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Thailande : un couple gay germano-thaïlandais victime d’homophobie

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Une Photo d’un homme Thai tenant la main de son petit-ami étranger a créé le buzz et provoqué de nombreux commentaires homophobes
Les deux hommes ont été photographie pendant le « Songkran Festival » de Bangkok, qui réunit des milliers d’hommes gays .

La photo montre Noparuj Kaendi, directeur de la création dans une agence de mannequin en Thaïlande, et Thorsten Mid, un mannequin allemand, se tenant la main dans le métro de la capitale thaï . Elle a reçu plus de 17 000 « j’aime » et a été partagée plus de 11 500 fois.

Les commentaires haineux ne se sont pas faits attendre : « Les étrangers adorent les animaux de compagnie » a écrit un internaute

D’autres ont souhaité que Noparuj Kaendi connaisse le même destin que Jennifer Laude, jeune Philippine transgenre de 26 ans, tuée par un marine américain en décembre dernier dans le nord des Philippines.

Mais le couple a aussi reçu de nombreux messages de soutien de la part de plusieurs internautes. « Ils méritent d’être respectés » écrit l’un d’entre eux. « Tout le monde mérite d’aimer et d’être aimé, laissez-les être heureux » peut on lire aussi .

Noparuj Kaendi, après lecture de ces commentaires, s’est empressé de poster un message sur son compte Instagram afin de remercier les nombreux internautes qui ont pris la défense du jeune couple.

« Pour être honnête, je n’ai pas été si surpris que des gens nous aient remarqués et pris en photos. C’était déjà arrivé à la même période l’an dernier, et tous ces affreux commentaires m’avaient laissé apeuré et en larmes. Par contre, cette année, Thorsten et moi-même tenons à vous remercier de l’avalanche de messages de soutien. Nous n’avons jamais essayer d’être sous les feux des projecteurs… mais merci quand-même ».

« Et je me suis réveillé en lisant vos messages et commentaires sur Facebook. Incroyable ! Merci pour tout cet amour. Si je n’avais plus qu’une minute à vivre, je passerais les soixante secondes à vous dire combien je vous aime. Pourquoi vous ne me laissez pas simplement être heureux ? Vous n’en avez pas marre de cracher votre venin ? » a écrit Thorsten Mid.

Thailande : un couple gay germano-thaïlandais victime d’homophobie

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Sens commun, le collectif « anti-gay » de l’UMP prépare 2017

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Sens Commun, mouvement anti-mariage gay issu de la « Manif pour tous », annonce le lancement des États Généraux de la droite et du centre-droit dans le cadre de la primaire UMP pour les élections présidentielles de 2017.

À partir de juin et jusqu’à la fin de l’année, nous allons nous déployer sur tout le territoire français, à travers huit forums inter-régionaux dédiés aux grands thèmes régaliens et rassemblant le peuple de droite. Il s’agit d’établir ensemble un cap clair et un terreau programmatique incontournable pour la droite. Il s’agit de proposer à notre pays de vraies perspectives, une vraie ambition, une vision cohérente et ancrée dans le réel : « La France que nous voulons ». Un meeting national conclura l’ensemble début 2016. »

Sens Commun souhaite ainsi sortir du concert des polémiques superficielles et des tactiques afin de recentrer le débat politique sur le fond. Sébastien Pilard, président du mouvement, précise : «Parce que ce moment important pour notre pays ne peut se réduire à des questions de personnes, Sens Commun propose à l’ensemble des militants de la droite et du centre-droit de se retrouver pour définir la France que nous voulons pour l’alternance».

Selon un responsable du mouvement, ceux qui se voient comme les « sales gosses de l’UMP » veulent en quelque sorte couper l’herbe sous le pied du parti en « préemptant l’idée des États généraux » communs à la droite et au centre.
Minoritaire au sein de l’UMP, le courant issu de la « Manif pour tous » n’en était pas moins parvenu à faire dire à Nicolas Sarkozy le mot « abrogation » au sujet du mariage homosexuel.

« Ça ne coûte pas très cher » de le prononcer, avait ajouté l’ancien chef de l’État en novembre dernier, au cours d’un meeting devant ces militants.

Sens commun, le collectif « anti-gay » de l’UMP prépare 2017

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Démission de Mgr Robert Finn, mis en cause pour sa gestion d’une affaire de pédopornographie

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Les nouvelles normes recommandées par la commission pontificale pour la protection des mineurs s’appliquent à l’évêque de Kansas City-St. Joseph (Missouri, États-Unis).

Le pape François a accepté mardi 21 avril la démission de Mgr Robert Finn, archevêque de Kansas City-St. Joseph, dans le Missouri, un État du centre des États-Unis.

Cette démission fait suite à la visite apostolique que le Saint-Siège a réalisée à partir du 30 septembre 2014 dans le diocèse pour évaluer la gestion d’une affaire de pédopornographie par Mgr Robert Finn.

En septembre 2012, l’évêque a été reconnu coupable et condamné à deux ans de liberté surveillée pour n’avoir pas signalé un cas de pédopornographie après la découverte en décembre 2010 d’images obscènes d’enfants sur un ordinateur portable appartenant un prêtre du diocèse, Shawn Ratigan.

Une enquête indépendante, commanditée par le diocèse, avait critiqué l’enquête menée par les services diocésains, la qualifiant de « limitée et mal conçue ». Mgr Finn restant à la tête du diocèse, les associations de victimes avaient estimé que la politique de « tolérance zéro » affichée par le Vatican restait lettre morte.

Cette démission est conforme à la proposition faite au pape par la nouvelle commission pontificale pour la protection des mineurs réunie au Vatican samedi 7 février, qui avait souhaité que les « personnes en position de responsabilité dans l’Église » répondent de leur traitement des cas d’abus sexuels sur mineurs.

Le bulletin du Saint-Siège précise que la démission de Mgr Finn a été présentée en conformité avec le canon 401 § 2 du Code de droit canonique, lequel stipule : « L’évêque diocésain qui, pour une raison de santé ou pour toute autre cause grave, ne pourrait plus remplir convenablement son office, est instamment prié de présenter la renonciation à cet office. »

.la-croix.com

Démission de Mgr Robert Finn, mis en cause pour sa gestion d’une affaire de pédopornographie

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OUTING DANS LA COUR DE LA «BACHELORETTE» ALÉMANIQUE

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Révélée dans des circonstances curieuses, la bisexualité d'un candidat fait les choux gras d'une téléréalité.

Coup de tonnerre dans le comptage de fleurette télévisé. «Die Bachelorette», un reality show de la chaîne privée alémanique 3+ a fait le buzz, ce week-end Outre-Sarine. En cause: le outing d’un des candidats qui se disputent la main de la ravissante Frieda Hodel dans un décor thaïlandais kitschissime. Affirmant avoir reçu des «informations de lecteurs», le quotidien «20 Minuten» a balancé que Emanuel Brunner, un beau brun de 23 ans, était à voile et à vapeur.

L’intéressé, bizarrement, a immédiatement confirmé: «J’ai eu des rapports avec des hommes… Je suis aussi allé sur des plages naturistes, j’aime tout essayer, je n’ai pas de frontières.» De quoi faire tiquer Pink Cross: «Est-ce que n’importe quel insider gay peut contacter «20 Minuten» pour outer quelqu’un?»

D’autres observateurs ont noté que l’opération avait tout du coup de pub. Après les gays dans l’«Amour est dans le pré», pourquoi pas un bi dans ce type de show? D’ailleurs, Emanuel a généreusement arrosé les réseaux sociaux de photos dénudées, dont un intéressant nudie au supermarché.

REGARDÉ DE TRAVERS
«J’ai eu un week-end éreintant. Plein de gens bizarres qui me jettent des regards dans la rue», a commenté l’apollon zurichois dans «20 Minuten». Il admet avoir reçu quelques félicitations (y compris dans son club de foot de Pfäffikon) et des propositions coquines des deux sexes sur Facebook. Que demande le peuple!

http://360.ch/

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Giorgio Armani critique les homosexuels qui s’habillent “comme des homos”

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Le styliste Giorgio Armani a critiqué « les homosexuels qui ne s’habillent pas comme des hommes» et les femmes qui ont recours à la chirurgie esthétique pour se faire refaire les seins .

Ouvertement homosexuel, le styliste de 80 ans a critiqué les hommes musclés dans le Sunday Times : « Je n’aime pas les hommes musclés. Je suis tout à fait contre le fait de trop aller au gymnase. J’aime les hommes sains, les hommes solides qui prennent soin de leur corps, mais pas ceux qui font trop d’exercice pour se muscler », a-t-il déclaré.

Il a également déclaré : « Un homosexuel est un homme à 100%. Inutile de s’habiller comme un gay. Lorsque l’homosexualité est exhibée dans sa totalité, comme si vous vouliez faire passer le message “Je suis homosexuel”, je n’ai rien à voir là-dedans. Un homme doit être un homme ».

.thesundaytimes.co.uk

Giorgio Armani critique les homosexuels qui s’habillent “comme des homos”

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Taipei exclut un couple de lesbiennes d’une cérémonie de mariages malgré des promesses d’intégration

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Le Bureau des Affaires Civiles a déclaré que Ray et Hsiao Ting ne se conformaient pas aux exigences du Code Civil pour le mariage, celui-ci stipulant qu’un mariage doit être prononcé entre un homme et une femme sur consentement mutuel.

Les autorités avaient promis de faire de leur mieux pour intégrer les couples homosexuels à cette grande cérémonie collective pour soutenir les partenariats civils.

Mais le directeur du Bureau des Affaires Civiles, Lan Shih-tsung, s’est rétracté, indiquant qu’un événement distinct aurait lieu plus tard dans l’année car le temps manquait pour réviser la règlementation de cet événement qui a été rendue publique il y a longtemps.

Le couple de lesbiennes, Ray et Hsiao Ting, a donc deposé plainte le mois dernier contre la cérémonie en «quarantaine» pour les couples homosexuels.

“Il est regrettable que nous ne puissions pas participer à la grande cérémonie des mariages organisée par la ville de Taipei, mais d’un autre côté, nous sommes contentes de voir que le gouvernement promet de soutenir la diversité des familles, et le droit des homosexuels de se marier » a déclaré le couple après que leur demande ait été rejetée.

“Notre amour n’est pas différent de celui des hétérosexuels mais nous sommes confrontées à de nombreuses restrictions légales. Nous exprimons nos inquiétudes car nous voulons que le gouvernement prenne conscience que les homosexuels aussi veulent se marier et attendent impatiemment le changement. »

.lavierose.fr

Taipei exclut un couple de lesbiennes d’une cérémonie de mariages malgré des promesses d’intégration

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Cameroun : La vie d’un activiste gay tourne au feuilleton tragique

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Jacques 29 ans, est le président de l’association Acodévo Océan à Kribi, une organisation à base communautaire LGBT. Depuis 2012 qu’il milite, le pauvre multiplie des séries de coups violents et d’attaques en raison de son activisme et sa différence.

C’est une sombre et honteuse histoire où se mêlent des motivations de vengeance, de

l’arnaque, du chantage, du piège et de l’abus de la procédure légale, sur fond d’homophobie que Jacques a subi. Subi une fois de plus, mais certainement pas de trop pour ses bourreaux qui se recrutent nouvellement chaque jour, même dans des sources insoupçonnées.

L’affaire remonte au mois de février 2015. Jacques se retrouve derrière les murs du commissariat central de Kribi après une folle histoire dans laquelle il a risqué de peu sa vie.

En fait, c’est un certain Alain Giresse, 35 ans, ancien membre d’Acodévo Océan, dont Jacques est le président, qui a décidé d’en finir avec lui. Une personne au caractère instable dont les membres d’Acodévo avaient préféré se séparer parce qu’ils trouvaient son comportement suspect. Néanmoins, Jacques avait gardé le contact avec lui, et il continuait souvent de se voir dans le cadre privé.

L’histoire qui a perdu Jacques

Le 14 février, Alain fait appel à Jacques disant que sa mère a eu un AVC (accident vasculaire cérébral), et qu’il veut un prêt d’argent. Jacques ne peut répondre favorablement à sa demande.

Le 27 février, il relance Jacques en lui disant qu’il a faim. Il le fait venir chez lui et lui remet la somme de 2000 FCFA (environ $4).

Le lendemain, Alain appelle à nouveau Jacques, et l’invite dans son quartier. Il est 22 heures du soir ce jour- là. Il demande à Jacques 3000 FCFA (environ $ 6) et lui promet de le remercier en nature si jamais il les lui donne. Jacques lui fait savoir qu’il n’a pas d’argent. Néanmoins, ils auront une partie d’intimité ce soir-là.

Coup de théâtre, au moment de raccompagner Jacques, Alain revient à la charge et demande à nouveau à Jacques cet argent. Jacques lui réitérant que ce n’est pas possible, Alain devient violent vis-à-vis de Jacques.

Il alerte le quartier criant que Jacques est « pédé ». Voyant un mouvement populaire se former et craignant sérieusement le pire pour sa vie, Jacques demande à ce qu’ils aillent au commissariat pour échapper à la vindicte populaire.

Au commissariat, Alain Giresse fait des déclarations aussi graves que mensongères : Il raconte que Jacques est homosexuel, qu’il l’a forcé de coucher avec lui alors qu’il lui avait avoué qu’il revenait d’une autre partie de sexe avec quelqu’un autre, mais qu’il n’était pas satisfait … et que par conséquent, il l’a harcelé . Une version grotesque puisque Alain avec son 1,80m, est physiquement imposant par rapport à Jacques et c’est en plus un ancien pratiquant d’arts martiaux. Il dit également aux policiers que Jacques est le président d’une association qui célèbre le mariage entre des personnes de même sexe. Ce qui est une pure aberration, car Acodévo Océan est une association, certes à base communautaire, mais qui œuvre dans la lutte contre le VIH et la protection des droits des LGBT.

Toujours est-il qu’au pays de « la dictature du 347 bis » (i), cette histoire c’est du pain béni pour les forces de l’ordre.

En effet, Jacques est placé en détention. Tard dans la nuit, il est conduit à l’hôpital par l’enquêteur en charge du dossier, le dénommé Mabola, pour subir des examens intrusifs de la marge annale afin, comme c’est l’habitude des forces de l’ordre au Cameroun, de confirmer l’homosexualité de Jacques.

A l’hôpital, autour de 1 heure 30 minutes, Jacques va subir un autre revers. Une infirmière qui le reconnait, ne se gêne pas pour crier en pleine cour de l’hôpital, que Jacques est homosexuel, et qu’il est d’ailleurs séropositif, qu’il vient souvent dans cet hôpital pour recevoir des soins. Ce que Jacques conteste d’ailleurs !!!

Au final, les médecins dans leur diagnostic, confirment que Jacques est homosexuel.

Au commissariat, ce n’est que le lendemain que l’on autorise Jacques à prévenir sa famille. Quand ses proches arrivent, ils trouvent qu’Alain Giresse a déposé la plainte avec pour motif : « Agression et constatation des faits ; harcèlement ».

Il déclare qu’il a perdu un téléphone d’une valeur de 250.000 FCFA (environ $ 550), et exige des dommages et intérêts à hauteur de 50.000 FCFA ($ 110).

Le bourreau Alain Giresse et les forces de l‘ordre réussiront dans ce cas encore leur coup, puisque la famille de Jacques paye toutes ces sommes pour que le pauvre soit libéré.

Une troublante histoire qui vient encore démontrer la vulnérabilité des gays au Cameroun où, sur simple dénonciation de n’importe quel arnaqueur et maitre chanteur, sans aucune preuve de quoi que ce soit, l’on peut se retrouver dans une cellule ou parfois en prison.

Pour le cas particulier de Jacques, cette affaire n’est en fait qu’un épisode de la longue série de coups durs qu’il essuie depuis. En novembre 2012 par exemple, il avait été renvoyé du collège où il enseignait après que des gendarmes de la ville de Kribi soient allés le dénoncer qu’il est homosexuel, et donc, un danger pour les élèves. En fait, Jacques avait pris part à un atelier de plaidoyer en direction des forces de l’ordre pour les sensibiliser pour la mise en œuvre en toute sécurité des actions du projet « Fonds Mondial ». Un atelier organisé à l’époque par la Camnafaw, sous-récipiendaire du Fonds Mondial.

En outre, ce sont des agressions que lui ou les membres de sa jeune association, tous autant courageux les uns que les autres subissent de façon quasi permanente. D’ailleurs, l’on se souvient que pour une fallacieuse histoire de dénonciation pour homosexualité aussi, l’un d’eux, Benoit K., fut condamné à un an de prison avec sursis en juillet 2012.

Note (i) Titre du rapport annuel 2014 des violations des droits humains dans la ville de Yaoundé, produit par l’association Humanity First Cameroon

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