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Don du sang:

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Don du sang:

Don du sang:
les 25 000 donneurs reçus au ministere de la santé

Mardi 26 février à 10h, les représentants des 25 000 Donneurs, Cyril Chevreau et Frédéric Pécharman, ont rencontré au ministère de la Santé le Docteur Laurent Chambaud, Conseiller auprès de la ministre, chargé de l’organisation et l’animation de la politique de santé publique et de la sécurité sanitaire, coordonnateur du pôle santé publique et sécurité sanitaire et par le Docteur Frédérik Staikowsky, Conseiller chargé de la sécurité sanitaire.

Voici le compte-rendu de cette 1ère rencontre au Ministère

1) Ce que nous avons obtenu :

· Envoi des données relatives à l’Hémovigilance en France (épidémiologie des receveurs, nombre et origine des éventuelles contaminations par le VIH)

· Recherche et envoi des données relatives à l’Hémovigilance aux pays prélevant leur HSH (et comparaison ainsi possible entre l’Italie, l’Espagne et le Portugal, le Mexique et éventuellement le Royaume Uni)

· Envoi des études relatives à l’inactivation du plasma (rendant ainsi possible selon nous, en plus du prélèvement du plasma sécurisé, celui du plasma viro-atténué des HSH)

· Une réponse écrite à venir de la Ministre vis-à-vis de nos courriers des 22 septembre 2012 et 3 février dernier

2) Ce que nous avons demandé (ou redemandé) :

· L’organisation des Etats Généraux de l’autosuffisance et de la sécurité transfusionnelle, pour restaurer le dialogue, la confiance et le débat entre tous les acteurs

· Notre intégration au sein du Conseil d’Etablissement de l’Etablissements de Transfusion Sanguine de Paris et Toulouse (article L1223-1 du CSP modifié par loi n° 2011-302 du 22 mars 2011)

· Le maintien du dialogue avec l’EFS et l’InVS par la tenue de réunions régulières

· Que la Ministre cesse de citer l’association Aides pour justifier son revirement de position, et cite plutôt des arguments

3) Ce qui nous a été communiqué :

· Un avis a été sollicité auprès du Comité Consultatif National d’Ethique, sur la base cette fois-ci des éléments techniques fournis par l’InVS, notamment sur les modalités de réintégration des HSH dans les autres pays (et envoi dès émission de l’avis, sous un mois environ)

· Marisol Touraine a demandé un arbitrage au Premier Ministre pour un débat parlementaire sur l’organisation du système transfusionnel dans son ensemble (redéfinition des acteurs, des enjeux, des financements, etc)

· Marisol Touraine reste favorable au don du sang des HSH mais veut le sécuriser

· Le Ministère est conscient des positions parfois radicales de certaines associations, de la complexité du dossier et du poids de l’Histoire et de l’émotion (affaire du sang contaminé)

4) Ce que nous avons communiqué :

· Nous nous positionnons en tant que donneurs de sang

· L’exclusion des HSH et l’information du grand public qui en découle entraine des dons sous MENSONGES bien plus préjudiciable à la sécurité transfusionnelle qu’un prélèvement de tous les donneurs potentiels après sélection sur la bases de leurs comportements sexuels réels les 4 derniers mois.

5) Ce qui nous a été refusé :

· Les Etats Généraux, sur la base du débat à venir au parlement et sur l’aspect public et organisationnel de l’événement ; une réflexion sur la transformation de ces Etats Généraux en réunions non publiques est envisageable par les 25 000 Donneurs, du moment qu’il y ait maintien du dialogue avec tous les acteurs concernés par le don du sang

· Le remboursement des frais de déplacement au Ministère, nous allons demander par conséquent des subventions

En résumé :

Nous apprécions le fait d’avoir été (enfin) reçus, écoutés et d’avoir pu discuter.

Nous saluons par ailleurs le débat à venir sur notre système transfusionnel, qui permettra de renouer le lien entre les citoyens et le don du sang ; contrairement à la période post « sang contaminé », où seules des émotions avaient pris le pas sur les éléments rationnels.

Si la porte de la négociation semble s’être rouverte, et que des revendications seront honorées, nous demandons néanmoins avec force une accélération dans la fréquence des rencontres et des applications des décisions prises.

Nous encourageons par conséquent la Ministre à maintenir le dialogue avec nous et favoriser l’échange entre toutes les parties prenantes pour, in fine, obtenir une réintégration concertée et au profit de l’intérêt des malades : des produits sanguins en quantité et en qualité.

source:aectoulouse.fr

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Décès

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Décès

Décès
Mort d'Henri Caillavet, parlementaire engagé en faveur des droits LGBT

L'homme politique Henri Caillavet, qui fut une grande figure du radicalisme, ancien ministre, franc-maçon, longtemps député puis sénateur du Lot-et-Garonne, ancien eurodéputé, est mort dans la nuit de mardi à mercredi à 99 ans. Ce parlementaire s'était engagé en pionnier en faveur des droits LGBT.

"Il est mort peu après minuit, dans sa maison de Bourisp, dans les Hautes-Pyrénées, comme il le voulait: dans la dignité, sans acharnement thérapeutique", a précisé son fils François Caillavet.

Ce libre-penseur, né le 13 février 1914 à Agen (Lot-et-Garonne), fut membre du réseau de résistance Combat.

D'un famille de négociants, il avait été député de 1946 à 1958, puis sénateur de 1967 à 1983 de son département natal.

Avocat de formation, membre du Grand Orient depuis 1935, il fut, sous la IVème République, secrétaire d'Etat à la France d'Outre-mer (1953) dans le gouvernement de René Mayer, puis aux Affaires économiques et au Plan dans le cabinet de Pierre Mendès France (1954-55).

Henri Caillavet a eu, comme parlementaire, une intense activité de législateur, préparant nombre de textes sur les dons d'organes, l'insémination artificielle, l'euthanasie, l'avortement, le divorce par consentement mutuel, l'internement psychiatrique...

Il a aussi fait des propositions de loi sur la dépénalisation de l'homosexualité et le transsexualisme.

Au début des années 1980 - sous les septennats de Valéry Giscard d'Estaing et de François Mitterrand - il a notamment déposé une proposition de loi instituant la lutte contre la discrimination fondée pour le sexe, en l'étendant à la discrimination fondée sur l'homosexualité masculine et féminine et à la transsexualité.

Un activisme législatif qui lui avait valu le surnom de "recordman de la législation".

Henri Caillavet aura aussi beaucoup bataillé pour la transparence et l'indépendance de la presse.

Le responsable radical a été aussi membre de la Commission nationale des l'informatique et des libertés (Cnil).

Il a présidé à deux reprises de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) animée par Jean-Luc Roméro. "Nous savons tous ce que notre association lui doit, il a porté très haut nos revendications, dans les médias et au Parlement, durant trois décennies", a écrit l'ADMD dans un communiqué, annonçant un prochain hommage à Henri Caillavet.

Ce dernier avait préfacé en 2000 l'ouvrage "Mourir dans la dignité".

Il avait par ailleurs signé de nombreux autres ouvrages : essais, entretiens. En 2012, à 98 ans, il publiait un roman "Manon ou les amours inachevées" (Éd Bruno Leprince).

Il avait quitté le MRG (devenu depuis PRG) en 1975 avant de le réintégrer en 1981. Il fut le vice-président de cette formation 1973 à 1975.

En 1979, il était élu député européen sur la liste UDF conduite par Simone Veil. En 1981, il s'était rallié à François Mitterrand.

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Agression HOMOPHOBE 29 mai 2012 à Signes(Var)

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Les quatre agresseurs vont passés à l'Audience du 05 juin 2013 à 8h30 au Tribunal Correctionnel de Toulon, VENEZ NOMBREUX nous soutenir, l'HOMOPHOBIE est trop présente dans le Var (83), département qui a le plus de dépots de plaintes pour discrimination, actes et violences homophobes....

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Divinanexus

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Je vous alerte sur deux personnes sur you tube qui tiennent des propos ahurrisants , reactionnaires et profondement homophobes, merci de publier le compte you tube de ces deux personnes qui ne cesse de semer la haine voici la premiere nommé Divinanexus sur you tube http://www.youtube.com/user/Divinanexus?feature=watch

http://www.youtube.com/user/Raphaeldeizarra?feature=plcp

http://www.youtube.com/watch?v=uZ12XDSVH-E

Alexandra Perez

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«On a voulu me soigner de mon homosexualité»

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

«On a voulu me soigner de mon homosexualité»

«On a voulu me soigner de mon homosexualité»

Dans sa jeunesse, Bernard a subi des traitements hormonaux et des thérapies.

Bernard, 62 ans. Ce Français raconte comment ses parents et surtout sa mère, ont voulu le guérir de son attirance pour les garçons.

Résultat: à 12 ans, le petit Bernard subit des injections d’hormones mâles et voit des psychiatres une fois par semaine. «Cela a bien duré six mois, nous a-t-il confié. Un jour, j’ai dit à tout le monde que j’étais guéri. A la suite de ça, je me suis surveillé un maximum, pour ne pas qu’on puisse deviner que je n’avais pas vraiment changé.»

Même si cette expérience l’a traumatisé, Bernard n’en veut pas à ses parents. Avec le recul, il a réalisé qu’ils étaient persuadés de faire cela pour son bien. «Ils viennent d’un milieu ouvrier. A l’époque, être homo était la tare suprême. J’étais moi-même persuadé d’être malade.» A 15 ans, l’adolescent vit une phase durant laquelle il est farouchement homophobe et manque de vomir la première fois qu’il voit deux hommes s’embrasser.

Cinquante ans plus tard, le Français a toujours du mal à parler de ce qui lui est arrivé. Il n’imaginait d’ailleurs pas que témoigner dans l’émission serait aussi difficile. Son père, lui, ne se souvient de rien. Bernard pense qu’il a voulu effacer cette période de sa mémoire. «M’accompagner une fois par semaine pour que je sois examiné et traité n’a pas dû être facile pour lui non plus», concède-t-il.

*A gauche, Bernard à 12 ans. A droite, Bernard aujourd'hui. (photo: RTS)


Source : 20minutes.

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Vatican Les revendications d’ouverture sur les questions de société pèseront sur le Conclave

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Italie Le coming-out tourne mal: il traîne papa et maman en justice

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L’acteur trans’ Rüzgar Erkoçlar: «Je suis...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

L’acteur trans’ Rüzgar Erkoçlar: «Je suis...

L’acteur trans’ Rüzgar Erkoçlar: «Je suis un homme, c’est ma réalité»

L'un des arguments les plus courants des célébrités dans le placard pour justifier leur choix de ne pas faire leur coming-out, c'est la peur que cela mette fin à leur carrière.

Rüzgar Erkoçlar s'est sûrement posé les mêmes questions, mais il a fini par passer à l'acte, parce qu'il n'avait plus le choix: vivre une vie qui n'était pas la sienne lui était devenu insupportable. L'acteur turc de 26 ans n'est pas homo, il est trans', connu jusqu'ici sous le nom de Nil Erkoçlar.

«Je me comportais comme la société voulait que je me comporte en permanence, raconte-t-il au quotidien Hürriyet. J'avais les cheveux courts et les gens me disaient “tu es actrice, tu devrais te laisser pousser les cheveux”. (…)»

«J'ai eu l'impression de renaître après l'opération. Nil était morte et Rüzgar était né à sa place.»

Rüzgar Erkoçlar ne se préoccupe pas outre mesure des réactions à son changement: «C'est mon choix, ma vie, ma sexualité. Ça ne regarde personne».

«J'ai tout risqué (…), et je ne m'attends pas à ce que tout le monde m'accepte tel que je suis. Chacun est libre de m'accepter ou de me rejeter. Mais je suis un homme, c'est ma réalité. Seul mon corps a changé. Je me suis trouvé.»

Lire l'interview intégrale en turc ou le portrait (plus court) en anglais.

Photo Emre Yunusoğlu/Hürriyet

source:yagg

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Le Lundi 8 Avril, l'association DEUX MAINS ROUGES...

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

Le Lundi 8 Avril, l'association DEUX MAINS ROUGES...

Le Lundi 8 Avril, l'association DEUX MAINS ROUGES et Romain Ughetto organisent un grand repas CARITATIF !

http://www.weezevent.com/ce-soir-je-dine-avec-romain-ughetto

Le repas sera filmé !

Romain Ughetto : Le phénomène teenage made in France !

Il s'appelle Romain Ughetto. Alors que les médias ne le connaissent pas encore, les fans sont déjà au rendez-vous avec + de 42 00 fans Facebook et + 12 000 followers Twitter !

Romain Ughetto est un artiste qui a su créer une relation de proximité avec son public.
Alors que son album n'est pas sorti, l'artiste tourne actuellement à travers la France pour chanter devant ce public avec qui il a installée une relation privilégiée et unique !

Voici un de ces clip:

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=J0CFR1ItosI

source:http://www.souslesprojecteurs.fr/

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Des jumeaux identiques pour Chely Wright et sa...

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Des jumeaux identiques pour Chely Wright et sa...

Des jumeaux identiques pour Chely Wright et sa femme

La chanteuse Chely Wright et sa femme Lauren Blitzer-Wright attendent des jumeaux identiques pour cet été. Si Wright est celle qui porte l’enfant, Blitzer, se dit tout aussi heureuse d’être parent.

Aujourd’hui impliqué dans diverses organisations pour appuyer la communauté LGBT, le couple s’est marié dans l’État du Connecticut en août 2011. La chanteuse country américaine Chely Wright a fait son coming out en 2010, alors qu’une équipe de cinéma suivait son processus. Il en résulte le documentaire personnel et intimiste Wish Me Away, réalisé par Bobbie Birleffi et Beverly Kopf, lauréat de nombreux prix, notamment aux festivals du film de Los Angeles, de San Francisco et de Nashville. Ainsi, Chely Wright devient la première vedette country ouvertement lesbienne, dans un milieu où les valeurs conservatrices et religieuses américaines dominent. Le film, tourné sur trois ans, relate les hauts et les bas d’une homophobie intériorisée par la chanteuse, jusqu’à sa libération par l’aveu. Depuis que son coming out a été capté sur pellicule, Wright avoue être en paix avec elle-même sans que le processus ait nui à sa carrière. Qui plus est, sa vie personnelle va bon train, puisque les jumeaux devraient se pointer le bout du nez dès juillet 2013. « Lorsque les couples gais ont des enfants, c’est quelque peu différent au niveau de la logistique, mais c’est une expérience extraordinaire! Nous sommes excitées d’être parents et prêtes à relever le défi », concluent les mamans en devenir.

Pour plus d’informations sur le documentaire Wish Me Away : http://www.wishmeawaydoc.com/
Vous pouvez en apprendre davantage sur le couple et sa déclaration dans cette entrevue accordée à Howard Bragman : http://www.youtube.com/watch?v=uaszUPe8hWo

source:fugues.com

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Officiel Le Cese juge irrecevable la pétition des anti-mariage gay

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Russie

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Russie

Russie
Le ministre des Affaires étrangères défend la loi interdisant la propagande de l'homosexualité

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a défendu mardi une loi russe interdisant la propagande de l'homosexualité en soulignant que les gays pouvaient "se livrer à leurs activités" sans être poursuivis comme à l'époque soviétique.

L'article du code pénal qui pénalisait l'homosexualité "a été aboli il y a longtemps et les homosexuels peuvent se livrer à leurs activités en toute liberté et en toute impunité", a déclaré M. Lavrov au cours d'une conférence de presse avec son homologue néerlandais, Frans Timmermans.

"Cela se fait dans le cadre des engagements de tous les pays contre la discrimination", a-t-il poursuivi.

"Mais nous n'avons pas pris d'engagements pour autoriser la propagande (de l'homosexualité) qui est en général très agressive", a dit Sergueï Lavrov.

La Douma (chambre basse du Parlement russe) a voté en janvier en première lecture une loi qui punit les auteurs de tout "acte public" faisant la promotion de l'homosexualité.

Cette loi, qui prévoit des amendes allant jusqu'à 500.000 roubles (12.500 euros), est déjà en vigueur dans plusieurs régions russes, notamment dans la deuxième ville de Russie, Saint-Pétersbourg. Elle a déclenché les critiques de la communauté homosexuelle mais aussi de pays occidentaux.

Les militants homosexuels sont très mal traités en Russie. L'homosexualité y était considérée comme un crime jusqu'en 1993, et comme une maladie mentale jusqu'en 1999, bien après la chute du régime soviétique en 1991.

Les manifestations qu'ils essayent d'organiser depuis 2006 sont régulièrement interdites par les autorités et dispersées sans ménagement par la police.

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Première

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Première

Première
Au Pakistan, une transsexuelle candidate aux élections

Après avoir été reconnus comme 3e sexe, les transsexuels pakistanais seront représentés aux élections prévues pour ce printemps grâce au moins à Sanam Fakir pour qui les "eunuques" ne doivent pas se limiter à danser, mendier ou se prostituer.

Le Pakistan, abonné aux coups d'Etat depuis sa création en 1947, doit organiser d'ici à la mi-mai les premières élections nationales de son histoire après qu'un gouvernement élu eut achevé un mandat complet.

Ce scrutin historique pour la consolidation de la démocratie dans ce pays musulman conservateur de plus de 180 millions d'habitants est marqué par une autre première : la participation d'un membre de la communauté des "eunuques", ou "hijras" en ourdou, des hermaphrodites, des transsexuels et des travestis.

Le juge Cour suprême du Pakistan avait ordonné en 2009 au gouvernement de reconnaître les eunuques comme un sexe à part, un premier pas vers la reconnaissance des droits de cette minorité dont les membres (environ un demi-million) sont payés pour danser dans les mariages, contraints à la mendicité, voire à la prostitution. Deux ans plus tard, la justice leur avait donné le droit de participer à des élections.

"Notre destin n'est pas simplement de danser pour les autres ou de tendre la sébile. Nous avons une vie à vivre", a dit au téléphone à l'AFP Sanam Fakir, 32 ans, originaire de Sukkur, une petite ville de la province du Sind située à 800 kilomètres au sud de la capitale Islamabad.

Sanam Fakir sera candidate indépendante pour un siège de député au parlement de la province du Sind, mais ses chances de remporter la mise sont minces dans ce fief du Parti du peuple du Pakistan (PPP au pouvoir) où les grandes familles de propriétaires fonciers donnent des consignes de vote à leurs employés.

"Je sais qu'il sera difficile de les vaincre, mais chacun doit contribuer à améliorer sa société. Nous ne sommes pas corrompus, nous n'avons pas de famille et nos besoins sont limités", a ajouté Sanam Fakir, faisant allusion à la corruption galopante dans son pays et à une vie politique jugée féodale.

Cet eunuque, qui a obtenu son diplôme d'étude secondaire, un fait plutôt rare dans cette communauté de parias, dirige actuellement une organisation caritative qui contribue à l'éducation d'autres transsexuels. "Nous nous instruisons maintenant. Avant les gens riaient de nous, mais ils ont commencé à nous respecter", dit Fakir.

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Vatican

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Vatican

Vatican
Dans une ambiance de scandales sexuels, le pape autorise les cardinaux à avancer le conclave

A trois jours de sa démission, le pape Benoît XVI a autorisé lundi les cardinaux à avancer le conclave qui élira son successeur, dans une ambiance empoisonnée par la démission d'un cardinal britannique soupçonné de comportement indécent et les miasmes du scandale Vatileaks.

Selon la Constitution apostolique, un conclave peut s'ouvrir entre 15 et 20 jours après le début de la période de "siège vacant".

Mais à trois jours de son départ volontaire, un événement historique et quasiment inédit en 2000 ans d'histoire de l'Eglise catholique, Benoît XVI a édité un décret (motu proprio) permettant d'anticiper ces délais.

Les cardinaux, réunis "en congrégations" à partir du 1er mars, pourraient donc avancer l'ouverture du conclave qui normalement ne pouvait commencer avant le 15 mars. D'autant que nombre d'entre eux seront déjà à Rome pour assister mercredi à l'ultime audience publique de Joseph Ratzinger devant la foule réunie Place Saint-Pierre.

A moins qu'ils ne décident au contraire d'éviter toute précipitation et de mettre les problèmes sur la table avant d'entrer en conclave, l'Eglise traversant une période particulièrement troublée.

Lundi, le prélat d'Ecosse, le cardinal Keith O'Brien, a démissionné de son poste d'archevêque et décidé de ne pas participer au conclave. Remarqué pour des déclarations favorables aux gays mais en même temps connu pour une opposition frontale au mariage homosexuel, ce cardinal est accusé par trois prêtres et un ancien curé de "comportements indécents", selon le journal britannique The Observer paru dimanche.

"Je ne me rendrai pas au conclave", a déclaré Keith O'Brien, seul Britannique à pouvoir voter au conclave. "Je ne souhaite pas que les médias se focalisent sur moi à Rome, mais plutôt sur le pape Benoît XVI et son successeur", a-t-il expliqué.

La démission de Mgr O'Brien intervient alors que les derniers jours du pontificat de Benoît XVI sont agités de spéculations sur les motifs du départ du pape et de polémiques sur la participation de certains cardinaux au conclave.

Des associations de victimes d'abus pédophiles font ainsi campagne contre la venue à Rome des cardinaux Roger Mahony (Los Angeles), Sean Brady (Irlande) et Godfried Daneels (Belgique), leur reprochant d'avoir couvert les crimes sexuels de prêtres ou de religieux de leurs diocèses.

Les médias italiens se sont aussi fait l'écho d'intrigues qui auraient poussé le souverain pontife de 85 ans à renoncer à sa charge. Ainsi, selon Repubblica et Panorama, l'enquête ultra-secrète confiée à trois cardinaux après l'éclatement du scandale Vatileaks aurait mis au jour l'existence d'un "lobby gay" à la Curie qui serait victime de chantage dans un scandale mêlant sexe, finances vaticanes et carriérisme.

Pour le Saint-Siège, selon lequel toute l'affaire des fuites de documents confidentiels Vatileaks est close depuis la condamnation du majordome du pape en septembre, ces allégations sont "des informations fausses" visant à "conditionner" le futur conclave.

L'Américain Greg Burke, conseiller de communication de la Secrétairerie d'Etat, a jugé lundi que les médias "peuvent essayer" d'exercer une influence sur le prochain conclave, et "certains peuvent être vraiment odieux".

Benoît XVI, qui a reçu lundi les trois cardinaux chargés de cette enquête parallèle, a décidé que leurs conclusions resteraient secrètes et "à la disposition exclusive" du nouveau pape. Mais cela n'empêchera pas ses auteurs d'en évoquer la teneur avec les autres cardinaux pendant leurs rencontres "en congrégations" avant le conclave.

Il est normal, a expliqué le porte-parole du Vatican, le père Lombardi, que "les cardinaux se conseillent et s'aident à comprendre les situations".

Les trois cardinaux pourront donc, s'ils le désirent, donner "des éléments utiles pour l'évaluation" de celles-ci, mais "sans mettre le texte à disposition" des autres.

Preuve que le Vatican, qui a assuré son souci de "transparence" dans cette affaire, reste soucieux de contenir autant que faire se peut les résultats de cette investigation: les participants sont soumis à un "serment" de ne rien divulguer à l'extérieur.

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Un prédicateur extrémiste défie la Suisse

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Un prédicateur extrémiste défie la Suisse

Un prédicateur extrémiste défie la Suisse

Mohammed Al-Arifi, un théologien salafiste violemment sexiste et homophobe, a débarqué comme une fleur en Allemagne après que la Confédération a exigé son exclusion de l’espace Schengen.

Haine des homosexuels (assimilés à des zoophiles), appels à la violence contre les femmes (on peut les battre «à condition de ne pas laisser de traces visibles»), mépris des non-musulmans: voilà quelques uns des titres de gloire du prédicateur salafiste Mohammed Al-Arifi. Son nom à l’affiche d’une conférence du très radical Conseil central islamique suisse (CCIS), à Fribourg, avait causé un petite tempête, en décembre dernier. Les autorités suisses avaient fini par demander son interdiction du territoire national ainsi que de l’espace Schengen pour 5 ans, au titre de «menace sérieuse à l’ordre public».

Tournée des mosquées
Or le «Bund» révèle que, trois semaines à peine après cette mesure, le Saoudien a débarqué en Allemagne pour une tournée triomphale des mosquées du pays. L’homme aux 4 millions de suiveurs sur Facebook (2,5 millions de plus que le pape Benoît XVI) aurait obtenu son visa avant que l’interdiction d’entrée ne soit diffusée. Toutefois, il n’aurait jamais dû entrer sur le territoire européen. L’affaire est entre les mains des autorités allemandes, qui sont désormais en mesure d’arrêter et d’expulser le prédicateur – s’il est toujours sur le territoire de la République fédérale.

En décembre, le CCIS avait défendu son choix d’inviter Arifi en accusant des «ex-musulmans» de diffamer le théologien, notamment sur la question de son attitude aux femmes. Quant à son rejet de l’homosexualité, l’association radicale de Nicolas Blancho notait qu’il correspondait «à une réalité courante dans le monde musulman, et même au sein de la Chrétienté».

source:http://360.ch

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STOP HOMOPHOBIE shared a link.

Publié le par STOP HOMOPHOBIE

"Homophobie" ist ein Dokumentarfilm von Till Wiedemann aus dem Jahre 2013, welcher die Folgen und Auswirkungen von Homophobie in Deutschland thematisiert. Der Film entstand im Sommer 2012 in Hamburg und wurde im Februar 2013 fertiggestellt. Die Dokumentation soll in erster Linie der Aufklärung dienen, aber auch jungen Homosexuellen helfen, welche sich gerade im Coming Out befinden.

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Le livre de Frigide Barjot est retiré de la...

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Le livre de Frigide Barjot est retiré de la...

Le livre de Frigide Barjot est retiré de la vente

Ce pamphlet contre le mariage gay paru le 10 janvier chez Mordicus reprenait le titre d’un ouvrage de Gérard Zwang publié en octobre par Jean-Claude Gawsewitch éditeur.

Les éditions Mordicus retirent de la vente, après deux semaines de commercialisation, Touche pas à mon sexe! : contre le mariage gay… de Frigide Barjot, publié le 10 janvier.

L'essai qui fustige le projet de légalisation du mariage entre homosexuels et d'adoption par des parents du même sexe reprenait le titre d’un ouvrage paru en octobre aux éditions Gawsewitch.

En effet, Mordicus, qui avait ce projet de livre depuis longtemps, n’a pas vérifié au moment de le publier la disponibilité du titre. C’est par hasard qu’une des collaboratrices de Jean-Claude Gawsewitch éditeur a découvert sur Facebook l’existence d’un livre portant le même intitulé que celui du chirurgien Gérard Zwang sur les outrages faits au sexe de la femme, publié le 11 octobre.

Jean-Claude Gawsewitch a donc contacté son avocat qui a envoyé un courrier demandant le retrait de l’ouvrage. Les libraires sont priés de retourner à Mordicus tous les exemplaires en rayon. Selon Ipsos, 800 volumes ont été vendus à ce jour.

source:http://livreshebdo.fr/

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Homophobie au lycée : à qui parler

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Homophobie au lycée : à qui parler

Homophobie au lycée : à qui parler

Monsieur le proviseur,

Je vous écris parce que mon fils Ronan (17 ans) souhaiterait s’inscrire dans votre établissement. Il a été exclu de son ancien lycée il y a trois semaines pour un baiser. Ce baiser a fait scandale. Les deux fautifs ont eu huit jours de mise à pied.
À leur retour, ils se sont fait discrets, mais pas assez sans doute, puisque un surveillant les a surpris main dans la main dans le parc de l’établissement. Cette fois, il y a eu un conseil de discipline et exclusion définitive des deux coupables.
Dans le règlement intérieur, il n’est pas interdit aux élèves de s’embrasser ou de se tenir par la main. Les autres lycéens ne sont jamais punis pour ce motif. En fait, Ronan et Grégoire ont été exclus parce que ce sont des garçons.
Quelques uns de leurs camarades de classe les ont soutenus, ont crié à l’injustice et ont réclamé une grâce au proviseur… en vain.
Les enseignants, eux, sont restés passifs, même si l’un d’eux a déploré de perdre deux très bons élèves qui auraient pu, en juin prochain, obtenir une mention au bac et contribuer ainsi à la bonne image de l’établissement.
Je vous prie, Monsieur le proviseur… etc.

Les manifestations d’homophobie qui existent en milieu scolaire peuvent entraîner pour ceux qui en sont victimes, mésestime de soi, difficultés scolaires, tentations suicidaires. Lutter contre ce type de discrimination est un enjeu de citoyenneté, de réussite scolaire et de santé publique.

Les consignes du ministère de l’Education nationale sont claires : l’école doit contribuer à faire prendre conscience des discriminations, apprendre le respect des différences et faire reculer les stéréotypes… Un lycée doit relayer auprès des élèves tout renseignement pour apporter une aide à ceux qui en ont besoin.
Si un établissement veut organiser un débat, des petits films sont à sa disposition sur www.asso-contact.org dans la série Jeune et homo sous le regard de l’autre. Les scénarios ont été écrits par les jeunes.

Le service Azur est dédié à l’orientation sexuelle des jeunes. Des écoutants professionnels sont joignables par téléphone au 0810.20.30.40 au prix d’un appel local à partir d’un téléphone fixe du lundi au dimanche de 8h à 23h. On peut également consulter son site www.ligneazur.org. Il est possible de poser ses questions en temps réel ou de demander à se faire rappeler. On peut aussi consulter www.sos-homophobie.org et www.estim-asso.org.

Les victimes d’homophobie peuvent contacter la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) qui a publié des recommandations sur la prévention des discriminations liées à l’orientation sexuelle au collège et au lycée, destinées aux élèves comme aux adultes des établissements scolaires. Son numéro de téléphone : 08.1000.5000.

source:letudiant.fr

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A Metz, un prêtre s'interroge sur le «statut...

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A Metz, un prêtre s'interroge sur le «statut...

A Metz, un prêtre s'interroge sur le «statut légal» de l'homosexualité

Visiblement pour le prêtre du diocèse de Metz, Cédric Burgun, l’homosexualité n’a pas encore de statut légal. Pourtant, le fait d’avoir des «pratiques homosexuelles» n’est plus condamné en France… depuis 1981.

L’homme d’Eglise affirme sur son blog être défavorable au mariage pour tous. Une position qui n’est pas une surprise. Toutefois, il affirme que le débat autour du mariage homosexuel est lié à « la question est savoir si nous voulons donner un statut légal à l’homosexualité ». A l’homosexualité ? Le fait d’être homosexuel » et d’avoir des « pratiques homosexuelles » n’est pourtant plus considéré comme étant illégal.

Le mariage "va disparaître" à cause du mariage homo

« Dans l’histoire, « l’homosexualité » n’existait pas en tant que telle, mais des personnes avaient des pratiques homosexuelles » affirme le prêtre du diocèse de Metz (Moselle). « Aucune société ne l’a institutionnalisé en lui donnant un « statut » de culture, de mentalité, ou de lobbying. Qu’il y ait des comportements personnels, c’est une chose mais voulons-nous institutionnaliser l’homosexualité comme norme pour une société, c’est-à-dire une norme considérée comme possible, proposée et encouragée socialement » lance Cédric Burgun dans un article qu’il signe sur un blog dédié à la lutte du projet de loi du mariage pour tous.

Pour lui, l’institution du mariage va « disparaître » à cause de la légalisation du mariage et de l’adoption pour les personnes de même sexe. Il justifie cette possible disparition « simplement parce que le « mariage pour tous » ne sera qu’un pas de plus dans cette mentalité individualiste ».

source:http://loractu.fr/

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