le rapport sexuel a été vulgaire et brutal et qu'il s'est senti "dégradé et exploité".

Racontant la sitauation au producteur, celui-ci se serait excusé mais n'aurait pas remis en cause le tournage, se contentant de rassurer Zayne sur le statut sérologique négatif de DiMaggio. 

"Je pense qu'il est temps que je raconte cette histoire", ajoute Tegan Zayne dans le cadre de la vague de témoignages connus sous le hashtag #metoo. "La personne qui m'a violée, c'était Topher DiMaggio était. Je ne vais pas commencer une chasse aux sorcières, mais je veux montrer que ces choses arrivent aussi aux hommes dans cette industrie du X". 

DiMaggio a rejeté l'allégation de viol et s'est dit "indigné". "Il est dingue et a travseti lesfaits. Il était si heureux de filmer avec moi, c'est juste triste ...", a-t-il déclaré. 

 

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«JeremstarGate» : un jeune homme annonce à «Libération» une deuxième plainte contre Pascal Cardonna

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«JeremstarGate» : un jeune homme annonce à «Libération» une deuxième plainte contre Pascal Cardonna

Après la révélation par «l'Obs» d'une plainte pour «viol sur mineur», le proche de Jeremstar est accusé par une deuxième personne d'avoir eu une relation sexuelle tarifée à 14 ans avec elle. Son avocat annonce le dépôt d'une plainte. Cardonna rejette les accusations en bloc.

De la toile au parquet. Le «JeremstarGate» a commencé en début de semaine dernière, sur les réseaux sociaux. Une affaire de rivalité, sur fond de téléréalité, entre deux «snapchateurs» (adeptes de la plateforme d’échanges de photos et de vidéos, Snapchat), «Jeremstar» et «Aqababe». Au nom du second, une interlocutrice nous avait prévenus : «Ça part d’une histoire qui peut vous paraître infantile.» Ce n’est plus vraiment le qualificatif qui nous vient à l’esprit, au vu de la gravité des accusations, et de la tournure prise par l’affaire, devenue une guerre judiciaire entre le spécialiste de la téléréalité, Jérémy Gisclon dit Jeremstar, son ami Pascal Cardonna dit «Babybel», et les accusateurs des deux hommes.

Tout commence mard 16 janvier, quand, accusant Jeremstar de lui avoir «volé» un scoop concernant la relation entre deux célébrités de la téléréalité, le snapchateur Aqababe publie une vidéo de Jeremstar en train de se masturber. Il attaque ensuite son rival en s’en prenant à un de ses proches, Pascal Cardonna. Salarié de Radio France, ce quinquagénaire est un personnage récurrent de l’univers de Jeremstar et de ses vidéos sur Snapchat, où il apparaît sous le surnom de «Babybel». Aqababe publie des échanges scabreux que d’autres jeunes hommes auraient eu avec Cardonna. Depuis, les accusations se multiplient sur les réseaux sociaux contre Babybel, affirmant qu’il aurait eu des relations sexuelles avec des mineurs, voire se serait servi de Jeremstar pour attirer chez lui de jeunes garçons.

Une semaine plus tard, l’affaire a quitté les seuls réseaux sociaux et vire au grand déballage. Selon nos informations, Pascal Cardonna pourrait bientôt être visé par deux plaintes distinctes. L’Obs révélait ce matin qu’un jeune homme dénommé Annoir avait porté plainte contre Babybel. Contacté par Libération, le jeune homme d’une vingtaine d’années nous confirme avoir déposé plainte, lundi 22 janvier, auprès du parquet de Nîmes, contre Pascal Cardonna pour corruption de mineurs, agression de mineurs et abus de faiblesse, et contre Jérémy Gisclon pour complicité de tous ces chefs d’accusation. L’avocat d’Annoir, Me Benamghar, explique que la plainte a été «écrite et envoyée au parquet», lundi. Libération n’a pas pu joindre le parquet de Nîmes pour confirmation de l’enregistrement de la plainte.

«Pression psychologique»

«Il y aura d’autres plaintes, environ une dizaine, peut-être une vingtaine», assure Annoir à Libération. Il raconte que d’autres personnes viennent encore vers lui avec des témoignages concordants sur les pratiques illicites imputées à Pascal Cardonna. «Il faut vérifier la recevabilité» des éléments collectés par Annoir, relativise son avocat, avant d’envisager que d’autres personnes portent plainte.

Mardi 23 janvier, un nouveau plaignant s’est manifesté auprès de Libération. Un jeune homme nommé Jason a déclaré à Libération qu’il déposerait à son tour plainte auprès du parquet de Nîmes, demain ou dans les jours à venir, pour corruption de mineur et abus de faiblesse, contre Pascal Cardonna. Au téléphone, Jason affirme qu’il avait 14 ans lors de sa première rencontre avec Babybel, en 2011. Il aurait eu avec lui une relation sexuelle dont il dit qu’elle était «rémunérée». Quand nous lui demandons s’il était consentant, il répond «oui, si tant est qu’on puisse être consentant à 14 ans».

Il dit n’avoir ensuite plus jamais eu de relations sexuelles avec Pascal Cardonna. Mais celui-ci l’aurait gardé dans son «harem» pendant un certain temps, selon les mots de Jason: «Il a réussi à me manipuler, à faire que j’aille toujours dans son sens, c’était une véritable pression psychologique.» Agé aujourd’hui de 21 ans, il raconte avoir finalement «pris son indépendance» vis-à-vis de Cardonna.

«Trous noirs»

Surtout, Jason, raconte les soirées auxquelles il aurait participé, chez Pascal Cardonna. «A chaque fois, un jeune y passait, lâche Jason. Il avait toujours une cible, soit qu’il avait amenée, soit qu’il choisissait parmi les garçons qu’il nous demandait d’inviter : il se servait de nous comme appât.» Selon Jason, les «cibles» de Babybel, avec qui il aurait eu des relations sexuelles, avaient entre 14 et 16 ans.

Le jeune homme pense avoir été drogué lors de ces soirées : «Il y avait de l’alcool à chaque fois. Mais parfois on en buvait peu, et on avait des trous noirs, on oubliait ce qu’il se passait.» C’est ce qui serait arrivé à Annoir, qui se serait réveillé alors que Pascal Cardonna lui faisait, sans son consentement, une fellation, a raconté le jeune homme à l’Obs.

Les relations sexuelles étaient «souvent» rémunérées avec de l’argent, selon Jason. «Parfois» en nature : «Il nous donnait un iPhone, un iPad, ou nous promettait de rencontrer Jeremstar ou d’autres personnalités de la téléréalité», détaille l’accusateur de Pascal Cardonna. Maître Blondieau, l’avocat du jeune homme affirme à Libération que la plainte est en cours de rédaction et sera déposée «demain ou dans les jours qui viennent».

«Dévasté»

Contacté, Cardonna n’a pas répondu à nos questions. Son avocat, MeDubourd, dément la totalité des accusations, que ce soit celles portées par Annoir ou par Jason. «Mon client n’a jamais eu de relations sexuelles» avec Annoir ou avec des mineurs, explique par téléphone maître Dubourd… qui a refusé de commenter les allégations de Jason, étant donné l’absence de plainte formelle à ce jour.

Par ailleurs, Pascal Cardonna a contre-attaqué en portant lui-même plainte contre son accusateur. Selon l’avocat du salarié de Radio France, Annoir lui aurait envoyé un mail, et se serait rendu à son domicile, samedi 20 janvier au soir : «Il s’est introduit, en voiture, avec trois malabars sur le parking de la résidence de mon client.» Il y aurait eu, selon MDubourd, plusieurs voisins témoins de la scène. L’avocat explique, mardi soir, à Libération, envisager de porter plainte contre Annoir pour mise en danger de la vie d’autrui, tentative d’intrusion, et «peut-être même tentative de meurtre».

Au téléphone, Annoir nie en bloc ces accusations: «Je ne vois pas pourquoi j’aurais fait ça. On est en pleine procédure, j’attends que la justice fasse son travail.» 

Du côté de Jeremstar, on qualifie également Annoir d'«affabulateur». La conseillère en communication du spécialiste de la téléréalité affirme que son client, «dévasté» par les accusations, ne «cautionne pas, si tant est que cela soit avéré, que Pascal Cardonna ait pu se servir de lui pour inviter de jeunes hommes». Si cela a bien eu lieu, Jeremstar affirme par le biais de sa conseillère qu’il n’était pas au courant. Il a cependant pris ses distances avec Pascal Cardonna.

Comme nous l’écrivions la semaine dernière, des plaintes ont déjà été déposées par Jeremstar et Babybel. Le premier pour atteinte à l’intimité de la vie privée, à cause de la diffusion d’une vidéo de lui en train de se masturber. Une enquête a été ouverte à Paris. La semaine dernière, Pascal Cardonna avait également déposé plainte pour diffamation et atteinte à la vie privée auprès du parquet de Nîmes, où il réside.

Saisie à de multiples reprises par les différentes parties de cette affaire, c’est donc la justice qui devra établir les responsabilités des uns et des autres. Jeremstar, enfin, s’est exprimé dans la soirée dans un énième communiqué diffusé sur Twitter adressé à ceux «qui s’interrogent sur [son] silence».

 

Tard mardi soir, le spécialiste de la téléréalité a précisé sa position dans un communiqué: «Peut-être n’ai-je pas été assez clair sur ce point, mais je me désolidarise totalement de Pascal Cardonna. s’il s’avérait à l’avenir , qu’une seule - et je dis bien une seule - des ignominies qu’on lui reproche soit vraie, je m’engage solennellement à aider la justice à soutenir ses éventuelles victimes», écrit le chroniqueur de C8. Et de réaffirmer : «Je suis innocent . Je suis à bout. J'aimerais dire une fois pour toutes que le "JeremstarGate" n’existe pas. Le "CardonnaGate" existe. Aucun doute n’est possible à ce sujet désormais, mais c’est à la justice de se prononcer».

 

 

 

.liberation.fr

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À Dallas, les meurtriers homophobes frappent encore sur Grindr

Publié le par justin

À Dallas, les meurtriers homophobes frappent encore sur Grindr

À Dallas, la communauté homosexuelle est de nouveau ciblée par des assaillants. Ils utilisent Grindr pour attaquer leurs victimes à domicile.

En décembre, la police de Dallas fait face à une vague de cambriolages et attaques qui font sept victimes. Elles sont assassinées dans leur appartement, où elles sont préalablement cambriolées et battues.

Les victimes, des hommes, se répartissent sur le comté sans logique certaine, comme si rien ne les liait. Jusqu’à ce que les forces de l’ordre trouvent chacune des victimes sur le réseau de rencontres gay Grindr où les assaillants opéraient pour préparer leurs coups.

« LES GENS SONT CIBLÉS POUR LEUR ORIENTATION SEXUELLE »

Il s’agirait pour les autorités de crimes homophobes et non seulement de meurtres dans ce cadre-là. Une organisation, nommée Take Back Oak Lawn, défend le caractère homophobe des crimes. Cette dernière avait été créée il y a trois années à Dallas où la communauté homosexuelle avait subi des méthodes similaires. Dans le quartier Oak Lawn de Dallas, l’association avait face jusqu’à 12 crimes homophobes.

Aujourd’hui, la communauté se mobilise de nouveau alors que l’affaire semble se reproduire. Lee Dougherty, de l’organisation, rappelle à NBC : « Nous pensons sincèrement que ce n’est pas résultat de l’utilisation d’une app ou d’un site, ou même d’un bar ou d’un endroit où nous allons. En réalité, ça affecte malheureusement les gens sur tous les pans de leur vie. Ce qui attriste c’est de voir dans ce scénario que les gens sont ciblés pour leur orientation sexuelle.  » Depuis, Take Back Oak Lawn mène une campagne sur les réseaux sociaux pour rappeler les bonnes pratiques sur ce type d’application.

La police de son côté assure avoir placé une personne en détention alors que les enquêteurs cherchent encore à établir différents suspects. Le premier responsable détenu pourrait être un jeune homme de 17 ans, il n’aurait pas agi seul selon les enquêteurs. En attendant le dénouement de cette affaire, les forces de l’ordre utilisent Facebook pour sensibiliser les jeunes gens aux dangers des applications de rencontres. Le département de la police de Dallas écrit : « Durant le mois de décembre 2017, sept victimes ont été cambriolées et attaquées à Dallas, leur localisation avait été trouvée à cause de l’utilisation de l’application de rencontres Grindr  ».

 

numerama.com/

 

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LGBTI au Cameroun : Des soldats attaquent. Bilan : 3 blessés, 1 mort

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Attaqué par des militaires à Garoua, Hassan Mouktar est mort à l’hôpital. (Photo de l’Association jeunes solidaire de Garoua)

Attaqué par des militaires à Garoua, Hassan Mouktar est mort à l’hôpital. (Photo de l’Association jeunes solidaire de Garoua)

En réponse au vol du téléphone d’un militaire du Bataillon Intervention Rapide (BIR), un raid se déclenche et laisse trois personnes LGBTI blessés graves et un mort sur le carreau
 
Garoua, région musulmane située au Nord du Cameroun, reste un lieu très homophobe et encrée dans sa culture ainsi que dans ses us et coutumes.
 
C’est la région siège de l’Association jeunes solidaire de Garoua (AJSG), organisation identitaire travaillant avec les personnes LGBTI. Présente sur les lieux depuis plus de cinq ans déjà, AJSG affirme au travers de son représentant :
« Aucune pitié n’est faite aux homosexuels dans cette partie du pays. Entreprendre son coming out, c’est creuser sa propre tombe. »
 
Au regard de cette situation éprouvante, le hot spot dénommée « Populaire » demeure le point de rassemblement des personnes LGBTI rejetées et repoussées tant par leur famille que par la population en général.
 
En date du 09 janvier 2018 aux environs de 20 heures, alors qu’un militaire du BIR est victime d’une agression dans ce coin de la ville où il perd d’ailleurs son téléphone portable. Il va rapidement alerter ses collègues et ensemble décident de venger leur frère d’arme.
À leur arrivée sur les lieux, ils se dirigent vers le principal snack bar du coin qui porte le nom de la rue « Le Populaire » où ils commencent avec furie à bastonner tout le monde sans exception.
 
Ayant remarqué une table très discrète et retirée, ils avancent vers elle en pointant du doigt ses occupants qui ne sont autres que quatre homosexuels. Cette table où étaient installés les quatre homosexuels était la cible à atteindre. À l’immédiat, les choses se déroulent si vite qu’on constate juste une personne allongée au sol se tordant de douleur et les trois autres gravement blessées. L’un d’eux a d’ailleurs perdu son œil dans l’attaque.
Les militaires ayant pris la fuite, les quatre homosexuels sont conduits à l’hôpital où malheureusement Hassan Mouktar rend l’âme pendant que les trois autres sont toujours sous soins intensifs jusqu’à ce jour.
 
Aucune action concrète n’a encore été entreprise malgré la remontée d’informations auprès de la Commission nationale des droits de l’homme et des libertés (CNDHL), des autorités de force de maintien de l’ordre et des chefs traditionnels.
 
La famille de la victime ne veut pas que cette affaire soit suivie. D’obédience musulmane, elle affirme qu’il s’agit tout simplement de la volonté d’Allah.
 
Jacks Oke, l’auteur de cet article, est un militant pour les droits LGBTI au Cameroun qui écrit sous un pseudonyme.

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Le prédateur sexuel gay et escroc restera en prison

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Le prédateur sexuel gay et escroc restera en prison

Un trentenaire homosexuel utilisait Internet pour escroquer et agresser de jeunes victimes. L’une d’elles est originaire de Chambray-lès-Tours.

Rennes (Ille-et-Vilaine)

La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Rennes a décidé de maintenir en détention un homme de 30 ans qui contactait de jeunes hommes par Internet afin d’obtenir des faveurs sexuelles et de leur voler leur Carte bleue.

Neuf victimes sont, pour le moment, recensées dans le Grand-Ouest, plusieurs d’entre elles ayant porté plainte pour viols.

Basé à Nantes (Loire-Atlantique), le trentenaire avait créé un profil sur un site de rencontres homosexuelles sur lequel il avait mis une photo d’un très beau jeune homme.

Grâce à cet avatar, il séduisait de très jeunes personnes qui se sont révélées très crédules et vulnérables. « Le mis en examen a profité de jeunes hommes vulnérables, peu à l’aise avec leur homosexualité », a commenté la présidente de la chambre lors de l’audience.

Quand les victimes venaient au rendez-vous, le trentenaire leur expliquait que le beau jeune homme était un ami et qu’il n’avait pas pu venir.
Des sortiesCertaines ont mis du temps à réaliser que les deux personnes n’étaient en fait qu’un seul « prédateur ». Il les emmenait en sortie, au Futuroscope, à Poitiers, (Vienne), mais aussi à Disneyland Paris ou dans des McDonalds.

Les victimes sont originaires de Chambray-lès-Tours, Mérignac (Gironde), Vic-en-Bigorre (Hautes-Pyrénées), Écoyeux (Charente-Maritime), Pellouaille-les-Vignes (Maine-et-Loire) ou de la région nantaise. D’autres sont peut-être encore non identifiées.

Une fois la confiance installée, l’homme les forçait à avoir des relations sexuelles. Il profitait ensuite de leur inattention pour dérober leur Carte bleue.

S’il reconnaît les vols et les escroqueries, il nie catégoriquement les faits d’agression sexuelle et de viol. « Issu d’une famille d’origine maghrébine, il a du mal à reconnaître son homosexualité », a indiqué la présidente.

« Cet homme entre dans la catégorie des prédateurs sexuels, assène l’avocat général. Une mise en garde contre ce type de comportement a été diffusée sur Internet. Mais il ne faut pas oublier que l’une des victimes a tenté de mettre fin à ses jours quand elle a découvert la supercherie. »

 

 

lanouvellerepublique.fr

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Un couple lesbien a été violé, tué et incendié en Afrique du Sud

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Un couple lesbien a été violé, tué et incendié en Afrique du Sud

La police a arrêté huit personnes

La police a trouvé le couple de lesbiennes Joey et Anisha van Niekerk mortes après une attaque brutale à Mooinooi, en Afrique du Sud. Les femmes ont été violées, tuées et brûlées.

Les autorités ont arrêté huit personnes en association avec le crime.

Le couple s'est marié il y a trois ans. Le 10 décembre, les femmes ont quitté la ville pour assister à des funérailles. Cependant, lorsqu'ils ne sont jamais arrivés à Pretoria et qu'ils ne sont pas non plus retournés chez eux, la police a lancé une enquête et les a recherchés.

Premièrement, les autorités ont trouvé leur voiture abandonnée. Puis, le 28 décembre, ils ont trouvé les restes carbonisés de la van Niekerks.

Ils ont arrêté les personnes suivantes, maintenant en jugement: Jack Mokotedi, 18 ans; Maruschka Opperman, 18 ans; Mercia Witney Van Rooi, 21 ans; Aaron Sithole, 23 ans; Vincent Strydom, 29 ans; Moses Rakubu, 33 ans; Alex Mudau, 36 ans; et Koos Strydom, 53 ans.

Ils sont accusés de meurtre, de viol, d'enlèvement, de cambriolage, de possession illégale d'armes à feu et d'obstruction à la justice.

Le frère d'Anisha, Wynand, a qualifié les dernières semaines de «rien de moins qu'un cauchemar».

Il a également posté à leur sujet sur Facebook hier (17 janvier).

 

C.L.

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Violences sexuelles : les photographes Bruce Weber et Mario Testino accusés par des hommes mannequins

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Violences sexuelles : les photographes Bruce Weber et Mario Testino accusés par des hommes mannequins

Une enquête, parue dans le «New York Times», abonde en témoignages émanant de modèles qui ont posé pour eux, ou qui ont été leur assistant.

Le milieu de la mode en est tout retourné, et pour cause : c’est la crème de ses photographes qui vacille ces temps-ci, ceux qui font son imagerie depuis les années 80. Quatre mois après Terry Richardson, c’est au tour de ses confrères Bruce Weber (71 ans) et Mario Testino (63 ans) de faire l’objet d’accusations de harcèlement sexuel, voire d’agression. Différence : elles émanent cette fois de mannequins hommes, quand Richardson est «chargé» par des femmes. Et cette vague-là est tout aussi massive : Weber serait mis en cause par quinze personnes, Testino par treize. C’est ce qu’a rapporté et étayé le New York Times dans son édition de samedi. Un article fort de témoignages très précis et d’une analyse de la vulnérabilité des mannequins, qui est encore plus grande côté masculin en raison d’un marché et d’opportunités de travail bien plus restreints.

«Il m’a saisi les parties génitales»

Concernant l’Américain Bruce Weber, popularisé par ses campagnes de pub pour Calvin Klein et Abercrombie & Fitch (de fait à forte connotation érotique), il est question d’une invitation-obligation quasi systématique à se dénuder, suivie d’exercices de respiration durant lesquels les mannequins se touchaient ou touchaient le photographe, selon où ils sentaient l’énergie. Parfois, Weber les aurait guidés de ses propres mains, et Robyn Sinclair, l’un des accusateurs, décrit : «Je me souviens d’une fois où il m’a mis des doigts dans la bouche et m’a saisi les parties génitales. Il n’y a pas eu de relation sexuelle mais beaucoup de choses se sont produites. Beaucoup d’abus.»

Le Péruvien Mario Testino, dont la production est plus glamour qu’érotique et qui est aussi une pointure du portrait de «people» tel le couple «prince William-Kate Middleton», est pour sa part accusé par treize hommes, anciens assistants ou mannequins. Jason Fedele, qui a pris part à des campagnes Gucci shootées par Testino, rapporte notamment qu’un tel job présupposait «une séance de nu au château Marmont», au cours de laquelle le photographe aurait procédé à des «avances». Autre protagoniste des shootings pour Gucci, Ryan Locke affirme que Testino est un «prédateur sexuel» et connu comme tel : quand il a annoncé qu’il allait passer un casting avec le photographe,«tout le monde a commencé à faire des blagues du genre "serre bien ta ceinture"». C’est par un Testino en peignoir qu’il aurait été accueilli. Et, la prise de vues pour Gucci venue, le photographe aurait fait en sorte de se retrouver seul avec lui, le dernier jour : «Il ferme la porte à clé. Puis il rampe sur le lit, me monte dessus et dit "je suis la fille, tu es le garçon". Je lui ai répondu se barrer. Je lui ai jeté la serviette à la figure, me suis rhabillé, et j’ai filé.»

Accusations d’attouchements

Hugo Tillman a, lui, été un des nombreux assistants de Mario Testino avant de devenir lui-même photographe. Il décrit au New York Times des demandes de massage de la part de Testino, pendant les prises de vues. Des tentatives de l’embrasser aussi. Voire, lors d’un déplacement professionnel, une agression : Mario Testino le faisant, selon le témoignage de Tillman, venir dans sa chambre, le poussant sur le lit et lui montant dessus en l’immobilisant de ses bras. La séquence aurait été interrompue par le frère du photographe. Deux autres assistants, cette fois anonymes, affirment avoir fait l’objet de masturbation ou d’attouchements. D’autres témoins confirment une hypertactilité à connotation sexuelle.

 

Bruce Weber et Mario Testino, via leurs avocats, se sont dits «choqués par ces affirmations».

msn.com

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