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L'association LGBT Objectif Égalité Lorraine a défilé cette année en simple participant. Un petit groupe d'opposant à la loi du mariage pour tous ( loi Taubira ) manifestant sur la place Stanislas après le défilé de la gaypride ( marche des fiertés ) à Nancy le 1 juin 2013.

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Trois jours après le premier mariage gay, Nancy...

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Trois jours après le premier mariage gay, Nancy...

Trois jours après le premier mariage gay, Nancy accueillait sa "marche des fiertés 2013"

Dans un contexte tendu, suite au long débat par rapport au mariage pour tous, se tenait à Nancy la 11ème édition de ce rassemblement. Pour éviter tout incident, d'importants moyens policiers ont été mobilisés.

Une centaine de personnes parmi les forces de l'ordre était donc rassemblée, afin qu'aucun problème ne vienne perturber le déroulement de la journée. Et aucun problème n'est donc survenu sur la manifestation.
Par contre, en marge, les locaux de l'association Equinoxe ont fait l'objet de tag homophobes durant la matinée

Si la tension n'est pas retombée, la marche des fiertés n'a pas subi, pour sa part, de perturbations notables. Il y a beaucoup été question de mariage pour tous.

source:france3.fr

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L'Eglise, une famille éclatée par...

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L'Eglise, une famille éclatée par...

L'Eglise, une famille éclatée par l'après-mariage pour tous

En apparence, les catholiques ont perdu avec la promulgation de la loi Taubira. Mais les évêques font valoir que le gouvernement a reculé sur la PMA et la GPA, pendant que d’autres regrettent que l’Eglise se soit trop montrée avec la droite pendant les manifestations.

Au moment où est célébré à Montpellier le premier mariage homosexuel, l’heure est au bilan dans une Eglise catholique qui a été, pendant des mois, le fer de lance de la contestation contre le mariage gay et l’adoption d’enfants par des couples de même sexe.

En apparence, la mobilisation des évêques, très précoce avec les interventions spectaculaires des cardinaux André Vingt-Trois, traitant le projet de loi de «supercherie», et Philippe Barbarin, assurant qu’il ouvrait la voie à toutes les dérives (inceste, polygamie), a été un échec retentissant. Le jugement mérite cependant d’être plus nuancé.

L’Eglise a manifesté son attachement aux principes les plus traditionnels de sa doctrine: protéger l’institution du mariage conçue comme l’alliance exclusive d’un homme et d’une femme et une société fondée sur la différence structurante des sexes. Le principe d’égalité n’autorise pas, pour elle, toutes les formes de vie commune et c’est dans le mariage qu’un homme et une femme inscrivent leur projet conjugal, leur intention de procréer et d’assurer une filiation.

Les évêques de France se réjouissent d’avoir posé ces questions, ouvert le débat sur le terrain «anthropologique», que certains, comme Henri Guaino, ont traduit en termes de «guerre de civilisations». Ce débat n’a pas été organisé sous la forme espérée d’un référendum, mais il faudrait être sourd et aveugle, ou de mauvaise foi, pour affirmer qu’il n’a pas eu lieu, au Parlement, dans les colonnes des journaux, sur les ondes et les écrans. Les évêques ne doutent pas que les reculs socialistes (provisoires?) sur la procréation médicalement assistée et la grossesse pour autrui ont été obtenus à la faveur de leur contestation.

Ils ont été entendus et suivis si on veut en juger par l’imposante mobilisation catholique des «manifs pour tous». Aura-t-on assez dit qu’au-delà de la provocation des groupuscules extrémistes et de la récupération politique des partis de droite, l’immense majorité des manifestants était composée de paroissiens venus affirmer leurs convictions et battre le pavé, avec leurs curés et parfois leurs évêques?
Le combat politique de l'église ne date pas d'hier

Des observateurs historiens et sociologues disent avoir assisté à un «réinvestissement» massif des catholiques dans la politique. Ce n’est pas faux, mais il ne faudrait pas confondre la défense de la famille et de valeurs éthiques avec un engagement partisan, ni oublier les mobilisations pour l’école libre (1984), contre le Pacs (1999) et les engagements, réguliers et discrets, des catholiques «sociaux» dans la défense des Roms et des migrants, des sans-papiers et des mal-logés. Le combat politique dans l’Eglise ne date tout de même pas d’aujourd’hui.

Son combat visant au retrait du projet de loi Taubira était toutefois perdu d’avance, non pas seulement à cause de l’avancée numérique socialiste à l’Assemblée nationale et au Sénat, mais aussi de l’absence de leaders dans la «manif pour tous» autres que ceux de l’opposition de droite. Ce n’était pas aux évêques de prendre la tête des cortèges, mais quelle était la légitimité d’une Frigide Barjot? Et de cette nébuleuse d’organisations groupusculaires qui, autour d’elle, distribuaient les rôles et les mots d’ordre? Comment des évêques, nombre de prêtres et des centaines de milliers de catholiques ont-ils pu ainsi défiler sous la conduite d’une humoriste déjantée, récemment convertie?

La «manifestation pour tous» a manqué de ces grandes voix –celle du cardinal Jean-Marie Lustiger–, ou de ces forces d’encadrement –les associations de parents de l’école catholique– qui avaient assuré le succès des défilés de 1984, en province et à Paris, pour la défense de l’école libre contre les menaces de nationalisation du gouvernement de gauche.

La bataille d’opinion a aussi fini par porter tort aux manifestants. Les faits ont montré un accroissement des gestes et des insultes homophobes, dont il est difficile d’imputer la responsabilité aux croyants qui garnissaient le gros des cortèges. Les meneurs se sont gardés d’éviter le piège de l’amalgame entre opposition à la loi Taubira et homophobie, mais ils n’y ont qu’à moitié réussi. Ils ont été débordés par des courants extrémistes qui ont perverti les thèmes de la manifestation.

Dans ces conditions, il aurait été judicieux d’arrêter les frais plus tôt et de ne pas s’obstiner, au risque de lasser l’opinion, dans l’opposition à la loi, une fois celle-ci adoptée. Quelques évêques ont pointé le danger de se droitiser. Toute une fraction de la militance catholique a été indisposée par ce combat et l’engagement passionné de certains évêques manifestant à côté des dirigeants de la droite, sans parler des dérives violentes de l’extrême droite.
Clivages

Dans un article de La Croix du 22 avril, Claude Dagens, évêque d’Angoulême, estimé pour sa carrure intellectuelle, a écrit que «les responsables catholiques français seraient mal inspirés s’ils cherchaient à prendre en marche le train des poussées politiques, en essayant de faire plaisir aux ultras. Si cet opportunisme l’emportait, il faudrait en payer le prix dans quelques années». Son article avait un titre significatif: «Le catholicisme intransigeant, une tentation permanente».

Autre bémol apporté à la ligne officielle, Jean-Luc Brunin, évêque du Havre et président de la commission de la famille à la conférence des évêques, a aussi convenu, dans un texte du 14 mai, que «la dimension politique de la manifestation avait créé des clivages au sein de la communauté catholique, où certaines personnes ne se sont pas senties écoutées et respectées».

Il ne fait pas de doute que cet échec sur le mariage gay laissera des traces dans une Eglise plus que jamais divisée, avec une conscience plus aigüe qu’elle est minoritaire et peu écoutée dans une société française de plus en plus sécularisée. Le défaitisme est à l’ordre du jour. «Nous ne devons plus attendre des lois civiles qu’elles défendent notre vision de l’homme», a lucidement déclaré, le 16 avril, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris.

Face à cette conscience, deux attitudes se font jour et se combattent. D’un côté, des courants identitaires et néo-conservateurs, qui se saisissent de tous les débats de la société pour réaffirmer des valeurs catholiques. Ils veulent restaurer des règles et des points de repère touchant à l’éducation, à la vie familiale, à la sexualité, reconquérir une société sécularisée à l’extrême et déchristianisée, en perte de mémoire et de repères chrétiens.

D’un autre côté, les courants «progressistes» qui continuent de faire le pari de l’ouverture à la société moderne, veulent chasser les réflexes de citadelle assiégée, misent sur une transformation des structures de l’Eglise (plus de place aux femmes et à la délibération), rêvent moins de reconquête chrétienne que de ressourcement dans les intentions réformatrices du concile Vatican II, sur la fidélité aux pauvres et le rapprochement avec les luttes des hommes d’aujourd’hui. Y compris celles des homosexuels.

Henri Tincq

source:slate.fr/

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Football

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Football

Football
Sepp Blatter n’a toujours rien compris

Le Qatar, pays hôte du Mondial 2022, criminalise les rapports homosexuels? C’est un choix «moral et éthique», a estimé le président de la FIFA, en marge du congrès de l’Organisation.

C’est fâcheux d’être à la fois le président de la fédération sportive la plus puissante du monde et de demeurer totalement inculte sur les questions de Droits de l’homme. Eh oui, notre impayable Sepp Blatter national s’est encore couvert de ridicule, rapporte la BBC. Samedi, le président de la FIFA a répondu à une question sur les lois antigay en vigueur au Qatar, choisi pour organiser la Coupe du monde 2022, à la lumière de nouvelles sanctions antiracistes et antidiscrimination récemment adoptées par la Fédération. Le richissime pays du Golfe prévoit jusqu’à 5 ans de prison pour les actes homosexuels, éventuellement accompagnées de flagellation.

«Ce dont vous parlez, ne relève pas du racisme, c’est davantage une question d’éthique et de morale», a répondu le Valaisan de 77 ans. Puis, évasif, il a lâché qu’il ne pouvait pas donner «de réponse définitive» sur le sujet. Peut-être Blatter venait-il de se souvenir de sa bourde de décembre 2010. Peu après l’attribution du Mondial 2022 au Qatar, il s’était laissé aller à une «blague» sur les supporters gay, disant qu’ils feraient mieux de «s’abstenir de toute activité sexuelle» durant leur séjour dans le pays du Golfe. Le président de la FIFA s’était ensuite piteusement excusé.

source:http://360.ch

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Hélène et Abby se sont dit "oui"

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Hélène et Abby se sont dit "oui"

Hélène et Abby se sont dit "oui"

Elles sont les premières lesbiennes à s’être passé la bague au doigt depuis la promulgation de la loi sur le mariage pour tous le 18 mai dernier par François Hollande. Hélène Bureau et Abby Trouillet ont échangé leurs consentements à la mairie de Saint-Jean-de-la-Ruelle, dans le Loiret. Une union qui n’est pas sans réjouir Christophe Chaillou, le maire socialiste de la commune.

« Pour un maire c’est toujours un moment important d’unir deux personnes. Aujourd’hui j’ai marié trois couples. La cérémonie d’Abby et Hélène était importante puisque je m’étais engagé à célébrer leur mariage quand la loi serait votée », nous a-t-il confié ce samedi après-midi, après l’union des deux jeunes femmes. Hélène et Abby s’étaient en effet pacsées le 2 juin 2012. A cette occasion Abby, 36 ans et mère de trois enfants issus d’une précédente union, avait fait sa demande. Christophe Chaillou avait ensuite promis de les unir dès que la loi qui autorise le mariage et l’adoption aux couples de même sexe serait votée. C’est désormais chose faite.
La cérémonie s’est déroulée dans la joie et l’émotion. « Elles ont pleuré », a ainsi précisé le maire de Saint-Jean-de-la-Ruelle. Toutes les deux portaient un tailleur pantalon et sont entrées dans la salle communale au bras de leur père respectif. Au total, environ soixante-dix personnes avaient fait le déplacement, « des élus, des membres d’associations », précise l’édile. Les trois enfants d’Abby et leur père étaient eux aussi présents.
Le mariage homosexuel « bientôt une banalité »

Enfin, il n’y a eu aucun perturbateur, se réjouit Christophe Chaillou. Un signe positif selon lui. « Le mariage de deux hommes ou deux femmes va devenir quelque chose de banal et c’est tant mieux », assure-t-il. Pour l’heure, aucune autre demande n’a été faite auprès de la mairie de Saint-Jean-de-la-Ruelle. Mais elles ne devraient pas trop se faire attendre selon son responsable.

source:elle.fr/

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Genève

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Genève

Genève
Meurtre d’Onex: un suspect arrêté en Italie

La police italienne détient un homme de 21 ans dans l’enquête sur l’agression mortelle d’un gay genevois de 37 ans dans son garage, le week-end dernier.

B., 21 ans, a été arrêté jeudi dernier à Pieranica, près de Milan. Ce chômeur kosovar, officiellement domicilié dans la région, devrait être bientôt extradé vers la Suisse pour le meurtre d’un Genevois de 37 ans, en fin de semaine dernière. Aucune précision n’a filtré sur le mobile du crime. Toutefois, le jeune homme a été non seulement prévenu d’homicide, mais aussi de vol. Plusieurs objets ont été saisis lors de son arrestation, rapporte le site italien Il Giorno. Le suspect a été identifié grâce au fichier européen d’ADN, alors qu’il s’apprêtait probablement à quitter la région, mentionne «Le Matin».

La victime, un homme gay de 37 ans, avait succombé à des coups infligés dans son garage. Les armes du crime sont un cric et un tournevis, selon la presse italienne. Par ailleurs, «La Tribune de Genève» précise que, contrairement à des éléments rapportés la semaine dernière, C. n’avait jamais été condamné pour des affaire de mœurs. La semaine dernière, les médias genevois avaient laissé entendre que l’enquête se dirigeait vers le «milieu homosexuel».

source:http://360.ch

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VIDEO. Stéphane Bern persiste, Copé était pour le mariage homosexuel

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Les anti-mariage gay tentent de troubler l'hommage...

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Les anti-mariage gay tentent de troubler l'hommage...

Les anti-mariage gay tentent de troubler l'hommage de Pierre Bergé à Yves Saint-Laurent

Pas de grasse matinée pour les opposants au mariage homosexuel ce samedi 1 juin 2013. Vers 12h00 ils sont allés à la rencontre de Pierre Bergé qui inaugurait une plaque commémorative à Yves Saint-Laurent au 55 de la rue de Babylone dans le VIIème arrondissement. La cérémonie était ouverte au public mais des barrages de police encadraient les rues adjacentes afin de tenir à distance les opposants au mariage pour tous.

Pierre Bergé, entrepreneur et homme d'affaire français, compagnon d'Yves Saint-Laurent qu'il aida a fonder la maison de luxe du même nom, déclarait le 17 décembre 2012 : "Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA ou l'adoption. Moi, je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence ?".


source:citizenside.com

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Frédéric Cuvillier, premier membre du...

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Frédéric Cuvillier, premier membre du...

Frédéric Cuvillier, premier membre du gouvernement à célébrer un mariage gay

Le ministre des transports, Frédéric Cuvillier, ex-maire et actuel conseiller municipal de Boulogne-sur-mer (Pas-de-Calais), a célébré, samedi 1er juin, le premier mariage homosexuel dans cette ville, également le premier par un membre du gouvernement.

Stéphane de Sainte-Maresville, 49 ans, et Lionel De Coster, 43 ans, gérants d'un bar en couple depuis 18 ans, ont officialisé leur union dans la salle des fêtes de la mairie. "La loi de la République ouvre des droits nouveaux, offre du bonheur nouveau et efface ce qui a pu être pour de nombreuses familles des moments difficiles", a dit le ministre, qui s'est dit "fier et heureux", tout comme les deux mariés.

"C'est une très belle journée. Si aujourd'hui, on peut être un peu les porte-drapeaux, allez-y, c'est merveilleux", a confié Stéphane. Boulogne-sur-mer devient ainsi la première municipalité à célébrer un mariage d'un couple homosexuel dans la région Nord Pas-de-Calais. Le premier mariage gay en France avait été célébré mercredi à Montpellier, onze jours après la promulgation de la loi Taubira.

source:lemonde.fr/

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Le cardinal Godfried Danneels n'est pas opposé à...

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Le cardinal Godfried Danneels n'est pas opposé à...

Le cardinal Godfried Danneels n'est pas opposé à l'union homosexuelle

Le cardinal Godfried Danneels a évoqué le mariage homosexuel dans une interview accordée aux quotidiens L'Echo et De Tijd. Il explique qu'il n'est pas opposé à l'union homosexuelle, pour autant qu'on trouve un autre mot que "mariage". Ses déclarations sont également évoquées dans d'autres quotidiens samedi.

Interrogé sur l'ouverture du mariage civil aux homosexuels, le cardinal répond qu'il pense "qu'on ne doit pas renoncer à sa morale, mais qu'il faut trouver un moyen de la rendre crédible et vraisemblable. Si un Etat ouvre le mariage civil aux homosexuels, alors c'est le problème de cet Etat."

Le cardinal ajoute qu'on ne peut pas réduire une personne à son orientation sexuelle et que l'Eglise prend aujourd'hui en compte, de manière plus nuancée, "les personnes dans leur globalité au lieu de se limiter aveuglément aux principes moraux".

Et d'ajouter que l'Eglise "ne s'est jamais opposée au fait qu'il existe une sorte de 'mariage' entre les homosexuels - mais on parle donc d'une sorte de mariage. Il ne s'agit pas du vrai mariage entre un homme et une femme, donc il faut trouver un autre mot pour le dictionnaire. Mais que ce soit légal, qu'on le rende légitime par une loi, l'Eglise n'a rien à dire là-dessus."

Pour Godfried Danneels il s'agit d'une évolution positive. La position du cardinal est d'ailleurs partagée par Monseigneur André-Joseph Léonard.

Belga

source:rtbf.be/

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Il les mariera mais à contrecoeur

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Il les mariera mais à contrecoeur

Il les mariera mais à contrecoeur

Ce n’est pas de gaieté de cœur que le maire de Chédigny célébrera l’union d’Isabelle et Perrine, “mais je respecterai la loi” dit-il. Dix mariages homos seraient déjà prévus en Touraine.

Pierre Louault, président des maires d'Indre-et-Loire, premier élu de Chédigny, la belle cité des roses en Lochois, aura l'honneur de marier Isabelle et Perrine le 31 août. « Deux dames, dit-il. Je serai là, selon mes disponibilités. Je n'ai pas d'états d'âme, je respecterai la loi car je sais être bête et discipliné parfois, mais le mariage homosexuel, ce n'est pas ma philosophie et je ne serai pas loquace ce jour-là. »
Non, ce n'est pas sa tasse de thé, au centriste Pierre Louault, et il se soucie déjà de quelques détails, le code civil en main ouvert aux articles 212 à 215: « Je vais devoir les appeler conjoints, ou plutôt époux ou épouses, et non plus mari et femme au moment de dire qu'ils devront se prêter fidélité, secours et assistance. Puis, ajoute-t-il, la mariée se place à gauche du marié en principe. Comment feront-elles, et porteront-elles une robe blanche? »
Pour le bouquet, rien de changé, il en offrira un (pas deux), mais faudra-t-il en prévoir pour deux hommes? Et, finalement, est-ce important tout cela?…

Non, Isabelle et Perrine ne seront pas en robe de mariée mais plutôt dans le style cow-boy, avec chapeau blanc, car elles aiment les chevaux. « Nous sommes ravies. Le regard des autres? On a l'habitude et on ne se cache pas. Nous, on est contentes et heureuses et c'est l'essentiel. On a loué une salle et prévu un vin d'honneur. On invite plutôt des amis et collègues. Si on avait eu des soucis sur Chédigny, on aurait été à Reignac. Ce n'est pas le cas », raconte Isabelle.
« Un mariage gay dans ma commune? Non, rien de prévu mais vous savez, j'ai déjà suffisamment de problèmes comme cela », rétorque, amusé, ce maire de village du nord de Tours. Un de ses collègues voisins, Jacques Mérel, premier magistrat de La Membrolle, à la tête du mouvement des anti-mariage gay, a trouvé enfin une solution: « Nous n'avons rien contre l'homosexualité mais ni moi ni mes adjoints n'acceptons ces unions. On n'officiera pas mais je donnerai délégation à un conseiller municipal qui veut bien rendre service, même s'il est contre l'adoption. »
Le maire UMP de Loches, Jean-Jacques Descamps, parle de « mascarade ». Il n'avait pas, hier encore, de demande de cérémonie. En Indre-et-Loire, 25 maires ont signé l'appel national contre le mariage pour tous mais ils sont beaucoup plus nombreux à s'y opposer. D'autres, en revanche, les accueilleront à bras ouverts.

repère

Une dizaine d'unions homos serait prévue cet été en Indre-et-Loire, dont six sur Tours. « On sera vigilants si des maires refusent ces cérémonies. Si nécessaire, on se tournera vers la justice. On ne fera pas non plus d'actes militants à tours de bras pour chaque mariage », explique Jérémy Coquereau, co-président de la Ligue gay et lesbiennes 37.
Olivier Pouvreau

source:lanouvellerepublique.fr/

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Eloïse et Zoé seront les premières à se dire «oui»

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Mariage lesbien, la grande illusion

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Mariage lesbien, la grande illusion

Mariage lesbien, la grande illusion

“Vive les Mariés !” Leur mariage aura fait le tour du monde. De la télévision polonaise à CNN, Bruno et Vincent se sont dit oui dans toutes les langues. Un grand moment, savamment orchestré par la municipalité de Montpellier, qui avait pris soin d’inviter une flopée de sympathisants PS et de poster un beau portrait du président dans l’axe des caméras. Un spectacle saisissant d’émotion.

Comme tout le monde, je me suis réjouie de cette célébration historique. Il était temps. Après ces mois de combat, enfin, l’aboutissement de nos luttes. J’avais vécu, et en live en plus, le premier mariage entre deux hommes français. Mais il y a quand même ce petit truc qui reste là, coincé dans la gorge.

Les médias ont unanimement relayé l’info du premier mariage homo. Seulement voilà, je ne peux m’empêcher d’y voir le premier mariage gay. Je vous entend déjà, là-bas au fond, me reprocher de faire ma lesbienne sectaire, d’assombrir ce beau tableau médiatique avec mes états d’âme communautaristes. Mais je trouve qu’une fois encore, l’universalisme a bon dos. Ce premier mariage homo n’était pas un mariage lesbien. Suis-je la seule à m’offenser que pour nous représenter, nous LGBTI, ce soient deux hommes (blancs de surcroit) qui aient été mis sur le devant de la scène ?

OÙ SONT LES FEMMES ?

Les lesbiennes invisibles. C’est le titre d’un one woman show, mais ce pourrait être la devise d’une génération. Rappelez vous, il y a quelques mois, on nous annonçait l’organisation du premier salon du mariage homo. Bravo ! Sortez les cotillons ! Sauf qu’il s’agissait en réalité d’un salon du mariage gay, exclusivement réservé aux hommes, cette clientèle fortunée qui fait saliver entrepreneurs et marqueteurs. Explications de l’organisatrice, Claire Gollain, à l’AFP : “Les femmes sont plus discrètes dans leur communauté et peuvent trouver des choses qui leur correspondent dans les salons du mariage classiques”.

Douceur, docilité et discrétion : c’est vrai que nous les femmes préférons l’intimité de notre intérieur cosy au brouhaha de la sphère publique. Les mariages en grandes pompes devant toutes les TVs du monde, c’est pas vraiment notre truc. Si cette anecdote peut paraitre anodine, elle est révélatrice d’un sexisme généralisé qui ne s’arrête pas aux frontières de l’hétérosexualité et qui s’appuie sur un levier bien particulier : l’invisibilité.

LES FEMMES ET LES ENFANTS, APRÈS !

Avec ce premier mariage, c’est le même scénario qui se répète, inlassablement. On étouffe, on camoufle, on fait comme si on ne les avait pas vu ces gouines. Oui, ces gouines qui gueulent pour qu’on oublie pas la PMA. Celles qui font des manifs, des camions, des soirées. Celles là même.

On nous annonce pourtant le mariage d’ Abby et Hélène, celui de Myriam et Rosemonde ou d’Elisabeth et Géraldine. Loin de faire les gros titres, ces quelques couples “médiatisés” se retrouvent en une de journaux locaux, de sites spécialisés ou de médias LGBT. On se doute que les caméras du monde entier ne referont pas le déplacement pour couvrir le premier mariage lesbien. Et de toute façon, il y a en plusieurs de prévus le même jour. Comme ça c’est réglé, elles pourront se marier à l’abri des regards, dans une ambiance intimiste, romantique et “discrète”. C’est bien ce dont vous rêviez les filles ?

Quand j’ai vu que Bruno et Vincent allaient se passer la bague au doigt, je me suis spontanément demandée quand aurait lieu le premier mariage entre filles. J’ai naïvement tapé “premier mariage lesbien” dans mon moteur de recherche. En grammaire, on nous apprend que le masculin l’emporte sur le féminin. En langage web aussi, visiblement. Il me faudra attendre la cinquième page de recherche pour voir apparaitre le mot lesbienne. Et pour une news datant de 2011.

Si ce mariage me laisse un arrière goût amer, ce n’est pas tant que la pièce montée était ratée. Les sentiments étaient là, les costumes de bon goût, les larmes sincères. Mais il nous rappelle, à nous lesbiennes, que nous sommes encore et toujours, les pièces rapportées de ce combat.



Lubna

source:barbieturix.com/

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Le Printemps français appelle à perturber la...

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Le Printemps français appelle à perturber la...

Le Printemps français appelle à perturber la finale du Top 14

Sur sa page Facebook, le mouvement demande aux supporteurs de la finale du Top 14 de montrer leur opposition à la loi sur le "mariage pour tous".

Ils sont désormais coutumiers des actions coups de poing. Après la manifestation devant le lycée Buffon à Paris, lors de la visite de François Hollande lundi dernier et le réveil en fanfare de Manuel Valls à Bordeaux vendredi matin, le Printemps français appelle maintenant à envahir le Stade de France. L'enceinte sportive de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) accueille samedi la finale du Top 14, rencontre durant laquelle le Racing Club de Toulon affronte le Castres olympique.

Sur leur page Facebook, ces opposants radicaux au "mariage pour tous" demandent à leurs abonnés (près de 500 personnes) de se regrouper dans l'enceinte sportive et d'entonner, "ensemble, un formidable HOLLANDE, TA LOI, ON N'EN VEUT PAS !". Cela, alors que le président de la République devrait être dans les tribunes.
Un stade acquis à leur cause ?

Cet événement représente "une occasion inespérée de nous faire entendre par celui qui ne veut pas nous voir", expliquent les membres du Printemps français, avant d'ajouter : "Sachant que les supporteurs de rugby sont dans leur immense majorité opposés à la loi Taubira, il est demandé à tous ceux qui veulent se faire entendre d'apporter leurs drapeaux LMPT, dans leur poche, sans le manche."

L'objectif fixé par ces inattendus organisateurs ? "Que le stade entier, acquis à notre cause, reprenne (leurs slogans) en choeur. L'effet galvanisant du stade et du chant de masse fera le reste. De nombreux supporteurs sont déjà acquis à cette idée. 80 000 personnes qui scandent ensemble ce même refrain, en direct devant quelques millions de personnes... ça devrait avoir de la gueule."

Lors de leur manifestation spontanée à proximité du lycée Buffon, 93 membres du "mouvement" avaient été interpellés, et 2 placés en garde à vue. Il y a plus d'une semaine, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, avait quant à lui indiqué qu'il allait "étudier" une interdiction de ce mouvement "parce que ces propos sont inacceptables".

Source Sipa Media,lepoint.fr

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Mariage homo : 70 « Mères veilleuses »...

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Mariage homo : 70 « Mères veilleuses »...

Mariage homo : 70 « Mères veilleuses » toulousaines en relais contre la loi Taubira

Du 2 au 9 juin, près de 70 mamans toulousaines vont se relayer 24h/24, place du Capitole, pour provoquer le débat auprès des citoyens de la Ville rose

Après Paris, Caen, Rennes, Nantes, Nice et Montpellier, le collectif des « Mères Veilleuses » interpellera, du 2 au 9 juin, les Toulousains sur la question du mariage homosexuel, dont la loi a pourtant été votée à l’Assemblée nationale le 23 avril dernier, et après la première célébration organisée en la mairie de Montpellier, le 29 mai, en présence notamment de la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem. Une action mise ne place dans le même temps à Lyon.

Mais au juste, qui sont ces « Mères Veilleuses » ? « C’est un mouvement qui est né le 21 avril, spontanément, et qui a pour but d’aller à la rencontre des gens, pas pour parler de nous. Nous rassemblons des femmes de toutes les religions et de toutes les convictions politiques », explique Bénédicte, l’une des membres. À Toulouse, c’est Béatrice qui veillera à la bonne tenue de l’organisation. « Nous serons au moins 70 mamans à nous mobiliser. Nous ferons un relais 24h/24, le but étant d’être au moins 10 mamans par jour sur place », explique-t-elle.
Un stand entre la mairie et le Théâtre du Capitole

Dès ce dimanche 2 juin, à 9h, Béatrice et d’autres « Mères Veilleuses » installeront un stand « entre la mairie et l’opéra » et iront à la rencontre des Toulousain(e)s pour échanger sur la loi Taubira et faire part de leur position. L’occasion d’expliquer les raisons d’une mobilisation aussi originale, d’un « acharnement » diront certains, devant un fait de société pourtant gravé dans le marbre par la loi… « Les mamans de Toulouse qui veulent nous rejoindre doivent signer une charte qui stipule trois choses : être contre l’homophobie, pour le retrait de la loi qui a instauré le mariage pour tous, et pour l’accueil des personnes dans la différence », conclut Béatrice.

Les prochaines actions des « Mères Veilleuses » se dérouleront simultanément à Toulon et Lille, du 16 au 23 juin.

source:voixdumidi.fr/

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Marches des Fiertés 2013: C'est parti!

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Marches des Fiertés 2013: C'est parti!

Marches des Fiertés 2013: C'est parti!

Nancy, Auxerre, Lille et Montpellier défileront le 1er Juin (marche, gay, Nancy, Auxerre, Lille, Montpellier)

Pendant que les mouvements anti-égalité semblent quelque peu s'essouffler malgré une loi ouvrant le mariage et l'adoption aux couples de même sexe bel et bien votée, les traditionnelles marches des fiertés ont déjà commencé dans quelques villes françaises comme le 4 Mai à Châlon-Sur-Saône, le 11 Mai à Crest, et le 25 Mai à Tours et Dijon.

Les marcheurs sont bien sûr bien déterminés à célébrer une belle avancée nationale en ce qui concerne le respect des droits de l'homme, mais sont aussi déterminés à souligné que cette égalité des droits n'est pas encore complète. En premier lieu l'accès des lesbiennes à la PMA (Procréation Médicale Assistée) reste un point qui fait perdurer ''l'inégalité concernant la filiation entre couples de même sexe et couples hétérosexuels, entraînant des situations difficiles et injustes pour les parents et les enfants des familles homoparentales'' a ainsi rappelé La Coordination InterPride-France dans un communiqué, soulignant que ''le calendrier et les contours de la ''loi famille'' à laquelle toutes ces questions sont renvoyées sont de plus en plus flous''.

L'inter-associations constate également que la situation des personnes trans reste obstinément la même: ''Elles sont toujours obligées de fournir une preuve de stérilisation pour motif thérapeutique aux tribunaux afin d'obtenir leur changement d'état civil. Cette disposition est pourtant contraire à la Résolution 1728 (2010) du Conseil de l'Europe demandant aux états membres d'accorder ''des documents officiels reflétant l'identité de genre choisie, sans obligation préalable de subir une stérilisation ou d'autres procédures médicales comme une opération de conversion sexuelle ou une thérapie hormonale''.

''Le gouvernement renâcle aussi à permettre la prise en charge des transitions faites en France ou à l'étranger pour celles et ceux qui le souhaitent, en garantissant le libre choix du ou des médecins et il tarde toujours à intégrer l'identité de genre comme motif de discrimination reconnue par la loi'' dénonce-t-elle.

La Coordination InterPride-France a ainsi présenté le mot d'ordre national que toutes les marches adopteront en complément de leurs mots d'ordre locaux: ''Droits des LGBT: Aller au bout de l'Egalité''

Après Chalon-sur-Saône, Crest, Tours et Dijon, les personnes LGBT et celles et ceux qui soutiennent l'égalité des droits se donnent rendez-vous le 1er Juin à Nancy, Auxerre, Lille et Montpellier


1er Juin: Nancy - Auxerre - Lille - Montpellier

Nancy

Pour leur marche des fiertés les nancéens ont décidé de défiler avec le Mot d'ordre local: ''Mariage, filiation, PMA, état civil, don du sang: l'égalité c'est maintenant!''. Vous êtes attendu(e)s des 12h place de la Cérrière pour découvrir différents stands et animations dans le cadre d'un village associatif.
Le départ de la marche est quant à lui prévu à 16h30, en direction de la place Stanislas

La soirée officielle de la Marche 2013 est organisée à partir de 22h au Shortbus Bar, 2 rue de la Citadelle (After à 3h au bar Le Réseau, place Thiers)

Auxerre

La ville d'Auxerre défilera avec le Mot d'ordre ''2013: Aller au bout de l'Egalité

Tout le monde est convoqué à 13h à la gare routière Migraines, pour un départ de la marche à 14h respectant l'itinéraire suivant:

gare Migraines, boulevard Vauban, boulevard du 11 Novembre, rue du Temple, rue Martineau des Chesnez, place Saint Mamert, rue Marie Noël, rue Millaux, rue du Puit des Dames, boulevard Vaulabelle (Arrivée entre 16 et 17h salle Vaulabelle

Lille

A Lille le mot d'ordre sera cette année: ''Marchons fièrement pour tous nos Droits''

Rendez-vous est fixé à 13h30, sur la place de la République pour un départ du défilé à 14h, suivant l'itinéraire:

rue G. de Châtillon, de Valmy, avenue Kennedy, rue de Paris, du Molinel, de Tournai, place de la Gare, rue Faidherbe, des Manneliers, Grand'Place, rue Nationale, Solférino et Inkermann

N'oubliez pas le Festival officiel du 24 au 30 mai, de nombreuses animations en divers points de Lille et de l'agglomération (infos sur http://www.gaypride.fr/)

Montpellier

3 jours après la célébration du premier mariage homosexuel à Montpellier, la Marche des fiertés défilera sous le mot d'ordre: ''Notre solidarité l'emportera''

Rendez-vous à 13h place Albert Ier, où s'installera le forum des associations.

Le défilé partira à 15h de ce point, suivant l'itinéraire:

boulevard Henri IV, rue Foch, rue de la Loge, place de la Comédie - pause discours - boulevard d'Antigone, rue L. Blum, chemin de Moularès (Arrivée vers 18h sur le parvis de l'Hôtel de Ville)

Pour toute info complémentaire sur les animations et soirées annexes consultez: http://www.gaypride.fr/


Les prochaines marches:

08 Juin Bordeaux - Rennes
15 Juin Metz - Nantes - Strasbourg - Toulouse - Lyon
22 Juin Biarritz - Rouen - Caen
29 Juin Paris
06 Juillet Le Mans
13 Juillet Nice
20 Juillet Marseille Europride !


source:citegay.fr

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Vendée. Mariage gay: face aux risques de...

Publié le par Gays,clips,infos

Vendée. Mariage gay: face aux risques de...

Vendée. Mariage gay: face aux risques de débordements, manifestations interdites

La préfecture de Vendée a interdit toute manifestation samedi 1er juin en faveur ou contre la loi sur le mariage homosexuel en raison de risques de "confrontations violentes", a-t-elle indiqué dans un communiqué. Des appels à manifester ont été relayés ces derniers jours par tracts et via les réseaux sociaux, selon la préfecture.

Or "les prises de position de certains tenants de thèses opposées peuvent faire craindre des confrontations violentes", est-il souligné dans le communiqué. Le collectif anarcho-syndicaliste CNT a appelé, dans un tract diffusé sur les réseaux sociaux, à un rassemblement samedi à la Roche-sur-Yon contre "la droite extrême", visant les opposants au mariage gay.

+ Les hommens manifestent à Angers

+ Qui sont les "Veilleurs" qui s'opposent encore au mariage pour tous ?

La préfecture n'a toutefois pas donné de noms d'organisations appelant à manifester pour ou contre le mariage gay. Mais l'arrêté pris par le préfet Bernard Schmeltz vendredi interdit toute manifestation, d'un camp ou de l'autre.

La décision préfectorale interdit ainsi "toute manifestation ou rassemblement devant se dérouler le 1er juin 2013, place de la Résistance à la Roche-sur-Yon". Et le document souligne que les appels à manifester émis ces derniers jours n'ont pas fait l'objet d'une demande d'autorisation en préfecture.

Le préfet fonde sa décision en évoquant notamment les "actes de violence auxquels ont pu donner lieu diverses manifestations liées au projet de loi puis à la loi relatifs au mariage pour tous" organisées les 18 et 26 mai dernier. L'arrêté fait référence à des manifestations "nocturnes" qui ont eu lieu à ces deux dates. L'une de ces manifestations a pris la forme d'un rassemblement d'Hommen, des hommes opposés au mariage pour tous, torse nus, masqués et portant des torches.

source:courrierdelouest.fr

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