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Vague d'arrestations pour violences homophobes en marge de la Gay Pride
Au moins quatre agressions caractérisées à caractère homophobe se sont produites en marge de la Gay Pride organisée samedi à Lyon. La police a arrêté 7 personnes suspectes. Le mandat de dépôt a été requis pour l'un des auteurs de ces agressions, un homme de 23 ans.
Plusieurs personnes, dont des mineurs, ont été interpellées samedi à Lyon en marge de la 18e Gay Pride, pour avoir proféré des insultes homophobes et agressé physiquement des manifestants.
Selon une synthèse policière résumant plusieurs faits commis ce jour là, au moins quatre agressions différentes se sont produites en marge du défilé festif qui a rassemblé environ 10.000 personnes, et qui célébrait notamment l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples homosexuels.
Selon une source judiciaire, deux personnes ont été déférées au parquet qui a ouvert une information judiciaire pour "violences volontaires en raison de l'orientation sexuelle", avec mandat de dépôt requis pour un homme de 23 ans. Ce dernier avait, avec un jeune de 17 ans, craché et asséné des coups de pied sur un participant dans le centre-ville, vers 17h00 samedi. Le mineur a pu être identifié grâce à la vidéosurveillance.
Un mineur de 14 ans, a notamment été interpellé, soupçonné d'avoir agressé samedi, avec 4 complices, un homme de 26 ans en raison de son homosexualité, en centre-ville,peu après 20H00. Mais la victime n'a pas reconnu le mineur qui a été laissé libre avec poursuite de l'enquête préliminaire.
Un peu plus tôt, à 18h50, place Bellecour, un autre homme de 18 ans avait pris à partie une jeune fille au sujet de ses orientations sexuelles, avant de résister à son interpellation. La victime ne s'est pas présentée au commissariat pour déposer plainte.
A peu près au même moment, samedi en début de soirée, trois autres jeunes, âgés de 17 à 18 ans, ont tenu des propos homophobes et frappé des participants à la Gay Pride, l'un d'eux se voyant prescrire 2 jours d'ITT à la suite des coups reçus.
source:france3.fr
La Russie veut empêcher les homosexuels d'adopter...
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La Russie veut empêcher les homosexuels d'adopter ses enfants à l'étranger
La Douma a adopté à la quasi-unanimité un projet de loi restreignant l'adoption dans les pays ayant légalisé le mariage homosexuel.
Un papa et une maman mariés. Toute famille d'un autre type se verra opposer une fin de non-recevoir pour adopter un enfant en provenance de Russie. La Douma, l'équivalent de l'Assemblée nationale française, a voté, mardi 18 juin en deuxième lecture, un projet de loi interdisant l'adoption d'enfants russes par des couples homosexuels ou des célibataires dans les pays ayant légalisé les unions entre personnes de même sexe.
Le texte a été approuvé par 443 députés de la chambre basse du Parlement russe. Aucun n'a voté contre. Il doit être voté en troisième lecture à la Douma le 21 juin. Ensuite, il devra encore être approuvé par la chambre haute du Parlement, et signé par le président russe, Vladimir Poutine, qui a d'ores et déjà indiqué début juin qu'il signerait un tel texte s'il lui était proposé.
Seuls les hétérosexuels mariés pourront adopter
Selon le texte voté mardi, l'adoption d'enfants russes est interdite aux "personnes de même sexe dont l'union est reconnue comme un mariage et qui a été enregistrée dans un Etat où une telle union est autorisée, ainsi qu'aux citoyens de tels Etats qui ne sont pas mariés". Outre la France, ce texte concernera les 14 autres pays (dont le Canada, la Belgique et l'Espagne) dans lesquels les mariages entre personnes de même sexe sont autorisés.
"L'adoption de ce projet de loi élimine de facto tout possibilité que des étrangers ayant, comme on dit, une orientation sexuelle non-traditionnelle, puissent adopter des enfants russes", a estimé Elena Mizoulina, députée du parti Russie juste, auteure d'un des amendements.
D'après le texte, les couples mariés hétérosexuels pourraient, eux, encore adopter des enfants russes. Mais les célibataires en seraient privés. "Un enfant doit avoir une mère et un père", a déclaré le député Sergueï Jelezniak, vice-président de la Douma. "Si un enfant se retrouve avec un couple homosexuel, cela pourrait bien sûr provoquer d'important dégâts et l'enfant pourrait avoir une vison déformée de la réalité", a-t-il ajouté.
L'homophobie largement répandue en Russie
En décembre, Moscou avait déjà interdit les adoptions d'enfants russes par les Américains, en réponse à la "liste Magnitski", une loi américaine sanctionnant des responsables russes impliqués dans la mort en prison, en 2009, de l'avocat Sergueï Magnitski.
Parallèlement, une campagne de défense des "valeurs traditionnelles" a été lancée en Russie ces derniers mois, et la semaine dernière, la Douma a adopté une loi controversée punissant tout acte de "propagande" homosexuelle devant mineur.
L'homophobie est largement répandue en Russie, où l'homosexualité était considérée comme un crime jusqu'en 1993 et comme une maladie mentale jusqu'en 1999. Récemment, plusieurs cas de meurtres de personnes en raison de leur homosexualité ont été recensés dans le pays. Selon un sondage de l'institut Vtsiom publié en juin, 88% des Russes soutiennent l'interdiction de la "propagande" homosexuelle. Par ailleurs, 54% des Russes pensent qu'il faut punir l'homosexualité.
source:
francetvinfo.fr
Double arc-en-ciel : l'homosexualité dans l'art...
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Double arc-en-ciel : l'homosexualité dans l'art sud-africain
À l'occasion de la saison de l'Afrique du Sud en France, et alors que l'homosexualité est encore largement taboue sur le continent, coup de projecteur sur des artistes sud-africains qui abordent cette question dans leur oeuvre.
Une histoire d'amour comme tant d'autres : ils sont jeunes, ils s'aiment et ils se sont dit « oui » dans la plus pure tradition zouloue. Pourtant, leur idylle n'est pas passée inaperçue. Fin avril, Tshepo Modisane et Thoba Sithole, deux jeunes hommes de 27 ans, ont convolé en justes noces. dans un petit village du KwaZulu-Natal. « Le premier mariage gay zoulou », titre un site d'information français, alors qu'au même moment déferle sur l'Hexagone une vague conservatrice et homophobe à l'occasion des débats parlementaires sur le mariage pour tous.
Promulguée le 8 mai 1996, la Constitution postapartheid est l'une des plus progressistes au monde, inscrivant au coeur de la nation sud-africaine la lutte contre toutes les discriminations et établissant l'égalité des citoyens, quels que soient notamment leur origine raciale, leur sexe ou leur orientation sexuelle. Dix ans plus tard, en 2006, la nation Arc-en-Ciel tant voulue par Nelson Mandela autorise le mariage et l'adoption pour les couples de même sexe. Une révolution sur un continent où une majorité de pays prohibe encore l'homosexualité, passible de la peine de mort en Mauritanie, au Nigeria, en Somalie, et dans les deux Soudans. Et où il est fréquemment avancé, même au plus haut sommet de l'État, que l'homosexualité ne ferait pas partie de la culture africaine.
Liberté
Pour autant, tout n'est pas rose en Afrique du Sud. Les agressions d'homosexuels, les « viols correctifs » de lesbiennes, les meurtres de personnes non hétérosexuelles sont fréquents. Une situation extrêmement préoccupante que révèlent les oeuvres des artistes, écrivains, plasticiens, photographes, chorégraphes, danseurs... sud-africains gays. Et qu'il convient de dénoncer avec eux en réaffirmant le droit pour tout adulte de disposer librement de son corps. Tout comme le sexisme et les violences faites aux femmes, l'homophobie est une forme de racisme qui assombrit le ciel de la démocratie.
source:jeuneafrique.com
Liège: Jonathan Lekeu, un des meurtriers d'Ihsane...
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Liège: Jonathan Lekeu, un des meurtriers d'Ihsane Jarfi, réclame sa liberté
Jonathan Lekeu, 28 ans, de Seraing, sollicitera sa libération devant la chambre du conseil de Liège, ce mardi. Il est l’un des quatre meurtriers présumés d’Ihsane Jarfi, ce jeune homosexuel liégeois tué à coups de poings et de pieds, puis abandonné à l’agonie…
Jérémy Wintgens, Mutlu Kizilaslan, Jonathan Lekeu et Eric Parmentier, les quatre auteurs présumés du meurtre du jeune homosexuel liégeois Ihsane Jarfi, comparaîtront ce mardi devant la chambre du conseil de Liège. Il s’agit de la confirmation trimestrielle de leur mandat de détention. Jonathan Lekeu, le plus jeune du quatuor, en profitera pour solliciter… sa libération !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le Sérésien trépigne pour sortir : il y a trois mois, il avait sollicité sa remise en liberté sur la pointe des pieds, alors qu’on avait appris, la veille, qu’il avait participé avec Jérémy Wintgens, en octobre 2011, à l’enlèvement d’un déficient mental qu’ils avaient séquestré, frappé, puis abandonné dans un endroit isolé. La chambre du conseil, puis la chambre des mises en accusation, avaient sans surprise refusé la remise en liberté. Les conseils de Jonathan Lekeu – M es Lecuyer et Lazar – avaient persévéré jusqu’à la cour de cassation, en se basant sur des « griefs de procédure » expliquent-ils, mais cette dernière ne leur avait pas donné raison.
Devant les assises où ils devraient être renvoyés pour meurtre avec circonstance aggravante d’homophobie, de séquestration, tortures, traitements inhumains et dégradants, les quatre risqueront, rappelons-le, la perpétuité.
source:lameuse.be
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stop-homophobie1.overblog.com
Rennes: Des sweats de la Manif pour tous interdits...
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Rennes: Des sweats de la Manif pour tous interdits dans un établissement catholique
EDUCATION - Polémique au collège et au lycée Saint-Vincent...
Il est désormais interdit de porter un sweat ou d’arborer un signe de soutien au mouvement la Manif pour tous au collège et lycée Saint-Vincent à Rennes. Le chef d’établissement a adressé un courrier aux familles le 16 mai demandant aux élèves «de n’arborer aucun signe susceptible d’entraîner une division au sein des classes ou groupes».
«Depuis que la loi est votée, nous n’avons plus à intervenir. Ce courrier vise à préserver notre établissement de la tension générée par le débat qui se prolonge dans la rue», justifie Guy Pican, le chef d’établissement.
Une dizaine d'élèves auraient affiché leur soutien au mouvement récemment. «Certains avaient des sweats avec le logo. Ils se sont faits remarquer. Mais tout le monde à Saint-Vincent n'est pas comme ça», explique un lycéen à la sortie de l'établissement catholique du centre-ville de Rennes.
Une plainte déposée par les représentants de la Manif pour tous
Mardi, trois représentants de La Manif pour tous ont été reçus mardi par la direction pour évoquer leur différend. Les représentants ont annoncé leur intention de porter plainte pour dénoncer l’interdiction de port de la marque.
«Je ne savais pas que c'était une marque déposée. Nos échanges ont été cordiaux et nous partageons certainement de nombreuses convictions. Mais cette affaire se règlera devant les tribunaux, pas dans mon bureau», conclut Guy Pican.
A Rennes, Camille Allain
source:20minutes.fr
Homo, j'étais anti-mariage gay : je quitte la...
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Homo, j'étais anti-mariage gay : je quitte la Manif pour tous et ses mauvais arguments
La Manif pour tous n'a pas trouvé un écho uniquement chez les hétérosexuels. Maël Monnier est homosexuel. Opposé au mariage pour tous, il a pris part à la Manif pour tous. Mais il a fini par changer d'avis et l'a annoncé sur Facebook. Aujourd'hui, il explique son revirement et pourquoi ses arguments étaient irrationnels.
Gay, je m'étais engagé contre le mariage pour tous, pour défendre les droits des enfants et par crainte que ce mariage entraîne une dérive de marchandisation du corps avec la procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA). J'étais à la manifestation du 24 mars et à la suivante. J'étais à ces manifestations pour que la loi soit retirée et remplacée par une loi d'union civile.
Aujourd'hui, je reste très réservé sur la PMA/GPA. Toutefois, je me suis rendu compte que s'opposer au mariage pour tous était un engagement fondé sur de mauvais arguments. C'est lors d'une discussion avec un défenseur du mariage pour tous où j'ai réfléchi plus sereinement, et avec le recul, que j'ai vu la faille de mon argumentation.
Le débat a été beaucoup trop passionnel – d'un côté comme de l'autre – et les extrêmes, comme les identitaires, ont contribué à radicaliser la Manif pour tous. Les opinions des opposants au mariage gay ont été pour partie guidées par la peur ou une très forte focalisation sur l'altérité sexuelle (avec le slogan "un père, une mère, c'est élémentaire !").
L'union civile, un mariage au rabais
Frigide Barjot, ex-porte parole de la Manif pour tous, propose la création d'une "union civile", sorte de Pacs amélioré. Les homosexuels auraient alors une égalité des droits pour leur union, mais sans adoption plénière ni filiation possible. L'argument principal était de barrer la route à la PMA/GPA.
Mais cela ne tient pas : si l'on fait cette union civile pour les homosexuels, et que l'on rend constitutionnel le mariage et la filiation homme-femme, rien n'empêchera le législateur de demander une PMA sans restriction médicale ou de pouvoir recourir à la GPA. Cette union civile ne ferait donc qu'enfermer les homosexuels dans une forme d'union particulière, avec moins de droits, sans pour autant constituer un rempart à la PMA/GPA.
Les célibataires adoptent, pourquoi pas les homosexuels ?
L'adoption par des célibataires était déjà possible en France (loi de 1966). Mais en quoi un couple homosexuel serait moins apte qu'un célibataire à élever un enfant ? Dans un cas comme dans l'autre l'adulte ou les adultes de la famille ne représentent qu'un seul sexe. À partir de ce simple constat, il était effectivement injuste de refuser un tel droit aux homosexuels.
Penser qu'une famille, c'est "un père et une mère" est trop schématique. Dans la réalité, les situations sont déjà beaucoup plus complexes, homoparentalité ou non.
Aujourd'hui, dans le cadre de l'adoption par un célibataire, on étudie la question de savoir si l'enfant pourra avoir un adulte référent d'un autre sexe, pour lui assurer une certaine altérité sexuelle parmi son entourage proche. Cela est parfaitement applicable pour une adoption homoparentale.
PMA/GPA, là n'est pas la question
Contrairement à ce qui est dit ni la procréation médicalement assistée ni la gestation pour autrui ne sont dans la loi Taubira ou seraient facilitées par cette loi. J'entends aussi dire que le mariage gay n'est qu'un premier pas, comme le PACS était un premier pas qui aurait amené le mariage.
Je répondrais que la procréation médicalement assistée n'est autorisée aujourd'hui que pour des couples où il y a infertilité ou risque de transmission d'une maladie grave à l'enfant. Le principe d'égalité des droits, ni aucun principe constitutionnel, ne permet de dire que la PMA doit être ouverte à toutes les femmes.
La gestation pour autrui n'est pas d'actualité et n'est pas autorisée pour les les couples hétérosexuels, et donc rien ne justifie, par principe d'égalité, de l'ouvrir aux couples homosexuels.
Cela ne m'empêche pas de penser qu'un enfant a le droit de connaître ses deux parents. La PMA remet cela en cause si elle se fait grâce à un donneur anonyme. Et la GPA touche au lien fondamental entre la mère et l'enfant qui démarre dès la grossesse. Même si le débat a été pollué par ces questions de la PMA / GPA, il est clair qu'elles n'avaient aucun lien avec le mariage pour tous.
La Bible, ce n'est pas que le Vatican
Un autre élément qui m'a vraiment fait changé d'avis, ce sont toutes les discussions et les lectures que j'ai pu avoir à propos du protestantisme. J'étais un chrétien avec des positions plutôt catholiques, et cela fondait en partie mon engagement contre le mariage homosexuel. Seulement, je me suis aperçu que toutes les églises chrétiennes ne défendaient pas forcément la vision du Vatican à propos du mariage.
Aujourd'hui, je me suis davantage tourné vers le protestantisme, ce qui me permet de mieux vivre mon homosexualité et ma foi. Je me sens aussi beaucoup plus serein, cela m'attristait auparavant de me sentir coupé de la majorité des autres homosexuels.
J'aimerais inviter les participants aux Manifs pour tous à prendre du recul, à réfléchir sereinement, et avec des arguments rationnels. Ce débat a fait souffrir les homosexuels et a divisé la société. Il est plus que temps de l'apaiser.
Propos recueillis par Rémy Demichelis.
source:nouvelobs.com
Pau: le premier mariage gay sera célébré le 8...
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Pau: le premier mariage gay sera célébré le 8 juillet
La maire de Pau unira deux hommes de 55 et 70 ans,habitant à Pau
La maire de Pau, Martine Lignières-Cassou, a fait savoir ce jour aux intéressés qu'elle tenait à officier en personne, pour le premier mariage gay jamais célébré à Pau : Alain Couderc, 55 ans, et Christian Johnston, 70 ans, seront officiellement unis le lundi 8 juillet, en mairie de Pau.
Les deux hommes vivent ensemble, à Pau, avenue des Lauriers.
source:sudouest.fr
Le PDG de Goldman Sachs, chantre du mariage gay
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Le PDG de Goldman Sachs, chantre du mariage gay
Décidément le sexe ou plutôt la procréation, c'est vraiment une obsession du nouvel ordre mondial.
Eh bien oui, si ils ne veulent que 500 millions d'esclaves, il faut bien prendre des mesures pour stopper la reproduction.
Lloyd Blankfein a les oreilles qui sifflent depuis quelques jours. Les milieux d'affaires conservateurs estiment que le "p'tit gars de Brooklyn " est manipulé par la "mafia gay". Dans les clubs aux fauteuils profonds de Wall Street comme de la City, ses détracteurs vilipendent un "coup de pub" destiné à occulter les problèmes qui déferlent sur la vénérable banque d'affaires qu'il dirige depuis 2006. En revanche, les progressistes portent aux nues ce père de famille hétérosexuel qui mène combat avec grande ténacité en faveur du mariage gay.
S'adressant le 2 mai aux militants du groupe de défense homosexuel Out Street, qui vise à promouvoir l'égalité dans le secteur financier new-yorkais, Lloyd Blankfein, PDG de Goldman Sachs, a révélé que sa campagne en faveur de l'union homosexuelle avait amené un gros client - dont le nom n'a pas été divulgué - à retirer ses fonds confiés à la firme. "Ce n'est pas sans risque", mais si Wall Street soutient davantage la cause gay que d'autres secteurs, "c'est parce que la culture financière est foncièrement méritocratique et égalitaire", a déclaré Blankfein.
Les seigneurs de l'argent ont été longtemps en retard sur l'évolution de la société envers les gays, lesbiennes et transsexuels. Plus une culture d'entreprise est "masculine", donc sourdement antihomosexuelle, moins elle tolère les comportements ouvertement déviants. S'ajoute le sentiment diffus que l'idée du pouvoir financier est associée à la virilité, ce qui ne se marie pas vraiment avec le stéréotype de l'homosexualité.
Les rapports professionnels se prolongent souvent dans la sphère privée. Les cadres "hors normes" sont souvent exclus des retrouvailles avec conjoints au restaurant, des week-ends de golf et de chasse entre collègues ou des barbecues en famille. Or le réseau de relations créé à cette occasion joue un rôle évident dans les promotions.
Résultat, à compétences égales, un homosexuel a beaucoup moins de chance d'accéder à un poste de direction. Cela s'appelle le "pink plateau", le plafond de verre version rose, les barrières empêchant les homosexuels déclarés d'arriver au sommet de leur entreprise.
Réseaux d'entraide
Les mentalités sont cependant en train d'évoluer, souligne Andy Wafley, porte-parole du lobby gay britannique Stonewall. "Un nombre croissant de compagnies aident leur staff homo à s'épanouir. Un employé heureux travaille mieux", explique-t-il.
Les établissements financiers trustent le haut du hit-parade annuel de Stonewall des cent compagnies installées au Royaume-Uni les plus dynamiques dans la lutte contre les discriminations en matière d'orientation sexuelle. En 2011, Goldman Sachs a été classée sixième.
Soulignant le chemin parcouru, les grandes banques internationales, surtout américaines, se sont mises à courtiser les jeunes banquiers gays en encourageant la création de réseaux d'entraide. Preuve que la diversité au travail est devenue un facteur déterminant de l'image de l'employeur.
Source
http://www.lemonde.fr
Cinéma
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Cinéma
Le courage du dévoilement
Le jeune réalisateur suisse-italien Filippo Demarchi interroge ses parents sur son homosexualité dans un court-métrage plein de finesse et d’humour.
Un jardin en fleurs au-dessus du lac Majeur. Le ronronnement d’un moteur. Un homme à quatre pattes au premier plan, liquette blanche, taille la pelouse au ciseau. Au second, un jeune homme traverse le jardin de droite à gauche en poussant la tondeuse. C’est sur cette séquence de la vie domestique et familiale d’une maison tessinoise que s’ouvre «Taglia corto!» (taillé court), le troisième court-métrage de Filippo Demarchi. Présenté cette année en compétition officielle au festival documentaire de Nyon, le film aborde la question du dialogue intergénérationnel en racontant l’histoire d’un fils qui revient un week-end à la maison pour parler de son homosexualité à ses parents.
Cartes sur table
Filippo DemarchiNé en 1988 à Zurich, Filippo Demarchi grandit à Ascona et découvre le cinéma d’Agnès Varda et Michael Haneke au Cinéclub de Locarno. Après trois ans au Conservatoire libre du cinéma français de Paris, il s’inscrit à l’Ecole cantonale d’art de Lausanne et réalise ses premiers films avec le désir de trouver un langage visuel approprié à l’expression de la vie intérieure. Suite à «Au ras du sol», une fiction courte sur la jalousie et l’irruption de la violence entre jeunes gars dans un collège universitaire, dont le résultat ne le satisfait pas, il décide d’utiliser la caméra pour approfondir qui il est et capter la façon dont ses parents le perçoivent. «Ce film est né d’un besoin de mettre les cartes sur la table. C’était une façon de me libérer et, en même temps, je souhaiterais que le film puisse aider d’autres personnes à oser affirmer qui ils sont, comme m’ont aidé certains films de Nicolas Ray ou Pedro Almodovar. » Et rien ne fut simple, car au départ ses parents ne veulent pas être filmés. Le fils doit ruser: il propose alors à son père de l’interroger sur le libéralisme, ce qu’il accepte, mais à condition d’être présenté comme un professeur anonyme. «Puis il y a pris goût raconte Filippo. On a voyagé ensemble, je l’ai accompagné à des manifestations, car il est communiste à Turin. Petit à petit le jeu s’est renversé, et à la fin des interviews, on a commencé à parler de moi. Je me suis progressivement exposé et il a fini par me suivre. »
Cela donnera «Taglia corto!», une saisie à vif de réactions et d’émotions suscitées par le fils-réalisateur, qui cherche à débusquer dans ce milieu de non-dits et de tabous qu’est la famille, un chemin pour une parole sincère. Une succession de plans fixes cadrent alternativement le père dans la cuisine, la mère au bureau, le couple sur le canapé du salon, puis dans le jardin. Cela donne des échanges frontaux, à la fois abruptes et touchants, parfois cocasses, tant l’écart entre la représentation «traditionnelle », parfois stéréotypée des parents et la manière spontanée et franche du fils semblent par moment inconciliables. Mais au final, ce qui l’emporte, c’est le souci partagé de se prêter au même effort de sincérité, et au jeu de la caméra.
Étiquette réductrice
Sans pour autant se revendiquer d’un cinéma gay engagé, Filippo Demarchi reconnaît la part militante de son film. Pour cet admirateur de Maurice Pialat et Kieslowski, le cinéma a le pouvoir de faire bouger les représentations dans le bon sens. «Cela étant, je ne fais pas un film pour exprimer des idées politiques, mais des sentiments humains, des fragilités, des zones de fracture », expliquet- il. Même si il présentera «Taglia corto!» en août prochain au Gender Docufilm Festival de Rome, l’étiquette de film gay lui semble réductrice, tant le cinéma n’a pas attendu l’émergence et la multiplication de tels festivals pour s’intéresser à la question. «Le cinéma a toujours traité de l’ambiguïté sexuelle. Parfois de manière humoristique et stéréotypée, comme dans certaines comédies françaises ou américaines, avec la figure de l’homo en tapette, en efféminé extraverti. » Mais l’histoire du cinéma ne s’est pas bornée à cette seule représentation: «Dans les films de Nicolas Ray par exemple, il y a tout un sous-texte homosexuel qui passe par l’émotion plutôt que par l’humour, et chez Mankiewicz, les homos sont le plus souvent des personnes avec des enfants, ou des célibataires qui ont un mode de vivre tout à fait normal. » Tel est bien l’univers représentationnel dans lequel s’inscrit « Taglia corto!» Un film qui pense et donne à penser la problématique de l’intimité grâce au travail audacieux d’un jeune réalisateur prometteur. A suivre…
source:http://360.ch
Jamaïque
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Jamaïque
Églises mobilisées pour leur «droit» à prêcher l’homophobie
Branle-bas de combat dans les paroisses de l'île, à quelques jours de l'examen par la Cour suprême de la loi qui punit les rapports homosexuels.
Les Eglises jamaïcaines sont en effervescence. Mardi, la Cour suprême de l’île entame, pour la première fois, un débat sur la constitutionnalité de la loi qui criminalise l’homosexualité. Les rapports entre hommes y sont passibles de 10 ans de travaux forcés dans l’île, en vertu de la «buggery law», héritée de l’époque coloniale britannique.
De nombreuses églises ont appelé leur paroissiens à rejoindre le Jamaica Mercy Cry, un «rassemblement pacifique de prière», dans plusieurs villes du pays et devant le Parlement de Kingston, ce dimanche. «Notre droit constitutionnel à prêcher la vérité de la parole de Dieu est menacé», prévient le révérend Naila Ricketts, président du comité d’organisation de la manifestation, dans le «Jamaica Observer». «Si la loi était abrogée, ce que vous et moi prônons pourrait devenir un soi-disant discours de haine, passible des tribunaux.» Le pasteur a poursuivi en égrenant une série de cataclysmes à l’horizon: enseignement de l’homosexualité dans les écoles, destruction du mariage et de la famille, etc.
Le recours devant la Cour suprême a été déposé par un jeune citoyen, Javed Jaghai, après qu’il a été jeté dehors par sa logeuse, qui avait découvert qu’il était homosexuel. Elle lui aurait proposé de rester s’il s’engageait à renoncer à l’homosexualité et à étudier la Bible avec elle. Javed avait préféré engager la bataille sur le plan juridique, avec le soutien d’Aids-Free World, une organisation basée aux Etats-Unis. Leur démarche s’appuie sur la contradiction entre la «buggery law» et la Charte des droits et des libertés fondamentaux, adoptée par la Jamaïque en 2011.
source:http://360.ch
Limoux : deux mariages gay (les premiers dans...
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Limoux : deux mariages gay (les premiers dans l'Aude) célébrés samedi
Il s'agit des premiers mariages homosexuels, tant à Limoux que dans l'Aude. Ils seront célébrés par Colette Lagoutte, conseillère municipale.
Samedi après-midi, à 15 h et 16 h, Colette Lagoutte, conseillère municipale, va vivre deux moments intenses : pour la première fois dans sa carrière d'édile, et pour la première fois dans l'Aude, deux mariages gay vont être célébrés en mairie. Et c'est elle qui officiera. Il s'agit de deux hommes et deux femmes, bien connus dans la "cité blanquetière", et qui souhaitent rester dans l'anonymat. "Ils veulent que les cérémonies se déroulent dans la plus stricte intimité", précise Colette Lagoutte : "Ils régularisent simplement leur situation, comme le leur permet la nouvelle loi, et ils ne désirent pas qu'il y ait une quelconque publicité à propos de cet événement". La conseillère envisage les deux cérémonies en toute sérénité : "Pour moi, ça ne pose aucun problème. C'est un rite d'état-civil, désormais légal, et avec lequel je suis pleinement d'accord car c'est une question d'égalité. Je suis tolérante et j'estime que chacun doit vivre sa sexualité comme il l'entend et comme la nature l'a voulu. C'est tout".
Mise à jour de la France
Jean-Paul Dupré, le député-maire de Limoux, ne dit pas autre chose. Pour cause de voyage à l'étranger, prévu de longue date, il ne pourra pas célébrer le mariage. Mais il s'est voulu très clair : "Pour moi, ces deux cérémonies relèvent de choses tout à fait naturelles. Des textes de loi ont été récemment votés en ce sens et dans le droit fil de ce que François Hollande, le président de la République, avait évoqué pendant sa campagne. Et il avait dit vouloir légiférer sur ce sujet. Voilà qui est fait et la loi doit être respectée". Le député est d'autant plus favorable à cette loi sur le mariage gay que selon lui, "il s'agit d'une mise à jour de la France" rendue d'autant plus nécessaire, et incontournable, "que d'autres pays européens ont légiféré depuis longtemps sur ce point".
En mairie de Limoux, les bans ont été affichés le 12 juin, dans l'entrée. Un endroit pour le moins passager. Tout le monde peut donc les lire. Et depuis six jours, il n'y a pas eu de réactions passionnées. Dans l'esprit des gens, ce sont des mariages parmi tant d'autres.
source:lindependant.fr
Lyon: incidents à la Gay Pride
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Lyon: incidents à la Gay Pride
Plusieurs personnes, dont des mineurs, ont été interpellées samedi à Lyon en marge de la 18e Gay Pride, pour avoir proféré des insultes homophobes et agressé physiquement des manifestants, a-t-on appris lundi de sources policière et judiciaire.
Selon une synthèse policière résumant plusieurs faits commis ce jour là, au moins quatre agressions différentes se sont produites en marge du défilé festif qui a rassemblé environ 10.000 personnes, et qui célébrait notamment l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples homosexuels.
Selon une source judiciaire, deux personnes ont été déférées au parquet qui a ouvert une information judiciaire pour "violences volontaires en raison de l'orientation sexuelle", avec mandat de dépôt requis pour un homme de 23 ans. Ce dernier avait, avec un jeune de 17 ans, craché et asséné des coups de pied sur un participant dans le centre-ville, vers 17h00 samedi. Le mineur a pu être identifié grâce à la vidéosurveillance.
Un mineur de 14 ans, a notamment été interpellé, soupçonné d'avoir agressé samedi, avec 4 complices, un homme de 26 ans en raison de son homosexualité, en centre-ville, peu après 20H00. Mais la victime n'a pas reconnu le mineur qui a été laissé libre avec poursuite de l'enquête préliminaire.
Un peu plus tôt, à 18h50, place Bellecour, un autre homme de 18 ans avait pris à partie une jeune fille au sujet de ses orientations sexuelles, avant de résister à son interpellation. La victime ne s'est pas présentée au commissariat pour déposer plainte.
A peu près au même moment samedi en début de soirée, trois autres jeunes, âgés de 17 à 18 ans, ont tenu des propos homophobes et frappé des participants à la Gay Pride, l'un d'eux se voyant prescrire 2 jours d'ITT à la suite des coups reçus
source:lefigaro.fr
Venerabilis, le site internet pour prêtres...
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Venerabilis, le site internet pour prêtres homosexuels
Eglise catholique
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Les prêtres homosexuels vivent parfois une situation pénible mais il existe un site internet où ils peuvent en parler, parfois de manière ingénue mais pleine d'espoir.
C'est l'histoire d'un site discret qui existe depuis plusieurs années et aurait bien voulu garder son anonymat mais les propos que l'on prête au pape François sur un «lobby gay» l'ont mis sous les feux de la rampe. Venerabilis regroupe en effet les annonces des prêtres homosexuels qui recherchent de la compagnie dans un milieu qui exclut les femmes.
«Bonjour, je suis un prêtre (35), recherche l'amitié de prêtres ou de séminaristes homosexuels. Je suis très ouvert», écrit un homme dans la chatroom en italien. Car le site propose des espaces en cinq langues. Ou encore: «Je suis un prêtre italien (45) avec une préférence pour les hommes noirs. Je serai très heureux si un prêtre à la peau sombre pouvait me contacter.»
Un pêché mortel
La plateforme internet a vu le jour en 2007, sous l'impulsion d'une mystérieuse Fraternité des prêtres catholiques romains homosensibles («Homosensible Roman Catholic Priests Fraternity). L'initiative est venue de prêtres italiens, qui composent la majorité des commentaires, ajoute le Tages-Anzeiger dans son édition de lundi
Alors que l'église catholique juge l’homosexualité comme un pêché mortel, le site joue le rôle d'une bourse d'échanges où les interlocuteurs adoptent un pseudo et se gardent de donner des renseignements qui pourraient laisser deviner leur identité. Si les contacts sont virtuels, ils peuvent déboucher sur de véritables rencontres depuis peu, surtout à Rome.
Mur des lamentations
Les prêtres homosexuels disposent de lieux pour rencontrer «personnellement et sans risque» leurs correspondants, comme par exemple la célèbre librairie Feltrinelli à Largo Torre Argentina, dans la cafétéria ou la division Philosophie et Religion entre 18 et 20 heures. Les séminaristes de l'université jésuite Gregoriana et de l'université dominicaine Angelicum s'y rencontrent entre 11 et 12 heures.
Le site, qualifié d'entreprise dépravée par les milieux conservateurs de l'église, fait aussi office de mur des lamentations. Des prêtres y font état de la difficulté de leur situation qui les fait parfois plonger dans une double existence pénible à l'image de ce jeune prêtre. Membre de la fraternité de Pius X., il accepte mal son homosexualité et «aimerait s'entretenir avec d'autres prêtres et traditionalistes qui souffre de mêmes problèmes».
(Newsnet)
Italie : Des dizaines de milliers se sont réunis...
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Italie : Des dizaines de milliers se sont réunis pour réclamer le mariage des couples homosexuels
Des dizaines de milliers de personnes ont participé samedi à la Gay Pride dans le centre historique de Rome pour réclamer bruyamment que l'Italie emboîte le pas à la France pour légaliser le mariage des couples de même sexe.
"Les droits des gens ne sont pas négociables. Rome va devenir la capitale des droits. Il y a eu trop d'agressions ces dernières années, trop de tragédies de l'isolement", a lancé le nouveau maire de Rome de centre gauche, Ignazio Marino.
Vendredi à Palerme, à l'occasion de la Gay Pride dans la capitale de la Sicile, la nouvelle ministre pour l'égalité des droits, Josefa Idem, a promis "une loi sur les unions civiles".
Premier membre d'un gouvernement italien à assister à une Gay Pride, elle a également annoncé qu'elle oeuvrera pour inclure les insultes et agressions homophobes dans la législation réprimant les crimes inspirés par la haine.
Mariage pour tous : les Juifs (suédois) en...
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Mariage pour tous : les Juifs (suédois) en pointe.
L’obscurantisme ultra-orthodoxe ne constitue pas –et de loin- l’essentiel de la religion juive. D’autres écoles dont le puissant mouvement du judaïsme libéral, manifestent un esprit d’ouverture dont nombre d’Eglises gagneraient à s’inspirer.
C’est un mariage tout ce qu’il y a de traditionnel qui s’est déroulé à la Grande Synagogue de Stockholm (Suède) ce 9 juin : sous la houpah (dais nuptial), il y a eu la prière puis les futurs époux ont bu quelques gouttes d’un verre de vin avant d’échanger les anneaux.
Le rabbin a alors lu la ketoubah (contrat de mariage), les verre ont été brisés de vigoureux coups de pied, et, après le traditionnel « vous pouvez vous embrasser » (ou son équivalent suédois), toute l’assistance est passée à table avant de danser jusqu’à la fin de la nuit.
Sauf qu’il s’agit d’une première juive dans le pays et –sauf erreur- en Europe : déjà les mariés vivaient en couple depuis 28 ans et, ah oui, c’étaient deux hommes. Quant au rabbin, il appartenait, au courant « conservateur »* (ou « massorti »).
Il faut savoir que, de façon générale, on est bien loin en Suède des crises de nerfs à la française sur la question du mariage entre gens du même sexe. Il a été autorisé en 2009, sans que personne ne s’en émeuve. Mariage civil mais aussi religieux.
Car cette loi fait aussi obligation à la religion dominante du pays, l'Église luthérienne, de marier gays ou lesbiennes. Un pasteur a le droit de se désister à titre personnel mais l’Eglise doit alors lui trouver un remplaçant.
Fort heureusement, cette législation ne pose pas (trop) de problèmes au sein de la petite (entre 15 et 20.000 âmes) communauté juive puisqu’elle est en passe de devenir majoritairement massorti.
Or, ce courant du judaïsme libéral*, s’il respecte, comme les orthodoxes, les commandements et interdictions de la loi de Moïse, estime que les rabbins d’aujourd’hui ont le droit d’interpréter l’application de ces lois.
Et dès mars 2000, les rabbins libéraux (majoritaires aux Etats-Unis) ont adopté un texte affirmant que : « une relation entre deux hommes juifs ou deux femmes juives peut être entérinée par un rituel juif.»
Dans le même esprit de tolérance, ils ont aussi reconnu aux rabbins le droit de refuser, le cas échéant, de bénir de telles noces. Une position proche, on le voit de la législation suédoise. Et, d’évidence c’est aussi celle du rabbin de la Grande synagogue de Stockholm.
Le mariage a donc été célébré selon la tradition juive, dans la joie et la bonne humeur. Un événement appelé, on n’en doute pas, à devenir banal
*Le judaïsme libéral entend rester fidèle à la religion juive en l’adaptant au temps présent. Il se divise en deux grands courants : d’une part, les « Réformateurs » qui estiment qu’on peut se passer de divers rituels ou observances devenus désuets. De l’autre, les « Massorti » qui veulent conserver l’ensemble du corpus juif mais en l’adaptant à la modernité
source:cclj.be
Cheb Khaled et son épouse marocaine Samira ...
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Cheb Khaled et son épouse marocaine Samira aurait été heurté de voir légalisé, le mariage des homosexuels en France
Cheb Khaled, résidant actuellement entre la France et le Luxembourg, aurait, selon ce qu’a rapporté un média arabophone de la place, décidé ainsi, de peur pour l’éducation de ses filles et de son fils Daii, qui vient de naitre.
Cheb Khaled Hadj Brahim, aurait décidé avec sa manager et épouse marocaine, Samira, de s’établir définitivement au Maroc.
Cheb Khaled aurait déclaré que son épouse Samira est très rigide pour l’éducation de leur enfants, au point de surveiller jusqu’à leur connexion sur Internet.
Le couple maghrébin, aurait été heurté de voir légalisé, le mariage des homosexuels en France, ce qui leur a fait prendre peur pour l'avenir de ses enfants, préférant les élever dans un pays, libre socialement comme le Maroc, mais où il existe un contre-poids conservateur, rassurant et protecteur.
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Les opposants au mariage homosexuel se sont réunis (400 personnes environ) devant les locaux de M6 à Neuilly-sur-Seine (92) pour "accueillir" François Hollande Président de la république invité de l'émission Capital. Vers 22h00 environ deux cent manifestants décident de partir sur les Champs Elysées à Paris. 23 manifestants seront interpellés.