VoxiGay

Le pouvoir d'Etat dans l'empire de Poutine va plus loin contre l'activiste LGBT : Konstantin Golawa ; il a été inscrit sur la liste des terroristes.

Mercredi, la police russe dans la grande ville de Toljatti a exécuté une rafle contre l'activiste LGBT connu Konstantin Golawa parce qu'il a soi-disant aux réseaux sociaux à la haine des Russes
Des fonctionnaires de la protection d'Etat auraient apparu à 9.30 h. avec une décision de perquisition dans son appartement, expliquait le 25-ans à l'égard de l'interfax. Les policiers confisquaient entre autres choses un notebook, un Flashlaufwerk ainsi qu'un routeur WLAN. L'activiste était arrêté et était emmené pour un interrogatoire de plusieurs heures.

Golawa disait, à lui est reproché dans le cadre de par les recherches pénales d'avoir violé contre une loi contre l'agitation populaire. Il a répandu la propagande anti-russe "au réseau social VK". Les services publics confirmaient à l'égard de l'interfax qu'est découvert contre un homme (mari) qui a blessé(violé) la dignité d'homme des "citoyens de la Russie".

Golawa expliquait, il ne sait pas jusqu'ici laquelle de ses inscriptions (enregistrements) auraient été comprises au réseau social comme l'appel à la haine. "J'ai demandé à des amis et collègues de voir cela : Ils n'ont rien trouvé l'important", ainsi Golawa. A son interrogatoire, il ne peut donner à cause d'une disposition de secret aucun détail.

Golawa avait reçu déjà en 2013 une amende parce qu'il avait participé à une manifestation pour les victimes de l'HIV/sida. Aussi avec d'autres paroles politiques, il s'occupait de la mauvaise humeur aux services publics russes : l'année passée, il avait critiqué l'annexion de la péninsule ukrainienne la Crimée par la Russie et après cela avait reçu des menaces de mort.

Inscription sur la liste des terroristes :

Entre temps, Golawa était inscrit sans ordonnance de justice par les services publics aussi dans une liste officielle des terroristes et extrémistes que les transactions financières radiographie deviennent et dont les comptes doivent être résiliés. Il est le 71ème habitant du pays sur la liste et se trouve avec ceux-ci dans une ligne avec des organisations comme Al-Kaida ou l'Etat islamique.

Au cours des mois passés, plusieurs activistes LGBT russes ont sollicité l'asile en Europe ou les USA pour échapper à la poursuite par les services publics russes.

Au Mexique, un baiser gay a été censuré dans le feuilleton ’Rastros de mentiras’, diffusé sur la chaîne TV Azteca.

A la fin d’un épisode, les deux personnages masculins, Félix (Mateus Solano) et Niko (Nicolas Corona), échangent normalement un baiser, mais la séquence n’est jamais apparue à l’écran. Selon le site du magazine TV Notas cette coupe à « choquée les téléspectateurs »

’Rastros de mentiras’ est une fiction d’origine brésilienne, et raconte les querelles entre les membres d’une famille pour prendre le contrôle d’un hôpital réputé. Félix (Mateus Solano), le fils aîné, est diplômé en administration dans le but de pouvoir faire partie du conseil de direction de l’hôpital et ainsi mettre en œuvre son plan et être le seul de la famille à la tête de l’entreprise familiale. Mais personne ne sait que Félix est bisexuel.

De plus, il est marié à Edith (Bárbara Paz), une styliste avec laquelle il ne forme pas un mariage heureux. Sa sexualité va être au centre de l’intrigue, surtout après un coming-out traumatisant devant toute sa famille, et même son fils.

TV Azteca fait de plus en plus à des productions brésiliennes au Mexique . Ces dernières sont plus ouvertes que les production méxicaine . source : http://sipse.com/

Depuis ce vendredi matin, quatre individus sont jugés par la cour d’assises du Haut-Rhin à Colmar pour avoir, courant 2012, attiré plusieurs homosexuels dans des bois avant de les rouer de coups, voire de les torturer, pour les détrousser complètement.

Le nombre de victimes total n’a pas pu être comptabilisé (on parle d’un peu moins de dix personnes) mais les deux principaux auteurs – un Mulhousien de 23 ans, mince, blond aux yeux bleus, qui attirait les victimes et un Mulhousien de 30 ans, beaucoup plus costaud qui frappait – ont en tous les cas agressé et roué de coups cinq hommes, des Mulhousiens mais aussi un Suisse et deux Allemands.

Dans le box des accusés, on retrouve également deux autres individus, âgés de 27 et 25 ans, qui ont au moins participé à un fait chacun.

Dans la plupart des cas, ces hommes se postaient dans des endroits réputés pour être fréquentés par des homosexuels.

Le plus jeune se présentait aux victimes comme étant ouvert à des propositions sexuelles avant que le second n’arrive et s’en prenne violemment à ces hommes sans défense.

Les deux rouaient ensuite de coups les victimes avant de leur voler leur argent, différents objets, mais surtout leur carte de crédit après avoir récupéré les codes.

Vu le nombre de faits et les circonstances de ces actes – l’une des victimes aurait été menacée de mort avant que ses vêtements ne soient incendiés - ce procès est prévu sur 8 jours avec un délibéré qui devrait tomber vendredi prochain.

lalsace.fr

La Fédération italienne a ouvert une enquête contre Felice Belloli, le président de la Ligue amateur. Celui-ci aurait tenu des propos homophobes le 5 mars dernier lors d’une réunion du conseil du foot féminin : «Basta, on ne peut pas toujours parler de donner des sous à quatre lesbiennes» aurait il dit

Le site italien Soccerlife s'est procuré le compte-rendu de ce colloque et l'a déposé auprès du juge sportif de la Fédération. : « Les actes ont été remis à la commission de discipline, attendons qu’elle ait mené son enquête pour vérifier les faits. La Fédération ne peut pas monter de procès sommaire. Si Belloli avait prononcé ces paroles, ce serait grave. Cette phrase est odieuse et inacceptable», a déclaré le président, qui espère une sanction exemplaire en cas de réelle culpabilité.

Felice Belloli dément toutefois avoir prononcé cette phrase. « Ils faut qu’ils démontrent que j’ai dit certains mots» , s’est défendu l’homme qui, selon le compte-rendu, engage le football féminin et ses 11.000 licenciées en Italie à trouver des ressources par lui-même avant de prononcer les propos incriminés.

Du côté du football féminin italien, la vétérante de l’AGSM Vérone, Patrizia Panico , regrette bien évidemment cette affaire, qui «met le football féminin plus en avant que la récente finale de la Ligue des champions». « Si la phrase de Belloli est vraie, ce sont des paroles sexistes, machistes et ignorantes», a-t-elle ajouté. «Nous voudrions être jugées pour ce que nous faisons sur le terrain, pas pour notre orientation sexuelle.»

L’ambassadeur américain en Espagne,James Costos, ouvertement homosexuel, a posté sur son compte Instagram une photographie ou on le voit donner son sang à Madrid , tout en encourageant tout le monde à faire.

La date de la photographie coïncide à peu près au jugement de la Cour de justice européenne qui a validé la possibilité pour la France d’exclure les hommes homosexuels du don du sang dans un arrêt rendu en avril dernier.

La cour européenne de justice avait été saisie après le refus en 2009 d’un médecin de l’Etablissement français du sang à Metz du don du sang d’un homme, « au motif que celui-ci avait eu une relation sexuelle avec un homme et que le droit français exclut de manière permanente du don de sang les hommes ayant eu de telles relations sexuelles ».

Le tribunal administratif de Strasbourg avait demandé à l’Europe si cette interdiction était compatible avec l’une de ses directives. Selon cette directive, « les personnes dont le comportement sexuel les expose à un risque élevé de contracter des maladies infectieuses graves transmissibles par le sang sont exclues de manière permanente du don de sang ».

James Costos apparaît souriant et fièr de sa collaboration avec la campagne de don de sang parrainée par la Croix-Rouge espagnole . «J’ai rejoint l’équipe de l’ambassade américaine à Madrid en donnant du sang. S’il vous plaît joignez vous à nous… Merci. #cruzroja » .

Parmi les commentaires il y a beaucoup de félicitations pour la générosité que représente le don de sang, mais certains sont surpris parce qu’il l’a fait en étant ouvertement gay. Il répond à ceux qui critique son geste qu’en Espagne il n’y a pas de discrimination à cet égard.« En Espagne, les donneurs sont sélectionnés en fonction de leurs facteurs de risque» . En effet, en Espagne , la loi prévoit l’exclusion du don de sang sur la base de l’existence préalable des comportements à risque, indépendamment de l’orientation sexuelle.

BOGOTA, Colombie - Un évêque catholique a réussi à offenser les dévots conservateurs et les membres de la communauté gay de la Colombie lors d'un discours destiné à dénoncer la discriminationfondée sur l'orientation sexuelle.

Mgr Juan Vicente Córdoba, l'autorité supérieure à l'un des sept diocèses comprenant Bogota, parlait jeudi lors d'une conférence sur le mariage de même sexe et l'adoption co-parrainé par la principale organisation des droits des homosexuels de la Colombie.

Les deux questions sont chaudement débattus en Colombie après que la Cour constitutionnelle de la nation l'année dernière a permis à un couple de lesbiennes d'adopter un enfant né à l'un d'eux. Les législateurs envisagent d'appeler un référendum pour étendre ces droits à tous les couples de même sexe .

Tout en défendant la doctrine de l'Eglise sur le mariage entre un homme et une femme, Cordoba a déclaré que l'homosexualité est un péché et pas que les homosexuels sont accueillis par l'église.

Tout en illustrant le point, le prêtre jésuite a utilisé un terme espagnol péjoratif pour un homme gay, et se demande à voix haute si l'un des 12 apôtres de Jésus aurait pu être homosexuel et une lesbienne Marie-Madeleine.

"Personne ne choisit d'être homosexuel ou hétérosexuel", a déclaré dans son discours Cordoba. Il a également évoqué les organes génitaux masculins et féminins. "On se sent tout simplement, aime, des expériences, est attiré, et aucune attraction est mauvais."

Les remarques de Cordoba agité un tollé, avec les paroissiens catholiques de se précipiter pour dénoncer ce qu'ils considèrent remarques blasphématoires sur les chiffres clés du Nouveau Testament. Top prélats de l'Église en Colombie ont également exprimé leur inquiétude.

Cordoba a présenté ses excuses pour ses remarques vendredi, en disant qu'ils ont été sortis de leur contexte et il ne savait pas que les médias était présent.

Dans un communiqué, l'évêque a présenté ses excuses à «quiconque se sentaient scandalisé ou blessé par les expressions malheureuses sans valeur théologique ou morale."

Il a souligné que, selon la doctrine catholique, les relations sexuelles entre personnes de même sexe sont «intrinsèquement un désordre et vont contre la loi naturelle." Pourtant, at-il ajouté, l'église doit montrer du respect pour la communauté lesbienne, gay, bisexuelle ettransgenre communauté.

C.L.

Un couple gay revenant de vacance disent qu'ils ont été horrifiés de voir leur «jouet sexuel avait été retiré de l'un de leurs sacs, recouvert d'une substance nauséabonde grasse et enregistrées en bonne place au sommet de leur sac

Un couple gay de Virginie, Etats-Unis qui avaient pris des mesures juridiques contre la United Airlines pour harcèlement et vandaliser leurs bagages, ont eu leur affaire soit rejetée pour la deuxième fois par un tribunal fédéral de Houston.

Le couple Christopher Bridgeman et Martin Borger - ont déclaré que leur sac de voyage noir avait émergé sur un carrousel aéroport international de Norfolk avec un gode nauséabonde enregistrée au sommet de leur sac.

Ils revenaient de leur voyage au Costa Rica en mai 2011 sur un vol Continental grâce à Bush Intercontinental Airport Houston. Ils ont été dédouanées et revérifié leurs valises pour le voyage de retour interne à Norfolk, en Virginie.

Continental Airlines a depuis été absorbée par sa société mère, United Airlines.
L'affaire a été rejetée par le juge de district Kenneth Hoyt en Décembre 2012 avant d'être réintégré par le panneau 5ème US Circuit Court of Appeals en 2013.

Cette semaine, il est allé à un procès devant un jury de sept membres, mais a de nouveau été rejetée par Hoyt sans arguments de fermeture ou de délibération du jury, selon les rapports des médias.

Le couple a affirmé en Août 2012 à leur arrivée à l'aéroport international de Norfolk, ils 'ont découvert, à leur grande horreur, que un jouet sexuel privé avait été retiré de l'un de leurs sacs, recouvert d'une substance nauséabonde grasse et enregistrée en bonne place en haut des sacs ».

,« Bridgeman a témoigné , affirmant que le jouet sexuel avait été coincé entre les vêtements pliés avant qu'il soit retiré du sac.

Bridgeman dit qu'il n'a pas trouvé un avis Transportation Security Administration (TSA) dans leur sac indiquant que le mauvais a été inspecté.

Il a ajouté qu'ils ne se sentent plus en sécurité après l'incident. Ils maintenant rester sur le deuxième étage de leur maison et ont installé 16 caméras de sécurité.

Le Houston Chronicle rapporte États-avocat Edward «Teddy» Adams comme disant que la compagnie aérienne ne croyait pas ses employés étaient responsables de l'exposition du jouet sexuel et, même si elles étaient, la personne morale ne doit pas être tenu pour responsable des travailleurs qui agissent en dehors de la portée de leur emploi.

C.L.

Un jeune homme qui prétend être un réfugié de la persécution des minorités sexuelles en Ouganda accuse les autorités de l'immigration de la Namibie d'avoir violé une ordonnance du tribunal en expulsant du pays, près de la fin de Novembre de l'année dernière.

Kris Kelly (21) a fait l'allégation dans un affidavit déposé devant la Haute Cour à Windhoek dans une affaire dans laquelle il demande au tribunal d'ordonner sa libération de la garde à vue. Il veut aussi au tribunal d'ordonner qu'il soit placé au camp de réfugiés d'Osire alors qu'il tente de contester les décisions répétées de lui refuser le statut de réfugié en Namibie. Kelly, qui n'a pas de documents pour prouver son identité, est prétendant être un citoyen de l'Ouganda, dont il dit qu'il a quitté en Novembre 2013 parce qu'il craignait d'être persécuté sur la base de son orientation sexuelle. Il a déclaré dans deux affidavits déposés à la Haute Cour qu'il était dans une relation de même sexe en Ouganda, où les législateurs ont approuvé une loi anti-gay strictes, avant qu'il ne décide de quitter le pays. Cependant, selon les responsables de l'immigration namibiens qui ont interrogé Kelly après qu'il a signalé sa présence en Namibie à un poste de police à Walvis Bay au début de Décembre 2013, il a d'abord prétendu être de la Barbade dans les Caraïbes, avant de changer sa version sur ses origines et a allégué qu'il était un réfugié de l'Ouganda. Il a d'abord dit aux fonctionnaires d'immigration que cinq hommes inconnus lui avaient enlevé à Bridgetown, à la Barbade, en Octobre 2013, qu'il avait été retenu prisonnier sur un bateau, et qu'il a finalement réussi à sauter du bateau à proximité de ce qui allait être la Namibie rivage. Le 7 Août de l'année dernière, Kelly a obtenu une ordonnance du tribunal aux termes de laquelle les autorités namibiennes ont été interdits de l'expulser de la Namibie. Cependant, il est tiré dans un nouveau cas logés à la Haute Cour que les fonctionnaires de l'immigration namibiens ont violé l'ordre de la cour en l'emmenant à travers la frontière de la Namibie avec la Zambie le 29 Novembre l'année dernière et de le transporter à Lusaka. Il dit qu'il a plus tard été mis dans un avion à Nairobi et à partir de là par avion à Entebbe en Ouganda, où il a refusé l'entrée dans le pays et remis sur un vol pour Nairobi, avant qu'il ne soit rapatrié à Lusaka. Après avoir été détenu à Lusaka, il a été visité par un représentant du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), qui lui a dit qu'il serait renvoyé à la Namibie, depuis qu'il avait été illégalement expulsés par les autorités namibiennes, il dit aussi dans le affidavit. fonctionnaires zambiens le reconduisent à la Namibie, où il a été remis aux responsables de l'immigration dans la région du Zambèze, le 28 Février de cette année, dit-il. Avec sa demande d'être donné le statut de réfugié en Namibie ayant été rejetée, un recours contre cette décision a également été rejeté il ya environ un mois, dit Kelly. Dans le cas actuel de Kelly, dans lequel il poursuit le ministre des affaires intérieures et de l'immigration, le commissaire pour les réfugiés, le président des réfugiés Namibie Commission d'appel, le Comité des réfugiés en Namibie et le président du Tribunal de l'immigration, il demande à la Haute Cour d'ordonner qu'il soit libéré de détention au poste de police Seeis l'est de Windhoek et être pris à Osire, alors qu'il poursuit une révision judiciaire de la décision de lui refuser réfugiés statut en Namibie. L'affaire a été reportée au 3 Juin quand avocat Norman Tjombe, qui représente Kelly, et les avocats du gouvernement Steven Nkiwane et Mehluli Ndlovu comparu devant le juge par intérim Collins Parker mercredi. Le bureau du HCR en Namibie a indiqué au gouvernement qu'il aiderait à trouver un pays tiers dans lequel Kelly pourrait être réglée en tant que réfugié, avec le Canada une destination probable pour lui, le ministre des affaires intérieures et de l'immigration, Pendukeni Iivula-Ithana, déclare dans un affidavit également déposé à la cour. Selon Iivula-Ithana, Kelly est pas dans la détention illégale en Namibie, parce que le Tribunal de l'immigration lui un immigrant illégal déclaré et autorisé son expulsion du pays à la fin de Février de l'année dernière. Iivula-Ithana souligne également que la nationalité de Kelly est dans le doute, . comme il "a à un certain point changé d'être barbadienne d'être ougandaise" En l'absence de confirmation de son identité et la nationalité, il pourrait être un risque de sécurité en Namibie, elle ajoute dans son affidavit: «Je ne peux pas aider mais se demander si nous ne sont pas héberger un fugitif de la loi ou [si] il est véritablement sans-papiers. " Elle fait valoir que Kelly "est pas une personne appropriée de se déchaîner sur la société" devant le tribunal considère sa demande de révision judiciaire.

Un chauffeur de bus scolaire du Missouri a parler une dizaine de minutes sur des chapitres biblique non sollicités à un jeune étudiant de Kansas City.

Maurissa Rushing est une élève de cinquième année à une école de Kansas City, Missouri. La semaine dernière,son autobus scolaire qui va jusqu'à Pathway Académie, le chauffeur parla seul avec Maurissa et sa meilleure amie.

Il dit si elle était gay elle brûlerait en enfer à cause de cela.

"Je n'a pas aimé cela," Maurissa, pleurer, des larmes coulaient sur ​​ses joues, dit affilié Fox locale WDAF . " Elle a juste dit que c'etait le chauffeur de bus le plus horrible que j'ai jamais eu. "

Comme l'explique Maurissa, le chauffeur de bus " nous a emmenés à l'arrière de l'autobus. Nous nous sommes assis. "

" Elle a dit que nous sommes vue brûler en enfer vraiment mal, "dit la jeune de 11 ans. "Je ne pensais pas que cela se produise."

Rapports WDAF Maurissa " aime à jouer à un jeu avec sa meilleure amie sur le bus. Ils chassent les doigts les uns des autres le long de son bras. Maurissa dit que son chauffeur de bus lui a dit qu'elle touchait son meilleur ami trop, et elle était gay pour lui ».

" Il m'a fait mal très mal, "at-elle ajouté.

L'autobus scolaire est exploité par First Student, qui dit ils ont immédiatement licencié le pilote anonyme.

Mais la mère de Maurissa est en colère que les administrateurs de l'école qui n'ont jamais pris la peine de l'appeler pour lui dire ce qui est arrivé.

" Je me sens comme si elle était toute la journée pas elle-même, Comment traitez-vous ca à 11 ans?, "Rushing Patricia veut savoir. " Elle a vécu tellement de choses, elle a juste ne méritait pas d'être mis dans cette situation. Il est pas juste, "Rushing ajouté.

Rapports WDAF que « Pathway Académie dit qu'il est pas de leur responsabilité d'informer les parents d'incidents sur le bus, qu'il est le travail de First Student à atteindre. First Student dit le pilote a tiré le second ils ont trouvé et examine pourquoi les parents weren ' t appelé. "

Le Canada souligne le 17 mai 2015, la Journée internationale contre l'homophobie (International Day Against Homophobia and Transphobia ).

Le Canada s'associe à cette action mondiale contre la discrimination et les préjugés dont sont victimes les membres de la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) dans le monde.

"Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits." (Article Premier de la Déclaration universelle des droits de l'homme). Les membres de la communauté LGBT doivent pouvoir se prévaloir des mêmes droits que quiconque. Leurs droits sont aussi des droits fondamentaux.

Des millions de personnes LGBT sont victimes, chaque année dans le monde entier, de discrimination, d'intimidation et de violence physique allant parfois jusqu'au meurtre.

L'Ambassade du Canada en Tunisie contribue à la sensibilisation aux droits et à la protection des membres de la communauté LGBT. L'Ambassadeur et son équipe ont rencontré une vingtaine de membres de la communauté LGBT de Tunisie lors d'une table-ronde à l'Ambassade le 14 mai 2015. Cela a notamment été l'occasion de marquer le soutien du Canada à la lutte contre l'homophobie et la discrimination.

Cette mobilisation a lieu dans le cadre de la semaine des droits de la personne à l'Ambassade au cours de laquelle la liberté d'expression, la liberté de la presse, la lutte contre la violence sexuelle, le racisme et le droits des enfants ont notamment été abordés.

Xavier Bettel, 42 ans, est devenu le premier dirigeant uni par les liens d'un mariage homosexuel dans l'Union européenne.

Il ne voulait pas médiatiser l'événement, mais impossible d'échapper aux journalistes, car la cérémonie était historique : le Premier ministre libéral du Luxembourg, Xavier Bettel, a épousé, vendredi 15 mai, son compagnon, et est ainsi devenu le premier dirigeant uni par les liens d'un mariage homosexuel dans l'Union européenne.

Le jeune Premier ministre, 42 ans, avait fait savoir, en août 2014, son intention de se marier avec Gauthier Destenay, un architecte belge avec lequel il est lié par un contrat d'union civile depuis 2010. "Il m'a demandé et j'ai dit oui", avait-il déclaré au Los Angeles Times (en anglais).


"Merci aux Luxembourgeois"
Quelques mois après l'entrée en vigueur du "mariage pour tous" dans le pays, la cérémonie a eu lieu à l'hôtel de ville de la capitale du Grand duché. "Le Luxembourg peut donner l'exemple", s'est enthousiasmé l'un des convives, l'animateur Stéphane Bern, cité par L'Essentiel.


Xavier Bettel est ressorti ému aux larmes de l'hôtel de ville, précise le journal luxembourgeois, face à une centaine de personnes et sous les poignées de riz lancées par quelques spectateurs. Le Premier ministre s'est contenté de souhaiter à tout le monde "d'être aussi heureux que [lui] aujourd'hui", avant de remercier ses compatriotes.

Par Francetv info avec AFP

«Les gens qui ont été mal compris ou maltraités ... alors intentionnellement méprennent et maltraitent les autres»

Steve Grand-de All-American Boy renommée a beaucoup apprécié l'acceptation de ces collègues d'etre homosexuels depuis son entrée sur la scène il ya près de deux ans.

Mais cela ne signifie pas qu'il n'y est pas eu des ennemis.

Grande, dont le premier album a atteint le numéro trois sur graphique d'albums indépendants de Billboard, a été triste de voir les commentaires anonymes sur les blogs gay lui rejetant comme juste etre un beau mec

«Nous nous sommes battus si dur pour arriver là où nous sommes, et, évidemment, nous avons encore un long chemin à parcourir, mais nous sommes tellement habitués à se battre, et maintenant nous avons moins de combats à faire, dit-il à Metro Source magazine.

«Je n'est jamais été en mesure de comprendre comment les gens qui ont été mal compris ou maltraités ... alors intentionnellement méprennent et maltraitent les autres quand ils savent la douleur de cela. '

Une attaque contre un transgenre . l'homme à Boulder, au Colorado, sera poursuivie comme un crime de haine.

Paul Wettengel a été accusé d'agression au troisième degré et un crime motivé par un préjugé après que la police a dit qu'il chercha un homme qui était transgenre, rapporte KCNC. L'attaque a eu lieu le 13 Avril à un arrêt de bus Boulder.

Le supplément de crime motivé par un préjugé pourrait entraîner Wettengel a recevoir une condamnation pour crime et de la prison.

Les deux hommes ont été particulièrement choqués par cette mésaventure

Neil Shah, 39 ans, et son ami ont passé un moment au club G-A-Y dans le quartier londonien de Soho avant de rentrer à leur domicile en faisant appel à un chauffeur de la compagnie américaine Uber, le 9 mai dernier. Ils ont été victimes d'une terrible mésaventure.

« Pas de baiser, les gays ne sont pas autorisés »

Alors qu'ils étaient dans la voiture depuis une dizaine de minutes, en se tenant les mains, l'ami de Neil s'est penché vers lui pour l'embrasser. C'est à ce moment que le conducteur du véhicule leur a dit : « Pas de baiser, les gays ne sont pas autorisés. » Des propos homophobes qui ont surpris le couple.

Les deux hommes, choqués et désorientés, par l'attitude du chauffeur ont quitté le véhicule. Ils ont à nouveau fait appel à Uber pour les ramener à destination. Ils ont raconté ce qu'il venait de se passer au conducteur. Lui aussi a été très choqué par le comportement scandaleux et discriminatoire de son collègue.

Neil Shah s'est mis très rapidement en contact avec des responsables de la compagnie Uber. Il estime que la firme américaine devrait imposer des règles beaucoup plus strictes sur le recrutement des chauffeurs qui travaillent pour elle.

Un porte-parole du géant américain du transport en VTC (véhicules de tourisme avec chauffeur) a déclaré que « cet incident est très décevant car Uber célèbre la diversité. » Il a jouté : « En tant que société, nous ne tolérons aucune forme de discrimination que ce soit, et nous inculquons cette philosophie à nos chauffeurs partenaires (…). Dans tous les incidents graves comme celui-ci nous suspendons le conducteur en question pendant que nous enquêtons. »

Le chauffeur en question a donc été provisoirement suspendu en attendant les résultats de l'enquête. Il risque une radiation définitive, ce qui semble être logique.

Plusieurs cas d'homophobie déjà signalés et médiatisés

Pourtant, malgré les explications plutôt rassurantes du porte-parole Uber, ce n'est pas la première fois que des couples gays sont victimes de propos et d'actes homophobes de la part de chauffeurs qui travaillent pour cette compagnie. Plusieurs cas ont été signalés et médiatisés.

En avril 2014, deux clients qui sortaient d'une boîte de nuit gay située dans le 9e arrondissement de Paris ont été victimes de nombreuses insultes homophobes et menaces de la part d'un chauffeur de VTC qui travaillait pour Uber : « Non, je ne prends pas les pédales », « Qu'est-ce que tu fais, prends pas de photos. Viens que je casse ton téléphone ! » Finalement, celui-ci s'est ravisé : « Allez, montez les pédales, je vous ramène ! »

Devant l'ampleur de réactions indignées d'internautes sur les réseaux sociaux - Twitter en particulier - Uber a décidé de radier son chauffeur. Les deux jeunes hommes ont porté plainte.

blastingnews.com

Un ancien lutteur de l'université jeudi (14 mai) a été reconnu coupable d'nfecter volontairement un homme avec le VIH, en essayant d'infecter trois autres personnes au virus.

Michael Johnson, 23 ans, fait maintenant face à jusqu'à 30 ans de prison.

Un tribunal du Missouri a entendu que l'ancien étudiant de l'Université Lindenwood testé positif pour le VIH en Janvier 2013. Il a continué à avoir des rapports sexuels non protégés jusqu'à ce qu'il soit arrêté en Octobre de cette année après une partenaire qui a contracté le virus et se rendit à la police.

«Il n'a pas simplement manqué de divulguer son état,« le procureur adjoint du comté de St Charles Philip Groenweghe a dit au jury à l'ouverture du procès de Johnson lundi.

«Quand il a été spécifiquement demandé si il était propre ... il a menti.»

Le jury a conclu Johnson coupable de cinq des six chefs d'accusation contre lui.

«Je suis effrayé et confus, at-il témoigné. «Je ne suis pas au courant du VIH; Je savais qu'il était une MST, voilà tout.

L'athlète a rencontré les hommes sur les médias sociaux et les rencontres applications en utilisant le nom du profil Tiger mandingue.

Sur son ordinateur portable, la police a trouvé des vidéos de lui avoir des relations sexuelles non protégées avec 32 hommes, dont deux ont témoigné contre lui.

Les deux hommes ont dit qu'ils convenu d'avoir des rapports sexuels non protégés, mais seulement après que Johnson leur a dit qu'il n'a pas de préservatifs. Ils ont également dit qu'ils ne savaient pas qu'ils étaient filmés.

«Ce que nous avons ici est une tempête parfaite de malice, dit Groenweghe dans sa plaidoirie.

Missouri est l'un des 33 États qui ont des lois de criminalisation du VIH, qui militants ont claqué pour être dépassées et cibler injustement les hommes noirs.

«Il est injuste et erroné et ne favorise la stigmatisation du VIH, Marc Thompson, un coordonnateur de mentor au Positively Royaume-Uni, a déclaré Gay Nouvelles Star de l'affaire.

»Voir également la dynamique raciale comme la plupart des personnes poursuivies pour cela, à la fois au Royaume-Uni et à l'étranger, sont des gens de couleur."

C.L.

Footballeur amateur des Ardennes, évoluant en niveau régional, Yoann Lemaire est devenu l’un des premiers footballeurs français à révéler son homosexualité.

Contre quoi avez-vous sifflé ?

Yoann Lemaire : J’ai sifflé contre l’intolérance, contre la bêtise.

L’homophobie dans le monde sportif, vous l’avez vécue. Pouvez-vous nous en parler ?

Tout part de réflexes de langage. « Tarlouze », « Pédé », lorsqu’une passe n’arrive pas au destinataire souhaité, c’est un jargon qui paraît presque normal... Pour les supporter, il faut se persuader que l’on est entourés d’imbéciles, mettre son cerveau sur off. La conséquence, c’est que ton niveau de jeu baisse. Tu ne peux pas bien jouer au football si t’es mal dans ta tête.

Pourquoi avez-vous décidé de faire votre coming-out ?

Je n’en pouvais plus de mentir. Le football était ma grande passion, je jouais tout le temps, et avais donc de vrais amis pour coéquipiers. Nous passions des soirées ensemble, mais ils ne me connaissaient pas réellement, finalement. Alors j’ai commencé à parler de ma vie amoureuse et sexuelle sur le ton de la blague, et un jour, tout raconté à mon président. Je me souviens très bien, je lui ai dit « En plus, je suis avec un autre footballeur : donc on est au moins deux », comme pour me rassurer, me persuader que je n’étais pas le seul dans ce cas.

Est-ce que cette révélation a changé votre niveau de jeu, votre philosophie de jeu ?

J’ai ensuite beaucoup plus eu tendance à péter les plombs. Beaucoup de cartons rouges. Le refus d’entendre d’autres joueurs m’insulter sous prétexte de mon orientation sexuelle.

Des joueurs ont donc profité de cet aveu pour vous déstabiliser sur le terrain ?

C’est une infime minorité. Il y a à l’intérieur ceux qui ne font que vous piquer, sur le ton de la vanne et desquels il faut faire abstraction, mais aussi ceux qui sont plus radicaux. Un joueur a refusé de jouer dans la même équipe que moi. Et puisqu’il était meilleur que moi, le président m’a transféré en équipe réserve. C’est hallucinant… Lorsque j’ai expliqué combien ça l’était à l’encadrement du club, on m’a dit : « il faut que tu sois tolérant avec les réactions des autres » !

Que conseilleriez-vous à un jeune homosexuel en souffrance sur un terrain de sport ?

Plusieurs m’ont contacté par le biais de réseaux sociaux. Je ne suis pas la personne la mieux placée pour leur en parler... Des associations peuvent les aider. Il faut aussi en parler avec sa famille, puis avec le président du club.

Avec le recul, avez-vous des regrets ?

Il ne faut jamais regretter ! Dans mes malheurs, j’ai pu rencontrer de belles personnes à qui je n’avais plus à mentir. Je pouvais être moi.

Et votre passion du football ?

Elle s’est plutôt amoindrie. Je ne suis plus que de loin. Je joue toujours en amateur, ainsi qu’au Variety Club, et ça se passe très bien dans mon équipe. Néanmoins, je prends encore régulièrement des cartons rouges. Le dernier marquant en date ? Un joueur d’une équipe adverse m’insultant de manière récurrente sur le terrain, que je pousse légèrement de ma main qu’il attrape et mord jusqu’au sang. Il la relâche, crache, et crie : « l’autre pédé m’a refilé le SIDA ». Protestant du manque de réaction de l’arbitre, j’ai pris 5 matches de suspension.

http://sports.gouv.fr/