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UN RUSSE SUR DEUX NE VEUT PAS DE GAYS COMME VOISINS

Publié le par justin

Un sondage mené par un institut américain révèle, depuis 2012, une forte poussée du sentiment de méfiance à l'égard des LGBT dans la population russe.

Le matraquage politique et médiatique antigay porte ses fruits, en Russie. Une étude menée par l’institut NORC et Associated Press montre que l’hostilité envers les LGBT s’est accrue très nettement de 2012 à 2013, une période qui correspond à l’entrée en vigueur de la loi contre la dite «propagande des relations sexuelles non traditionnelles».

Seul un Russe sur cinq estime que les gays, lesbiennes, bi et trans devraient être acceptés en Russie. Le rejet est particulièrement fort chez ceux qui disent s’informer principalement grâce aux médias d’Etat. Malgré des nuances, toutes les classes d’age et les deux sexes expriment ce même rejet.

HANTISE ANTI-OCCIDENTALE
A la question «Qui ne voudriez-vous pas avoir comme voisin?» plus d’un sondé sur deux (51%) cite les personnes LGBT. Elles sont loin derrière les toxicomanes (90%), les alcooliques (76%) et les criminels (62%), mais devant les porteurs du virus du sida, les personnes psychologiquement instables ou les immigrants. Les taux sont relativement stables dans toutes les catégories, sauf concernant les LGBT. Le rejet à leur égard a bondi de 14% en deux ans.

Sans surprise, il existe une corrélation entre l’hostilité contre cette catégorie et sentiment anti-occidental. Ainsi les deux-tiers de ceux qui redoutent de partager leur pallier avec un gay ont également une mauvaise opinion des Etats-Unis.

http://360.ch/

UN RUSSE SUR DEUX NE VEUT PAS DE GAYS COMME VOISINS

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''J'suis pas pédé !'' : de la pseudo virilité à l'homophobie latente, il n'y a qu'un pas

Publié le par justin

Deux hommes qui se tiennent la main en public passeront plus facilement pour un couple homosexuel que deux femmes dans la même posture. Une distinction nourrie par les stéréotypes d'une société qui valorise le ''sexe fort'' et la masculinité

Deux hommes qui se tiennent la main en public passeront plus facilement pour un couple homosexuel que deux femmes dans la même posture. Une distinction nourrie par les stéréotypes d'une société qui valorise le "sexe fort" et la masculinité, estime notre chroniqueur David Courbet, auteur de "Féminismes et pornographie" (Ed.La Musardine).

"Me touche pas, j'suis pas pédé !". Combien de fois avez-vous entendu cette sentence qui, lors d'une tension entre deux hommes, peut apparaître comme un avertissement verbal avant une éventuelle agression physique ou à l'inverse, après un moment de rigolade, tombe tel un couperet invitant à mettre fin au jeu ?

Ce n'est pas toujours visible

Dans une société vantant la performance et faisant du culte de l'homme fort et infaillible la finalité de toute masculinité, le soi-disant "sexe fort" hétérosexuel se doit d'apporter sa contribution à l'édification du mur invisible mais socialement bien présent qui délimite masculinité et homosexualité. Car dans ce registre, l'ambiguïté, même fictive, reste beaucoup moins admise que pour les femmes.

La confusion amitié/homosexualité apparaît d'autant plus forte que l'autre gars a une "apparence efféminée". Sauf que ce concept n'a pas de sens, efféminée ne voulant pas dire gay, tout comme il y a des mecs ultra costauds qui sont homosexuels ou des filles en baggy aux cheveux courts qui n'aiment que les hommes.

Ces stéréotypes, difficiles à abattre, sont toujours accolés à l'imaginaire autour de l'homosexualité : celle-ci PEUT être visible mais ce n'est pas automatique.

L'un des exemples les plus probants peut se trouver dans la lecture de l'édifiant "En finir avec Eddy Bellegueule" d'Edouard Louis. Dans le roman, c'est finalement l'entourage qui décide que le jeune est homo, vu qu'il a une voix haut perchée et qu'il n'aime pas le foot. Et lui, simple ado, se pose des questions. Et se demande s'ils n'ont pas, au fond, raison.

Les ragots vont bon train dès qu'il s'agit de parler de la sexualité de tel homme ou de telle femme. Sauf qu'à la traditionnelle inégalité des conquêtes en fonction de son sexe - salopes vs Don Juan - s'ajoute le questionnement sur l'orientation sexuelle.

Et sur ce terrain, les hommes en pâtissent davantage que les femmes car la "suspicion" de certains reste omniprésente. Jusqu'à ce qu'un coming-out officiel brise enfin le tabou et permette alors de se décharger d'un poids qui peut paraître parfois très pesant.

La "chasse à l'homme gay »

S'il existe une inégalité entre les sexes, elle est également liée à la difficile reconnaissance sociale de l'homosexualité féminine, beaucoup plus tardive que masculine. Alors que deux hommes qui se tiennent la main dans la rue ne feront pas de doute sur leur orientation sexuelle aux yeux de tous (à tord ?), il n'en va pas de même pour deux femmes.

La question se posera ici pour beaucoup de savoir si elles forment un couple ou si elles sont tout simplement copines/mère-fille. Moins stigmatisées que leurs homologues masculins, elles subiront le syndrome de la "lesbienne invisible" dans cette société freudienne où le pénis reste toujours roi.

L'homme sera ainsi davantage jugé à son comportement, ses mimiques : qu'elles soient un tant soit peu tangentes, il se verra de suite accolé au front l'étiquette de "gay". Au point qu'un tel phénomène peut s'apparenter parfois à une véritable "chasse à l'homme gay". Oh, rien de physique là-dedans (quoi que), mais juste le triste besoin de certains de vouloir à tout prix cataloguer, ranger dans une case, comme si on voulait se rassurer de savoir que notre voisin n'a pas la même sexualité que nous.

Qu'est ce qu'on en a à foutre que notre collègue de boulot soit homo ou pas ? Cela nous empêche de travailler ? Nous gêne dans nos tâches quotidiennes ?

Le problème ici, c'est qu'il ne s'agit pas d'une véritable homophobie frontale, viscérale, mais latente. On s'amuse de l'homosexuel, on fait des blagues sur lui - parfois même avec lui - sans vraiment lui vouloir du mal, sans se rendre compte des conséquences : que cela peut justement faire mal.

La peur de la contagion

Même si on sait qu'il ne s'agit pas d'une maladie, on s'en méfie tout de même. Mon expérience à ce sujet dans les vestiaires de la salle de gym me paraît un bon exemple.

Bien qu'il s'agisse d'un vestiaire non-mixte, il semble inopportun pour beaucoup de se trimballer à poil. Paradoxe du lieu où le culte du corps est omniprésent, où chacun tente de se mettre le plus en avant possible et où le but est de montrer qui a les plus gros bras. Mais la gêne apparaît dès que la serviette tombe. C'est un choix, tout le monde n'a pas le même rapport avec sa nudité et son intimité. Mais de là à vouloir imposer les siens à autrui, c'est liberticide et parfois à la limite de l'homophobie justement.

  • "Merci de mettre une serviette la prochaine fois", m'apostrophe un homme dans le sauna (non-mixte je rappelle). "Et si j'étais une femme, cela vous dérangerait autant ?", lui rétorquais-je. Silence. Deux minutes plus tard, cherchant un autre argument, il lâche : "c'est aussi une question d'hygiène". Hum hum, "si cela peut vous rassurer, la douche étant obligatoire, mes couilles sont plus propres que votre caleçon rempli de bactéries !". Re-silence, grommellements et départ de l'homme en question de la cabine.



Cette situation s'est répétée maintes fois, comme s'il subsistait une méfiance vis-à-vis d'un homme nu dans un périmètre proche du sien. Une peur irrationnelle. Celle de se faire violer dans une cabine de sauna ? D'apercevoir le même bout de peau que moi qui pend entre les cuisses de mon voisin ?

Avant de voir, qui plus est dans un tel endroit sombre, il faut déjà vouloir regarder. A moins qu'il ne s'agisse de cette ambivalence du désir de comparer associée à la culpabilité de le faire, cette pulsion de l'eros et du tetanos freudien. Car dans une vision masculine bien hétéronormée, voir le sexe d'un autre homme relève de l'anormalité, le seul sexe visible doit être celui d'une femme. Point.

"J'ai rien contre les homos, mais. »

La mode veut que l'on joue avec son corps. Vous avez ici deux modèles :

- l'un se voulant très viril, se dénudant volontiers pour montrer la bête qui est en soi. Le meilleur exemple : Vladimir Poutine qui, peur de rien, pourrait affronter un ours à mains nus après avoir pris un bain dans l'eau gelée de la Volga
- Le second est un métrosexuel et aime jouer avec les codes. Propre sur lui, stylé, la peau pratiquement glabre. Son représentant : Cristiano Ronaldo (ou David Beckham pour la génération d'avant).

Dans ces deux cas, quelque peu opposés d'ailleurs, n'allez pas leur dire qu'ils sont homos ! On veut bien jouer sur notre représentation mais pas question d'aller trop loin.

Un peu comme votre pote avec qui vous rigolez de votre promiscuité, en vous faisant de grandes tapes dans le dos, la bise voire éventuellement des câlins. Mais hors de question d'aller plus loin, même pour rire ! S'amuser à faire des olives ou des bifles ? Aucun souci ! Mais mettre la main au cul ou sur la cuisse, même en absence totale d'ambigüité, ça ne passe plus.

La gêne est alors proche. "J'ai rien contre les homos, mais faudrait pas laisser penser qu'on en est aussi.".

Reconnaissance sociale

Outre la bise, de plus en plus courante entre deux hommes, le langage pourrait pourtant parfois porter à confusion. Ponctuer ses phrases, ses textos ou ses mails à destination d'un ami avec "à bientôt ma poule", "ma biche" ou d'un "ma ptite beauté", s'avère très fréquent. Mais n'allez surtout pas dire à Hanouna qu'il est gay !

C'est tout de même cocasse que les marques d'affection jouant sur le genre et l'orientation sexuelle soient si nombreuses alors qu'on s'horrifie dès que quelqu'un ose penser que l'on puisse être attiré par une personne du même sexe.

Comment voulez-vous dans ce cas qu'une personne homosexuelle se sente totalement à l'aise dans ce cadre du jugement permanent ?

Si la reconnaissance sociale des homos (davantage des gays que des lesbiennes) semble avoir fortement progressé depuis les dernières décennies, il n'en est donc pas de même avec les mentalités autour de "l'imagerie du gay".

Une nécessaire évolution doit ainsi se produire permettant alors une plus forte tolérance aux différentes orientations sexuelles. Ce n'est qu'alors que les ambigüités récurrentes sur la délimitation délicate amitié/homosexualité disparaîtront. Et peut-être qu'enfin chacun de nous acceptera la part d'homosexualité qui sommeille en nous.

Source : NouvelObs

''J'suis pas pédé !'' : de la pseudo virilité à l'homophobie latente, il n'y a qu'un pas

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Jesus Christ était-il gay ? Ou l'apprentissage de la tolérance

Publié le par justin

Voici un scandale comme l'Amérique ne peut que les savourer : un ouvrage nommé The Passion of Christ : A Gay Vision, accompagné de dessins, provoquent une vive controverse. Les textes sont de Kittredge Cherry et les peintures de Doug Blanchard. La représentation artistique est originale, immanquablement, mais ne fait pas l'unanimité.

Kittredge Cherry se qualifie volontiers d'« auteure lesbienne chrétienne et historienne de l'art ». Doug, lui, est un croyant « très agnostique ». Deux personnalités suffisamment fortes pour s'attaquer à la figure du Fils de l'Homme. Ils expliquent que « chaque groupe social envisage le Christ selon l'image propre à leur contexte », et qu'à ce titre, la communauté LGBT ne disposait pas d'une figure qui lui ressemble.

Or, la Passion est un moment très fort dans la vie de Jesus Christ. Mais en faire une figure gay... les lecteurs américains n'apprécient pas vraiment l'idée. Sur Amazon, un commentaire précise que l'argent pour l'ouvrage serait dépensé directement pour Satan en personne.

Livre provocateur ? Ses auteurs s'en défendent longuement dans le Huffington Post. Alors que Pâques approche, c'est le message d'amour et de tolérance prêché par Jesus dont ils voudraient que l'on se souvienne. Et que l'on porte.

D'autant que, dans l'art LGBT, la crucifixion est largement utilisée, comme symbole des sévices et humiliations infligées aux homosexuel(le)s, notamment. « Ce sur quoi insistent les Évangiles, c'est la manière démesurée dont il était capable d'aimer. Il vivait par solidarité avec les exclus, y compris les prostituées, les lépreux, les immigrants, les veuves et les pauvres. Les chrétiens croient que Dieu s'est fait chair - une identification totale, absolue, avec tous, y compris les gens sexuellement marginalisés », précisent les auteurs.

Nous reproduisons ici quelques-unes des 24 peintures servant d'illustration au livre, dont on en finit par se demander ce qu'il peut bien avoir de si choquant. « Cette vision de Jésus en gay est ici pour guérir de la haine et de la discrimination pratiquées au nom du Christ. Jesus aimait tout le monde, y compris ses ennemis, mais il a été rejeté par la société. Ils ont emprisonné le Sauveur. »

Juste assez pertinent pour susciter l'intérêt, donc.

Source : ActuaLitte

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Russie : vers un renforcement de la lutte contre l’homophobie

Publié le par justin

Des groupes homophobes multiplient les actes de violence à l'encontre des homosexuels, bisexuels et transsexuels de Russie. De nombreux acteurs de la société internationale s’attellent à dénoncer ces pratiques mais les actions anti-homophobie, pourtant en expansion, demeurent très peu abordées. Analyse de ces mouvements contestataires.

Humiliations. Harcèlements. Courses-poursuites dans les rues. Passages à tabac. Meurtres. Voici certaines des violences affligées aux homosexuels de la Russie d’aujourd’hui. Vue comme un crime jusqu’en 1993 et comme une maladie mentale jusqu’en 1999, l’homosexualité n’est en théorie plus considérée comme telle de nos jours. Pourtant, les membres de cette minorité demeurent sujets à des violences physiques et morales, insultes discriminatoires et licenciements, entre autres. Les auteurs de ces actes ? En majorité les défenseurs du groupe homophobeOccupy pedophilia qui s’octroient le droit de sanctionner les homosexuels au nom de la sécurité civile et de la protection des enfants. Ces victimes sont filmées par leur agresseurs qui diffusent ensuite les vidéos sur Internet.

Malgré ces manifestations de violence, le rassemblement LGBT résiste tant bien que mal. Pour cette communauté, le réel problème est que les actes de violence ne sont pas réprimés par les forces de l’ordre, qui au contraire, s’en prennent parfois elles aussi aux homosexuels. Face à une telle réalité, les membres LGBT hésitent de plus en plus à manifester pour leurs revendications. Selon eux, il manque une réelle ouverture d’esprit des citoyens, notamment pour la majorité des Russes qui vit sous le seuil de pauvreté et développe ainsi une forte colère, apparemment pas toujours exprimée correctement.

Pour LGBT, la solution contre ces attaques serait que le gouvernement s’attelle à rassembler les ethnies et prône la tolérance des hommes dans cet immense pays diversifié qu’est la Russie. Les autorités russes ne semblent toutefois pas prêtes à adopter cette attitude et au contraire, le nombre de lois discriminantes vis-à-vis des homosexuels paraît s’être multiplié. Les gay prides sont désormais bannies. Depuis 2012, une loi dispose que les parents homosexuels perdront la garde de leurs enfants. En 2013, un député interdit toute forme de « propagande homosexuelle ». Tout acte démonstratif de relation homosexuelle sera désormais exposé à des sanctions. En 2013 toujours, le président Vladimir Poutine condamne toute manifestation des membres LGBT qui souhaiteraient mettre en avant leurs revendications lors des Jeux olympiques de Sochi. Plus récemment, la loi du 6 janvier 2015 interdit aux personnes atteintes de « troubles mentaux et de troubles du comportement » de conduire.

Parmi ces troubles, sont notamment reconnus ceux liés à « l’identité ou aux préférences sexuelles », facteurs capables, selon le gouvernement, d’influer la manière de conduire des automobilistes et de mettre en danger la société. Il semble donc que les autorités politiques ne soient pour le moment pas tout à fait prêtes à soutenir la cause des homosexuels. Pour la majorité des Russes, le problème n’est pas tant que des individus aient des relations avec des gens du même sexe qu’eux, mais qu’ils l’expriment en public.

DES ACTIONS CIVILES QUI DÉNONCENT CES INJUSTICES

Malgré cet élan d’homophobie, les citoyens russes et internationaux semblent de plus en plus prendre à cœur ces problématiques et les mouvements se multiplient sur la planète pour faire valoir les droits de chacun. En Russie tout d’abord, avec Elena Masiouk, membre du Conseil des droits de l’Homme au Kremlin qui a exprimé, et continue toujours d’exprimer son indignation. Elle dénonce toutes les mesures prises par le gouvernement qui engendrent des injustices pour certains citoyens russes. Outre cette femme politique, de nombreux défenseurs des droits humains s’offusquent à travers le monde et brandissent leur arme principale : la Déclaration des droits de l’Homme. En 2013 lors des Jeux olympiques de Sochi, une campagne de publicité contre l’homophobie en Russie a été également lancée par la marque de sport XXL All Sport. Le but, appeler la société civile internationale à se mobiliser.

Un baiser pour la liberté a été échangé entre deux militantes lesbiennes pour les droits des homosexuels dans un avion reliant Saint-Pétersbourg à Moscou. Les deux femmes ont réalisé une photographie de leur baiser afin d’étendre l’impact de leur geste. La particularité de ce selfie ? En arrière-plan du baiser, Vitaly Milanov, un député russe, extrémiste religieux assumé. Cet homme est l’initiateur de la loi défendant les homosexuels de se montrer dans la rue pour motif de « propagande homosexuelle » sous peine d’amende ou de prison. Vitaly Milanov, très proche de Vladimir Poutine, avait qualifié François Hollande en 2013 de « portier de la porte de l’enfer », suite à l’adoption en France de la loi du mariage pour tous le 17 mai de cette même année.

En Roumanie, un soutien non négligeable est à noter chez les chrétiens orthodoxes qui pour la quinzième année consécutive publient l’orthodox calendar, l’équivalent des Dieux du stade publié chaque année en France. Bien que l’orthodox calendar existe depuis maintenant quinze ans, cela fait seulement trois ans que les modèles se dénudent pour les photos. L’édition de 2015 a clairement pour but de lutter contre l’homophobie russe. Les clichés dévoilent des couples homosexuels amoureux. Les images restent artistiques, esthétiques et non vulgaires. À l’origine de cette initiative, des chrétiens très ouverts d’esprit. Une publication de ce genre est parfaitement à même d’alerter la population civile puisque ce calendrier n’est pas uniquement destiné aux homosexuels. Plus important encore, dans de nombreux pays de l’Est, l’église orthodoxe reste très présente dans la vie des citoyens et de l’État. Les conditions semblent donc réunies pour que les revendications anti-homophobes prennent de l’ampleur.

LES ARTISTES DU MONDE CONTRE L’HOMOPHOBIE

Un jeune musicien irlandais, une chanson écoutée par des millions de personnes et promue aux Grammy Awards comme «la chanson de l’année », un clip qui fait le tour du monde mais une signification qui reste parfois trop peu connue. Le chanteur Hozier a enregistré en 2013 Take Me to Church pour dénoncer les actes homophobes, d’une violence infondée selon lui. Les paroles accusent ces comportements violents et le clip présente la situation de deux jeunes amoureux homosexuels victimes d’agressions homophobes. À travers sa création, Hozier dénonce le traitement de la minorité LGBT et prône la tolérance envers l’orientation sexuelle de chacun. Selon l’auteur, « ce qu’on a vu se développer en Russie n’est rien moins qu’un cauchemar ».

Dans le domaine de l’art, les 17 membres du jury World Press Photo 2015 ont désigné comme gagnant du concours le cliché d’un couple de jeunes homosexuels à Saint-Pétersbourg. Cette année, le photographe danois Mads Nissen s’est vu attribué le premier prix de ce concours annuel de photographie de presse. Il avait réalisé ce cliché lors d’un reportage sur l’homophobie en Russie. L’image dévoile deux jeunes hommes dans une pièce sombre et à l’abri des regards. Lieu renfermé qui traduit les concessions et les précautions que les homosexuels doivent aujourd’hui prendre pour ne pas être discriminés.

La mobilisation de la société semble donc croissante et les contestataires de l’homophobie sont rejoints par de plus en plus d’artistes. Le mouvement s’étend aujourd’hui à travers le monde sur internet, via une pétition adressée « au président Poutine, responsables russes et dirigeants de ce monde ». L’objectif est de récolter 500 000 signatures. La page du site de la pétition explique : « Nous demandons aux chefs d'État du monde entier et aux responsables politiques russes d'œuvrer pour l'abrogation des lois homophobes et pour la protection de tous les citoyens contre les violences et les discriminations en Russie ».

lejournalinternational.fr

Russie : vers un renforcement de la lutte contre l’homophobie

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Eddy (Les Anges 7) - confidences sur son homosexualité et appel du pied à DALS

Publié le par justin

Après Les Anges 6 l'an dernier, Eddy est de retour tous les jours sur NRJ 12 dans Les Anges 7.

Après Les Anges 6 l'an dernier, Eddy est de retour tous les jours sur NRJ 12 dans Les Anges 7. L'ex-candidat de Secret Story s'est envolé pour l'Amérique Latine et assume toujours ses délires face aux caméras. Mais le nouveau meilleur ami d'Amélie Neten a fait une révélation en interview et a dévoilé que tous ses proches ne le regardaient pas à la télévision à commencer par son père. Il en a également profité pour faire un appel du pied à DALS...

Le père d'Eddy boycotte les Anges

Depuis qu'il a débarqué dans Secret Story 7 en 2014, Eddy est plus qu'épanoui. Gay et fier de l'être, le jeune homme qui a fêté ses 22 ans ne s'est pourtant pas toujours assumé comme on peut le voir à la télévision dans Les Anges 7. Interrogé par le magazine Public, le pote d'Anaïs Camizuli explique qu'il a longtemps caché la vérité sur son homosexualité à son père. "Ma mère l'a toujours su. Mon père l'a découvert à la télé" a-t-il dévoilé. Il explique aussi que ce dernier a beaucoup de mal à le regarder à la télévision. "Il l'accepte mais il ne me regarde pas dans les Anges" avoue Eddy.

"Mon rêve, c'était de m'assumer"

Maintenant célèbre grâce à sa participation aux Anges et à Secret Story, Eddy avoue qu'il n'a pas toujours rêvé d'être une star de télé-réalité. "Mon rêve, c'était de m'assumer, de savoir ce que je suis. La télé-réalité m'a aidé à faire mon coming-out après 20 ans de secret. Je n'ai plus besoin de me cacher" explique-t-il. Même s'il est victime d'insultes et que cela peut parfois déraper, Eddy avoue aussi qu'il arrive "à passer outre".

Son rêve ? Danse avec les stars

Parti en Amérique Latine avec le projet de percer dans la danse, Eddy a également une autre émission dans le collimateur. "J'aimerais vraiment faire Danse avec les stars. Ce serait vraiment l'apothéose pour moi" a-t-il confié à Oops. L'appel est lancé !

Source : Pure Break

Eddy (Les Anges 7) - confidences sur son homosexualité et appel du pied à DALS

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CONCHITA WURST : UNE ŒUVRE D’ART POUR LA LUTTE CONTRE LE SIDA

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Conchita Wurst s’est transformée en œuvre d’art pour le Life Ball 2015 !


Conchita Wurst est très impliquée dans la lutte contre le sida. En 2015, la gagnante de l’Eurovision 2014 a été choisie pour être l’ambassadrice du Life Ball, un gala de charité qui réuni les plus grandes associations de lutte contre le sida. Cet événement se tiendra le 16 mai 2015 en plein cœur de la capitale autrichienne : Vienne.


Conchita : une œuvre d’art pour la bonne cause
En janvier 2015, la star a participé au dîner de la mode à Paris, organisé à la fin de la Fashion Week afin de récolter des dons pour le Sidaction. Une occasion pour la diva de rappeler l’importance de cette cause et surtout de continuer à agir contre le virus du sida. Un message que Conchita Wurst renouvelle grâce à sa mobilisation au Life Ball. C’est devant l’objectif de la célèbre photographe de mode allemande Ellen Von Umwerth que la grande brune a accepté de poser pour des affiches promotionnelles du gala de charité. Le Life Ball très attendu réunira le 16 mai prochain, toutes les plus grandes associations de lutte contre le sida. Pour cette occasion, Conchita Wurst s'est transformée en œuvre d’art ! Un shooting tout doré en clin d’œil au peintre autrichien Gustav Klimt et à son tableau "Portrait d’Adele Bloch-Bauer". Une métamorphose qui a réuni les équipes de Swarovski basées à Vienne, qui ont aidé à la réalisation de ce tableau vivant et de cette robe "Golden Adele" brodée de plus de 12 000 cristaux.


Conchita Wurst : la montée d’une icône
Née sous le nom de Tom Neuwirth, Conchita Wurst a fait du chemin depuis sa première participation au concours de l’Eurovision en 2012. Grande gagnante en 2014 au même concours avec son interprétation de la chanson "Rise Like a Phoenix", elle est désormais partout. Jean Paul Gaultier en a même fait sa muse pour son défilé en juillet 2014. Conchita Wurst n’a pas fini de faire parler d'elle puisque le 13 mai 2015 sort son premier album baptisé "Conchita". Un premier opus décrit comme "très chaud" et un reflet de ses sentiments et de ses convictions par la star. Une énigme très attendue par ses fans que nous avons hâte de découvrir !


staragora.com

CONCHITA WURST : UNE ŒUVRE D’ART POUR LA LUTTE CONTRE LE SIDA

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Les députés adoptent l'amendement contre l'exclusion des homosexuels du don du sang

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L'Assemblée nationale a voté vendredi 3 avril à l'unanimité un amendement contre l'exclusion des homosexuels du don du sang, lors de l'examen en première lecture du projet de la loi santé.


Les députés ont proclamé que « nul ne peut être exclu du don de sang en raison de son orientation sexuelle », alors que les homosexuels n'ont pas le droit de donner leur sang en France depuis 1983, en raison d'un risque accru de contamination par le virus du sida.
« Lever les discriminations »
L'amendement, présenté par le député UDI Arnaud Richard, a reçu un avis favorable de la ministre de la santé Marisol Touraine, qui a détaillé la position du gouvernement ainsi :
« [Il s'agit de] lever les discriminations relatives à l'orientation sexuelle, et de leur substituer un critère de comportement sexuel s'appliquant à l'ensemble des donneurs potentiels. »


La ministre a annoncé avoir déjà reçu « les préconisations » d'experts que le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) avait jugé nécessaires, sur les risques épidémiologiques. Ceux-ci ont proposé en particulier de remplacer l'exclusion définitive par une exclusion de 12 mois, à l'image de ce qui se fait dans beaucoup de pays, a-t-elle dit. Dans un avis rendu mardi, le CCNE avait estimé que l'exclusion permanente des homosexuels du don du sang devait être maintenue, dans l'attente d'une réflexion collective et de nouvelles recherches.


lemonde.fr

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Une campagne magnifique montre que l’amour n’a littéralement pas de couleurs

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L’agence brésilienne Tuppi a conçu pour la marque de poudre de couleurs Zim une campagne où l’on voit des couples LGBT de toutes les couleurs s’embrasser.

L’amour n’a ni âge, ni sexe, ni couleur. C’est le message que veut véhiculer une marque de poudre de couleurs. Dans une campagne récente, Zim a affiché son soutien à la communauté LGBT en montrant des couples gay, lesbiens et hétéros s’embrasser.

Cette série de photos fait écho à une autre campagne de l’organisation Ad Council intitulé « Love has no Label ». La vidéo a cartonné sur Youtube, avec un hallucinant 45 millions de vues. Le concept était de mettre en scène deux personnes s’enlaçant derrière un écran à rayons X et découvrir ensuite leur identité : un couple homosexuel, un rabbin serrant la main d’un imam, deux fillettes dont l’une est trisomique...

Si l’homosexualité reste extrêmement taboue dans la publicité de produits de consommation courante, la tendance commence tout doucement à s’inverser. Des marques comme Ray Ban, Amazon, Coca-Cola ou encore Gap se sont lancées dans le créneau du gay-friendly. On se doute bien que leur démarche est mercantile, mais elle participe à banaliser l’homosexualité et donc endiguer petit à petit la stigmatisation.

lesoir.be

Une campagne magnifique montre que l’amour n’a littéralement pas de couleursUne campagne magnifique montre que l’amour n’a littéralement pas de couleursUne campagne magnifique montre que l’amour n’a littéralement pas de couleurs

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HOMOSEXUALITÉ: LE TABOU NIPPON VACILLE

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Le Japon sera-t-il le premier pays d’Asie à ouvrir le mariage aux homos? Shibuya, l’un des arrondissements de Tokyo a récemment esquissé un partenariat.

Le Japon sera-t-il le premier pays d’Asie à inaugurer le mariage gay? L’horizon est encore lointain, pourtant Shibuya, l’un des 23 arrondissements de Tokyo, vient d’ouvrir le débat avec l’annonce d’un partenariat censé octroyer aux couples lesbiens et gay certains droits équivalents à ceux des hétéros. Accès au logement, visite du conjoint à l’hôpital, reconnaissance et visibilité: dans l’histoire de l’Archipel, c’est un pas inédit et les médias se sont empoignés du sujet. Le Premier Ministre conservateur Shinzo Abe, de son côté, estime que le mariage est constitutionnellement l’union d’une femme et d’un homme, néanmoins plusieurs universitaires et juristes affirment le contraire.

A défaut d’être proprement inclusif, le Japon est un environnement plutôt tolérant à l’égard des minorités sexuelles. La diversité des silhouettes et l’androgynie des franges racontent une certaine fluidité à Shibuya ou Harajuku, tout comme le Boys Love, ce genre de manga mettant en scène des romances homosexuelles, et dont le lectorat est essentiellement féminin. Si, dans les rues de Tokyo, presque aucun couple homo ne s’expose, les couples hétéros non plus ne se manifestent pas outre mesure: filles et garçons se tiennent éventuellement la main, mais s’embrasser au grand jour demeure inapproprié, quelle que soit l’orientation. Discrétion de rigueur pour tout ce qui relève de la vie privée.

UN PEU D’HISTOIRE
Les personnes LGBT ne bénéficient au Japon d’aucune mesure de protection particulière, mais elles n’y ont jamais non plus fait l’objet de lois stigmatisantes, au contraire de nombreux pays européens – y compris la Suisse. Jusqu’à la fin de la période Edo, au milieu du XIXe siècle, les relations intimes entre hommes étaient admises dans certains cadres: le compagnonnage des samouraïs et des moines, puis les rapports tarifés des membres de la classe moyenne et marchande avec de jeunes hommes ou des acteurs de kabuki (en particulier les interprètes de rôles féminins, caractéristiques de cette forme de théâtre).

Avec l’ouverture du pays à la fin du XIXe et au début du XXe siècles, l’appropriation des modèles occidentaux affirme soudain le modèle familial nucléaire et rigidifie les rôles de genre, liés à la rationalisation des forces de travail et au consumérisme: dans le miroir de l’industrialisation et de la modernité venues de l’Ouest, vêtements, postures et identités racontent soudain une binarité nouvelle, plus sexualisée (le corps de la femme se déleste du kimono et se découvre sous la minijupe, le visage de l’homme est représenté paré d’une épaisse moustache), mais aussi plus hétéronormée.

FRACTURE GÉNÉRATIONNELLE
Aujourd’hui, la situation se traduit par une profonde fracture générationnelle: selon une enquête du Pew Research Center parue en 2013, 83% des Japonais de moins de 30 ans considèrent que l’homosexualité devrait être acceptée (c’est plus que la Grande Bretagne, 81%, ou les Etats-Unis, 70% ) mais la proportion tombe à 39% chez les plus de 50 ans (soit deux fois moins que l’Allemagne ou l’Espagne) Après l’annonce du partenariat, un sondage du quotidien Asahi a révélé une attitude bienveillante chez 52% des interrogés, contre 27% d’hostilité. Une tendance confirmée par Twitter, où les réactions de soutien sont majoritaires.

Dans l’autre camp, l’argumentaire le plus fréquent en appelle à la primauté de l’ordre social sur l’intérêt de l’individu. Dans l’Archipel, une minorité non négligeable des personnes LGBT elles-mêmes défendent la politique du secret, au point de craindre le débat légal: selon elles, la reconnaissance du couple homosexuel entraînerait une mise en lumière qui mettrait en danger leur tranquillité au travail ou au sein du cercle familial élargit.

Entre liberté conformité, le Japon contemporain oscille. Il y a néanmoins en Asie un exemple à donner. La Malaisie et l’Inde, deux partenaires commerciaux de l’Archipel, déploient encore et toujours des législations particulièrement violentes et discriminatoires. Setagaya et Yokohama, deux autres régions du grand Tokyo, se disent en train d’examiner l’établissement d’un partenariat.

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HOMOSEXUALITÉ: LE TABOU NIPPON VACILLE

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Royaume-Uni : Leur union fait polémique. Marc Goodwin et Mikhail Gallatinov se sont mariés, vendredi 27 mars, au sein de l'établissement pénitentiaire de Full Sulton.

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L'annonce de l'union de ces deux hommes, dont l'un a été condamné pour un meurtre homophobe, avait été révélée fin février dans les médias anglais. Mais cette fois, ils se sont officiellement dits "oui". Marc Goodwin et Mikhail Gallatinov sont ainsi devenus les premiers mariés homosexuels en prison répertoriés au Royaume-Uni.


Les deux hommes se sont mariés en costume dans la bibliothèque de la prison dans laquelle ils se sont rencontrés, en présence de quelques proches. Marc Goodwin, 31 ans, a été condamné en 2007 pour avoir battu à mort Malcolm Benfold, un homosexuel de 57 ans, sur la promenade de Blackpool, une ville côtière du nord-ouest de l'Angleterre. Marc Goodwin était à la tête d'un gang réputé pour ses actes de violence ciblant les gays.


Son époux, Mikhail Gallatinov, 40 ans, a été condamné en 1997 à vingt ans de prison pour le meurtre d'Adrian Kaminsky. Il avait étranglé ce jeune homme de 28 ans après lui avoir donné rendez-vous sur un site de rencontre homosexuel. "Un meurtre cynique, glaçant", avait déclaré le juge à l'époque. L'homme était également suivi par la police pour des faits de pédophilie.


Le frère de Malcolm Benfold, la victime de Marc Goodwin, a critiqué les autorités qui, selon lui, n'ont pas pris la peine de consulter les familles avant d'autoriser ce mariage. "Je suis dégoûté (...).


Comment pouvez-vous tuer un homme pour son homosexualité, puis être autorisé a effectué un mariage gay en prison ? Je ne comprends pas la logique", s'est énervé Tony Benfold. De son côté, le ministère de la Justice du Royaume-Uni a précisé que les jeunes mariés ne seraient pas autorisés à partager une cellule.


Francetv info

Royaume-Uni : Leur union fait polémique. Marc Goodwin et Mikhail Gallatinov se sont mariés, vendredi 27 mars, au sein de l'établissement pénitentiaire de Full Sulton.

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Maroc : Deux hommes arrêtés pour homosexualité à Agadir

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Nouvelle affaire d’homosexualité au Maroc. Deux hommes, un Canadien et un vigile marocain, ont été arrêtés en début de semaine à Agadir pour relations homosexuelles et fausses accusations. Selon le journal arabophone Assabah repris par Le360, tout est parti d’une plainte pour viol déposée près de la Cour d’appel d’Agadir par un vigile de 25 ans d’une résidence touristique. L’homme aurait accusé le Canadien de 35 ans d’avoir abusé de lui, car ce dernier disposait des vidéos de leurs ébats.

Sur la base de cette plainte, les forces de l'ordre ont effectué une descente, mardi soir, à la chambre du canadien dans ladite résidence. Ils ont découvert durant leur fouille une tablette, des cartes mémoires et des clés USB avec des photos et des vidéos pornographiques.

Selon la même source, le Canadien a nié le viol et avoué sa relation homosexuelle avec le jeune Marocain. Ce qu’a confirmé ce dernier qui a reconnu avoir accusé le Canadien par peur de voir les vidéos publiées sur internet. Les deux hommes ont été placés en garde à vue et doivent comparaitre aujourd’hui devant le juge d’instruction pour homosexualité et allégations mensongères.

.yabiladi.com

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TRANSGENRES ET INTERSEXES: MALTE DONNE L’EXEMPLE

Publié le par justin

Réputé conservateur, l'archipel a étonné plus d'un observateur, mercredi, en plébiscitant une loi qui révolutionne l'accueil des personnes transgenres et intersexuées.

Grâce au «Gender Identity, Gender Expression and Sex Characteristics Act», les transgenres maltais n’auront plus besoin de subir une opération de réassignation pour pouvoir modifier leur certificat de naissance et leurs papiers officiels, rapporte l’agence Reuters. Il leur suffira d’enregistrer leur volonté devant notaire. Par ailleurs, les parents d’enfants intersexués auront la possibilité de différer la détermination du genre dans le certificat de naissance. La disposition doit permettre d’éviter les mutilations génitales irréversibles après la naissance.

FIERTÉ
Au Parlement, la majorité travailliste et l’opposition ont plébiscité le texte. «Je suis fière de cette loi qui garantira le droit à l’intégrité corporelle et à l’autodétermination», a déclaré la ministre des Libertés civiles maltaise, Helena Dalli, lors d’une conférence, peu avant le vote.

Malte devient le deuxième pays, après le Danemark, à légiférer pour lever l’obligation de stérilisation préalable à la reconnaissance officielle des personnes trans. La loi maltaise sur l’identité de genre va encore plus loin, puisqu’elle supprime également l’âge minimum et la période de réflexion requis pour entamer ce type de démarche. Ainsi les mineurs pourront laisser leurs parents ou tuteurs demander leur changement d’état-civil.

«Cette loi offre un point de référence et une source d’inspiration pour les autres pays européens qui ont besoin d’améliorer leurs normes égalité LGBTI», a estimé Paulo Côrte-Real, coprésident de l’ILGA-Europe dans un communiqué de l’organisation.

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Laurent Stefanini, cet ambassadeur homosexuel dont le Vatican ne veut pas

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Le 5 janvier dernier, le Conseil des ministres a nommé Laurent Stefanini ambassadeur de France auprès du Saint-Siège. Son prédécesseur, Bruno Jouvert, a quitté la Villa Bonaparte, située Via Piave à Rome, depuis le 1er mars. Mais Laurent Stefanini n’est toujours pas arrivé.

Il se murmure que le Vatican n’en veut pas. Manuel Valls lui-même considère le choix de Laurent Stefanini comme une « provocation ». Car ce diplomate de 55 ans est notoirement… homosexuel.

On reconnaît là toute la finesse républicaine ! Hollande aura-t-il cette même « impertinence » à l’égard de l’Arabie saoudite ou du Qatar ?

medias-presse.info

Laurent Stefanini, cet ambassadeur homosexuel dont le Vatican ne veut pas

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SUISSE BERNE FACILITER LA NATURALISATION POUR TOUS LES COUPLES

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Le Parlement a lancé une consultation sur l'extension de l'octroi simplifié de la nationalité suisse aux gays et lesbiennes en partenariat enregistré, actuellement discriminés par rapport aux mariés.

Un étranger partenarié avec un Suisse devrait avoir accès à la naturalisation facilitée. C’est en tout cas l’avis des commissions parlementaires. Elles ont ouvert une consultation de trois mois après un vote positif au National, ce lundi. Le projet de révision y été accepté par 13 voix contre 7, et 4 abstentions.

Cinq initiatives parlementaires de la gauche et du centre relevaient le caractère discriminatoire de la situation actuelle. Elles préconisent que les couples gay et lesbiens, comme les couples hétéros, puissent entreprendre les démarche pour obtenir un passeport à croix blanche après 3 ans d’union et 5 ans de séjour en Suisse.

A terme, la réforme nécessitera une modification de la Constitution, et donc un vote populaire.

Entre 2010 et 2013, 266 étrangers vivant en partenariat enregistrés ont été naturalisés au l’issue d’une demande ordinaire. Dans le même temps, 2780 contrats étaient conclus par des couples de même sexe, dont 1262 couples mixtes.

http://360.ch/

SUISSE BERNE FACILITER LA NATURALISATION POUR TOUS LES COUPLES

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