Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Brigitte Bardot s'offusque des paroles de Barjot : l'hôpital qui se fout de la charité

Publié le par Gays,clips,infos

Une quasi "usurpation d'identité". L'ex actrice Brigitte Bardot s'est dite agacée du pseudonyme de la représentante de la Manif pour tous dans un mail à un journaliste de l'AFP. Une déclaration tardive, selon Giuseppe Di Bella, citoyen favorable au mariage pour tous, qui rappelle les propos racistes de la présidente de la fondation de protection des animaux.

Voir les commentaires

ALLEMAGNE • A Cologne, l’extrême droite...

Publié le par Gays,clips,infos

ALLEMAGNE • A Cologne, l’extrême droite...

ALLEMAGNE • A Cologne, l’extrême droite déclare sa flamme aux homosexuels

La Cologne Pride, manifestation homosexuelle qui aura lieu le 7 juillet prochain, devrait compter cette année dans ses rangs des participants pour le moins inattendus, comme le rapporte Die Tageszeitung : la Bürgerbewegung Pro Köln (Mouvement des citoyens pro-Cologne), groupe au discours raciste et islamophobe. Il compte bien utiliser la parade pour sa campagne contre "l'islamisation et la surpopulation des étrangers".

Chaque année, l'événement rassemble en moyenne entre 600 000 et 1 million de participants. "Pro Köln veut remonter à la source politique de la manifestation : contre la menace ou même les agressions physiques que les homosexuels subissent, surtout par les islamistes d'origine immigrée", explique le directeur de l'organisation, Markus Wiener, cité par le quotidien. Une position pour le moins curieuse, Pro Köln étant connu jusqu'ici pour ses attaques contre "le lobby des homos".

Demain, mardi 4 juin, les organisateurs de la Cologne Pride doivent se rencontrer pour savoir s'il est juridiquement possible d'interdire la participation à Pro Köln. Sinon, il leur faudra trouver une autre solution. "Heureusement, ils ne peuvent pas décider eux-mêmes à quel endroit exactement ils participeront", souligne Uli Breite, un des organisateurs.

source:courrierinternational.com

Voir les commentaires

Défiguré par une agression homophobe, il témoigne deux mois après

Publié le par Gays,clips,infos

Voir les commentaires

Homophobie/Xénophobie

Publié le par Gays,clips,infos

Homophobie/Xénophobie

Homophobie/Xénophobie
La Russie de Poutine voit dans le mariage homosexuel l'exemple de la dépravation occidentale

La légalisation en France du mariage homosexuel a fait redoubler l'hostilité aux "moeurs étrangères" dans la Russie de Vladimir Poutine, catalysant les sentiments antioccidentaux au profit d'un repli identitaire et isolationniste cultivé par le pouvoir.

"Le vieux monde a semble-t-il fait son choix. (...) Faire le culte de l'homosexualité, renoncer à la notion de péché, trahir le christianisme et la famille traditionnelle, dépraver les enfants dans des familles homosexuelles - tout cela, c'est la destruction de sa propre identité, le chemin de l'autodestruction", a commenté dimanche soir Dmitri Kisseliev, le présentateur de l'émission d'information hebdomadaire la plus regardée de la télévision publique russe.

Les déclarations sarcastiques ou franchement vindicatives se sont multipliées en Russie ces dernières semaines au fil des différentes étapes de la légalisation en France du mariage homosexuel.

Le mariage homosexuel n'est "absolument pas dans les normes, dans les traditions du peuple russe", a tranché samedi la vice-Première ministre Olga Golodets, promettant une adaptation des textes pour empêcher l'adoption d'enfants russes par des couples étrangers homosexuels.

Ajoutée à l'adoption en cours à la Douma (chambre basse du parlement) d'une loi controversée punissant tout acte de "propagande" homosexuelle devant mineurs (déjà appliquée à Saint-Pétersbourg), cette rhétorique a conforté dans la société les sentiments des homophobes les plus radicaux, souligne l'association Sova, une ONG spécialisée dans la lutte contre la xénophobie.

Le Comité d'enquête russe a fait état lundi d'un deuxième cas en trois semaines d'homosexuel battu à mort pour son orientation sexuelle au Kamtchatcka (Extrême-Orient), après un premier cas survenu à Volgograd (sud-ouest).

"Une telle rhétorique est inacceptable, et a des conséquences tragiques", a dénoncé un des chefs de file du mouvement de défense des droits des minorités sexuelles en Russie, Nikolaï Alexeev.

Le terrain est propice en Russie aux discours homophobes - l'homosexualité a été considérée comme un crime depuis l'époque soviétique et jusqu'en 1993, comme une maladie mentale jusqu'en 1999-, soulignent les spécialistes, qui dénoncent la responsabilité du pouvoir politique.

"Le terrain pour une telle mobilisation est toujours prêt, la question est de savoir à quels sentiments les autorités veulent faire appel", a souligné Alexandre Verkhovski, de l'association Sova.

"Tout cela se superpose à la campagne antioccidentale, à l'opposition de nos +valeurs traditionnelles+ à un Occident dépravé. Le but est d'attiser les sentiments antioccidentaux", a ajouté cet expert.

La Russie, dont les relations avec l'Occident ont été ambivalentes depuis la chute du régime soviétique en 1991, a multiplié les déclarations de défiance à l'égard des Occidentaux depuis la vague de contestation de l'hiver 2011-2012 et le retour de Vladimir Poutine au Kremlin il y a un an.

Le pouvoir russe, qui part du postulat que les principes des droits de l'Homme et de la démocratie professés en Occident sont en grande teintés d'hypocrisie, a accusé les Occidentaux de financer opposition et ONG pour faire passer ses vues et ses intérêts stratégiques, et une nouvelle loi impose aux ONG bénéficiant d'un financement extérieur de se présenter comme étant des "agents de l'étranger", une appellation qui renvoie à l'époque stalinienne.

La condamnation à deux ans de prison de membres des Pussy Riot, des jeunes femmes qui avaient chanté en février une "prière punk" contre Vladimir Poutine dans la cathédrale de Moscou pour dénoncer la collusion entre le pouvoir et l'Eglise orthodoxe, dénoncée en Occident, a été le premier point de friction transposé dans la sphère morale et religieuse.

Première cible parmi les Occidentaux, les Etats-Unis se sont vu retirer en décembre par la Douma le droit pour leurs nationaux d'adopter des enfants russes.

La crise syrienne montre, sur le terrain diplomatique, une Russie également isolée face aux Occidentaux auxquels elle oppose farouchement le droit international, tout en fournissant des armes au régime.

Pour Alexandre Morozov, rédacteur en chef du site Russkii Journal, ce processus isolationniste "vient du pouvoir comme de la société".

Le pouvoir s'appuie, face à l'opposition libérale pro-occidentale, sur "une génération de jeunes conservateurs qui voudraient un conflit avec la civilisation occidentale", dit-il.

"La confrontation avec les Occidentaux devient une politique nationale, et la rhétorique homophobe en est une composante", estime-t-il.

(Source AFP)

e-llico.com

Voir les commentaires

Macklemore, un rappeur engagé dans la lutte...

Publié le par Gays,clips,infos

Macklemore, un rappeur engagé dans la lutte...

Macklemore, un rappeur engagé dans la lutte contre l'homophobie, bouscule le hip-hop

Le talentueux rappeur Macklemore, qui connaît la célébrité grâce à son tube « Thrift Shop », et maintenant avant "Can't hold us"se démarque dans le milieu hip-hop par son histoire et ses prises de position.

Macklemore cultive sa différence, en se créant un look totalement décalé, loin de l’image du rappeur bad-boy, et auquel est consacré la chanson Thrift Shop, ode à la friperie dans un magnifique pyjama bleu à motifs. Toujours en compagnie de Ryan Lewis, il poursuit son chemin avec Can’t hold us, titre dans lequel Macklemore se balade à dos de chameau ou en moto neige aux quatre coins du monde, mais le rappeur y parle surtout de sa volonté de s’en sortir et son envie d’être reconnu uniquement pour ce qu’il est, sur un son propre à vous faire danser toute la nuit !

Mais surtout, ce nouveau grand rappeur se distingue de beaucoup d’autres en s’engageant pour la cause gay et l’évolution du discours du monde du rap et du hip-hop pour plus de tolérance. Cette position est très novatrice dans ce milieu où fric, drogue, sexe et machos semblent régner en maîtres. Il l’explique et la défend dans sa chanson Same Love.

Il y parle de son oncle gay, en couple avec un autre homme, et de lui-même, en rappelant qu'il aime les filles mais que lorsqu'il était jeune garçon, il s'interrogeait sur sa sexualité.

Macklemore a également participé à une campagne anti-homophobie en appelant les jeunes gays à ne pas se censurer et à lutter contre l’homophobie dans les milieux du sport, du rap, des médias…

Cet artiste n'a pas hésité à porter fièrement sa lutte contre l'homophobie en mettant un tee-shirt "Legalize Gay Marriage", un clin d'oeil pour bouger les mentalités et que TOUS les Etats d'Amérique légalisent le mariage pour les couples homos'.

Bref, un rappeur qui utilise la musique pour rester clean, qui prend position en faveur de la cause gay, le tout sur des sons entraînants, cela nous donne envie de croire que toutes les mentalités peuvent changer et que la musique adoucit les mœurs ! Alors jetez-vous sur son album mais attention : vous risquez de l’écouter en boucle…



Source : mad.com

Voir les commentaires

Les anti-mariage gay se mobilisent... au...

Publié le par Gays,clips,infos

Les anti-mariage gay se mobilisent... au...

Les anti-mariage gay se mobilisent... au Royaume-Uni

Après la France, la polémique sur le mariage gay pourrait s'installer outre-Manche. Des opposants à la mesure ont manifesté leur mécontentement ce lundi, jour d'ouverture du débat devant la Chambre des Lords.

Le Premier ministre conservateur David Cameron est favorable au mariage gay mais cela n'empêche pas les opposants d'exprimer leur mécontentement. Des manifestants ont défilé ce lundi, jour d'ouverture du débat à la Chambre des Lords.

Fin mars dernier, les députés britanniques ont adopté la mesure à 400 voix contre 176. Mais la loi doit, comme en France, faire la navette entre les deux chambres du parlement avant d'être adoptée définitivement.

Le projet de loi sur le mariage gay proposé par le gouvernement britannique permet à des couples de même sexe de se marier civilement. Il laisse aux diverses confessions la possibilité de célébrer ou non des unions homosexuelles religieuses, à l'exception de l'Eglise anglicane majoritaire dans le pays, au sein de laquelle le mariage homosexuel restera illégal.

source:.lexpress.fr/

Voir les commentaires

Homophobie à Lisieux, la souffrance de Lucas

Publié le par Gays,clips,infos

Homophobie à Lisieux, la souffrance de Lucas

Homophobie à Lisieux, la souffrance de Lucas

Dans son édition du 31 mai dernier, le journal « Pays d’Auge » relate le témoignage poignant de Lucas et de sa mère. A Lisieux dans le Calvados, Lucas, 16 ans, fait l’objet de nombreux harcèlement homophobes notamment à son lycée. Lui et sa mère ont eu le courage de porter à la connaissance du public les faits dont le jeune garçon est victime.

Une situation qui n’est pas isolée dans la région et donc les associations LGBT ont bien connaissance un peu partout. Beaucoup de gays et lesbiennes ont pu connaître cette situation depuis leur adolescence. Une situation particulièrement douloureuse qui peut dans les cas les plus extrêmes tourner au drame. Et les récentes manifestations anti-égalité ont amplifié ce phénomène en libérant la parole homophobe.
La peur au ventre

La mère de Lucas a vraiment peur pour son fils et on la comprend. Il n’est pas normal qu’un jeune parte au lycée la peur au ventre.

« Ça commence dans le bus… ils me disent – tiens voilà le petit PD -… quand je les croise au lycée, j’ai toujours droit à un coup d’épaule et des insultes comme : « tu n’es qu’un virus, tu ne mérites pas de vivre ». « La haine des agresseurs se retrouvent également sur les réseaux sociaux comme Facebook dont Lucas est la cible. Tous les jours, Lucas subit insultes et moquerie. Un véritable harcèlement en règle.

Lucas évite maintenant d’être seul le soir en rentrant du lycée pour éviter ce harcèlement car sa mère a peur que cela finisse mal. Lucas rejeté par ses camarades n’a pas d’amis au lycée… et ils le fuient quand ils apprennent qu’il est homo.

Comme un appel à l’aide…

Sa mère, Maryline, a rencontré le proviseur du lycée pour l’alerter mais les agresseurs ont trouvé pour seul moyen de défense d’accuser Lucas de leur faire des avances. Le lycée ne semble pas prêt à prendre la réelle dimension du problème. Sa mère semble désespérée de ne pas trouver de solution pour aider d’avantage son fils.

De son côté, le journaliste semble voir dans Lucas une résignation : « J’aurai préféré être hétéro, j’aurai moins souffert mais je n’ai pas le choix. » affirme Lucas. Être gay n’est pas un choix sinon il y aurait longtemps que l’on aurait fait un choix contraire. Il n’y a pas d’explication à avoir, c’est comme ça.

Lucas ne doit pas désespérer. Tout le monde, loin de là, ne pense pas comme ses agresseurs. Espérons que l’amour de sa maman l’aidera à surmonter cette épreuve. Car c’est bien une épreuve comme beaucoup d’autres jeunes au collège et au lycée à l’image de Lucas.
L’homophobie n’est pas une opinion, c’est un délit

Un témoignage banal dans la cours d’un lycée mais des faits inadmissibles. Il est nécessaire que l’éducation nationale, les professeurs du lycée de Lucas et des autres établissements scolaires comme partout ailleurs apprennent une chose : l’homophobie n’est pas une opinion, c’est un délit au même titre que le racisme (punie de deux ans d’emprisonnement et de 30.000 euros d’amende).

Prochainement, toutes les écoles de la République devraient inscrire en fronton de leur établissement : « Liberté, Égalité, Fraternité.« … on en est loin. Le système éducatif a une part de responsabilité dans cette situation.

Les parents, les adolescent(e)s, ou toute personne peuvent contacter les associations de lutte contre l’homophobie pour obtenir du soutien et pourquoi pas les aider dans les démarches pour la défense de leur intégrité. C’est important, il ne faut pas laisser faire. La mère de Lucas l’a bien compris en acceptant de témoigner.

source:gaynormandie.com

Voir les commentaires

Liberté pour tous : le site des opposants au...

Publié le par Gays,clips,infos

Liberté pour tous : le site des opposants au...

Liberté pour tous : le site des opposants au mariage gay contre la "répression policière"

MARIAGE GAY - C'était le 24 mars dernier, les opposants au mariage homosexuel réunis sous la bannière de la Manif pour tous défilaient pour la seconde fois dans les rues de Paris. En fin d'après-midi, des débordements éclataient en haut des Champs-Elysées, plusieurs centaines de manifestants tentant d'occuper l'avenue malgré l'interdiction de la Préfecture de Police.

Ce jour-là, la France (re-)découvre la fougue de Christine Boutin, la violence de certains groupuscules d'extrême-droite, et l'imprudence de parents venus défier les gendarmes mobiles avec leurs enfants sur le dos. Bilan des débordements, une centaine de personnes interpellées, quelques-unes seulement placées en garde à vue...

Marquant le début d'une série de débordements, les violences survenues sur les Champs-Elysées offraient toutefois aux opposants au mariage gay un nouvel angle d'attaque contre le gouvernement. Les uns évoquant une "dictature", les autres demandant la démission du ministre de l'Intérieur. Ces militants peu habitués à battre le pavé s'élevaient contre cette odieuse "répression policière" destinée à les faire taire. Depuis, aucun des rassemblements parisiens contre le mariage gay n'ont échappé à ces débordements...

Lundi 3 juin, plus d'une semaine après le dernier baroud de la Manif pour tous, les responsables du collectif ont annoncé lors d'une conférence de presse le lancement d'un site internet destiné à recenser les "arrestations abusives" et fédérer les plaintes des "victimes".

"Ce travail statistique est essentiel afin de pouvoir montrer à tous, la dureté de la répression et dénoncer les abus des forces de l’ordre et plus généralement de l’Etat", écrit le collectif sur libertepourtous.fr. "La Manif Pour Tous a notamment décidé d’aider les victimes d’interpellations abusives à initier une action contre l’Etat", poursuit-il.

La semaine précédente, le député UMP Guillaume Larrivé a saisi officiellement le Défenseur des droits pour lui demander de "faire toute la lumière" sur l'interpellation de plusieurs dizaines de personnes, en début de semaine, à proximité du lycée Buffon à Paris où François Hollande effectuait une visite. Selon une source policière, 93 opposants au mariage homosexuel avaient été interpellés, et deux placés en garde à vue, en marge d'une manifestation d'opposants au mariage gay.

Le député UMP de l'Yonne soulignait dans un communiqué que le cadre légal de ces interpellations est "très incertain" et qu'il a été saisi d'une réclamation par l'avocat de plusieurs de ces personnes. Guillaume Larrivé demandait en conséquence au Défenseur des droits, Dominique Baudis, de "faire toute la lumière sur les instructions qui ont été données par le préfet de police et qui ont conduit à ces 'arrestations' de citoyens paisibles".


source:huffingtonpost.fr/

Voir les commentaires

Boulogne-sur-mer : Lionel et Stéphane se sont dit...

Publié le par Gays,clips,infos

Boulogne-sur-mer : Lionel et Stéphane se sont dit...

Boulogne-sur-mer : Lionel et Stéphane se sont dit oui, premier mariage homosexuel dans le Nord Pas-de-Calais

Lionel De Coster et Stéphane de Sainte-Maresville sont mariés ! Leur union a été célébrée ce samedi 1er juin en mairie de Boulogne-sur-Mer par l'ancien maire et actuel ministre des Transports, Frédéric Cuvillier.

Ils sont entrés dans la salle des mariés au son d'"Un homme heureux" de William Sheller. Et puis Lionel et Stéphane, commerçants à Boulogne, en couple depuis 18 ans ont écouté les articles du code civil rappelant leurs droits et devoirs de futurs mariés. Et ils se sont dit oui. La salle a applaudi. Et le mariage s'est terminé par la marche nuptiale.

Un mariage comme les autres ? A ceci près qu'il est seulement le 3ème à être célébré en France entre deux personnes de même sexe, le premier dans le Nord Pas-de-Calais. Un moment d'émotion pour le ministre Frédéric Cuvillier, ancien maire de Boulogne-sur-mer, qui a célébré cette union et un moment historique pour les familles, les proches présents en nombre 'environ 200).

C'est le plus beau jour de ma vie. Je suis heureux.


"La loi de la République ouvre des droits nouveaux, offre du bonheur nouveau (...) et efface ce qui a pu être pour de nombreuses familles des moments difficiles", a affirmé l'ancien maire de Boulogne-sur-mer, Frédéric Cuvillier, peu après avoir, "fier et heureux", déclaré les époux "unis par les liens du mariage", sous un tonnerre d'applaudissements.

"C'est le plus beau jour de ma vie. Je suis heureux. On était déjà heureux depuis dix-huit ans mais je n'imaginais pas pouvoir me marier il y a 18 ans", a témoigné devant la presse Lionel, cheveux bruns coupés courts, vêtu d'un costume beige, expliquant la "précipitation" pour trouver "les costumes et les alliances".

"C'est une très belle journée. Si aujourd'hui, on peut être un peu les porte-drapeaux, allez-y, c'est merveilleux", a renchéri Stéphane, crâne rasé et costume marron, les yeux brillants, assurant qu'il avait reçu de nombreux messages d'"amour" et de "félicitations" sur les réseaux sociaux.

Les journalistes Olivier Merlin et Fabrice A-Teixeira ont tweeté quelques photos et moments forts de cette cérémonie.

source:france3.fr

Voir les commentaires

Gays,clips,infos shared a link.

Publié le par Gays,clips,infos

LIKE & SHARE !!! (Mettre la vidéo en 720p minimum.) Voici la vidéo du camion contact que j'ai pris d'un point de vue UNIQUE. Merci à la boutique Stéphanie Bis d'avoir prêté son balcon ! https://www.facebook.com/pages/Stephanie-BIS-Lille/154104991284630?fref=ts https://www.facebook.com/pages/Eyely-Productions/486254518104738?fref=ts

Voir les commentaires

Russie: Un homme battu à mort en raison de son...

Publié le par Gays,clips,infos

Russie: Un homme battu à mort en raison de son...

Russie: Un homme battu à mort en raison de son homosexualité

Un homme a été battu à mort en raison de son homosexualité dans l'Extrême-Orient russe, par trois agresseurs qui ont ensuite brûlé son corps. Les faits sont survenus dans la nuit du 29 mai, dans une localité du Kamtchatka.
"Les suspects ont porté à l'homme, en raison de son orientation sexuelle, de nombreux coups de pied et de couteau au corps et à la tête", a indiqué le Comité d'enquête. La victime, qui habitait la même localité, est morte des coups qui lui étaient portés. "Les suspects ont alors mis le corps de l'homme dans sa voiture, l'ont aspergé d'essence et ont mis le feu", a encore indiqué le Comité d'enquête.
Un jeune homme de 23 ans avait été torturé à mort au début du mois à Volgograd, dans le sud de la Russie, en raison de son orientation sexuelle selon les enquêteurs. L'homosexualité était considérée en Russie comme un crime jusqu'en 1993 et comme une maladie mentale jusqu'en 1999.
Les médias publics et des responsables officiels redoublent ces dernières semaines de déclarations homophobes, en réaction à la légalisation en France du mariage homosexuel, présenté comme le symbole d'une dépravation des moeurs étrangère aux "traditions du peuple russe".

source:.jeanmarcmorandini.com

Voir les commentaires

Egalité : A Montpellier, gay pride et mariage...

Publié le par Gays,clips,infos

Egalité : A Montpellier, gay pride et mariage...

Egalité : A Montpellier, gay pride et mariage d'un couple de femmes

Montpellier a encore vibré samedi après-midi, trois jours après avoir vécu le premier mariage homosexuel de France, au rythme de la 19e marche des diversités Lesbian et Gay Pride, qui a attiré entre 8.000 selon la police et 23.000 personnes selon les organisateurs.

Le cortège a cheminé dans les rues de la ville jusqu'au parvis de l'hôtel de Ville, où Hélène Mandroux, maire (PS), a célébré à 18h00 le mariage d'Anne Rouesne-Saunier (45 ans) et Carole Léonard (49 ans).

Les enceintes de la vingtaine de chars ont diffusé des tubes de Daft Punk, Prodigy, Gossip, et autres icônes de la musique électro, tout en inondant la foule de confettis et de mousse.

"Je crois que c'est une des spécialités de Montpellier", a déclaré Anh, une étudiante chinoise en économie, en France depuis un an.

"Aujourd'hui, c'est une marche de la fierté, on danse, on célèbre le mariage et l'adoption pour tous", note Aurélien, 21 ans, originaire de Brive (Corrèze). "C'est ma première gay pride et je ne suis pas déçu par l'ambiance !", lance le jeune homme.

Les manifestants portaient les attributs vestimentaires traditionnels des défilés homosexuels: jeunes hommes en bas résilles et porte-jarretelles, groupe de filles en spider men, et autres "bonnes soeurs" moulées dans des robes aux couleurs arc-en-ciel côtoyant des drag queens à talons compensés et perruques "flashy"...

Aux côtés du président de l'Europride, Hans de Meyer, Vincent Boileau-Autin, premier marié homosexuel de France et président de l'association Lesbian and Gay Pride Languedoc-Roussillon, a remercié "l'ensemble des associations militantes et des députés qui ont voté pour la loi."

"Notre lutte dépasse tous les clivages et casse toutes les barrières qui divisent notre société. Ensemble, nous avons ouvert le chemin d'une société unie. Nos enfants, et même ceux de nos opposants, auront tous les mêmes droits", a déclaré le jeune marié sous les clameurs.

Il a appelé à de nouvelles luttes, notamment pour "l'égalité d'accès aux procédures de procréation médicalement assistée", pour le suivi médical des transsexuels ou pour lutter contre les discriminations. "Il vous reste quatre ans pour le faire !" a lancé le militant aux députés de l'Hérault, Christian Assaf, Fanny Dombre-Coste et Anne-Yvonne Le Dain présents dans le cortège.

Vincent Boileau-Autin a également appelé à "faire battre aux élections municipales de 2014 les maires qui refusent de célébrer les mariages d'homosexuels, à l'image du maire de Palavas (Christian Jeanjean, UMP) ou du maire de Béziers (Raymond Couderc, UMP)."

Voir les commentaires

Xavier Bertrand ne célèbrera pas le 1er mariage...

Publié le par Gays,clips,infos

Xavier Bertrand ne célèbrera pas le 1er mariage gay de Saint-Quentin ce lundi à 17h

Le 1er mariage gay de Picardie sera celébré ce lundi à 17h en mairie de Saint-Quentin. Un mariage pour lequel le maire de la commune, Xavier Bertrand, n'a pas souhaité officier.

Xavier Bertrand ne célèbrera pas le 1er mariage gay de Saint-Quentin ce lundi à 17h

Le 1er mariage gay de Picardie sera celébré ce lundi à 17h en mairie de Saint-Quentin. Un mariage pour lequel le maire de la commune, Xavier Bertrand, n'a pas souhaité officier.

Voir les commentaires

Turquie : récit d'une nuit de résistance sur la...

Publié le par Gays,clips,infos

Turquie : récit d'une nuit de résistance sur la...

Turquie : récit d'une nuit de résistance sur la place Taksim, à Istanbul

Samedi, 20 heures. L'impressionnant déploiement de forces de police anti-émeute qui avaient repris la place Taksim et le parc de Gezi aux manifestants, samedi matin, a disparu comme par enchantement. Tous les bataillons de policiers se sont retirés et ont laissé la place aux manifestants. Très vite, des dizaines de milliers de personnes, peut-être des centaines de milliers, remplissent la place, le parc, les quartiers aux alentours et l'avenue piétonne Istiklal, la grande artère commerciale du centre-ville où déambule chaque jour plus d'un million de personnes.
Les manifestants fêtent leur victoire arrachée après trois jours de bataille avec la police. Avec un mois de retard, c'est le 1er-Mai. Le gouvernement avait en effet interdit cette année tout rassemblement sur la place Taksim pour la Fête des travailleurs.

Partout l'alcool coule à flots, les bouteilles de bière s'entrechoquent et, chose inhabituelle, on consomme ouvertement dans la rue. Des vendeurs ambulants en font leur commerce et se baladent avec des seaux d'eau glacée remplis de bouteilles. La diabolisation, la stigmatisation répétée des buveurs d'alcool par le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, et les mesures de restriction de la consommation ont été l'un des nombreux éléments qui ont nourri cette révolte.

"M. Erdogan veut s'en prendre à notre mode de vie, il ne tolère pas les gens qui aiment l'art, qui vivent à l'occidentale. Il détruit les immeubles historiques, les cinémas et les théâtres pour les remplacer par d'horribles centres commerciaux construits par ses amis", tempête Erkan, un père de famille de 55 ans, venu avec sa femme et ses deux enfants adolescents. Plus loin, une jeune femme avec un groupe d'amis donne un avis similaire. "Sa vision de la famille turque et des femmes est totalement rétrograde", dit Esra, une bière dans une main, un drapeau turc dans l'autre.

Le gouvernement s'est attiré les foudres des "laïques" pour ses attaques répétées contre le droit à l'avortement ou la limitation d'accès à la pilule du lendemain. "Faites au moins trois enfants", a coutume de répéter aux Turques M. Erdogan.

Samedi, 23 heures. La fête continue sur la place et le sol est désormais jonché de bouteilles. Au centre, le monument à l'indépendance de la Turquie est escaladé par des jeunes qui veulent se faire prendre en photo. Jour de gloire, jour historique pour tous ces manifestants qui tiennent leur revanche. La statue d'Atatürk est affublée de toutes sortes d'emblèmes politiques, de drapeaux d'associations LGBT, des couleurs kurdes ou de partis de gauche.

Une danse traditionnelle alévie est improvisée : y entrent des Kurdes qui scandent "vive le président Apo [Öcalan, leader du PKK]" mais aussi des kémalistes avec leur drapeau turc. Joyeuse cacophonie. "Ce qui nous réunit ici, c'est que beaucoup d'entre nous sommes alévis", hurle Metin, originaire de Malatya. Les alévis, une branche éloignée du chiisme, sont environ 15 millions en Turquie et cultivent un mode de vie libéral. "Le gouvernement est un parti sunnite religieux qui ne nous aime pas. Nous ne voulons pas de leurs cours de religion et nous ne voulons pas prier dans leurs mosquées. Nous voulons notre culture", s'énerve Metin.

Dimanche, 1 heure. Aux quatre coins de la place et du parc Gezi, des militants équipés de sacs poubelle commencent à nettoyer. Contrairement aux affirmations du premier ministre et de ses supporters, peu de casse et de vandalisme ont été constatés. Sur Istiklal, le fameux pâtissier qui appartient à la mairie a été entièrement dévasté. Quelques vitrines cassées et voitures abîmées, mais de manière très marginale. Les banques, peu protégées, n'ont pas été endommagées. Des personnes s'interposent pour calmer les plus énervés. Des véhicules de police, quelques bus municipaux et les camions satellite de chaînes de télévision jugées "vendues à Erdogan" ont en revanche été détruits et traînés jusqu'aux barricades.

Les barricades justement, sont en train de se constituer. La place commence doucement à se vider. Rentrent chez eux les manifestants les moins politisés, la petite-bourgeoisie laïque et kémaliste des quartiers du centre-ville. Restent les militants les plus motivés, les mieux organisés. Les groupes de la gauche radicale montent des campements pour tenir la place toute la nuit et s'affairent sur les barricades : bus, voitures, barrières de police, matériel de chantier... Tout autour de la place, des obstacles bloquent les voies d'accès.

Cem, un militant du Halk Cephesi (Front du peuple), obscur groupuscule d'extrême gauche issu d'une scission du Parti communiste, montre ses blessures de guerre. Une grenade de gaz lacrymogène l'a touché à l'épaule. Un autre tir tendu de la police lui a éclaté l'arcade sourcilière. "Cela fait trois jours que j'y suis avec les camarades. Nous resterons jusqu'au bout. Jusqu'à ce qu'il démissionne", assure ce jeune ouvrier d'une trentaine d'années, originaire du Dersim, une région de l'Est, foyer traditionnel de la gauche alévie.

Dimanche, 2 heures. Un nuage de gaz continue de flotter sur le parc de Gezi, désormais aux trois quarts vide. Les yeux piquent et la peau brûle. La plupart des manifestants n'ont qu'un simple masque de chirurgien ou un foulard, bien dérisoire. Toutes sortes de rumeurs circulent parmi les occupants de la place. A Besiktas, à deux kilomètres de là, de violents heurts opposent anarchistes, autonomes et policiers qui repoussent les tentatives d'approche des bureaux du premier ministre. Le gaz lacrymo remonte jusqu'à Taksim.

Au nord de la place, à Harbiye, tout est calme. Des voitures défilent en klaxonnant, drapeau turc à la fenêtre. Aux fenêtres de la "orduevi", la résidence pour officiers de l'armée, on observe de loin cette insurrection anti-Erdogan. Dans la journée, une rumeur sur les réseaux sociaux avait fait état de distribution d'eau et de masques aux manifestants par des militaires. L'armée était un ancien bastion kémaliste et laïque, avant qu'elle ne soit décimée par les arrestations et les procès lancés par la justice. Elle a été responsable de quatre coups d'Etat depuis 1960 mais n'est plus vraiment en position de le faire aujourd'hui.

Dimanche, 4 heures. La place est désormais quasiment vide, quelques grappes de jusqu'au-boutistes subsistent ça et là. Des véhicules de chantier ont été enflammés et l'incendie s'est propagé jusqu'à une citerne de gaz qui a fini par exploser et toucher les arbres du parc de Gezi. Le feu sera maîtrisé. L'attente, elle, sera encore longue. Dimanche en début d'après-midi, la place se remplira à nouveau d'une nouvelle foule de protestataires. En attendant, adossée avec son compagnon à la vitrine d'une banque, une jeune femme à la voix de chanteuse d'opéra se lance dans un numéro de soliste. Et se taille un joli succès.

Guillaume Perrier à Istanbul


source:lemonde.fr

Voir les commentaires

Manifestations en Turquie : « C’est devenu une...

Publié le par Gays,clips,infos

Manifestations en Turquie : « C’est devenu une...

Manifestations en Turquie : « C’est devenu une guerre »

(D’Istanbul) La liesse a remplacé la violence des jours précédents, en ce dimanche a Istanbul. Pas de policiers, pas de gaz tirés contre la foule, pas de masques sur les visages des dizaines de milliers de manifestants réunis place Taksim, lieu symbolique dans l’histoire du pays. Juste la joie d’avoir réussi à faire plier le gouvernement, qui a ordonné le retrait de la police de la place samedi en fin d’après-midi, après deux journées particulièrement violentes.

Les manifestants ont dressé des barrières pour empêcher la police de revenir : malgré le calme apparent, le conflit n’est certainement pas terminé. Des affrontements ont toujours lieu à Ankara et le gouvernement maintient sa volonté de construire un centre commercial à la place du seul parc du centre-ville d’Istanbul, projet à l’origine de ces émeutes. Ces jours de manifestations ont éveillé les consciences des Stambouliotes qui osent maintenant crier haut et fort leur volonté de voir partir le gouvernement.

Nous avons recueilli sur place, ce dimanche, le témoignage de plusieurs manifestants, pour comprendre comment la contestation d’un projet de destruction d’un jardin public a pu se transformer aussi vite en un mouvement global de révolte contre le gouvernement.
Doruk, 31 ans, monteur

« Au départ, c’était qu’une petite lutte environnementale, juste pour quelques arbres, rien de plus. Juste une cinquantaine de personnes qui campaient dans un parc pour empêcher la construction d’un centre commercial. Et puis la police a attaqué les campeurs en pleine nuit. Ils ont brûlé les tentes et ça nous a tous rendus fous. Ce n’est pas une lutte politique, c’est un bras de fer entre la police et les habitants.

Si la police s’en va, tout ça va se calmer. C’est la seule solution. Il faudrait que le Premier ministre s’excuse pour le comportement des forces de l’ordre mais je n’y crois pas. On a beaucoup encaissé ces dix dernières années. On n’en peut plus de ce gouvernement. Ils ont interdit la vente d’alcool après 22 heures il n’y a pas longtemps, ils passent des lois de plus en plus conservatrices. Jusqu’à maintenant, on ne disait rien. Aujourd’hui, on veut montrer aux politiques qu’ils ne peuvent pas tout faire. »

Denis, 18 ans, étudiant

« C’était une action pour l’environnement, c’est devenu une guerre. Erdogan [le Premier ministre turc, ndlr] est trop conservateur. Nous ne voulons pas de la charia, nous ne voulons pas de femmes voilées, nous sommes des musulmans modernes. Etre musulman, ce n’est pas être traditionaliste.

Le chef de l’Etat fait peur, il suffit de regarder la télévision ces derniers jours : il n’y a que deux chaînes turques qui parlent des manifestations alors que, partout dans le monde, les médias en parlent ! Tayyip Erdogan veut nous imposer ses lois de plus en plus restrictives, il n’écoute pas son propre peuple, il attaque ses citoyens : nous ne voulons plus de lui. »

Deniz, 50 ans, banquière

« Il y a une semaine, c’était un petit mouvement pacifique, à cause de la brutalité policière c’est devenu un énorme mouvement populaire. On en a marre de l’ivresse de pouvoir du chef de l’Etat. Utiliser des gaz contre quelques manifestants, juste parce qu’ils sont contre un projet décidé par le gouvernement, c’est une honte dans une démocratie. Où est la liberté d’expression ?

Ces derniers jours, c’est la première fois que le peuple turc se lève depuis plus de vingt ans. On peut remercier les réseaux sociaux qui ont éveillé les consciences des jeunes depuis quelques jours. Parce qu’on ne peut pas compter sur les médias pour dire la vérité. A la télé, les seules chaînes qui parlent de ce mouvement populaire disent que ce sont des activistes qui sèment la pagaille. C’est faux et ça, il faut le dire au monde entier. »

Othar, 31 ans

« Je ne suis pas politisé mais je suis ici pour grossir les rangs de la contestation. Cela fait dix ans qu’on n’aime pas la façon dont le gouvernement nous traite, et on est restés endormis. Quand je vois tous ces gens dans la rue depuis plusieurs jours, je me demande pourquoi on n’a pas fait ça avant ! Les gens au pouvoir devraient nous représenter et nous protéger. »

Ergi et Sertaç, 30 ans, professeurs vacataires à l’université

« Chacun a une bonne raison d’être ici, nous n’avons pas tous les mêmes raisons mais nous avons une chose en commun : nous ne pouvons plus supporter la politique de notre gouvernement. Nous sommes là parce ce que nous en avons assez des villes transformées avec des grands projets immobiliers décidés par les politiques sans consulter le peuple. On en a marre de la violence qui augmente, on en a marre des lois liberticides qui passent en douce. La loi contre la vente d’alcool après 22 heures est l’exemple le plus récent mais il y en a d’autres ! L’histoire du parc est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Déjà, le 1er mai dernier, les syndicats n’ont pas eu le droit de manifester place Taksim, une place symbolique dans l’histoire du pays. Les policiers attendaient les manifestants et il y a eu des affrontements. C’est là que la prise de conscience populaire a commencé. On attendait depuis longtemps que la colère des gens explose. On y est, enfin ! »

source:rue89.com

Voir les commentaires

Russie : Deux cas d'agressions homophobes...

Publié le par Gays,clips,infos

Russie : Deux cas d'agressions homophobes...

Russie : Deux cas d'agressions homophobes mortelles.

Deux hommes ont été tués ces derniers jours dans deux villes différentes en Russie parce qu'ils étaient homosexuels.

Dans la nuit du 29 mai, dans une localité du Kamtchatka (Extrême-Orient), un homme a été battu à mort en par trois agresseurs qui ont ensuite brûlé son corps. «Les suspects ont porté à l'homme, en raison de son orientation sexuelle, de nombreux coups de pied et de couteau au corps et à la tête», a indiqué lundi le Comité d'enquête russe.

La victime, qui habitait la même localité, est morte des coups qui lui étaient portés. «Les suspects ont alors mis le corps de l'homme dans sa voiture, l'ont aspergé d'essence et ont mis le feu», a encore indiqué le Comité d'enquête.

Au début du mois à Volgograd, dans le sud du pays, un jeune homme de 23 ans avait été torturé à mort en raison de son orientation sexuelle selon les enquêteurs.

Les médias publics et des responsables officiels redoublent ces dernières semaines de déclarations homophobes, en réaction à la légalisation en France du mariage homosexuel, présenté comme le symbole d'une dépravation des moeurs, étrangère aux «traditions du peuple russe». L'homosexualité était considérée en Russie comme un crime jusqu'en 1993 et comme une maladie mentale jusqu'en 1999.


LeParisien.fr

Voir les commentaires

Istanbul

Publié le par Gays,clips,infos

Istanbul

Istanbul
Les LGBT turcs aux avant-postes de la contestation

La communauté gay, lesbienne, bi et trans d’Istanbul a été l’une des premières à rejoindre les protestataires du Parc Gezi, d’où est partie la vague de ras-le-bol nationale.

Des drapeaux arc-en-ciel sont apparus dès la fin de la semaine dernière dans le camp du Parc Gezi, menacé par un vaste projet immobilier gouvernemental, élaboré sans concertation. Un village s’était alors formé sur le site, à la manière des mouvements de protestation sociale Occupy, qui avaient fleuri en 2011 dans différentes villes du monde. L’une des principales associations LGBT nationale, Kaos GL, a appelé à rejoindre les manifestations contre les islamo-conservateurs de l’AKP au pouvoir, derrière le slogan «A bas le gouvernement homophobe! A bas l’Etat transphobe».

Moralisation
Le mouvement de protestation actuel, qui rassemble un front hétéroclite allant de l’extrême gauche aux nationalistes laïcs, en passant par la société civile, vise essentiellement l’autoritarisme grandissant du Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan, arrivé à la tête de l’Etat il y a dix ans. La communauté homosexuelle, bi et trans est en première ligne, dans la politique de «moralisation» islamique de la société.

Par ailleurs, la mobilisation du Parc Gezi a coïncidé avec le premier débat parlementaire, mercredi dernier, sur la protection constitutionnelle des personnes LGBT. Répondant au CHP, le parti d’opposition laïc qui soutenait une motion dans ce sens, la députée Türkan Dağoğlu, au nom de l’AKP, a accusé l’opposition de «défendre l’immoralité» et d’encourager «des comportements anormaux». Elle avait, à cette occasion, nié toute complaisance de son parti face à des actes de violences et de stigmatisation visant les homosexuels.

source:http://360.ch

Voir les commentaires

Mariage gay: week-end de premières en France

Publié le par Gays,clips,infos

Mariage gay: week-end de premières en France

Mariage gay: week-end de premières en France

Première union de deux femmes, premier mariage gay célébré par un ministre... De nouveaux mariages homosexuels ont été célébrés samedi, trois jours après celui de Vincent et Bruno à Montpellier.

Après le tout premier mariage gay en France, célébré mercredi à Montpellier, d'autres unions ont été officialisées en mairie samedi. Petites liste non-exhaustives des premiers mariages gays célébrés depuis la promulgation de la loi:

Mercredi 29 mai, à Montpellier: mariage de Vincent et Bruno. C'était la première union de deux personnes du même sexe en France. Un événement très médiatique puisque 230 médias se sont rendus sur place. Une cérémonie haute en émotions pour ces deux militants de longue date de la cause homosexuelle.

Samedi 1er juin, Boulogne-sur-Mer: Stéphane et Lionel se disent "oui" devant un ministre. Frédéric Cuvillier, conseiller municipal de la ville et ministre des Transports, est le premier membre du gouvernement à célébrer un mariage gay. Les heureux élus? Stéphane de Sainte-Maresville, 49 ans, et Lionel De Coster, 43 ans, en couple depuis 18 ans. "La loi de la République ouvre des droits nouveaux, offre du bonheur nouveau (...) et efface ce qui a pu être pour de nombreuses familles des moments difficiles", a déclaré le ministre. "C'est le plus beau jour de ma vie (...) je n'imaginais pas pouvoir me marier il y a 18 ans", à témoigné Lionel.

Samedi 1er juin, Saint Jean de la Ruelle: Hélène et Abby, premier couple de femmes marié en France. "J'ai célébré trois mariages d'amour aujourd'hui... Mais celui d'Hélène et Abby m'a particulièrement ému", confie le maire PS de la commune à France3. "C'est un mariage d'amour avant d'être un mariage militant", ont déclaré les deux femmes, tout en savourant "une victoire face à ceux qui nous traitaient de malades."

Samedi 1er juin, Montpellier: Anne et Carole célèbrent leur union un jour de gay pride. Trois jours après le premier mariage homosexuel, la ville a vibré de nouveau au rythme de la 19e marche des diversités Lesbian et Gay Pride, qui a attiré entre 8 000 participants -selon la police- et 23 000 -selon les organisateurs. L e cortège a cheminé dans les rues de la ville jusqu'au parvis de l'hôtel de Ville, où la maire socialiste Hélène Mandroux a célébré à 18h00 le mariage d'Anne Rouesne-Saunier (45 ans) et Carole Léonard (49 ans).

Samedi 1er juin, Chenoise: Stéphane et Etienne passent devant le maire en petit comité. Ils n'étaient que 30, dont une petite moitié de journalistes, à assister à cette union dans une petite commune rurale de Seine-et-Marne. "Là on est une famille, on n'est plus des potes, on est mariés, un point c'est tout. Je n'aurai plus de problème à vivre mon homosexualité ", a commenté Stéphane Assayag, l'un des deux heureux élus.

source:.lexpress.fr/

Voir les commentaires

Montpellier : un colis de matières fécales...

Publié le par Gays,clips,infos

Montpellier : un colis de matières fécales...

Montpellier : un colis de matières fécales adressé à Hélène Mandroux

Insultes, menaces, colis nauséabond, nez cassé, la tension reste vive après les premiers mariages homosexuels à Montpellier.

On apprenait dimanche que le maire de Montpellier, Hélène Mandroux, qui a marié le premier couple homosexuel français mercredi dernier, avait reçu cette semaine de nombreuses lettres d’insultes et de menaces. Dans le courrier, les agents municipaux ont même trouvé un colis contenant des matières fécales.

La contestation au mariage pour tous a fait un blessé à la Gay Pride, samedi après-midi, à Montpellier. Une personne qui tenait des propos homophobes en marge du défilé a été prise à partie par les participants et a eu le nez cassé.

source:midilibre.fr/

Voir les commentaires