Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Publié depuis Overblog

Publié le par justin

Voir les commentaires

La Géorgie condamnée pour ne pas avoir suffisamment protégé une "marche LGBT"

Publié le par justin

La Géorgie condamnée pour ne pas avoir suffisamment protégé une "marche LGBT"

La CEDH avait été saisie par l'association géorgienne Identoba et quatorze personnes qui avaient participé à une gay pride en mai 2012 dans la capitale géorgienne (photo).

Une trentaine de militants de la cause homosexuelle avaient tenté de défiler sur la rue principale de cette ville très religieuse du Caucase du Sud, brandissant des drapeaux aux couleurs de l'arc-en-ciel et des pancartes où l'on pouvait lire "Stop à l'homophobie".

Mais ils avaient été bloqués par des contre-manifestants orthodoxes accompagnés de prêtres, qui les ont insultés et frappés, tandis que la police avait interpellé plusieurs militants homosexuels, officiellement pour les protéger, selon les explications données par le gouvernement géorgien à la CEDH.

Informées bien à l'avance de la manifestation, les autorités "avaient été spécifiquement invitées à protéger les manifestants contre des protestations prévisibles" de militants homophobes, a relevé la Cour.

Or les policiers, déployés en nombre limité, "ont laissé la tension dégénérer en violence physique". Et la police s'est mise à arrêter et évacuer "les victimes mêmes qu'elle avait été appelée à protéger", a dénoncé la CEDH.

En outre, seuls deux contre-manifestants ont été condamnés depuis à une amende d'un montant équivalent à 45 euros pour des atteintes mineures à l'ordre public, une sanction "pas suffisante" eu égard au "niveau de violence et d'agression non justifié" dont ont été victimes les requérants.

La Cour a conclu aux violations des principes de la liberté d'association et de réunion et de l'interdiction des discriminations.

L'Eglise Orthodoxe jouit d'une grande autorité en Géorgie, ex-république soviétique conservatrice de 4,6 millions d'habitants, où l'homosexualité est largement considérée comme inacceptable.

AFP

Voir les commentaires

Jamaïcain bisexuels demandeur d'asile «forcé» à partager des photos homosexuels aux fonctionnaires britanniques

Publié le par justin

Jamaïcain bisexuels demandeur d'asile «forcé» à partager des photos homosexuels  aux fonctionnaires britanniques

Dans une tentative désespérée pour prouver qu'il disait la vérité, Orashia Edwards a dit qu'il a été contraint de prendre des photos explicites de lui et de son petit ami

Un bisexuels jamaïcain demandeur d'asile a dit qu'il est tellement désespérée pour rester dans le Royaume-Uni, il a été forcé de montrer une photo de lui-même ayant des rapports sexuels avec un homme.

Orashia Edwards, 34 ans, pourrait être expulsé à tout moment après avoir perdu son cas avec le gouvernement britannique.

Alors qu'il était autrefois marié à une femme en Jamaïque, il est dans une relation avec un homme basée à Leeds. Il craint qu'il ne soit tué si il est renvoyé.

Donc, dans une tentative de convaincre les bureaucrates pour prouvé qu' il dit la vérité, il a montré une photo de lui-même avoir des relations sexuelles avec son petit ami britannique. Photos sexe gays, comme celui, ne peuvent pas être donnés à titre de preuve dans un cas d'asile au Royaume-Uni. Les agents sont également interdits de poser des questions sexuellement explicites.

«Il a été extrêmement dégradant pour moi d'avoir à faire ca, et encore ils ne me croyait pas, dit-il à The Independent.

Edwards c'est vu d'abord refuser l'asile, il ya environ un an en raison d'être «malhonnête» sur sa sexualité. Retour à la Jamaïque, sa photo et son nom a été imprimé dans les journaux, après avoir été désigné comme un «homme timbré».

La mère du demandeur d'asile, Vienne Brown, a déclaré la santé mentale de son fils est "si mauvais" au cours de ces dernières années. Elle a abandonné son emploi pour s'occuper de lui dans sa dépression. Elle craint également qu'il va se suicider que monter dans un avion et mourir.

«Il est terrifiée à l'idée d'être renvoyés, 'Brown a dit Gay Nouvelles Star. "Il va devoir faire face à d'être de retour dans une communauté où il est considéré comme un homme gay. Ils ne vont pas à dire bisexuels, ils vont dire qu'il est un homme de timbré.

Et Michael Mardell, le partenaire d'Edwards, a déclaré qu'il espérait l'épouser un jour.

«Je suis en amour avec le gars, nous sommes dans une relation physique. Je le soutiens ", at-il dit GSN. «Nous avons parlé de projets de mariage."

Il a ajouté: «Si il ne reste ici, il est pas comme il va être un fardeau pour l'économie du Royaume-Uni. Je peux le soutenir, je dois un emploi, je veux une accumulation d'une vie avec lui. »

La famille Edwards espérons toujours faire appel de son expulsion.

Après avoir perdu sa bataille juridique l'année dernière, Edwards a déclaré qu'il «préférerait être un homme mort que monter sur un vol à mourir. Je dois nulle part où aller ».

C.L

Voir les commentaires

Suède: «le marin Gay pour conjurer les sous-marins étrangers

Publié le par justin

Suède: «le marin Gay pour conjurer les sous-marins étrangers

Les voisins de la Russie, notamment autour de la mer Baltique, sont sur le pied de guerre. Depuis le début de la crise ukrainienne, l’armée de Vladimir Poutine multiplie les incidents frontaliers par voie aérienne ou sous-marine.

Des activistes suédois pensent avoir trouvé un moyen innovant et bon marché pour tenir les submersibles russes à distance. La très vénérable Société suédoise pour la paix et l’arbitrage (SPAS) vient d’immerger au large de Stockholm une boîte étanche contenant une enseigne de néon. Elle représente un marin vêtu d’un simple slip qui effectue une danse aguicheuse. La silhouette est accompagné d’un message lumineux en russe et en anglais: «Bienvenue en Suède, gay depuis 1944», une allusion à l’année de décriminalisation de l’homosexualité en Suède. En prime, la boîte diffuse en morse le message suivant: «Par ici si vous êtes gay».

EFFICACE ET RENTABLE
Comptant sur l’horreur des autorités russes pour toute forme de propagande homosexuelle, la SPAS soutient que son «marin chantant» est une manière très efficace et rentable de protéger les eaux territoriales du royaume… au moins autant que la Marine suédoise. De fait, en octobre 2014, les manœuvres d’un hypothétique sous-marin russe au large de la capitale avait mobilisé d’énormes moyens et coûté au contribuable près de 2,5 million d’euros, rappelle le quotidien britannique «The Independent». «Si les opérations militaires et les armes fonctionnaient en tant que méthode de résolution des conflits, nous serions en paix depuis belle lurette», rappelle Anna Ek, présidente de la SPAS.

Suède: «le marin Gay pour conjurer les sous-marins étrangers

Voir les commentaires

Le CHU de Nancy ouvre une consultation dans une Maison LGBT, une première en France

Publié le par justin

Le CHU de Nancy ouvre une consultation dans une Maison LGBT, une première en France

Pour la première fois en France, un hôpital signe un partenariat avec une association LGBT pour mettre en place des dépistages du VIH et des maladies sexuellement transmissibles lors de consultations réalisées dans un centre dédié.

Le centre hospitalier de Nancy va proposer des dépistages et des consultations gratuites dans les locaux d'une association lesbienne, gay, bi et trans (LGBT) de cette ville, ce qui est une première en France, ont annoncé lundi les responsables hospitaliers et associatifs porteurs du projet.

"Nous voulons rendre les choses plus accessibles pour qu'elles soient davantage efficaces", a expliqué le professeur Christian Rabaud, du service des maladies infectieuses du CHRU de Nancy, alors que la convention entre l'hôpital et la Maison LGBT de Nancy doit entrer en vigueur mi-mai.

Jusqu'alors, les consultations gratuites étaient possibles au Centre d'information, de dépistage et de diagnostic des maladies sexuellement transmissibles, structure hébergée à l'hôpital de Nancy. "Mais aller à l'hôpital, on n'y pense pas forcément. Nous voulons être au plus près des gens, là où les responsables associatifs peuvent avoir un ascendant sur les populations à risque", a poursuivi le médecin.

La convention a notamment pour but de proposer une démarche globale de prévention des infections sexuellement transmissibles à travers le dépistage et des consultations individuelles ou de couples auprès de professionnels de santé spécialisés.

"Le nombre d'infections par le VIH ne recule pas"

"Nous voyons bien que le nombre de nouvelles infections par le VIH ne recule pas, souvent par manque d'informations", a déploré le professeur Rabaud, en faisant par ailleurs observer l'augmentation des contaminations par d'autres infections, notamment la syphilis. La Maison LGBT de Nancy, "Le Kreuji", accueille plusieurs dizaines de personnes par mois depuis son ouverture en juin.

"De plus en plus de personnes viennent nous voir et nous n'étions pas toujours capables de répondre à leurs questions", a dit le trésorier du Kreuji, Thierry Ragot.

Un comité de pilotage, constitué d'un référent de chacune des deux structures, est chargé du suivi des interventions et d'adapter l'offre en fonction de la demande, "ainsi que de l'évolution législative et règlementaire, par exemple concernant les tests rapides de dépistages du VIH", a indiqué Christian Rabaud.

http://loractu.fr/

Voir les commentaires

Mariage des couples homos: Sarkozy rencontre la Manif pour tous qui veut la réécriture de la loi

Publié le par justin

Mariage des couples homos: Sarkozy rencontre la Manif pour tous qui veut la réécriture de la loi

Le président de l'UMP Nicolas Sarkozy a rencontré lundi l'équipe dirigeante de la Manif pour tous et leur a fait part de sa volonté de réécrire la loi Taubira ouvrant le mariage aux couples homosexuels, a-t-on appris mardi de sources concordantes.

Pas d'engagement ferme

«Nous avons eu un long rendez-vous avec Nicolas Sarkozy. Nous l'avions déjà vu deux fois, la dernière fois il y a un an», a confirmé la présidente de la Manif pour tous, Ludovine de la Rochère.

«Il nous a parlé de sa volonté de réécrire la loi Taubira sans être plus précis. A ce jour, il n'a pas pris d'engagement ferme. Il rassemble, consulte avant de s'exprimer plus précisément», a-t-elle ajouté. «Ça ne me choque pas qu'il travaille avec tout le monde avant de prendre position. Nous espérons qu'il confirmera les engagements qu'il a pris».

«Une réécriture de fond en comble»

En novembre 2014, l'ex-président de la République, qui était alors candidat à la présidence de l'UMP, s'était déclaré pour une «abrogation» de la loi Taubira afin qu'elle soit «réécrite de fond en comble», lors d'un meeting du collectif Sens commun, né de la Manif pour tous.

La présidente de la Manif pour tous était accompagnée d'Albéric Dumont, vice-président du mouvement, lors de son rendez-vous. Les deux responsables ont rencontré Nicolas Sarkozy au siège de l'UMP, à Paris.

Les dirigeants de la Manif pour tous ont aussi rencontré d'autres responsables de la droite républicaine ces derniers mois comme l'ancien Premier ministre UMP François Fillon, le député UMP Bruno Le Maire ou le maire de Neuilly (Hauts-de-Seine) UDI, Jean-Christophe Fromantin. Ils vont demander à rencontrer l'ancien Premier ministre UMP Alain Juppé et «s'ils sont d'accord» des responsables de gauche, a indiqué Ludovine de la Rochère.

20minutes.fr

Voir les commentaires

Belgique : « La sérophobie est aussi violente que l’homophobie » la campagne choc

Publié le par justin

A quelques jours de la Belgian Pride, la traditionnelle marche des fiertés de la communauté LGBT, l’asbl Ex Aequo, avec le soutien du service Egalité des Chances de la Région de Bruxelles-Capitale, lance une campagne vidéo pour lutter contre la sérophobie.

Dès ce mardi 12 mai, un film vidéo est partagé sur les réseaux sociaux dans le cadre d’une nouvelle campagne de lutte contre la sérophobie dont l’asbl Ex Aequo est à l’origine. « Nous souhaitions vraiment remettre cette problématique à l’ordre du jour car force est de constater que les discriminations directes ou indirectes à l’égard des personnes vivant avec le VIH sont toujours d’actualité », indique Michael François, porte-parole de l’association.

La particularité de cette campagne est qu’elle s’adresse avant tout à la communauté homosexuelle. « Parallèlement au combat de lutte contre les discriminations au sein de la population générale, nous trouvions nécessaire de balayer aussi devant notre porte.

Oui, aujourd’hui encore, des gays peuvent avoir des attitudes maladroites ou des comportements discriminants en présence de personnes séropositives. Oui, aujourd’hui encore, des gays s’éloignent de leurs amis séropos par peur de la maladie et du regard des autres. Oui, aujourd’hui encore, des gays séropositifs sont quittés par leur partenaire en raison de leur statut sérologique ».

Et Ex Aequo de s’appuyer sur un chiffre pour le moins interpellant de l’enquête sur les conditions de vie des personnes vivant avec le VIH (Charlotte Pezeril, Observatoire du Sida et des Sexualités, 2012) et qui indique qu’un homosexuel séropositif sur 3 a déjà vécu une rupture de relation avec leur partenaire à cause de leur séropositivité.
Campagne soutenue par la Région Bruxelles-Capitale et le Secrétaire d’Etat à l’Egalité des Chances Bianca Debaets.

Voir les commentaires

Cuba : une transsexuelle lapidée

Publié le par justin

Cuba : une transsexuelle lapidée

Une femme transsexuelle a été lapidée à mort à Pinar del Río, à Cuba. La victime de 24 ans, Yosvani Robaina, qui se faisait appeler “La Eterna”, marchait tranquillement dans le parc Roberto Amarán lorsque des adolescents ont commencé à lui lancer des pierres, visant principalement le corps et la tête.

La femme a été transportée à l’hôpital dans la nuit du 25 au 26 avril. Elle a succombé à ses blessures dans le centre médical.

« Le jet de pierre qui lui a coûté la vie n’a pas été celui porté à la tête, mais un impact au bras qui lui a littéralement dévasté, provoquant une hémorragie interne. Elle s’est vidée de son sang », a déclaré Berta Robraina, la mère de la victime, qui a dénoncé au passage le silence des autorités face au drame. Les ´compagnons de sa fille ont eux aussi préféré ne pas s’exprimer, ce que Berta comprend parfaitement : « Ils sont tous victimes de discrimination et ont peur au travail, dans la rue, partout, et ce n’est pas juste. Il faut que cela change », a-t-elle ajouté.

Parmi les suspects, deux adolescents de 13 et 17 ans. « Il s’agissait d’un groupe de jeunes garçons qui n’avaient rien de mieux à faire qu’agresser des personnes qui ne cherchaient jamais d’histoires », explique Berta. Elle précise également qu’un troisième individu, le plus âgé, a avoué avoir lancé la pierre qui a été fatale à Yosvani.

Voir les commentaires

Derrière le défilés de la Gay Pride du Brésil, il se fait poignarder

Publié le par justin

Derrière le défilés de la Gay Pride du Brésil, il se fait poignarder

«Je marchais vers l'ascenseur quand il est venu derrière moi.«Ça va vous apprendre à regardez les hommes. Maintenant, vous allez mourir, pédé! il a crié, avant de me poignarder dans le cou ".

Je parle à Rodrigo Mariano Miguel, un jeune homme vivant dans une petite ville à la périphérie de São Paulo, au Brésil. Il est grand et mince, et en dépit de la minerve qu'il porte, il parle avec animation de ce qui est arrivé ce jour-là. L'attaque est survenue dans son immeuble, et il me montre la vidéo de sécurité qui a capturé tout. Dans ce document, vous pouvez voir Miguel marchant tranquillement dans le complexe. Quelques instants plus tard, son agresseur se précipite derrière lui, brandissant un couteau de cuisine. L'homme a poignarde Miguel deux fois dans le cou avant de fuir.

"Quand je suis arrivé à l'hôpital», dit Miguel, "les médecins me dit que je suis extrêmement chanceux. Je suis revenu de loin j'aurais pu 'être un tétraplégique pour le reste de ma vie ".

L'expérience de Miguel est pas rare. Le Brésil a une réputation mondiale pour sont immenses défilés de la fierté gay, mais elle a aussi l'un des plus hauts niveaux de la violence envers les lesbiennes, gays, personnes bisexuelles et trans dans le monde. Selon le Groupe Gay de Bahia, il y avait 326 meurtres de personnes LGBT au Brésil l'année dernière. Voilà un taux de près d'un décès toutes les 28 heures. Les femmes trans forment un pourcentage disproportionné des victimes.Je parlais avec Renata Peron, un défenseur trans menant à São Paulo qui a connu la violence de première main. «Je marchais le centre-ville une nuit où je fus accosté par neuf hommes," dit-elle. "L'un d'eux avait des bottes d'acier plafonné. Il m'a frappé si fort que je perdu un rein. " Selon Majú Giorgi, un militant LGBT de premier plan et fondateur de Mères pour la diversité, l'espérance de vie moyenne pour une femme trans au Brésil est de 36 ans seulement. Elle fumait comme elle a décrit la situation au Brésil. Pour elle, le problème provient dans une société avec des rôles de genre strictement définies. "Le Brésil est dans beaucoup de façons une société très traditionnelle, très religieux. Le machisme est très fort ici. Nous sommes le leader mondial de l'homophobie. "Elle dit que beaucoup des familles des femmes trans les rejettent et les jeter hors de leur domicile à un jeune âge. marginalisés de la société, ils finissent souvent par vivre dans la rue et de travailler dans l'industrie du sexe.

Un dimanche après-midi, je me suis promené à travers le centre-ville en décomposition de São Paulo. A la nuit tombée, les rues étaient parsemées de jeunes femmes trans debout sur ​​les coins en minijupes, la recherche de leur prochain tour. Travailler dur pour améliorer les choses est Jean Wyllys, premier membre du Congrès ouvertement gay du Brésil. Pour lui, l'homophobie au Brésil remonte à la «fondation même du pays." Ancré dans la doctrine catholique, la société brésilienne est basée sur les rôles de genre traditionnels et, dit Wyllys, "une aversion à la diversité sexuelle." La montée de puissantes églises évangéliques a renforcé ces attitudes. Marshaling congrégations de plusieurs millions et d'élever une quantité aussi impressionnante d'argent, des églises comme l'Eglise Universelle du Royaume de Dieu sont devenus influents dans la politique et la société. Je ai parlé à Bruno Bimbi, un militant politique de l'Argentine qui a contribué au passage que La législation sur l'égalité de mariage de pays. Maintenant vivre au Brésil, il est l'un des plus proches conseillers de Wyllys. "Les églises évangéliques ont complètement infiltré le système politique au Brésil", dit-il, pointant vers la composition actuelle du Congrès comme preuve. Après la dernière élection du pays, un certain nombre de religieux conservateurs ont été élus au bureau. Actuellement, 80 d'entre eux sont affiliés à églises évangéliques. Eduardo Cunha, président de la Chambre des députés, est ouvertement homophobe. Après le premier baiser gay à la télévision brésilienne, Cunha a pris à Twitter pour exprimer sa «révulsion." Un de ses premiers projets de loi était la création de la «fierté hétéro jour »pour lutter contre ce qu'il appelle" l'hétérophobie. " Cunha et ses alliés de droite sont connus par les militants au Brésil comme la "Maison de Cunha" pour leur mainmise sur la vie politique du pays. Cunha a récemment proposé un projet de loi appelé l'Estatuto da Família (Statut des familles), ce qui limiterait la définition de famille au Brésil à une unité basée sur un homme et une femme-efficacement l'annulation de la décision judiciaire 2013 en faveur du mariage de même sexe et l'exclusion de millions de familles brésiliennes de protection de l'État. Bien que cette législation est peu probable de passer le processus judiciaire du Brésil, Bimbi dit qu'il constitue une menace symbolique puissante. Le résultat de cette homophobie politique, dit Wyllys, est "l'homophobie sociale une atmosphère où l'homophobie physique devient acceptable." aggraver la situation est une force de police qui permet à cette violence se produit en toute impunité, même à l'occasion, dans ses propres rangs. En Avril, une photo de la femme trans Verônica Bolina allé virale au Brésil. Il montre Bolina assis sur le sol, entouré par la police militaire. Ses seins sont exposés, son visage battu à une pâte gonflée, elle est méconnaissable. Police d'abord dit codétenus l'ont attaquée en prison, mais elle a ensuite dit aux autorités de São Paulo enquêtant sur ​​l'incident que la police a commis l'agression.

C.L.

Derrière le défilés de la Gay Pride du Brésil, il se fait poignarder
Derrière le défilés de la Gay Pride du Brésil, il se fait poignarder

Voir les commentaires

Oklahoma :Un homme poursuit l'État après sa demande d'une plaque d'immatriculation personnalisée pour soutenir la communauté LGBT

Publié le par justin

Oklahoma :Un homme poursuit l'État après sa demande d'une plaque d'immatriculation personnalisée pour soutenir la communauté LGBT

Oklahoma :Un homme poursuit l'État après sa demande d'une plaque d'immatriculation personnalisée pour soutenir la communauté LGBT cela est refusé par l'état

John Keefe, marié et père de trois enfants et un ardent défenseur de la communauté LGBT,il a déposé plainte auprès de la commission fiscale de l'Etat qui a rejeté sa demande en Mars pour une plaque personnalisée "LGBTALY," car plaque d'immatriculation était de nature sexuelle.

Rapports KWTV le rejet a incité Keefe de déposer un enregistrement ouvert demandant une liste de toutes les plaques personnalisées qui ont été acceptées et refusées, mais sa demande a été ignorée par l'Etat pendant deux mois.

Selon l' ACLU , STR8SXI est une plaque de licence existant, comme STR8FAN. Et dimanche soir, quelqu'un prit une photo d'une plaque d'immatriculation: SEXYQT.

Keefe croit a une liste de plaques approuvées et refusées va l'aider comme il fait appel de la décision de refuser son immatriculation,

"Pourquoi ils gaspillent notre argent et notre temps a une immatriculation?" Demanda Keefe.

Une audience sur la plaque d'immatriculation avec la commission d'impôt sera en Juin. Plus de 100 personnes ont signé une pétition en ligne, demandant à la Commission de la fiscalité de revenir sur leur décision et permettre à la plaque d'immatriculation.

C.L.

Voir les commentaires

'Merci a votre mère aujourd'hui pour ne pas être gay »

Publié le par justin

Christine Weick une mère anti-gay se situait à un carrefour très fréquenté à Grandville, Michigan, dimanche (11 mai), tenant une pancarte qui disait: '. Merci a votre mère aujourd'hui pour ne pas être gay »

BOIS TV l'a interviewée, une femme nommée Jessica Prince-dumping une militante pour le mariage pour tous interpellle Weick avec une boîte de spray au poivre, avertissant qu'elle serait l'utiliser si elle se sentait attaqué

VOIR VIDEO

Voir les commentaires

Publié depuis Overblog

Publié le par justin

Voir les commentaires

Jean-Marie Le Pen annonce : une formation collatérale pour libérer le FN "de M. Philippot et de ses mignons"

Publié le par justin

Jean-Marie Le Pen annonce : une formation collatérale pour libérer le FN "de M. Philippot et de ses mignons"

Politique : Le fondateur du FN, sous le coup d'une suspension de son statut d'adhérent, a annoncé son intention de créer "une formation collatérale... un parachute contre le désastre, pour remettre le FN sur les rails" : "Nous voudrions que Marine Le Pen soit présidente et qu'elle ne soit pas prisonnière de ses collaborateurs, de Mr Philippot et de ses mignons" a-t-il ajouté.

"Je ne vais pas créer un autre parti. Je vais créer une formation qui ne sera pas concurrente du FN."

Trop de gays depuis le outing de Monsieur Philippot ?

Sur Radio Courtoisie, Jean-Marie Le Pen a précisé qu'il s'agira "de recueillir tous ceux qui sont actuellement indignés de la ligne politique suivie" par le parti qu'il a cofondé en 1972 et que sa fille Marine, désormais en rupture totale avec son père, dirige depuis 2011.

L'objectif, poursuit le fondateur du parti, qui aura 87 ans le 20 juin, est de "peser pour rétablir la ligne politique qui a été suivie depuis des décennies".

L'un des proches de Jean-Marie Le Pen, Bruno Gollnish, député européen frontiste, a indiqué sur France Info qu’il avait entendu parler de la création possible "d’une fondation". Il estime que cette initiative peut être "l’occasion d’une clarification". Selon Bruno Gollnish, le projet de Jean-Marie Le Pen ne vise pas la création d'un parti politique.

Le 4 mai dernier, sur son blog, Jean-Marie Le Pen déclarait déjà : «Je note qu'un certain nombre de salariés du Carré, comme Monsieur Bollée, chef de cabinet de Monsieur Philippot, se sont permis des attaques injurieuses contre moi sans être le moins du monde mis en cause», a-t-il continué dans son réquisitoire. «Il est clair qu'il a été procédé à des recrutements massifs de collaborateurs dont l'une des caractéristiques communes, c'est de vouloir faire table rase du passé. (Remplacer les vieux cons par les jeunes trous du cul)».

Voir les commentaires

Un gay ougandais sur la meilleure façon d'aborder l'homophobie en Afrique

Publié le par justin

Un gay ougandais sur la meilleure façon d'aborder l'homophobie en Afrique

À l'approche de IDAHOT, ougandais gay militant des droits Tony Kitara reflète sur le passé, le présent et l'avenir de l'homophobie dans son pays

Je suis un homme gay d'une nation homophobe endémique - Ouganda.

Afin de «tenir» dans la société, je devais cacher ma sexualité à partir d'un très jeune âge. Il ya beaucoup de stigmatisation dans la population générale, souvent caractérisée par un rejet familial, la violence, le chantage, la torture mentale, la torture physique. Par conséquent, je travaille pour la justice sociale et la libération de la communauté LGBTI dans mon pays.

Au cours de la dernière décennie, il ya eu des questions importantes entourant la communauté LGBTI. Alors que bon nombre de pays ont enregistré des lois plus tolérantes sur leurs livres, par exemple, en acceptant le mariage de même sexe, entre autres, il ya eu un large balayage de lois anti-LGBT à travers l'Afrique, la Russie et la Jamaïque, entre autres pays.

Mais alors que beaucoup font de grands progrès pour l'égalité, le monde est encore à ses débuts quand il vient à la libération des personnes LGBTI.

Cette IDAHOT (Journée internationale contre l'homophobie et la transphobie), nous disposons de noter la plupart des avances pour les personnes LGBTI est seulement un point de départ.

Il peut sembler comme la guerre est finie en Angleterre, dans les pays comme l'Ouganda, le Kenya, le Nigeria, la Somalie, la Gambie, le Sud-Soudan, et la Jamaïque les luttes semble à peine avoir commencé.

Un coup d'œil sur la carte du monde, il ya beaucoup de travail qui nous attend pour contester les lois oppressives ridicules, et le plus important de changer l'opinion des gens envers la communauté LGBTI.

Sans aucun doute, il ya eu beaucoup de répudiation de lois absurdes applicables à la communauté en général LGBTI africaine et si quelque chose il n'y a guère eu de changement à travers le continent. Cependant, pour voir le changement que nous devons tous dans nos communautés respectives, un bar doit être poussé plus de travailler à la dépénalisation mondiale de l'homosexualité.

Je travaille avec l'organisation LGBTI africaine Out & Proud Diamond Group, aux côtés d'autres alliés de la société civile comme la Fondation Peter Tatchell, Sexual Minorities Uganda, Rainbows Across Borders, Rainbow International et la Metropolitan Community Church of North London.

Et au cours des dernières années, nous avons réussi à contester directement et indirectement certains des pires lois au monde à être gay. Par exemple, lorsque loi anti-homosexualité en Ouganda a été annulée.

Malgré tout cela, les dirigeants et la population en général, non seulement en Ouganda, mais l'Afrique dans son ensemble sont de plus en plus stridente et la population en général est de plus en plus homophobes.

Beaucoup de questions comprises par les Africains sont projetées à travers la lentille d'une culture qui a été redéfini par l'Occident. Certains peuvent être en désaccord, mais l'homophobie dans le continent était un résultat de la domination coloniale et post-coloniaux forçant leurs points de vue sur notre communauté.

Cette fois, peut-être, est la meilleure approche pour traiter des droits des LGBTI en Afrique.

Mais tout comme Nelson Mandela (RIP) a dit, les gens ne apprennent à haïr et si elles peuvent être enseignées comment haïr ils peuvent aussi être appris à aimer. Ceci est exactement ce qui est arrivé quand la colonisation a commencé comme l'homophobie alors seulement devenu une partie de l'Afrique vit, même si elle existait à l'époque précoloniale. Tout a commencé quand la propagation du christianisme en utilisant le message de la Bible a été imposé aux peuples africains parce que leur propre pré-religion a été dit d'être barbare donc, ce faisant, les puissances coloniales respectives aliénés Africains de leur propre religion et de la culture qui ouvert la voie à la naissance de nos jours l'homophobie.

Toutefois, afin de ramener le point d'équilibrer, d'autre part, de nombreux peuples africains croire que l'homosexualité n'a jamais et ne feront jamais partie de leur culture insistant qu'il est une culture occidentale où ils sont prêts à se battre bec et ongles.

Il ya eu une augmentation du nombre de groupes religieux qui fréquentent les pays africains et la propagande homophobe après avoir échoué à raconter dans leurs propres pays. Ces groupes appellent essentiellement l'Afrique un «dépotoir» pour ces récits homophobes sans tenir compte du fait qu'ils affectent énormément la vie de tant de personnes LGBT en Afrique.

Un exemple frappant est Paul Shinners un prédicateur britannique qui a voyagé à l'Ouganda en Décembre 2012 et a prêché lors d'un rassemblement où le leadership chrétien conservateur appelé pour le passage de la loi anti-homosexualité à un moment où il a été désigné comme le projet de loi «Kill The Gays».

Également à mentionner, groupes évangéliques et les pasteurs comme American Rick Warren ont dans le passé été un succès dans les esprits africains lavage de cerveau par leur conférant la désinformation que les hommes gais sont «leurre et de recrutement» dans les écoles. Bien sûr, quand ce genre de mensonges sont présentés à un esprit africain, ils sont perçus comme des faits. Par conséquent, pour aborder la question de l'homophobie dans le présent jour Afrique où néocolonialisme semble exister persistante, l'une des principales mesures à prendre est de prévenir de tels exemples d'éléments occidentaux de contrôler les récits de la vie africaine.

Malgré le président Barack Obama de signer un protocole en 2011 qui a chargé les organismes fédéraux pour promouvoir les droits des LGBTI d'outre-mer, ainsi que Hillary Clinton déclarant au Conseil des droits de l'homme à Genève que «les droits des homosexuels sont des droits humains et que les droits humains sont les droits des homosexuels», il ya eu été déranger les développements concernant la législation anti-LGBTI depuis lors, et cela a été évident à travers l'Afrique.

Plutôt que de subir une douleur immense à cause de qui nous aimons, nous devons éduquer continuellement homophobes que l'orientation sexuelle et l'identité de genre sont deux aspects intégrante de nous-mêmes et doivent donc être respecté et de ne jamais conduire à toute sorte de violence et l'inégalité.

Je rêve d'un monde libre de tout préjugé.

C.L.

Voir les commentaires

Seulement 1% des homosexuels sont «complètement accepté 'dans le sport: Enquête

Publié le par justin

Seulement 1% des homosexuels sont «complètement accepté 'dans le sport: Enquête

Les États-Unis occupent une bonne placesur l' l'homophobie dans le sport

Seulement 1% des homosexuels sont «complètement acceptées» sur les terrains de sport, selon la première enquête internationale

Près de 9.500 personnes ont été interrogées pour l'enquête, publié dimanche (10 mai), qui a été lancé par le comité d'organisation de Sydney de la Coupe Bingham,

Un répondant sur quatre homosexuels masculins ont dit qu'ils avaient reçu des menaces verbales de préjudice ou été victimes d'intimidation en faisant du sport, et environ 80% des gens ont dit qu'ils avaient vu une telle discrimination.

«Même dans les pays les plus prometteurs, comme le Canada, la discrimination et l'homophobie ont été encore largement vécue par deux LGB et les participants , disait-elle.

Les participants à l'étude étaient principalement d'Australie, le Royaume-Uni, Canada, Irlande, Nouvelle-Zélande et les États-Unis et une écrasante majorité ont convenu que pas même des stands de spectateurs acceptaient des fans gays.

Environ 78% des répondants ont dit qu'ils croyaient que les personnes LGBT ne seraient pas «très sûr» si elles montraient de l'affection à l'autre.

Les participants ont également dit l'homophobie était le plus susceptible de se produire dans les gradins (41%) et les classes d'éducation physique de l'école (21%).

LA Galaxy et ancien joueur de football Leeds Robbie Rogers, l'un des seuls ouvertement homosexuels masculins professionnels athlètes du monde, a déclaré qu'il était déçu par les conclusions de l'étude, mais ils espéraient commencer à motiver le changement.

«Ce changement peut commencer avec chaque athlète qui décide de ne pas utiliser un langage homophobe même si cela a signifié que l'humour, dit-il.

L'étude a révélé que les athlètes masculins homosexuels aux États-Unis étaient les plus susceptibles de rester dans le placard en raison de craintes de discrimination de la part des entraîneurs et des officiels.

La moitié (50%) des hommes gais et les lesbiennes (53%) et 33% des hommes hétérosexuels dans les Etats-Unis ont déclaré qu'ils avaient personnellement vécu l'homophobie et 89% des hommes gais et 82% des lesbiennes avaient reçu des insultes verbales telles que «pédé» ou «dyke».

Mitch Eby, un ailier défensif au Chapman Université de Californie, a été le premier joueur de football collégial actif ouvertement gay aux États-Unis.

«Je crois que Michael Sam est pas sur une équipe de la NFL parce qu'il est gay, dit-il.

«Il est un bon joueur de football assez pour jouer dans la ligue. Cependant, je ne pense pas que ce soit nécessairement à cause de l'homophobie à l'égard de joueurs, à la place, je pense que les entraîneurs ou les propriétaires sont réticents à l'avoir dans leur équipe, inquiet toute l'attention qu'il pourrait apporter serait une distraction. "

C.L.

Voir les commentaires

QUELQUES MILLIONS À DÉPENSER? PAYEZ-VOUS GRINDR!

Publié le par justin

QUELQUES MILLIONS À DÉPENSER? PAYEZ-VOUS GRINDR!

Autofinancée depuis ses débuts, en 2009, l'application de drague gay aux 7 millions de profils est en quête de cash... et plus si affinités.

Vous cherchez un mec sur Grindr? La célèbre application de drague gay, elle, cherche à se caser. Joel Simkhai, son créateur et propriétaire, s’est adressée au cabinet Raine Group pour rechercher d’éventuels acquéreurs, rapporte le site économique Bloomberg. Le mois passé, Simkhai avait déjà lancé un appel aux investisseurs et exprimé son ambition de développer la marque vers d’autres aspects du style vie gay.

Lancé en 2009 avec un modeste investissement de 5000 dollars, le logiciel a bouleversé le vaste monde des rencontres homosexuelles en exploitant les outils de géolocalisation du smartphone. Grindr revendique aujourd’hui 7 millions d’utilisateurs dans 194 pays, dont 2 millions d’accros au quotidien.

AUTOFINANCEMENT
Le mystère sur la valeur de l’app est soigneusement entretenu. Grindr se contente d’indiquer que 75% de ses revenus proviennent des abonnements premium Grindr Xtra: 12 dollars par mois. L’entreprise basée à Los Angeles aurait entièrement autofinancé sa croissance, sans investisseur extérieur.

Une mine d’or? Pas forcément. Bloomberg rappelle que Grindr se trouve sur un marché très encombré, y compris sur le segment gay. Et ses clients sont notoirement volages, prêts à essayer d’autres apps, comme Scruff ou Jack’d. Par ailleurs, les plate-formes de rencontre homo comme hétéro semble peu intéresser les poids lourds du Net et les investisseurs. Le secteur est dominé par IAC, une firme américaine qui rassemble Meetic, Tinder ou OK Cupid. Dans une interview à Bloomberg au début de 2014, son patron, Sam Yagan, estimait qu’aucun service ne valait plus de 10 millions de dollars.

http://360.ch/

Voir les commentaires

Le collectif « Éducation contre les LGBTphobies en milieu scolaire et universitaire » alerte le gouvernement sur l’homophobie

Publié le par justin

Le collectif « Éducation contre les LGBTphobies en milieu scolaire et universitaire » alerte le gouvernement sur l’homophobie

Le collectif « Éducation contre les LGBTphobies en milieu scolaire et universitaire », ainsi que des associations comme « Contact », « Estim », « Inter-LGBT » ont adressé au premier ministre, Manuel Valls, ainsi qu’à la ministre de l’Éducation une lettre sur la nécessité de prendre en compte l’existence des LGBT au sein de l’école ainsi que la lutte contre l’homophobie.
«Refondation de l’École », « ABCD de l’égalité », « Grande mobilisation pour les valeurs de la République »: depuis 2012, les projets pour l’École affichent l’ambition de construire une École plus juste dans laquelle l’Égalité serait une réalité pour permettre la réussite de tou-tes les élèves. Aujourd’hui, dans cette École, quelle est la place des jeunes lesbiennes, gays, bi-es et trans (LGBT) ou de jeunes qui s’interrogent sur leur orientation sexuelle, leur identité de genre?
En juillet 2013, dans la continuité du « programme d’actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre », Michel Teychenné remettait au ministre de l’Éducation nationale un rapport intitulé « Discriminations LGBT-phobes à l’École, États des lieux et recommandations ». Vincent Peillon déclarait alors: « L’homophobie, qui contredit le droit à l’éducation de tous, le droit à la protection contre toutes les formes de violence, qui conduit souvent à une détresse psychologique qui mène jusqu’au suicide, ne doit plus être banalisée ». Nous avons donc pensé que les choses allaient enfin changer.

Et depuis? Aucune mesure concrète n’a été prise pour lutter contre les LGBTphobies à l’École. Pire, les rares actions menées ont été marginalisées, ou leur portée réduite, comme la campagne annuelle menée par le ministère de l’Éducation depuis 2010 et relayant vers Ligne Azur.

Pourtant, partout dans les écoles, collèges, lycées, universités, les jeunes LGBT ou présumé-es l’être sont les cibles potentielles de moqueries, insultes, rejet, harcèlement, violences. Le rapport Teychenné le rappelait: « Les conséquences néfastes de l’homophobie sur le bien-être des jeunes concerné-es ne sont plus à démontrer », perte d’estime de soi, peur, isolement, échec scolaire, dépression et, parfois, suicide.

Auprès de qui ces personnes peuvent-elles trouver de l’aide? Au sein de nombreuses familles, l’homosexualité est un non-dit, parfois un facteur de rejet. A l’École, les questions de l’orientation sexuelle, de l’identité de genre restent trop souvent taboues. Les jeunes LGBT, découvrant les sentiments amoureux, la sexualité, sont ainsi trop souvent seul-es pour faire face à leurs interrogations.
Monsieur le Premier ministre, nous prenons acte de votre volonté de « donner à tous les enfants de la République, sans distinction, les moyens de réussir ». Madame la ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, nous prenons acte de votre promesse de « printemps citoyen », et votre rappel de l’importance de l’éducation à la citoyenneté, à la « non discrimination », au « respect de la dignité de la personne ».
Assez de mots! Nous appelons aujourd’hui les pouvoirs publics à enfin mettre en place une politique ambitieuse de lutte contre les LGBTphobies à l’École et dans les universités

Les programmes scolaires de l’école élémentaire et du collège vont être réécrits. L’enseignement moral et civique vient d’être défini. Au même titre que les autres discriminations, les LGBTphobies doivent y être clairement mentionnées. Il est temps d’en finir avec les stéréotypes sur les personnes LGBT, les représentations univoques du sentiment amoureux, temps de favoriser la connaissance de la pluralité des familles! L’État doit veiller à ce que ces sujets soient traités dans tous les établissements, publics et privés sous contrat, et fournir aux équipes pédagogiques et éducatives des ressources permettant d’aborder ces contenus d’enseignement légitimes avec la rigueur nécessaire.

Les écoles supérieures du professorat et de l’éducation (ESPE) doivent former à la lutte contre les LGBTphobies tous les personnels de l’Éducation nationale et de l’enseignement supérieur, en s’appuyant sur des travaux universitaires, à encourager, et en inscrivant la lutte contre toutes les discriminations dans le tronc commun de formation.
Le partenariat avec les associations agréées est précieux; leur expertise accompagne les personnels dans leurs missions. Les associations de parents d’élèves sont quant à elles des interlocutrices privilégiées pour informer et sensibiliser les familles.
Ces mesures simples et concrètes exigent en revanche une réelle volonté. Madame la ministre, soyez à la hauteur de vos déclarations, soyez à la hauteur du courage dont, chaque jour, les personnes lesbiennes, gays, bi-es et trans doivent faire preuve pour trouver leur place à l’école et dans notre société.»

Signataires:

Collectif éducation contre les LGBTphobies en milieu scolaire et universitaire (FCPE, Ferc-CGT, FSU, Fep et Sgen-CFDT, Sud éducation, UNEF, UNL, FIDL…)
Associations: Contact, Estim’, Inter-LGBT , Ligne Azur, SOS homophobie;
ARGEF (association de recherche pour le genre en éducation et formation); Les EfFRONTé-e-s; Epicène; Marche Mondiale des Femmes – France; Osez le
féminisme

Arnaud Alessandrin, Sociologue, Université de Bordeaux
Nathalie Allain Djerrah, Présidente des Enfants d’Arc-en-ciel (EAC)
Hervé Basire, Secrétaire général de la FERC-CGT
Fatima-Ezzahra Benomar, Les efFRONTé-e-s
Hélène Bidard, Adjointe à la Maire de Paris Chargée de l’égalité femmes/hommes, de la lutte contre les discriminations et des droits de l’Homme
Isabelle Cabat-Houssais, Professeure des écoles, ancienne militante de Mix’cité
Philippe Castel, Ancien porte-parole de l’Inter-LGBT
Isabelle Collet, Maître d’enseignement et de recherche, Université de Genève
Annick Coupé, Syndicaliste
Caroline Dayer, Université de Genève
Christine Delphy, Directrice de recherche émérite CNRS
Patrick Désiré, Secrétaire général de la CGT Educ’action
Karine Espineira, LIRCES, Université de Nice Sophia Antipolis
Cécile Gondard-Lalanne, Co-déléguée générale de l’Union Syndicale Solidaires
Bernadette Groison, Secrétaire générale de la FSU
Serge Héfez, Pédopsychiatre
Anne Hidalgo, Maire de Paris
Sylvie Laillier, Co-secrétaire fédérale de SUD éducation
Bruno Lamour, Secrétaire général de la Fep-CFDT
Joëlle Magar-Braeuner, Doctorante, formatrice égalité et genre
William Martinet, Président de l’UNEF
Caroline Mécary, Conseillère de Paris
Philippe Meirieu, Professeur émérite en sciences de l’éducation à l’université Lumière-Lyon 2, Vice président de la Région Rhône-Alpes délégué à la formation tout au long de la vie
Nicole Mosconi, Professeure émérite en Sciences de l’éducation à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Nawak, Dessinateur de presse
Cécile Ottogalli, MCF STAPS, Université de Lyon1
Benjamin Parent, Réalisateur
Lorena Parini, Maître d’enseignement et de recherche, Institut des études genre, Université de Genève
Gaël Pasquier, Université Paris Est Créteil -ESPE
Mikaël Pawelek, membre du Collectif confédéral LGBT de la CGT
Claire Pontais, Formatrice à l’ESPE de Caen, syndicaliste
Cha Prieur, ATER, université Paris-Sorbonne
Réjane Sénac, Chargée de recherche – Sciences Po (CEVIPOF, PRESAGE)
Frédéric Sève, Secrétaire général du Sgen-CFDT
Pierre Serne, Militant de l’égalité des droits, vice-président de la région Île-de-France
Nicolas Sirkis, Artiste chanteur
Bruno Solo, Comédien
Michel Teychenné, Auteur du rapport « Discriminations LGBT-phobes à l’école – état des lieux et recommandations »
Sylvie Tissot, Professeure au département de sciences politiques de l’université de Paris VIII
Alexandre Urwicz, Président de l’Association des familles homopa
rentales (ADFH)
Françoise Vouillot, Maîtresse de conférences en psychologie de l’orientation, Membre du Haut conseil à l’Egalité Femmes/Hommes, Responsable du groupe OriGenre
Alix Béranger, militante

Voir les commentaires

John Whittingdale, qui a voté fortement contre les droits des homosexuels, est élu comme secrétaire britannique de la culture

Publié le par justin

John Whittingdale, qui a voté fortement contre les droits des homosexuels, est élu comme secrétaire britannique de la culture

Le Premier ministre britannique David Cameron a élu John Whittingdale nouveau secrétaire de la culture.

L'ancien président de la commission de la culture des communes a voté contre les droits des homosexuels, avec lui étant l'un des rares à voter contre le mariage de même sexe en Angleterre et au Pays de Galles.

Il a également voté contre l'abaissement de l'âge de consentement pour les homosexuels en 1998 et était contre l'inclusion de l'orientation sexuelle dans la loi sur l'égalité.

Whittingdale est juste l'une des nouvelles nominations effectuées par Cameron dans son nouveau gouvernement conservateur après l'élection générale au Royaume-Uni le jeudi (7 mai).

Son opposition sera hors député gay Chris Bryant, promu pour devenir l'ombre le secrétaire de la culture de travail.

Alors qu'il ne sera pas en charge des droits des LGBTI en particulier, son influence pourrait voir la communauté obtenir moins au ministère de la Culture, des Médias et du Sport.

Quand il a dit qu'il voterait contre le mariage de même sexe en Angleterre et au Pays de Galles, il a dit qu'il se sentait comme cela causerait «détresse pour beaucoup, en particulier ceux avec de fortes croyances religieuses».

Nicky Morgan, qui a été choisi pour être secrétaire de l'éducation et les femmes et le ministre des égalités lors du remaniement de 2014, conservera son poste. Même si elle a voté contre le mariage de même sexe ainsi, plus tard, elle a dit qu'elle était " fière "des progrès égalité LGBTI a fait au Royaume-Uni.

Certains ne sont pas heureux de la nomination de Whittingdale, y compris Father Ted créateur Graham Linehan.

C.L.

Voir les commentaires

Kenya:Un journal publié la photo des homos

Publié le par justin

Kenya:Un journal publié la photo des homos

«Nous sommes maintenant des cibles . Nos vies sont en danger '

«Top homos» du Kenya craignent pour leur vie après qu'un journal publié leurs noms et leurs photos sur sa première page aujourd'hui (11 mai).

Weekly Citizen a exposé 12 militants et dirigeants LGBTI. Plusieurs étaient auparavant dans le placard.

Alors que certains sont connus internationalement comme porte-parole de fierté pour la communauté, d'autres comprennent un sénateur et un chanteur de gospel.

Peu de Kenyans sont ouvertement LGBTI, il est illégal d'être homosexuel. Les militants craignent que le journal incite à la violence de la foule, comme lorsque ougandaise activiste David Kato a été tué après avoir été «montré du doigt» sur la première page d'un tabloïd en 2010.

Bien que le titre de la page :Top gay les lesbiennes LISTE AU KENYA OUT », l'article réelle vu par GSN ne pas appeler à la violence ou assassiner

Le panel de trois juges clairement la constitution du pays est suprême et le gouvernement avait aucun cas de discrimination contre les personnes LGBTI dans cette instance.

Cet article, un activiste craint qu'ont pourrait faire partie de la campagne pour continuer à faire tourner la population contre la communauté LGBTI.

«Si les homophobes étaient à la recherche de cible LGBT , si les policiers cherchaient à arrêter des gens, si les jeunes anti-homosexuels cherchaient à attaquer certains adolescents qu'ils assument est gay, ils ont maintenant un visage et un nom,« Denis Nzioka, l'un des noms mentionnés, dit Gay Nouvelles Star.

«Nous sommes maintenant des cibles. Bien que certaines des personnes sur la liste sont ouverts à propos de l'homosexualité, certains ne sont pas. Il met la carrière, la vie et la famille de chaque personne à risque ».

En collaboration avec un autre militant kényan LGBTI Eric Gitari, Nzioka tend la main à toute personne mentionnée afin d'assurer qu'ils sont hors de danger.

Ils envisagent actuellement une poursuite en recours collectif contre le journal pour atteinte à la vie des personnes énumérées dans l'article.

«Je ne serais pas surpris si nous voyons les autres noms exposés», a ajouté Nzioka. «En ce moment, tout le monde dans la communauté est une cible. Avec les médias prêts à inciter à la violence comme cela, nous ne pouvons pas penser aux lois en ce moment, nous avons juste à assurer tout le monde reste sûr ».

C.L.

Voir les commentaires

Des centaines de partisans de l'égalité du mariage organisé un rassemblement dans les rues de Dublin

Publié le par justin

Des centaines de partisans de l'égalité du mariage organisé un rassemblement dans les rues de Dublin

Aujourd'hui pour lancer le «compte à rebours final" au référendum irlandais sur l'égalité du mariage.

Les militants de tous les secteurs de la société - y compris les syndicats et les étudiants les représentants syndicaux et les politiciens des enseignants - se sont réunis à Merrion Square.

«Chaque vote compte et nous exhortons les gens à utiliser leur voix pour un changement positif dans la société irlandaise, Max Krzyzanowski du bruit, qui a organisé l'événement, a déclaré RTÉ .

«Ceci est une occasion historique pour les Irlandais d'être sur le côté droit de l'histoire et de voter oui.

Raconter la foule à «aimer ceux qui pensaient au sujet du vote pas à voter oui» a été l'hôte, comédien et auteur Tara Flynn qui a exhorté les gens à ne pas faire preuve de complaisance, en faisant valoir les résultats des élections britanniques leur ont montré les sondages pourraient être tort.

Plus tôt aujourd'hui, l'évêque catholique de Limerick, Brendan Leahy, avait dit un Oui pourrait signifier manuels scolaires ne pas promouvoir de même sexe et le mariage homme-femme aussi pourrait faire face à des contestations judiciaires.

Une lettre pastorale lue à masses à Limerick disent aujourd'hui état Leahy il ne pouvait pas soutenir l'amendement proposé par le gouvernement à la Constitution; il dit que le gouvernement irlandais devrait être en mesure de protéger les droits civils des personnes homosexuels sans «porter atteinte à la signification du mariage».

Il a choisi la prétendue incidence de l'égalité du mariage sur les enfants qui, de manière Leahy, ont le droit d'être élevé par une mère et un père, sauf si cela est impossible.

Les commentaires de Leahy ont été contestées par la foi en l'égalité de mariage (FiME), un groupe chrétien soutenant un vote Oui, le 22 mai.

Dr Richard O'Leary, porte-parole de FiME, dit l'évêque aurait besoin de reconnaître les catholiques peuvent décider «en conscience» à voter oui.

«Je l'ai vu dans les églises dans la littérature Limerick« Votez Non »des groupes de campagne qui est insensible aux homosexuels et transmet les attitudes homophobes, 'O'Leary dit RTÉ.

«Je voudrais demander évêque Leahy pour conseiller les prêtres de son diocèse qu'ils stockent dans leurs églises que de la littérature officielle de l'église sur le référendum.»

C.L.

Voir les commentaires