Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Articles avec #agression tag

Un Jeune accuse la police civile d'agression motivée par l'homophobie au sein du poste de police à Niteroi

Publié le par justin

La police civile interne des affaires intérieures (Coinpol) enquête sur une plainte d'agression commise par un agent de l'institution contre un jeune homme de 23 ans, qui peut avoir la motivation homophobe. L'étudiant Andrei Apollonius dos Santos avait demandé un poste de police pour enregistrer le vol de votre téléphone mobile, à Niterói, région métropolitaine, mais a fini avec des écorchures, des ecchymoses et trois dents cassées.

Le garçon dit que était le 81e DP (Itaipu), dans la région océanique de Niterói, pour enregistrer le vol, mais la foudre de la victime par la police civile. « Je suis venu et il a commencé à attaquer avec des mots et des insultes homophobes au fond de l'oreille, ce qui m'a fait très peur », se souvient le jeune.

Andrei a dit qu'il y avait deux officiers au poste de police, mais qu'un seul avait été agressé alors que l'autre regardait tout sans réagir. Il dit que la seule motivation pour les attaques - qui dure environ une heure et également inclus coups de poing et serre le cou était son orientation sexuelle.

« Il n'a pas fait mon BO [rapports de police] et a été très plaidé avec ma façon d'être. Je pouvais voir qu'il était mal à l'aise avec qui je suis, parce que je suis gay. Il a trouvé un affront moi d'être gay et que vous voulez faire il fonctionne à 4 heures « , a déclaré l'étudiant, ajoutant que les menaces encore entendu à libérer.

« L'attaquant a dit:« Bon, je l'espère, vous êtes intelligent, parce que je serais très en mesure de passer un peigne munção entier sur vous, » at-il rappelé.

Andrei a demandé la Commission des droits de l'homme de la ville de Niterói, où il a reçu le soutien d'aller à Coinpol et la Division des affaires internes unifiée du Département d'Etat de sécurité, où l'événement a été enregistré. Benny Briolli, conseille la commission Niterói, le jeune homme a été torturé. Malgré les menaces, il dit qu'il veut aller tout le chemin dans la détermination de la plainte.

Le contrôleur interne de la police civile a indiqué que la reconnaissance de la police sera lundi prochain (17).

C.L.

Voir les commentaires

Les 27 hommes soupçonnés d'avoir été tués lors d'une purge anti-gay en Tchétchénie ont été révélés.

Publié le par justin

Les 27 hommes soupçonnés d'avoir été tués lors d'une purge anti-gay en Tchétchénie ont été révélés.

La Russie Novaya Gazeta a brisé l'histoire que la région qui est un sujet fédéral de la Russie était de persécuter, de détenir, de torturer et d'assassiner des hommes à la fin de 2016

Dimanche, il a fait l'audace de publier les noms de 27 hommes exécutés dans la capitale Grozny..Novaya Gazeta a signalé jusqu'à 56 personnes ont été tuées par le gouvernement de Ramzan Kadyrov.

Dans cette enquête, la Gazeta a constaté que les personnes ont été détenues à des dates différentes, mais toutes ont été exécutées dans les nuits du 25 au 26 janvier.

 

"Selon nos informations, les détenus ont été abattus cette nuit-là et ont transporté divers cimetières, y compris chrétiens, et enterrés dans des tombes hachées", a déclaré Novaya Gazeta.

Le service d'information a enquêté sur les détentions illégales depuis des mois et a demandé à un certain nombre d'organismes gouvernementaux et d'organismes d'application de la loi d'obtenir de l'information. Quand il est apparu clairement qu'ils ne seraient pas utiles, Novaya Gazeta a décidé de publier les noms des victimes.

«Deux mois, nous avions espéré que la coopération au début [de l'enquête] soit efficace», a déclaré Gazeta dans un rapport.

«Aujourd'hui, il est évident que le Comité d'enquête de la Russie perd du terrain sur cette situation ... C'est pourquoi nous publions la liste de ceux qui, selon nos informations, ont été victimes des pires exécutions extrajudiciaires possibles à Grozny.

 

"Et maintenant, l'enquête, qui a un manque de vie de témoins, devra faire face aux témoins spéciaux.

«Parce que les morts n'ont rien à craindre en Tchétchénie»

27 noms

Voici les noms de 27 hommes exécutés par le gouvernement tchétchène. On ne sait pas si tous ces 27 ont été tués parce qu'ils étaient homosexuels ou en raison d'autres crimes perçus.

Certaines des victimes étaient aussi jeunes que 18 ans.

  1. Abdulmezhidov Adam Isaevich, né le 27.5.1987
  2. Abumuslimov Apti Hasanovic, né le 02.06.1989, Shali, Street School, 16.
  3. Abdulkerimov Side Ramzan Ramzanovich, né le 25.03.1990, enregistré au village de Kurchaloy, rue Dohtukaeva 18.
  4. Alimhanov Islam Aliev, né le 6.7.1998
  5. Abubakarov Adam Dzhabrailovich, né le 05.05.1995
  6. Bergan Ismail Shadidovich né le 19.08.1998
  7. Dasaev Adam Ilyasovich, DOB 16/06/1988, Shali.
  8. Dzhabayev Zelimhan Hizirovich, né le 12.18.1993
  9. Ilyasov Adam Huseynovich, né le 22.09.1997
  10. Lugano Rizwan Saeed-Hamzatovich, DOB 13/09/1987, Shali.
  11. Malikov Rizwan Agdanovich, né le 01.06.1990
  12. Musk ICYE Turpalovich, DOB 19/07/1988, enregistré au village de Tsotsi-Yurt, New Street, 10.
  13. Muskhanov Temirlan Ahmadovich, né le 28.4.1986, rue Shali Chicherina, 2.
  14. Ozdiev Usman Vahaevich, DOB 12/24/1989, enregistré à la ville de Shali, rue Grozny, 39.
  15. Rashidov Doc Ibrahimovic, né le 30.05.1995
  16. Siriev Magomed Musaevich, né le 23.02.1993
  17. Soltahmanov Ismail Ezer-Aliyev, né le 30.03.1994, enregistré au village Mairtup, rue Nuradilova.
  18. Suleymanov Magomed Arbievich, DOB 01/03/1987, village de Shali au Caucase, 8, appartement 4.
  19. Tuchaev Ahmed Ramzanovich, né le 23.02.1987, Shali, Street School, 30.
  20. Habu Khamzat Slaudinovich 14.02. Né en 1993
  21. Khakimov Alvi Aslambekovich, 16.11. Né en 1992
  22. Hamidov Shamil Ahmedovich, né le 14.11.1986
  23. Tsikmaev Sultanovich Ayoub, né le 02.04.1984, le village de Germenchuk, rue de la jeunesse.
  24. Shapiev Muslim Isaevich, né le 28.11.1989, enregistré à la ville de Shali, dans la rue Kutuzov, 12.
  25. Eskarbiev Sayhan Vahamsoltovich, né le 23.5.1992
  26. Yusupov Sahab Marshak, né le 19.1.1990
  27. Yusupov Shamhan Shayhovich, DOB 17/06/1988, enregistré au village de Kurchaloy, ul. Sovetskay

C.L.

Voir les commentaires

Sousse : Deux homos portent plainte pour agression policière

Publié le par justin

Sousse : Deux homos portent plainte pour agression policière

Deux homosexuels accusent des policiers à Sousse de les avoir agressés et insultés. Ils dénoncent une agression à caractère homophobe.

Cela s’est passé dans la soirée de mercredi 12 juillet 2017, près de la Corniche. Les victimes, souhaitant garder l’anonymat, ont confié à Kapitalis qu’une plainte sera portée contre les policiers, d’autant qu’ils estiment n’avoir rien fait pour mériter d’être violentés.

Selon Tarek (pseudonyme), un policier les a interpellés, lui et son ami Sami (pseudonyme) leur reprochant d’être efféminés. Il leur a demandé de rentrer chez eux estimant «qu’ils font honte à voir». Sami, se sentant agressé, a répondu qu’il n’a rien à se reprocher et que les policiers devraient s’occuper d’autre chose au lieu de les embêter sans raison.

La remarque n’a pas été appréciée (c’est un euphémisme) par la patrouille, qui a emmené le jeune homme au poste de police, où, selon ses dires, il a été de nouveau violenté. Tarek l’a rejoint et a été à son tour arrêté puis tabassé.

Le procureur a relâché ce dernier après lui avoir infligé une amende de 4,5 DT. Quant à Sami, il a été transporté à l’hôpital Farhat Hached pour être soigné des coups qu’il a reçus avant d’être présenté au procureur, qui a décidé de le poursuivre pour ivresse et trouble à l’ordre public. Il comparaîtra en état de liberté.

«Je n’étais pas saoul et nous n’avons rien fait; c’est injuste que l’on soit battus, juste parce que notre apparence est différente», a-t-il déploré.

.

.

Tarek et Sami ont entamé les procédures pour porter plainte contre les policiers. Ils affirment vouloir aller jusqu’au bout dans leur démarche, ne supportant plus l’homophobie qu’ils subissent au quotidien.

Notons que les 2 jeunes hommes ont préféré garder l’anonymat, parce qu’ils n’ont pas révélé leur homosexualité à leurs familles respectives

kapitalis.com

Voir les commentaires

Des homosexuels rejoignent Daech pour éviter d’être tués

Publié le par justin

Des homosexuels rejoignent Daech pour éviter d’être tués

Certaines voix dénoncent une hypocrisie de l'État islamique sur le sujet.

C’est un paradoxe mis en lumière par un article du Daily Beast repéré par Reader: des homosexuels rejoignent Daech pour se protéger et protéger leur famille. Combien? Les chiffres ne sont pas connus, mais le phénomène existe, relève Subhi Nahas, un Syrien gay qui a échappé aux griffes de l’organisation terroriste et est devenu célèbre après avoir prononcé un discours devant l’ONU pour alerter la communauté internationale sur le sort des homosexuels sous le drapeau noir.

«Nous avons connaissance de témoignages selon lesquels des homosexuels ont été recrutés par Daech, ou qu'ils ont eu des rapports sexuels avec des membres de Daech», explique Subhi Nahas.

Selon ce militant de l’organisation Oram, qui défend les réfugiés syriens, des homosexuels s’engageraient aussi pour protéger leur famille et continuer à avoir des relations homosexuelles en secret. «Ainsi ils savent qu’il sont protégés. Et qu’on ne viendra pas les questionner», avance Subhi Nahas. 

Viol, défenestration

D'autres se sont réellement convertis, au moins en apparence, à l'idée que l'homosexualité serait une «abomination» et auraient adopté un comportement de prosélyte. «Des nouvelles recrues accusent des anciens partenaires sexuels parce qu’ils se disent que c’est juste», relate Subhi Nahas. Et sans doute aussi, par paranoïa, pour éviter de se faire dénoncer eux-mêmes par ces anciens partenaires.

Des faits qui s'ajoutent à la défenestration par l'organisation d'un adolescent violé par un responsable de Daech, alors que ce dernier a été épargné. Ce qui fait dire au Daily Beast que Daech est «hypocrite», parce que sa condamnation de l'homosexualité est à deux vitesses.

SLATE.FR

Voir les commentaires

Un médecin de Cherbourg suspendu pour six mois après des propos sur les handicapés et les homosexuels

Publié le par justin

Un médecin de Cherbourg suspendu pour six mois après des propos sur les handicapés et les homosexuels

Un médecin de Cherbourg va laisser le stéthoscope de côté. Il est suspendu six mois de ses fonctions, dont trois ferme. Décision la chambre disciplinaire de l'ordre régional des médecins, vendredi, après des propos déplacés envers les personnes handicapées et les homosexuels.

Les faits remontent au mois de janvier. Devant une infirmière et un patient, le médecin expose durant de longues minutes des thèses défendant la stérilisation des personnes handicapées, mais aussi. Des "la solution finale des nazis appliquée aux handicapés et aux homosexuels" propos qu'il ne nie pas d'ailleurs, il y a un peu moins d'un mois, lors de sa convocation devant la chambre disciplinairede l'ordre régional des médecins.

Le généraliste cherche simplement à minimiser. "Des  paroles sorties de leur contexte et mal comprises par l'infirmière", dit-il. "Des propos cyniques, désabusés et philosophiques". Quant à l'allusion à l'extermination des handicapés, elle aurait été faite, selon son avocat, dans la sphère privée.

L'ARS avait demandé la radiation 

Pas de quoi convaincre donc, l'ordre régional des médecins, qui le suspend six mois de ses fonctions, dont trois ferme, "au principe de la moralité". Une peine moins lourde que la radiation, demandée par l'ARS.

Une décision lourde voire injuste", Frédéric Bastian, président de SOS Médecins à Cherbourg

Le médecin, qui , a travaille pour SOS Médecins à Cherbourg,  la possibilité de faire appel. Le président de l'association, Frédéric Bastian, estime de son côté que cette décision est "lourde voire injuste, qu'elle porte atteinte à la personne."

 

francebleu.fr

Voir les commentaires

Les homosexuels sérieusement traqués au Cameroun

Publié le par justin

Les homosexuels sérieusement traqués au Cameroun

Aucun jour ne passe au Cameroun sans que les homosexuels ne soient victimes d’une traque jusque dans leur dernier retranchement. On pourrait, sans tomber dans l’exagération, parler même de chasse à l’homme tant les courses poursuites dans les rues de Yaoundé et villes environnantes entre les populations et les homosexuels s’intensifient.

Exceptées les Forces de sécurité qui sont tenues de protéger la population y compris les homosexuels, la majorité des Camerounais abhorre cette pratique sexuelle contre nature. Dans les Bars, les Restaurants, les Hôtels, les lieux et Espaces attrayants, les homosexuels qui vivent et assument publiquement leur penchant, risquent gros en s’exposant à des lynchages d’une violence particulière.

Une tenancière de Bar raconte le calvaire d’un couple homosexuel qui a failli passer de vie à trépas n’eût été l’arrivée salvatrice et la présence dissuasive de deux agents de la Police nationale au lieu où ils se prélassaient.

 racontait la gérante du Bar en question.

Entre lynchage, poursuite, injures ou paiement de fortes rançons, les homosexuels au Cameroun ont une existence périlleuse. C’est le lieu de le préciser, qu’au Cameroun, l’homosexualité est punie par le Code Pénal. Les homosexuels risquent cinq ans de prison et une amende de 20 000 à 200 000 FCFA.

 

http://www.afrique-sur7.fr

Voir les commentaires

Toutes les personnes LGBT sont ciblées en Tchétchénie, mais la situation est beaucoup plus urgente pour les homosexuels

Publié le par justin

Toutes les personnes LGBT sont ciblées en Tchétchénie, mais la situation est beaucoup plus urgente pour les homosexuels


Le réseau LGBT russe n'a pas été surpris du fait que le gouvernement tchétchène a recommencé à persécuter les homosexuels.

 

Un porte-parole du Réseau a déclaré à Gay Star News que la persécution ralentit probablement pendant le mois sacré islamique du Ramadan. L'attention internationale peut aussi avoir été une autre raison.

«Malheureusement, je dois confirmer cette information et nous commençons à recevoir de nouvelles demandes sur notre hotline et les gens nous contactent en disant que la situation est dangereuse», a déclaré le porte-parole.

Le réseau LGBT russe a déclaré qu'il est devenu plus efficace pour aider les hommes à sortir de la Tchétchénie.

 

«Nous avons dû redémarrer l'évacuation, nous avons commencé dès le début et nous pouvons travailler à l'évacuation de la région le lendemain après le premier contact», ont-ils déclaré.

«Donc, nous prenons des gens de la Tchétchénie dans d'autres régions de la Russie et nous leur fournissons tout le nécessaire, l'hébergement, la nourriture, le soutien médical, le soutien psychologique car presque tous en ont besoin.

"Nous essayons de les déplacer vers un autre pays".

Depuis début avril, plus de 120 personnes ont demandé une aide d'urgence par le biais de la hotline du réseau Le Réseau a interviewé les hommes et ont des comptes rendus de première main de la situation extrême en Tchétchénie.

 

"Ils racontent tous des histoires horribles, beaucoup d'entre eux ont été arrêtés à la maison ou au travail ou juste dans la rue", a déclaré le porte-parole.

"Et alors, ces gens ont été emmenés dans des prisons secrètes et sont restés là de quelques jours à quelques semaines. Et tout ce temps-là, ils ont été privés de nourriture et d'eau.

«Ils ont été battus et torturés. Beaucoup ont été battus avec un courant électrique.

"Donc, toutes ces histoires sont vraiment horribles et il est tout simplement incroyable de se passer ces choses en Russie en ce moment et le gouvernement n'agit pas du tout".

Toutes les personnes LGBTI sont à risque

Les hommes accusés d'être gay sont le risque le plus immédiat de détention et de torture. Mais toutes les personnes LGBTI en Tchétchénie sont confrontées à la persécution.

"Bien sûr, il y a des lesbiennes et des transgenres en Tchétchénie comme dans toutes les parties du monde", a déclaré le porte-parole du réseau Russe LGBTI.

"Bien sûr, ils sont ciblés, mais il existe différents types de persécutions.

«Les hommes gais qui sont emmenés dans les prisons, c'était une sorte d'attaque massive contre ces personnes homosexuelles. Les femmes homosexuelles sont traitées différemment.

"Donc, il est considéré que les familles devraient s'engager à leur égard, donc il y a beaucoup de violence domestique et nous avons entendu dire qu'il y a beaucoup de meurtres d'honneur de ces femmes lesbiennes".

La famille compte

Plus de 60 personnes ont été évacuées de la Tchétchénie et 27 d'entre elles ont été expulsées de la Russie entièrement.

Bien qu'il n'y ait pas d'autre option pour les hommes, laisser leurs familles peut être une expérience hargneuse.

«Lorsque les gens nous contactent, ils savent qu'il n'y a pas de retour, qu'après leur émigration, ils ne peuvent pas revenir en arrière», a déclaré le porte-parole.

«Ils doivent donc rompre toutes les relations avec leurs familles. Pour les Tchétchènes, la famille est une question très importante, pour eux, c'est énorme.

Médias Watch

Le réseau LGBT russe a travaillé en étroite collaboration avec All Out - un groupe international de défense des LGBTI.

Les deux organisations ont publié une déclaration conjointe corrigeant les rapports médiatiques selon lesquels 27 hommes homosexuels avaient été exécutés en Tchétchénie.

Les rapports des médias ont suivi la décision de Russie Novaya Gazeta de publier les noms de certains hommes exécutés.

"En ce qui concerne le réseau LGBT russe et All Out, la liste des noms figurant dans cette publication ne comprend pas les victimes assassinées en raison de leur orientation sexuelle", ont-ils déclaré dans le communiqué.

«Jusqu'à présent, il existe des preuves d'au moins 6 hommes homosexuels qui sont morts dans la purge anti-gay et que les organismes d'application de la loi fédéraux de la Fédération de Russie continuent de garder le silence sur cette question.

En attendant, les deux organisations travaillent sur des campagnes pour soutenir les homosexuels en Tchétchénie. Ils veulent également s'assurer que le crime contre l'humanité qui se passe en Tchétchénie sera étudié et que les responsables seront tenus responsables ».

C LOUSTAU

Voir les commentaires

Homophobie: deux présumés gays sauvagement agressés à Casablanca

Publié le par justin

Homophobie: deux présumés gays sauvagement agressés à Casablanca

Décidément, les gays marocains mangent toujours leur pain noir fait d’homophobie manifeste, de quolibets de toutes sortes, voire d’agressions caractérisées et… impunies. En tout cas, c’est ce qu’écrit le quotidien arabophone, Akhir Saa, en rapportant l’info selon laquelle cinq individus, dont deux barbus, ont sauvagement agressé deux homosexuels présumés, aux alentours du Parc de la Ligue arabe, à Casablanca.

La poursuite et l’agression auraient entraîné des blessures graves à l’une des victimes, tandis que son compagnon d’infortune a eu des dents cassées. Ce dernier, dont le journal a recueilli le témoignage, a relaté dans le moindre détail les péripéties de l’agression. D’après ses dires, son compagnon et lui ont été suivis par une Peugeot grise qui s’est arrêtée à leur niveau près de la station du tram, avenue Hassan II. L’occupant du siège passager a alors apostrophé les deux amis d’un tonitruant « Ne craignez-vous pas Allah? ». Sentant le danger, le témoin et son ami ont pris leurs jambes à leur cou. Cela n’a pas empêché les cinq individus de les poursuivre et de les encercler près du Parc de la Ligue arabe. « Les coups de pied ont alors plu sur nous et nous avons été aussi frappés à l’aide d’une barre de fer », a affirmé la victime, âgée de 25 ans. Qualifiant cette agression de « hogra », le jeune homme a déclaré à Akhir Saa que son compagnon et lui n’ont pas osé porter plainte auprès de la police de crainte d’être interpellés pour homosexualité.

D’un autre côté, des témoins oculaires ont soutenu que les cinq agresseurs font partie de bandes « spécialisées » dans ce genre d’agressions visant les homosexuels et que c’est devenu monnaie courante par les temps qui courent. Quant aux deux  infortunées victimes du Parc de la ligue arabe, elles déplorent que les autorités  ne réagissent pas fermement dans de tels cas, alors que la Constitution du Royaume garantit la sécurité des citoyens marocains. De TOUS les citoyens!

lesiteinfo.com

Voir les commentaires

L'acteur Irakien Karar Noshi a été kidnappé, torturé et tué pour avoir un look gay

Publié le par justin

L'acteur Irakien Karar Noshi a été kidnappé, torturé et tué pour avoir un look gay

Un étudiant diplômé du Collège des Beaux-Arts de l'Université de Bagdad a eu un grand suivi en ligne en raison de ses longs cheveux blonds et son style à la mode. Beaucoup l'ont appelé le «roi de la beauté d'Irak».

Le corps de Noshi a été déversé dans une rue du centre de Bagdad, le Kurdistan 24 rend compte, avec des preuves "qu'il avait été torturé et puni avec violence".

Sur Facebook, une photo prétendant être un cadavre du corps a circulé en ligne.

 

L'acteur Irakien Karar Noshi a été kidnappé, torturé et tué pour avoir un look gay

Sa famille a confirmé sa mort le jour même où son corps a été découvert.

L'idéologie [ISIS] est toujours active ", a déclaré Hussain Al-Iraqi en arabe sur Twitter. «Vous voulez une preuve? Le meurtre de Kara Noshi.

L'activiste irakien des droits de l'homme Faisal Al Mutar a écrit sur Facebook Noshi avait été tué après avoir été accusé d'être gay. Il a également blâmé les milices extrémistes chiites pour la mort de Noshi.

Noshi avait déjà critiqué des commentaires négatifs sur son apparition, affirmant que le véritable «roi de la beauté» de l'Irak était «chaque jeune homme qui se battait avec tout son honneur de défendre la nation».

L'acteur Irakien Karar Noshi a été kidnappé, torturé et tué pour avoir un look gay

«En ce qui concerne les images, elles proviennent d'œuvres d'art théâtrales et cinématographiques dont je me suis fier», a-t-il ajouté.

"Ils ont tué [Karar Noshi] seulement parce qu'il ne ressemble pas à eux".

«Je chéris ma liberté personnelle de créer une apparence extérieure unique. Je reste silencieux sur les réponses abusives qui reflètent indubitablement le niveau de leurs écrivains.

Sur Shakwmakw, une page Facebook populaire pour les Irakiens, le meurtre de l'acteur a été condamné. Ils ne l'ont tué que parce qu'il ne ressemble pas à eux.

 

C.L.

Voir les commentaires

TCHÉTCHÉNIE Le site Vice a accédé à une prison pour homosexuels en Tchétchénie

Publié le par justin

TCHÉTCHÉNIE Le site Vice a accédé à une prison pour homosexuels en Tchétchénie

Un premier journaliste étranger a pu accéder à un camp de concentration pour homosexuels en Tchétchénie. Un journaliste de Vice News a pu filmer le site d'Argoun encadré par les gardiens du lieu qui démentent les faits et soutiennent la version officielle des autorités dans une mise en scène propagandiste.

Hind Hassan, qui travaille pour Vice Media et HBO, a pu accéder à la prison située dans la ville d'Argoun. Avec son équipe, il a été autorisé- de manière très encadrée - à filmer et interroger les gardiens de la prison dans laquelle le journal russe indépendant Novaya Gazet a affirmé que jusqu'à 100 hommes homosexuels ont été détenus, interrogés et torturés. Trois auraient été tués.

Ces révélations, qui datent d'avril 2017, ont suscité une forte émotion internationale, aussi bien au niveau de la communauté LGBT que des organisations de défense des droits humains et de responsables politiques occidentaux. 

La visite « guidée » de la prison supposée tourne rapidement à la propagande et à la désinformation puisqu'elle présentée simplement comme un « entrepôt » par le gardien Ayub Kataev, accusé d'avoir torturé personnellement les hommes qui y ont été détenus.

« Des centaines d’empreintes de pieds couvraient le sol des couloirs, bien qu’ils aient nié plusieurs fois que le bâtiment avait été utilisé récemment », remarque Vice pour souligner le mensonge flagrant qui entoure les propos officiels.

 Dans l'interview, le chef de la prison adopte la même ligne que le président tchétchène Ramzan Kadyrov, affirmant qu'il ne connaît pas d'hommes homosexuels.

« Imaginez qu'il y a des homosexuels ici », dit-il. « Est-ce que nous, les Tchétchènes, communiquerions avec eux? », demande Kataev. »Mes officiers ne voudraient même pas toucher de telles personnes, si elles existent, et encore moins les frapper ou les torturer ».

À un autre moment du reportage, on voit plusieurs hommes, armés et vêtus de tenue militaire, répondre à leur supérieur dans une mise une scène surréaliste. « Vous ai-je une seule fois demandé d’arrêter des homosexuels? - Non. Vous ai-je une seule fois ordonné de torturer ici quelqu’un, illégalement ? – Non. »

Ces affirmations sont battues en brèche par le témoignage d'un homosexuel passé par la prison d'Argoun, aujourd'hui réfugié. Interviewé par Vice, il assure être « certain à 200 % » qu’il a été battu par Kataev en personne.

Deux camps de détention et de torture pour homosexuels ont d'abord été signalés, basés dans les villages d'Argoun et de Tsotsi-Yurt, mais d'autres recherches ont révélé quatre autres prisons pour homosexuels existent, qui porte jusqu'à six au total le nombre estimé de tels sites en République tchétchène.

fugues.com

Voir les commentaires

En Tunisie, un ado condamné pour homosexualité à cause d’un «test anal»

Publié le par justin

Shams est une association qui milite pour la dépénalisation de l'homosexualité en Tunisie© FETHI BELAID / AFP

Shams est une association qui milite pour la dépénalisation de l'homosexualité en Tunisie© FETHI BELAID / AFP

Un juge pour enfants de Sousse, en Tunisie, a condamné, par contumace, un adolescent de 16 ans, à 4 mois de prison ferme, pour homosexualité. Il a été condamné sur la base du code pénal, qui prévoit l’utilisation d’un test anal censé prouver l’orientation sexuelle des accusés. Cette condamnation montre que la Tunisie a encore des réformes à faire pour lutter contre les discriminations sexuelles.


Dans l’affaire Sousse, «l’ado a été condamné sur la base de l’article 230 du code pénal, qui prévoit un test anal censé prouver l’orientation sexuelle des accusés dans les affaires d’homosexualité. Or, il n’a pas effectué ce test, parce qu’il a refusé d’y être soumis, le considérant comme une atteinte à sa dignité humaine. Son refus a été considéré par le juge comme une preuve de "culpabilité"», rapporte le site tunisien Kapitalis.  

L’article 230 stipule que «la sodomie… est punie de 3 ans d’emprisonnement». «Dans sa version arabe, qui prévaut sur sa version française, il condamne explicitement l’homosexualité. Il s’appuie donc sur une discrimination basée sur l’orientation sexuelle, en totale contradiction avec l’article 21 de la Constitution qui affirme que "les citoyens et les citoyennes sont égaux en droits et devoirs. Ils sont égaux devant la loi sans discrimination"», précise d’ailleurs un rapport sur la situation des personnes LGBTQI en Tunisie. 

Test de la honte»
Appelé aussi «test de la honte», «cette pratique est en opposition flagrante et choquante avec la Convention internationale contre la torture ratifiée par l’Etat tunisien», a fait savoir l’Association tunisienne de soutien des minorités dans un communiqué. «L'association Damj, pour la justice et l'égalité en a dénombré 22 depuis le mois de janvier, et estime leur nombre entre 60 et 70 par an», rapporte le site Vice News.

Très critiqué, ce test a aussi été dénoncé par les médecins tunisiens. Le 3 avril 2017, le Conseil national de l’Ordre des médecins a appelé les médecins légistes réquisitionnés par la justice à «informer les personnes qu’ils ont à examiner de leur droit de refuser un tel examen». Un appel jugé insuffisant par l'association Shams (qui milite pour la dépénalisation de l’homosexualité en Tunisie). Elle invite le conseil de l’ordre à «aller encore plus loin» en prononçant des «sanctions disciplinaires contre les médecins qui acceptent de pratiquer les tests anaux». Pour son porte-parole Bouhdid Belhedi, «cela permettra de passer vraiment de la théorie à la pratique».

En Tunisie, un ado condamné pour homosexualité à cause d’un «test anal»
Le jugement de Sousse témoigne, au-delà de la question de ce «test de la honte», des difficultés faites par la loi, mais aussi par les secteurs les plus conservateurs de la société, contre les homosexuels. Toujours à Sousse, deux jeunes de 20 et 21 ans ont été condamnés à 8 mois de prison pour «pratiques homosexuelles»… malgré les résultats négatifs du test.
 
Un cinéaste arrêté
Le journal Jeune Afrique évoquait lui une autre affaire: «Le cinéaste tunisien Karim Belhaj – dont le premier court-métrage Case départ (2012) évoque les difficultés des diplômés de l’enseignement supérieur en Tunisie – a été arrêté le 13 mars à son domicile en compagnie d’un homme qui a reconnu avoir eu une relation homosexuelle avec lui. Le juge d’instruction du tribunal de Tunis a alors ordonné un test anal et émis un mandat de dépôt à leur encontre, indiquent les communiqués de Shams, fondation de défense de la communauté LGBTQ tunisienne.»
 
SIx ans après la Révolution, l'homosexualité est toujours interdite et le sujet est loin de faire l'objet d'un débat important dans le pays. Les partis politiques préfèrent éviter d'en parler. Mais dans la Tunisie démocratique, la situation des homosexuels peut désormais être évoqués, grâce à la liberté d'association.Le jugement de Sousse témoigne, au-delà de la question de ce «test de la honte», des difficultés faites par la loi, mais aussi par les secteurs les plus conservateurs de la société, contre les homosexuels. Toujours à Sousse, deux jeunes de 20 et 21 ans ont été condamnés à 8 mois de prison pour «pratiques homosexuelles»… malgré les résultats négatifs du test.
 
 

 

francetvinfo.fr

Voir les commentaires

Colombie: 108 personnes LGBT assassinées en 2016 (ONG)

Publié le par justin

Colombie: 108 personnes LGBT assassinées en 2016 (ONG)

Cent huit personnes homosexuelles, bisexuelles et transgenres (LGBT) ont été assassinées en 2016 en Colombie, selon un rapport de l'ONG Colombia Diversa, qui défend leurs droits dans ce pays. Parmi elles, huit lesbiennes, 43 hommes homosexuels, deux bisexuels, 27 femmes transgenres et sept hommes transgenres, indique l'ONG, qui n'a pas d'information dans le cas des 21 autres personnes assassinées.

A travers tout le pays, "108 personnes LGBT ont été assassinées, un chiffre qui ne représente pas de changement majeur par rapport à 2015, lorsque 116 homicides ont été enregistrés", a fait savoir l'ONG, qui a également répertorié 12 tentatives d'homicides et 256 agressions physiques contre des personnes LGBT en 2016. Dans de nombreux cas, les agresseurs sont des bandes qui prétendent "contrôler les territoires, +nettoyer+ les personnes, les groupes et les pratiques sociales qu'elles considèrent comme dangereuses pour l'ordre social, de leur point de vue moral", explique l'ONG.

Il s'agit d'"individus et d'organisations délinquantes qui profitent de l'absence de protection (...), en particulier des femmes +trans+, pour les intimider, les déplacer et y compris les extorquer", ajoute l'ONG.

.lefigaro.fr

Voir les commentaires

Tchétchénie Les persécutions contre les homosexuels ont repris depuis la fin du ramadan

Publié le par justin

Tchétchénie Les persécutions contre les homosexuels ont repris depuis la fin du ramadan

Les persécutions contre les homosexuels, qui avaient cessé durant le ramadan, ont repris de plus belle en Tchétchénie depuis la fin de cette période de jeûne musulman, a affirmé vendredi l'ONG Russian LGBT network (réseau LGBT russe).

 

"Depuis la fin du ramadan, les détentions ont repris. Pendant le ramadan, il n'y en avait plus", a déclaré Igor Kochetkov, le directeur du réseau LGBT russe, dans un entretien avec l'AFP réalisé à Paris, où il devait être reçu à l'Elysée, au ministère des Affaires étrangères ainsi qu'au Sénat.

"Des dizaines de personnes nous contactent sur notre hotline. Ils nous disent qu'on essaie d'accuser les gays sous de fausses preuves, qui vont du cambriolage au terrorisme. Cela se passe maintenant. C'est tout récent", s'est-il inquiété. "La même chose se passe qu'en mars", quand le réseau LGBT russe avait reçu de nombreux appels dénonçant des persécutions subies par les gays tchétchènes dans leur pays, a observé Igor Kochetkov.

Selon le journal russe Novaïa Gazeta, plus de cent homosexuels ont été arrêtés ces derniers mois dans cette république russe du Caucase, où les autorités ont incité leurs familles à les tuer pour "laver leur honneur". Toujours selon le journal, au moins deux personnes ont été assassinées par leurs proches et une troisième est décédée des suites d'actes de torture.

Pour le président du réseau LGBT russe, ce sont même "six gays" qui ont été "tués" dans cette république conservatrice et musulmane, alors qu'il chiffre à "300 à 400" le nombre d'homosexuels tchétchènes à avoir été détenus et torturés dans des lieux non officiels, comme des écoles abandonnées ou des garages.

Entre "60 et 70" d'entre eux ont été "exfiltrés" dans d'autres provinces russes, dont 14 ont depuis lors été admis dans des pays étrangers avec "visa humanitaire et asile garanti", a-t-il affirmé. L'un d'entre eux est arrivé fin mai en France.

Leurs familles ont récemment reçu la visite de la police tchétchène, qui les a forcées à signer des documents attestant qu'elles "ne déposent aucune plainte", que "leurs proches n'étaient pas gays", qu'ils "n'ont pas été maltraités" et qu'ils sont simplement "partis travailler" ailleurs en Russie, s'est indigné Igor Kochetkov. "La police tchétchène n'était pas contre les gays. Elles les faisait chanter. C'était un business stable", a-t-il affirmé.

Mais en février, "il y a eu un ordre du gouvernement tchétchène de mener des purges systématiques", a accusé Igor Kochetkov.

"La Tchétchénie est très petite. Une purge de cette taille n'a pu avoir lieu sans l'approbation du plus haut niveau de l'exécutif", a estimé Irina Gordienko, l'une des deux journalistes de Novaïa Gazeta ayant révélé l'affaire, ciblant le président de cette république du Caucase, Ramzan Kadyrov. "C'est lui qui fait les règles. S'il n'aime pas quelque chose, cela doit être effacé. (...) Là, il a juste décidé de torturer un groupe. Il ne pensait pas que cela serait rendu public", a estimé Irina Gordienko, venue jeudi à Paris recevoir un prix d'une cérémonie LGBT.

Mi-avril, Ramzan Kadyrov a démenti toute arrestation d'homosexuels. Son porte-parole avait de son côté estimé qu'il ne pouvait y avoir d'exactions contre les gays puisque ceux-ci "n'existent pas" en Tchétchénie.

(Source AFP)

Voir les commentaires

Lille : Violé dans le Jardin Vauban, un jeune homme tient à témoigner

Publié le par justin

Lille : Violé dans le Jardin Vauban, un jeune homme tient à témoigner

Un étudiant lillois a été victime d’une agression sexuelle le soir de la Fête de la musique…

Les Lillois qui affectionnent les longues soirées d’été au jardin Vauban vont-ils devoir changer leurs habitudes ? Un étudiant de 22 ans a porté plainte la semaine dernière, après avoir été violé dans ce parc municipal lillois, en marge de la Fête de la musique. L’agresseur n’a pas été retrouvé.

Un couteau sous la gorge

Le jeune homme, étudiant à Lille, était sorti en compagnie de quelques amis pour profiter des concerts. Alors que le petit groupe se trouvait à proximité de la citadelle, il dit s’être écarté quelques instants pour aller uriner dans le jardin Vauban, non loin du canal de la Deûle.

« Je suis jeune, je sais me défendre et je pratique le judo, jamais je ne pensais pouvoir risquer quelque chose », explique-t-il. Un homme a surgi derrière lui, un couteau à la main. Plaçant l’arme sous la gorge de sa victime, l’individu l’a violée à plusieurs reprises avant de prendre la fuite.

Le jeune homme a été conduit à l’hôpital Roger Salengro où un médecin légiste a relevé les éléments confirmant l’agression. Une enquête a été ouverte. Malgré l’absence de description précise de l’agresseur, outre que celui-ci parlait mal le français, les policiers disposent néanmoins de son ADN, recueilli sur les vêtements de la victime.

Un endroit « pas plus dangereux qu’un autre »

Contactée par 20 Minutes, une source policière ne se souvient pas, de près ou de loin, de précédents de ce type dans le secteur. Néanmoins, l’agression de cet étudiant n’est pas sans rappeler les rumeurs qui ont circulé à l’époque de l’ affaire des noyés de la Deûle, en 2011. Mais les différentes enquêtes n’avaient apporté aucun élément probant pour étayer la thèse de l’agression à caractère sexuel.

L’étudiant violé, lui, veut « mettre en garde les jeunes sur les dangers de cet endroit la nuit ». Selon Marc Bodiot, adjoint à la sécurité à Lille, « ce parc n’est pas plus dangereux qu’un autre », affirme-t-il. Il n’est d’ailleurs pas prévu de mesure spécifique de sécurisation.

20minutes.fr

Voir les commentaires

Ministre de Singapour: il est inacceptable de harceler les personnes LGBTI ou les homophobes

Publié le par justin

Ministre de Singapour: il est inacceptable de harceler les personnes LGBTI ou les homophobes

«Le harcèlement des militants LGBT n'est pas acceptable»

Le harcèlement des militants LGBTI et des homophobes est inacceptable, selon le ministre du Droit et des Affaires intérieures de Singapour.

K. Shanmugam s'est assis avec Oogachaga sans but lucratif pour révéler pourquoi le gouvernement «prendra des mesures» s'il y a du harcèlement sur les deux côtés.

«Le gouvernement est fermement opposé à tout harcèlement de n'importe quel groupe ... si le harcèlement traverse la ligne et est criminel, le gouvernement n'hésitera pas à prendre des mesures», a déclaré Shanmugam sur sa page Facebook.

L'homosexualité masculine est illégale à Singapour. Bien qu'il soit rarement appliqué, les relations de même sexe ne sont pas reconnues par la loi et l'adoption d'enfants par des couples de même sexe est illégale.

Ministre de Singapour: il est inacceptable de harceler les personnes LGBTI ou les homophobes

Parlant de Bryan Choong, un organisateur de Pink Dot - événement LGBTI à Singapour - il a déclaré que «les gens auront une vision forte» de ces problèmes.

Choong avait déclaré que les organisateurs et les sponsors de Pink Dot avaient été maltraités. Shanmugam a répondu: «Nous sommes très clairs. Quiconque franchit la ligne en termes de harcèlement, en termes d'agression, en termes de menaces contre tout groupe -

«Le gouvernement est très strict. Ce n'est pas la façon dont nous avons des discussions.

Le gouvernement de Singapour «est très strict»

Seuls les Singapouriens ou les résidents permanents peuvent assister au Pink Dot de cette année - un événement qui attirait de nombreux visiteurs étrangers. Ceci est dû à la façon dont les personnes locales peuvent entrer dans Speakers 'Corner.

«Le gouvernement est neutre au sujet des causes sous-jacentes», a déclaré Shanmugam à propos de l'événement.

«Les gens ont le droit de s'organiser pour quelque raison qu'ils souhaitent, tant que les règles des coins des conférenciers sont respectées».

 

C.L.

Voir les commentaires

SAINT-DIÉ-DES-VOSGES « Ils ont bousillé ma vie » témoigne la victime d'une agression homophobe

Publié le par justin

SAINT-DIÉ-DES-VOSGES  « Ils ont bousillé ma vie » témoigne la victime d'une agression homophobe

Eric* a été violemment agressé la semaine dernière à Saint-Dié, à 21 h, près de la cathédrale. Deux hommes lui sont tombés dessus et l’ont frappé. Motif ? Eric est homosexuel et a eu le sentiment que sa façon de marcher n’a pas plu.

 

Suite à l’agression d’un jeune homme, le 22 juin dans une rue près de la cathédrale, (dont nous avons parlé dans nos colonnes ce 27 juin), l’enquête, menée par les policiers du commissariat de Saint-Dié-des-Vosges s’oriente vers un acte homophobe.

À 20 ans, Eric* est du genre fluet, à peine 40 kg. Impossible pourtant aujourd’hui de ne pas le remarquer, avec les bleus qui marquent son visage juvénile et le cocard impressionnant qui orne son œil droit.

Jeudi 22 juin, à 21 h, il s’est fait agresser par deux hommes près de la cathédrale. « Je sortais de mon travail aux alentours de 21 h, j’allais mettre du verre dans les containers de tri tout proches, quai du Torrent, quand deux hommes sont passés en voiture à ma hauteur à faible allure. Le passager a sorti la tête pour m’insulter », résume Eric, entre colère et larmes. Les propos fleuris fusent ‘’petite sal…’’ entre autres. Eric tourne les talons pour s’enfuir. « Les insultes, j’ai l’habitude, j’en ai toujours entendues. Je sais aussi qu’il y a certains quartiers de la ville dans lesquels je ne peux pas mettre les pieds. C’est trop risqué pour les gens comme moi. »

Œil explosé, pommette fracturée

Les gens comme lui ? Les homosexuels. « Oui je le suis et je l’assume mais je ne l’affiche pas », reprend le jeune homme qui, ce jeudi 22 juin a dû pour la première fois de sa vie faire face à la violence physique. « Le passager est descendu de la voiture, il s’est précipité vers moi et m’a donné un grand coup de poing dans la figure. » L’agression est interrompue par deux passants qui déboulent pour empêcher l’agresseur présumé de frapper à nouveau Eric. La voiture avec le chauffeur et son passager prennent la fuite. La victime est prise en charge par les pompiers et conduite à l’hôpital Saint-Charles. Bilan : une ITT de trois semaines, la mâchoire touchée à tel point qu’il a dû manger à la paille, la pommette droite fracturée et l’œil droit explosé. Des blessures qui ont nécessité une intervention chirurgicale au CHU de Nancy-Brabois. La vie d’Eric, elle, s’est arrêtée sur ce bout de trottoir. « Ces gens, je ne les connais pas. Ils n’ont pas aimé ma façon de marcher c’est tout. En quelques secondes, ils ont tout bousillé. J’avais un travail, j’économisais pour payer mon permis. Aujourd’hui ? J’ai peur. Peur de sortir, peur des représailles. »

Le jeune homme n’est pas tranquille. Impossible pour lui de retourner travailler, il craint de retomber sur ses agresseurs. « Je ne sais pas ce qui se serait passé si personne n’avait vu l’agression. Je ne sais pas jusqu’où ils seraient allés. Je veux prévenir : aujourd’hui encore, on peut se faire agresser juste parce qu’on est homo. »

*Le prénom a été modifié.
 

vosgesmatin.fr

Voir les commentaires

"La douleur a été terrible" : un couple victime d'une agression homophobe à Lyon lors de la Fête de la musique

Publié le par justin

"La douleur a été terrible" : un couple victime d'une agression homophobe à Lyon lors de la Fête de la musique

Deux hommes d'une vingtaine d'années ont été agressés alors qu'ils étaient en train de regagner leur domicile aux alentours de 2h30.

Deux jeunes homosexuels, Boris et Alfredo, ont été violemment agressés par trois individus à Lyon, le soir de la Fête de la musique, le 21 juin, parce que les deux amoureux se tenaient par la main, rapporte mardi 27 juin France Bleu Saint-Étienne.

L'agression a eu lieu aux alentours de 2h30. Boris et Alfredo étaient en train de regagner leur domicile après avoir passé la soirée sur les quais à Lyon, quand ils ont croisé une femme et deux hommes d'une vingtaine d'années.

"Ils avaient tellement de haine qu'on aurait pu rester sur le carreau"

C'est là qu'a commencé leur calvaire. Les insultes à caractère homophobe ont fusé : "C'est la fille uniquement qui nous a insultés, explique Boris, encore sous le choc, à France Bleu Saint-Etienne. On n'a d'abord rien dit, puis on a fini par répondre et là, les deux gars ont commencé à nous taper. Ça a été très violent. J'ai pensé que ça pouvait très mal se finir. Ils avaient tellement de haine qu'on aurait pu rester sur le carreau."

Boris et son compagnon ont tenté de se défendre, mais leurs agresseurs se sont montré particulièrement déterminés et violents. L'un d'entre eux a porté un coup de bouteille à la tête d'Alfredo pendant que l'autre a violemment frappé Boris à la jambe, lui brisant le tibia. "La douleur a été terrible, je me suis effondré, incapable de me relever", se souvient-il. Leur calvaire s'est arrêté grâce à l'intervention d'une brigade de police qui patrouillait dans le secteur. "La bagarre n'a duré que quelques minutes mais ça m'a semblé une éternité", ajoute t-il.

45 jours d'ITT

Pendant leur interpellation, les agresseurs ont continué de verser leur haine sur Boris et Alfredo. "Tu as mal, hein, sale PD ?", leur a lancé la jeune fille. Boris a été transporté en urgence à l'hôpital, où il a été opéré dans la nuit. Il souffre d'une double fracture tibia-péroné, et bénéficie de 45 jours d'ITT (incapacité temporaire de travail). "Quand nous sommes arrivés, les médecins nous ont expliqués qu'on n'était pas les seuls homosexuels à s'être fait agresser ce soir-là."

Une semaine après l'agression, Boris est sorti de l'hôpital. Il est très fatigué et dit ne pas vraiment réaliser ce qui s'est passé cette nuit du 21 juin : "Quand on voit comment ça s'est terminé, on se dit qu'on n'aurait peut-être pas dû répondre et baisser les yeux. Et puis en fin de compte, je ne regrette pas, parce qu'il n'y a aucune raison que ça se passe comme ça."

Témoigner pour dénoncer

Boris et son compagnon ont tenu à témoigner auprès de France Bleu Saint-Etienne pour dénoncer ces comportements homophobes. "J'ai l'impression qu'il y a un discours ambiant très positif par rapport à l'intégration et aux droits des homosexuels, estime Boris. Que l'on vivrait dans une société très ouverte et tolérante. C'est vrai qu'il y a des tas de choses qui ont été faites. Ceci dit, je pense qu'il ne faut pas trop d'angélisme non plus et se rendre compte que les agressions comme ça continuent à exister. La lutte continue."

Le temps de se soigner, Boris va devoir mettre son travail de traducteur entre parenthèses. Il ne sait même pas encore s'il pourra être dédommagé par son assurance. Les deux jeunes hommes ont contacté un avocat. Ils espèrent une qualification pénale et une condamnation. "Ces choses-là ne doivent pas rester impunies", a-t-il conclu.

francetvinfo.fr

 

Voir les commentaires

Pau : l’agression avait-elle un caractère homophobe ?

Publié le par justin

Pau : l’agression avait-elle un caractère homophobe ?

Agressé fin mai, un Palois est encore en soins intensifs. L’enquête ouverte déterminera s’il s’agit ou non d’un acte homophobe.

 Un quadragénaire palois agressé le 28 mai, rue Bordenave d’Abère, à Pau, est encore hospitalisé en soins intensifs. Plongé dans le coma pendant une quinzaine de jours, il mettra, à l’évidence, du temps à s’en remettre. Si l’on en croit ses proches, il n’aurait jamais dû tenter de dialoguer avec ceux qui venaient de lui jeter à la figure des insultes homophobes.

 

Pour l’heure, l’enquête ouverte ne permet pas de dire si l’homosexualité a constitué clairement un prétexte à la violence. La victime, par ailleurs, n’a pas encore été entendue. Elle a été placée dès son admission à l’hôpital au sein du service de réanimation, et son état ne lui permettait pas, quoi qu’il en soit, de témoigner. À ce stade, tout semble encore flou. Seules les investigations en cours pourront déterminer le déroulé des événements avec le plus de précisions possibles.

Un choc à la tête

Il est autour de minuit, ce soir-là, quand le Palois quitte un restaurant du quartier du château avec un ami. Le repas a été arrosé. Les deux hommes prennent la direction de la place Gramont quand ils croisent un "petit groupe" d’individus. C’est à ce moment que le mot "pédé" aurait été lâché. La future victime, elle, veut discuter. Son camarade lui déconseille et lui demande de passer son chemin comme il le fait lui-même.

 

Le message de prudence n’est pas entendu. Le quadragénaire, lui, s’arrête. Que s’est-il passé ensuite ? D’après les premiers éléments, un coup de poing part. Le Palois tombe au sol, la tête percute le bord d’un trottoir. Son ami s’est un peu éloigné. Quand il se retourne, il est déjà trop tard. Les agresseurs prennent la fuite sans laisser d’adresse. La victime est inanimée. Les gestes de premiers secours sont pratiqués dans l’attente de l’arrivée des pompiers.

Trois agressions en un an ?

"Son pronostic vital était engagé", raconte ce proche. "C’est terrible. C’est quelqu’un qui n’a jamais eu de problème. À ce jour, même s’il va mieux, on ne sait pas combien de temps il lui faudra pour se rétablir". Une plainte a été déposée par le frère de la victime quelques jours après l’agression.

"J’ai été informé d’un soupçon d’homophobie dans cette affaire et, pour moi, c’est une préoccupation", commente Marc Cabane, l’adjoint au maire chargé de la sécurité. "J’ai demandé de vérifier si d’autres actes de cette nature avaient eu lieu."

De son côté, le président de l’association Arcolan, Jérôme Masegoza, qui milite en faveur des gays et des lesbiennes, a eu connaissance d’une autre agression à Pau, en mai, dans le centre-ville et se prépare à se constituer partie civile. "Je n’étais pas au courant de celle du 28 mai. En un an, à Pau, ce serait la troisième agression physique. Si on ajoute les actes verbaux et l’homophobie au travail, on peut dire que plusieurs dizaines de cas nous sont remontés à l’échelle du département, en une année."

 

 

sudouest.fr

Voir les commentaires

Adolescent arrêté après avoir menacé de tuer des homosexuels avec des machettes lors de La Gay Pride Britannique

Publié le par justin

Adolescent arrêté après avoir menacé de tuer des homosexuels avec des machettes lors de La Gay Pride Britannique

«Je vais marcher avec cette machette et massacrer tous les bâtards homosexuels

La police a arrêté un adolescent après avoir menacé d'aller dans un pub britannique avec une machette et de tuer des homosexuels lors de la gay pride

L'adolescent, qui ne peut pas être nommé, a publié une photo de la machette qu'il a achetée pour 19,99 $ (25,40 $ 22,70 €), ainsi que ses intentions de l'utiliser au pub New Empire à Barrow in Furness, Cumbria vendredi soir (23 juin )

Il a écrit: «Je vais marcher avec une putain de machette et massacrer tous les bâtards homosexuels.

«J'en ai eu assez», at-il poursuivi. «Je ne veux pas vivre dans un monde homosexuel et je ne veux vraiment pas que mes enfants vivent la Qu'est-il arrivé à nos qualités traditionnelles? Ils sont foutrement ruinés.

«Je ne me préoccupe pas si je meurs, je me bat pour ce que je crois et c'est l'avenir de mon pays, de mes gens et de ma race», a-t-il écrit.

Adolescent arrêté après avoir menacé de tuer des homosexuels avec des machettes lors de La Gay Pride Britannique

La police a été alertée de la menace et le surintendant Mark Pannone a répondu à l'arrestation.

«La priorité absolue de la police de Cumbria est toujours de garder les gens en sécurité», a-t-il déclaré. «Il n'y a maintenant aucune menace pour quiconque ou un groupe spécifique dans la région de Cumbria du Sud.

Le responsable du pub a déclaré à PinkNews : «[Nous] avons décidé que nous ne le laisserions pas nous battre.

«Nous avons demandé aux clients dans le pub s'ils voulaient rester ou partir, mais ils ont tous dit non. Nous nous sommes sentis en sécurité car des policiers armés étaient garés à l'extérieur. Nous avons eu beaucoup d'appels téléphoniques et de messages de soutien, mais évidemment, certaines personnes sont éloignées.

«Nous sommes très fiers de soutenir la communauté LGBTI et nous ne serons pas dissuadés de tout cela», a-t-il déclaré.

La police a également émis une déclaration sur l'arrestation de l'adolescent: «Au fur et à mesure que les procédures sont actives avec l'arrestation d'un homme de 19 ans, nous avons supprimé les publications originales.

C.L.

Voir les commentaires

Homophobie : un jeune Cherbourgeois violemment agressé à Paris

Publié le par justin

Homophobie : un jeune Cherbourgeois violemment agressé à Paris
Un jeune Cherbourgeois de 25 ans a été victime, dans la nuit du mardi 20 au mercredi 21 juin 2017, d’une agression homophobe dans la capitale. Il raconte son calvaire
 
Basile, 25 ans, originaire de Cherbourg, vit depuis trois ans sur Paris avec son conjoint. Dans la nuit du mardi 20 au mercredi 21 juin 2017, il a été victime d’une violente agression homophobe, à deux pas de l’hôtel de ville de Paris. Il se souvient.
Nous faisions un pique-nique avec quelques amis et mon compagnon. Nous avons décidé de boire un dernier verre sur la place de l’hôtel de ville. Six ou sept individus ont commencé à s’approcher, à nous regarder bizarrement. Ils s’en sont pris dans un premier temps à mon conjoint. J’ai essayé de m’interposer. Je me suis pris un coup de poing au visage. Je tombe à la renverse et ma tête heurte le sol. J’ai perdu connaissance quelques secondes.
Certains témoins ont entendu des insultes homophobes.
Un de mes amis s’est mis en protection quelques secondes parce que l’un des individus voulait me frapper alors que j’étais à terre, inconscient. Je n’ai plus d’autres souvenirs suite au choc.
Un acte lâche et gratuit
 
Souffrant d’un traumatisme crânien et d’une blessure à la bouche, il a été pris en charge par les secours et admis aux urgences. Basile a déposé plainte le lendemain au commissariat du 4e arrondissement.
Basile a partagé sa mésaventure sur les réseaux sociaux, montrant son t-shirt ensanglanté après l’agression, ainsi que ses lunettes cassées.
Homophobie : un jeune Cherbourgeois violemment agressé à Paris

Et partout les mêmes réactions : indignation, effroi, colère.
Ça a été horrible pour nous et en même temps, il y a eu une énorme mobilisation. Au moment des faits, de nombreuses personnes sont venues à notre secours et mis en fuite nos lâches agresseurs. Nous avons par la suite reçu beaucoup de soutien.
De nombreux messages de soutien

Anne Hidalgo a condamné cette agression « intolérable » via son compte Twitter.

Sébastien Fagnen a pour sa part commenté de la manière suivante :
L’homophobie demeure un fléau à combattre au quotidien. La moindre compromission face aux homophobes est déjà une défaite. Courage.
Basile est retourné dès le lendemain sur les lieux de l’agression, ne voulant pas faire de cette place qu’il aime tant le lieu d’un mauvais souvenir.
 
actu.fr

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>