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Monseigneur Jordan, archevêque de Reims « Il ne...

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Monseigneur Jordan, archevêque de Reims « Il ne...

Monseigneur Jordan, archevêque de Reims « Il ne suffit pas de dire que, du moment qu'on s'aime, on peut se marier »

Que reprochez-vous au projet de loi sur le mariage pour tous ?

Thierry Jordan : « Que ses promoteurs mélangent tout. Qu'ils veulent être modernes et sont le contraire. L'homophobie est une chose, et il faut la réprouver, mais le « mariage pour tous » n'a jamais existé et ne peut pas exister. Le mariage, c'est un homme, une femme et, si possible des enfants. On ne peut pas sortir de cela, c'est notre nature, et aussi l'un des fondements de notre civilisation. La société elle-même a déjà placé des interdits immémoriaux : on ne peut pas, par exemple, épouser un proche parent, ou plusieurs personnes en même temps. Donc toute situation de couple n'est pas mariage. Il ne suffit pas de dire que, du moment qu'on s'aime, on peut se marier. »

Ne pensez-vous pas qu'il s'agit d'une évolution inéluctable de la société ?

T.J. : « Cela dépend de ce qu'on entend par évolution. Bien sûr des choses bougent, la famille elle-même est très fragilisée aujourd'hui. Le législateur doit-il simplement entériner des états de fait, ou bien rechercher ce qui est bon pour les citoyens et pour le pays ? Autrement dit, je pense que toute loi doit être profondément humaine, au sens où elle trouve sa justification dans ce qui fait grandir l'être humain en humanité. Sinon ce n'est pas une bonne loi. La loi a aussi une portée éducative, un peu comme pour le rôle des parents par rapport aux enfants. Ils envoient une sorte de signal, ils indiquent une route qui va permettre aux enfants de se développer harmonieusement, ils sont accueillants et ouverts au dialogue, sans pour autant laisser penser que tout est du même ordre. »

Un débat est-il indispensable pour éclairer chaque citoyen sur les conséquences de ce mariage pour tous ?

T.J. : « Certainement, d'autant qu'il n'a pas eu lieu comme le gouvernement l'avait promis. On a juste envoyé des arguments sur la place publique, on n'a pas réfléchi. Les ministres concernés ont, certes, reçu quelques personnalités, pour déclarer aussitôt que de toute façon la loi serait votée et appliquée ! J'espère que les parlementaires prendront le temps de l'écoute avant de voter, tout en me demandant si la responsabilité qui pèse sur leurs épaules n'est pas trop lourde. Cela dit, je ne suis pas partisan d'un référendum : ce qui est bon pour l'homme n'est pas à soumettre aux émotions du moment, qui sont par nature fluctuantes. »

En quoi les évêques (certains ont participé à la manifestation du 17 novembre) sont-ils fondés à se positionner sur le mariage civil ?

T.J. : « Ce sont des citoyens comme les autres. Vous remarquerez toutefois que nous ne faisons pas du problème un enjeu d'appartenance religieuse. Nous allons plus loin en un sens, nous essayons de servir l'humanité et ce qu'il y a de plus noble en elle. Le mariage civil a cet avantage d'inscrire le couple et la famille dans la société, avec leurs droits et leurs devoirs. Une loi interdit d'ailleurs aux ministres du culte de célébrer un mariage religieux sans mariage civil préalable : nous ne demandons pas son retrait. Vous voyez la relation étroite qui est nouée entre l'un et l'autre. »

La famille reste le socle de la chrétienté. Que changerait, pour l'Eglise, l'adoption de cette loi ?

T.J. : « La famille n'est pas le socle de la chrétienté. Elle est le socle de la communauté humaine tout entière. Bien sûr, être croyant lui apporte une vision et une force intérieure. Si vous voulez me faire dire que ma mission religieuse m'invite à soutenir particulièrement les familles, j'en suis entièrement convaincu, d'autant que les familles chrétiennes rencontrent les mêmes fragilités que les autres. Raison de plus pour les encourager. J'ajouterai pour terminer que les enfants eux-mêmes sont à protéger. Ils ont droit à un père et à une mère. Ils ne sont pas des sujets de fabrication. Quant à l'adoption, elle vise à donner des parents aux enfants qui en sont dépourvus, et non l'inverse. »

Source : http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/monseigneur-jordan-archeveque-de-reims-il-ne-suffit-pas-de-dire-que-du-moment-q

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Etats-Unis – Un adolescent de 17 ans se suicide,...

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Etats-Unis – Un adolescent de 17 ans se suicide,...

Etats-Unis – Un adolescent de 17 ans se suicide, victime d’homophobie dans son lycée

Joshua David Pacheco s’est suicidé le 27 novembre 2012. Il avait 17 ans. C’était un garçon extraordinaire. Il était toujours souriant et il a toujours essayé, au cours de sa vie trop courte, de rendre les autres heureux autour de lui. Pourtant Joshua a été longtemps victime d’intimidation et d’humiliation dans son lycée, Linden High School (New Jersey), pour le seul fait d’être gay.

Il était souvent la cible d’attaques de la part des joueurs de football de son établissement scolaire. Ils s’acharnaient sur lui en le poussant sur les casiers dans les couloirs, le mettant à terre en l’insultant. Ses proches ignoraient totalement ce qu’il subissait presque quotidiennement. Des enseignants et des élèves connaissaient ce qu’il se passait et personne n’a rien dit.

Sa famille et ses amis veulent que la vérité soit connue et souhaitent que justice soit faite. Ceux qui sont responsables de son acte de désespoir doivent être sanctionnés et la vérité doit être établie. L’homophobie n’est pas acceptable au sein d’un établissement scolaire.
L’homophobie tue.

Source:http://www.stophomophobie.com/etats-unis-un-adolescent-de-17-ans-se-suicide-victime-dhomophobie-dans-son-lycee/

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Andy Cohen, une personnalité gay de la télé...

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Andy Cohen, une personnalité gay de la télé...

Andy Cohen, une personnalité gay de la télé américaine, a provoqué un tollé en qualifiant de «twinks» (minets) les membres du groupe One Direction. Un mot à connotation pédophile, selon certains fans et catholiques.

Animateur et cadre d'une chaine américaine, Andy Cohen a fait parler de lui mardi dernier. Invité d'un show sur NBC juste après le groupe One Direction, il a mentionné à l'antenne avo
ir croisé les garçons dans les coulisses. «Je suis tombé dans un local rempli de minets (twinks, en anglais): C'était les One direction ! Ils chantent très bien. " L'emploi du mot «twinks» a immédiatement déclenché un barrage de tweets furieux.

Le site de droite américain Examiner.com n'a pas tardé à s'offusquer à son tour de la remarque d'Andy Cohen, qualifiant sa remarque déplacée venant d'un homme de 44 ans. Les catholiques, fans et site droite s'expriment : "Dans la force de l'âge, Andy Cohen doit sûrement être attiré par les jeunes."». Andy Cohen s'est excusé quelques heures plus tard en précisant qu'il n'avait pas du tout d'arrières pensées malsaines.

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Londres: la conférence d'un imâm enseignant le...

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Londres: la conférence d'un imâm enseignant le...

Londres: la conférence d'un imâm enseignant le meurtre des homosexuels à l'Université de Brunel crée la polémique (Huffpost)

La polémique enfle dans la presse britannique, c'est maintenant le Huffington Post du 26 novembre (version anglaise) qui relate l'affaire, les associations étudiantes se mobilisant contre la venue du théologien musulman. Nous avons synthétisé le long article du HuffPost :

Phillips Promesses, président de l'Union des étudiants Brunel (UBS), a confirmé qu'une "manifestation pacifique" aurait lieu ce jour car "L'UBS est au courant de la venue la semaine prochaine de Abou Oussama, et est conscient des propos controversés qui lui sont attribués (...)

Abu Oussama dans un documentaire de Channel 4, Dispatches report, Undercover Mosque, diffusé en 2007 est filmé disant: «Celui qui quitte l'Islam pour toute autre religion doit être tué dans un état islamique."

et

"Voulez-vous pratiquer l'homosexualité avec les hommes? Prenez cet homme homosexuel et jetez-le en haut d'une montagne.

"Allah a créé la femme, même si elle obtient un doctorat, déficiente. Son intelligence est incomplète. Elle souffre peut-être d'hormones qui font d'elle une émotionnelle. Il faut deux témoins feminins pour équivaloir un témoin masculin [dans les tribunaux islamiques]."

La police qui a enquêté sur ces propos est allé dans le sens de Abu-Ussama expliquant que ses propos ont été sortis de leur contexte (sic)

The Crown Prosecution Service (équivalent de la police judiciaire) a suspendu toute poursuite donnant raison à l'imâm et qualifiant le documentaire de Channel 4 de "distordre la réalité" en ne diffusant que de courts extraits ("The splicing together of extracts from longer speeches appears to have completely distorted what the speakers were saying.")

Le porte parole de l'Université affirme pour l'instant maintenir la conférence de l'islamiste afin de respecter la liberté d'expression, et a simplement demandé au très spécial conférencier de garantir de ne pas émettre des propos haineux.

Peter Tatchell, militant des droits de l'homme, a déclaré au Huffington Post que l'Université au Royaume-Uni avait «doubles standards».

"Abou Oussama approuve l'assassinat des gays et des musulmans qui renoncent à leur foi.

"L'université de Brunel ne permettrait jamais à une conférence donnée par un suprématiste blanc qui utiliserait des insultes racistes et a préconiserait l'assassinat des personnes noires. Pourquoi deux poids deux mesures? La liberté d'expression ne comprend pas le droit d'inciter à la violence. Il crée une atmosphère d'intimidation qui réduit la liberté des gens à dire ce qu'ils pensent. " (source)

source:http://www.islamisation.fr/archive/2012/11/27/londres-la-conference-d-un-imam-enseignant-le-meurtre-des-ho.html

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Violences homophobes devant un lycée...

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Violences homophobes devant un lycée...

Violences homophobes devant un lycée carolomacérien
CHARLEVILLE-MÉZIÈRES (Ardennes).

Un lycéen a été condamné hier pour avoir agressé et insulté un autre élève en raison de son orientation sexuelle.

Mardi, devant le lycée Armand-Malaise, à Charleville-Mézières, Adrien*, élève en classe de seconde, fume une cigarette avec deux amies. Il se fait saisir par la nuque puis par le col par Victor, également élève de cet établissement professionnel et âgé de dix-huit ans. Cette prise à partie est complétée par ces propos : « Sale pédé ! Je vais b... ta mère, la p... ! Les homos, il faut les brûler ! » Ces paroles sont rapportées par Adrien et ses amies. Dans le bureau du proviseur où il est conduit, Victor explose : « Oui, je suis homophobe ! »

Interpellé par les policiers, le jeune homme est placé en garde à vue. Aux enquêteurs, il déclare : « Ce que je n'aime pas chez lui, c'est surtout ses manières ! » Le voilà poursuivi pour violences aggravées par deux circonstances : que celles-ci aient eu lieu devant un établissement scolaire et qu'elles aient été motivées par l'orientation sexuelle de la victime.

Adrien, qui est homosexuel et n'en fait pas mystère, se voit délivrer trois jours d'ITT. Hier après-midi, les deux élèves se sont retrouvés dans la salle d'audience du tribunal. L'un, jugé en comparution immédiate était dans le box des prévenus, le second sur le banc des parties civiles.

Victor, qui n'a aucun antécédent judiciaire, minimise. Certes, il admet bien une « bousculade », reconnaît quelques « insultes » mais pas celles à caractère homophobe. Se dit « impulsif ». Et ajoute : « J'avoue un truc : quand je l'ai vu arriver le jour de la rentrée, j'ai ri [...] Il avait un sac à main ».

S'il a attrapé Adrien par la nuque, c'est même parce que celui-ci l'aurait « provoqué » quelques heures plus tôt, à la cantine, au terme d'une bataille de boulettes de pain. Et enfin, il dément avoir stigmatisé Adrien sur sa sexualité depuis la rentrée, comme ce dernier l'affirme.

« Je savais pas... »

Vite, les propos de Victor se révèlent d'une extrême maladresse. « Oui, j'ai bien dit ''T'es qu'un sale pédé !'' mais après, ça a été mal interprété ». Sous les regards atterrés des avocats et magistrats, le prévenu s'enfonce encore : « ''Pédé'', dans notre groupe d'amis, c'est une victime ou quelqu'un d'un petit gabarit ». L'avocate de la partie civile moque : « Faudra penser à apprendre la définition des mots ! »

Sentant confusément qu'il s'est mis dans de très sales draps, stressé par la solennité des lieux, Victor s'agite : « Sur la tombe de mon grand-père, je jure que j'ai jamais dit ça ! ». Il écrase une larme et s'étrangle d'émotion sur ces mots : « Oh, je pourrais vous en raconter des choses qui font que j'ai du mal à me contrôler... »

Quelques questions supplémentaires du président et Victor livre son chef-d'œuvre : « Oui, j'ai bien dit que j'étais homophobe dans le bureau du proviseur mais je ne savais ce que ça voulait dire !
- Oh... Ce mot, c'est quand même pas réservé à une élite intellectuelle.
- Je savais pas... Et je serais homophobe, j'aurais pas d'amis homosexuels comme j'en ai ! [...] J'ai pas saisi les répercussions de ce que j'ai dit ! »

Entre deux sanglots difficilement contenus, Victor se fait remettre la tête sous l'eau par l'avocate d'Adrien : « Il pleure sur ses malheurs mais au lycée, c'est un cador ! Alors, que ce soit moins drôle pour lui aujourd'hui, je le conçois ! Mais il pourrait quand même assumer ! »

Puis Adrien avance à la barre. Réitère ses accusations. « Bien sûr », c'est parce qu'il est homosexuel qu'il est « harcelé » par quelques élèves - dont Victor - depuis la rentrée. Très calme, semblant par moments résigné, l'adolescent développe : « Les insultes, c'est mon quotidien. Après, quand on en vient aux mains, il faut faire quelque chose [...] Racisme, homophobie, on apprend ces mots-là en cours... Moi, personne ne me soutient. J'avance seul. »

Des propos qui n'apaisent guère le prévenu : « Hé, s'il m'a pris pour le fils d'Hitler, c'est son problème ! » L'homme du box, tel un fil électrique dans lequel passerait trop de courant, s'excuse brièvement « pour les propos tenus ». Puis s'agace franchement : « Ce que je pense de cette histoire ? C'est ridicule ! J'ai jeté une boulette de pain et je me retrouve là. Alors que chaque jour, des hommes se font tuer, des femmes se vont violer et des banques se font braquer [...] Alors que je suis en terminale et que j'ai six dossiers de quinze pages à préparer ! ». Son avocate baisse la tête, consternée.

« Vous le résumez à sa sexualité »

Lors de sa plaidoirie, l'avocate d'Adrien tonne : « S'il croit qu'il est là pour une boulette de pain, c'est qu'il n'a rien compris ! Monsieur, vous me faites peur de ne pas supporter cet adolescent qui est homosexuel et ne s'en cache pas. Mais que voulez-vous qu'il fasse ? Qu'il se cache ? Je vous le dis : méfiez-vous du monde homophobe, ça peut mener à des violences que vous n'imaginez pas » La voix se fait plus sombre : « Adrien, vous le résumez à sa sexualité. Alors moi, je vais vous dire deux mots sur lui : sa mère, elle n'a connu que l'hôpital psychiatrique ; son père, il est comme vous : homophobe. Alors il l'a mis dehors. Et Adrien a été mis en foyer. Et - il m'a autorisé à vous le dire - aujourd'hui, il est gravement malade ! » Dans la foulée, la substitut du procureur requiert un an de prison avec sursis.

L'avocate de la défense, visiblement mal à l'aise, résume justement : « C'est le procès de la bêtise ». Dans un bref élan d'optimisme, elle assure que Victor « a compris la gravité des accusations qui pèsent sur lui ». Son client, au moment de prendre une dernière fois la parole, s'excuse sans qu'on sache véritablement de quoi.

À l'issue du délibéré, Victor est condamné à quatre mois de prison avec sursis, 70 heures de travail d'intérêt général à effectuer dans les dix-huit mois. En outre, il devra se faire soigner pour son impulsivité et, bien sûr, indemniser la victime.
Au même moment, la ministre Najat Vallaud-Belkacem présentait une batterie de mesures destinées à lutter contre l'homophobie et d'autres discriminations. Y'a encore du boulot.


source:http://thriller62880.skyrock.com/3128447712-Violences-homophobes-devant-un-lycee-carolomacerien.html

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Le député de gauche Gérard Charasse opposé au...

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Le député de gauche Gérard Charasse opposé au...

Le député de gauche Gérard Charasse opposé au mariage pour tous

Le député PRG (Parti Radical de Gauche) de l’Allier, Gérard Charasse, a fait connaître son opposition au projet de loi sur le mariage pour tous au quotidien régional « La Montagne » :

« Je suis opposé à cette proposition qui ne figurait pas dans mon programme de campagne qui reprenait, au niveau national, pourtant l’essentiel de celui de la majorité présidentielle. Je n’ai pas changé d’avis et, non pour des raisons de “nature”, mais pour des raisons politiques, je ne voterai pas cette proposition. »

Pour le parlementaire, l’égalité voulue dans le mariage pour tous n’est pas réalisable car « l’humanité est par essence mixte ». Il se dit proche de la position de la philosophe de gauche et épouse de l’ancien Premier ministre Lionel Jospin, Sylviane Agacinski.

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L'Eglise catholique de France ne cesse de...

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L'Eglise catholique de France ne cesse de multiplier ses attaques contre les personnes LGBT. Une pétition vient d'être lancée pour lui demander de faire preuve de respect et de retenue.

Signez et partagez massivement cette pétition !

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Mylène Farmer prend position en faveur du mariage...

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Mylène Farmer prend position en faveur du mariage pour tous et dévoile son nouveau clip !

VIDÉO. La chanteuse, si discrète, est ce week-end chez Claire Chazal et donne deux interviews dans la presse.

Mylène Farmer déteste faire parler d'elle. Et plus encore que l'on parle d'elle. Quand elle n'est pas en tournée et qu'elle ne sort pas un album, elle est d'une discrétion rare. Jamais une petite phrase, pas une frasque, pas une prise de parole intempestive, pas une paparazzade orchestrée pour entretenir sa notoriété. Quand elle offre un disque ou des concerts à ses fans, elle consent à lever un (petit) coin du voile.

Ce dimanche, elle répondra aux questions de Claire Chazal sur TF1. En amont et en aval de cette interview, elle a accordé deux entretiens dans lesquels elle aborde des thèmes et des sujets sur lesquels elle ne s'était jamais exprimée.

Dans TV Mag, elle évoque ses goûts en matière de télévision. "Il m'arrive de dévorer des séries comme Downton Abbey, Dexter ou Les Tudors." L'artiste est moins enthousiaste des émissions destinées à faire émerger de nouveaux talents musicaux : "Je suis toujours un peu gênée quand l'art devient un concours", confesse-t-elle pudiquement. Ce qui ne l'empêche pas de conserver une oreille très attentive pour les chanteurs émergents. "Je suis impressionnée par Muse. Et par Matthew Bellamy, qui est aussi fascinant que Freddie Mercury !"
"Je suis bouleversée"

À l'occasion de la sortie de Monkey Me, son huitième album, Mylène Farmer avait annoncé une tournée dans toute la France. Six heures après l'ouverture des réservations, 156 000 billets avaient déjà été écoulés pour la tournée Timeless, établissant ainsi un nouveau record. Presque une habitude chez elle. "Je suis bouleversée à chaque fois ! Et, quelques instants plus tard, totalement affolée ! Il est impensable d'être blasée par un geste d'amour comme celui-ci."

Pour le magazine Têtu qui sera en kiosque le 18 décembre, l'interprète de Désenchantée donne son avis sur quelques questions de société. Et avec humour : "Je préfère un mariage gay à un mariage triste." À l'appui de sa prise de position en faveur du mariage pour tous, elle reprend la Déclaration des droits de l'homme : "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits." Pour l'adoption, elle enfonce le clou : "Si c'est le droit pour des orphelins d'investir un foyer chaleureux, c'est un progrès. L'amour panse les plaies quand il est réel et authentique."

À l'appui de ses propos, l'artiste pose sous l'oeil de la photographe Nathalie Delépine vêtue d'un smoking et fumant un cigare ! Un hommage à "des femmes courageuses qui n'hésitaient pas à jeter le trouble dans une époque où les femmes étaient confinées au foyer".
Un clip hallucinant !

Samedi, à la fin de son journal de 20 heures, Claire Chazal a diffusé une petite minute du clip À l'ombre, premier extrait de Monkey Me. Réalisé par Laurent Boutonnat, il reprend le travail de l'artiste français Olivier de Sagazan. Son oeuvre est un mélange beau, et parfois dérangeant, de peinture et de sculpture qui joue avec les apparences et les peurs. Le travail de ce performer ressemble tellement à l'univers de la chanteuse que l'on se demande pourquoi l'un et l'autre ne se sont pas trouvés plus tôt.

Un apéritif de l'album qui sera disponible dès lundi 3 décembre. Douze titres d'où émergent, outre la chansonTu ne le dis pas qui donne toute la richesse de la voix de Mylène, un émouvant Je te dis tout ainsi qu'un tonique J'ai essayé de vivre. Des chansons servies par des textes très littéraires et très aboutis. Un album profond qui mélange des rythmes dance et des mélodies plus lentes.

source :http://www.lepoint.fr/musique/l-offensive-mediatique-de-mylene-farmer-01-12-2012-1536512_38.php

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Le droit à l'homoparentalité

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Le droit à l'homoparentalité

Le droit à l'homoparentalité

Pour les homosexuels, devenir parents est souvent un long combat contre les préjugés et l'administration qui ne reconnaît pas légalement, en France, l'idée que deux parents d'un même sexe puissent avoir des enfants. Pourtant, l'homoparentalité désigne bien le lien entre un ou des enfants à un ou deux parents homosexuels. Tout comme un couple hétérosexuel, ce lien est
basé sur le couple et la procréation, et implique la coexistence du parent biologique et du/de sa partenaire (ou co-parent) élevant l'enfant sous un même toit.

Homoparentalité, comment faire ?

Si vous êtes un couple homosexuel et que vous souhaitez mettre en place une homoparentalité, plusieurs possibilités de devenir parents s'offrent néanmoins à vous. Il peut falloir aller à l'étranger ou alors, un seul des deux parents doit faire les démarches administratives comme une personne célibataire.

http://www.sopeople.fr/divers/le-droit-a-lhomoparentalite/

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Belgique - Prison ferme pour un crime homophobe à...

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Belgique - Prison ferme pour un crime homophobe à...

Belgique - Prison ferme pour un crime homophobe à Bruxelles

La cour d'appel de Bruxelles a condamné, mercredi, trois hommes à 42, 48 et 54 mois de prison ferme, pour avoir battu et violé un jeune homme homosexuel dans son appartement à Saint-Gilles.

Les trois auteurs s'étaient introduits, le 18 mars 2008, vers 15h00, dans l'appartement de la victime. Ils avaient aussitôt roué le jeune de coups, lui avaient bourré la bouche de papier WC et l'avaient menacé en lui plaçant une paire de ciseaux sous la gorge.

Les trois agresseurs, âgés d'une trentaine d'années, l'avaient également étranglé et violé. Ils lui avaient encore volé des bijoux, un GSM, de l'argent liquide et des cartes de banque, avant de prendre la fuite.

L'enquête avait déterminé que l'un de ces trois hommes était entré en contact plusieurs jours avant les faits avec la victime. Le jeune, homosexuel, avait placé des annonces de rencontres sur une chaîne télévisée.

Les agresseurs avaient été arrêtés notamment sur base de l'enquête ADN et grâce aux témoignages et descriptions donnés par la victime et ses voisins.

En première instance, les trois individus, en état de récidive légale, avaient écopé de 6 ans de prison ferme. En appel, le juge a différencié les rôles de chacun dans l'agression et a tenu compte de l'ancienneté des faits.

Source : http://www.7sur7.be/7s7/fr/3007/Bruxelles/article/detail/1541297/2012/11/28/Prison-ferme-pour-un-crime-homophobe-a-Bruxelles.dhtml

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Merkel refuse le même traitement fiscal pour les...

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Merkel refuse le même traitement fiscal pour les...

Merkel refuse le même traitement fiscal pour les couples homos et hétéros

La chancelière allemande Angela Merkel s’est prononcé contre un alignement du régime fiscal des couples homosexuels sur celui des hétérosexuels, dans un entretien au journal dominical Bild am Sonntag.


«Moi personnellement, je voudrais garder le privilège fiscal du couple marié car la loi fondamentale -la constitution allemande, ndlr- considère le mariage comme lié à la famille et tout deux sont sous la protection particulière de l’Etat», a dit Mme Merkel, selon cette interview diffusée à l’avance.

Le parti présidé par Mme Merkel, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), qui se réunie mardi et mercredi en congrès à Hanovre (nord), est divisé sur le traitement fiscal des couples homosexuels.

Des députés CDU ont lancé une initiative pour aligner leur régime fiscal sur celui des couples hétérosexuels, ce qui fait grincer des dents dans un mouvement traditionnellement défenseur des valeurs familiales.

L’appel de ces députés concerne les couples vivant sous le régime du «contrat de communauté de vie», qui permet aux couples homosexuels d’officialiser leurs unions.
Loin d'un contrat de mariage

Ce contrat reste cependant très loin d’ouvrir les mêmes droits qu’un contrat de mariage, en particulier en matière fiscale et financière, ce que dénonce régulièrement la Cour constitutionnelle.

En Allemagne, se marier peut se révéler très avantageux financièrement, en particulier pour des partenaires présentant d’importants écarts de revenus.

Dans son entretien à Bild am Sonntag, Mme Merkel a indiqué à propos des débats à venir sur le sujet au Congrès: «Je suis sûre que nous aurons une bonne discussion, respectueuse des uns et des autres»

source:http://www.liberation.fr/monde/2012/12/01/merkel-refuse-le-meme-traitement-fiscal-pour-les-couples-homos-et-heteros_864432

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