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Articles avec #meurtre tag

Un homosexuel tué de 37 coups de couteau. Qu'en-est-il de la violence contre les homosexuels en Tunisie?

Publié le par justin

Un homosexuel tué de 37 coups de couteau. Qu'en-est-il de la violence contre les homosexuels en Tunisie?

Un homme a été retrouvé mort chez lui dans la zone d’El Omrane Supérieur. La victime a été tué de 37 coups de couteau, a indiqué un communiqué du ministère de l'Intérieur, publié dimanche 3 septembre. Le communiqué révèle que le meurtrier, arrêté par le policiers, a reconnu qu’il avait raccompagné la victime pour avoir des relations homosexuelles chez lui avant de le tuer.

Des faits divers semblables sont constamment relayés par les médias. Quelle est l'ampleur de la violence touchant les personnes homosexuelles? Et quels en sont ses dessous? Pour Badr Baabou, président de l'association Damj qui milite pour la reconnaissance des droits des homosexuels, les affaires non médiatisées sont encore plus nombreuses et parfois plus sanglantes, déplore-t-il au HuffPost Tunisie.(Interview)

HuffPost Tunisie: En tant qu'association travaillant auprès de la communauté LGBTQ, vous avez des chiffres mesurant l'ampleur de la violence à l'égard de cette communauté?

Badr Baabou: Depuis 2011 nous avons commencé à documenter sur les violences à caractère homophobe. Il est difficile pour nous de les quantifier car beaucoup subissent en silence et refusent d'en parler publiquement. Toutefois notre constat est que la violence est devenue récurrente et ostentatoire ces dernières années. Les langues se sont déliés et les gens prouvent moins de gêne pour cracher leur haine en s'attaquant plus facilement aux gens en public. Il n'y a qu'à lire les commentaires abominants sur l'affaire du jeune tué à El Omrane Supérieur qui disent que c'est bien fait pour la victime, etc.

Depuis Juillet, on a recensé 25 agressions. L'année dernière, elles étaient de 180 avec des violences entrainant des blessures graves parfois.

La violence dont on ne parle pas assez est celle issue du milieu familial. Récemment à Mednine par exemple, un jeune homme a été trainé par terre par la voiture de son oncle lorsque ce dernier a découvert son orientation sexuelle. Dans certains milieux conservateurs de la Tunisie, cette violence passe sous silence.

Les tentatives de suicides des jeunes malmenés par leur entourage sont aussi fréquentes et alarmantes.

S'agissant de la prostitution chez les homosexuels et les dérives qu'elle engendre. Parvenez-vous à identifier les problèmes qui sont en rapport avec la prostitution?

La prostitution est un non-dit en Tunisie malgrè qu'elle soit très répandue. Certains homosexuels ou trans se tournent vers la prostitution pour subvenir à leurs besoins car ils sont rejetés par leurs familles. D'autres qui ne s'assument pas cherchent dans la prostitution un prétexte pour pratiquer leur réelle orientation sexuelle.

On pointe souvent du doigt la non-coopération des policiers, qu'en-est-il vraiment?

Certains policiers ne prennent pas au sérieux les personnes agressées qui portent plainte. Certains refusent d'écrire un PV. Sachant que les victimes ont souvent peur de se diriger à la poste de police après une agression, craignant de se trouver sur le banc des coupables.

 

huffpostmaghreb.com

 

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Jamaïque : le designer et activiste gay Dexter Pottinger poignardé à mort à son domicile

Publié le par justin

Jamaïque : le designer et activiste gay Dexter Pottinger poignardé à mort à son domicile

C'était une des figures de la communauté LGBT de Kingston. Le designer et activiste gay jamaïcain Dexter Pottinger a été retrouvé mort jeudi à son domicile de Washington Garden, rapporte la presse locale. «Visage de la fierté» jamaïcaine, ce mannequin a été assassiné de plusieurs coups de couteaux selon les premiers éléments de l'enquête qui a conduit au placement en garde à vue d'un homme hier. Pour l'heure cependant, rien n'est su des motivations de ce meurtre, notamment son éventuel caractère homophobe. Rappelons qu'en Jamaïque, les LGBTphobies sont profondément virulentes jusque dans les textes puisque sur l'île du reggae l'homosexualité, en particulier masculine, est punie de plusieurs années de prison (jusqu'à 10 ans) en vertu de lois héritées de la colonisation britannique.

 

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Arrestation d’un homme qui s’apprêtait à commettre des attentats dans les lieux gay à Paris

Publié le par justin

Arrestation d’un homme qui s’apprêtait à commettre des attentats dans les lieux gay à Paris

Il avait envisagé de s'attaquer à des "bars, boîtes de nuits et des lieux tels que les clubs homosexuels et les clubs libertins", mais n'avait pas fait de repérages.

Le jeune homme de 22 ans avait fait part de sa volonté de commettre un attentat sur internet. Il avait cherché à se procurer une arme et projetait de s'attaquer à des discothèques. Interpellé mardi en Seine-Saint-Denis, il a été longuement entendu par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) lors d'une garde à vue prolongée.  

Malgré l'absence de projet établi, il a été mis en examen pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle" et écroué par un juge antiterroriste, selon les informations d'une source judiciaire ce samedi. 

 

Placé en détention provisoire, le jeune homme inconnu de la justice vivait jusque-là chez ses parents à Saint-Denis (93). L'enquête le concernant a été ouverte le 9 août dernier par la section antiterroriste du parquet de Paris.  

Un "projet intellectuel" vague

Les investigations "laissaient craindre qu'il était susceptible de commettre un acte violent dans la mesure où il avait fait savoir qu'il cherchait à se procurer une arme", a expliqué une source proche du dossier, précisant qu'il avait échoué dans cette recherche. Les enquêteurs ont notamment repéré des messages sur les réseaux sociaux qui faisaient ressortir "des propos et une attitude pro-djihad", selon la même source. 

D'après les premiers éléments de l'enquête, le suspect, aurait envisagé de s'attaquer à des "bars, boîtes de nuits et des lieux tels que les clubs homosexuels et les clubs libertins". Un "projet intellectuel" qui est resté vague, l'individu n'ayant pas fait de repérages, mais qu'il a reconnu lors de sa garde à vue. 

L'enquête se poursuit pour déterminer s'il a pu entretenir des liens avec des membres de la mouvance radicale.

.lexpress.fr

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Un liste des artistes supposés être homosexuels a été rédigée par les autorités tchétchènes.

Publié le par justin

Un liste des artistes supposés être homosexuels a été rédigée par les autorités tchétchènes.

Les forces de sécurité tchétchènes ont rédigé une liste d'artistes qui pourraient être homosexuels, ont déclaré des employés d'organisations des droits Humains au site "Kavkaz Realii".

"Dans cette liste, il y a deux ou trois douzaines de personnages culturels, principalement des chanteurs, détenues dans des prisons gays secrètes" ont déclaré des prisonniers de ces "camps cachés" aux responsables locaux d'ONG.

Selon un employé d'une autre organisation non gouvernementale, au moins trois détenus homosexuels ont été interrogés sur les artistes figurant sur cette liste.

"Ces gens, que nous avons aidés à quitter la Tchétchénie, ont déclaré que les noms des chanteurs célèbres figurent sur les listes, nous savons que certains d'entre eux ont quitté la Tchétchénie, craignant pour leur vie", a-t-il ajouté.

L'interlocuteur d'une autre organisation a également mentionné des rapports de deux personnes détenues dans une prison gay secrète à Argun.

Début d'avril, les persécutions des homosexuels en Tchétchénie ont été dénoncées. La Tchétchénie a démenti ces accusations. Les enquêtes journalistiques, ainsi que les rapports de militants des droits Humains, ont suscité de grandes réactions autour du Monde. L'organisation Human Rights Watch, basée sur les témoignages recueillis, pense que Magomed Daudov, le porte parole du Parlement tchétchène, serait à l'origine de ces rafles.

Les représentants des Nations Unies, les États-Unis, l'Union européenne, la Grande-Bretagne ont demandé aux autorités russes de procéder à une enquête. Le 30 juin, l'ombudswoman (défenseuse des droits Humains, Tatyana Moskalkova, a déclaré que le Comité d'enquête de la Fédération de Russie fournirait les résultats des investigations sur l'oppression des homosexuels en Tchétchénie, mais rien n'a été rendu public.

Les employés du mouvement public "Russian LGBT Network" ont publié un rapport sur les faits de persécution et de torture des homosexuels en Tchétchénie.

Selon eux, début juin, 200 hommes auraient été détenus dans des "prisons secrètes" en Tchétchénie, pour le simple fait d'être homosexuel.

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USA : UN RESPONSABLE DU KKK VEUT SE DÉBARRASSER DES HOMOSEXUELS

Publié le par justin

USA : UN RESPONSABLE DU KKK VEUT SE DÉBARRASSER DES HOMOSEXUELS

L’Imperial Wizard de la faction de Caroline du Nord du Ku Klux Klan (plus haut grade du réseau) Chris Barker, a donné une interview ou il s’en prend aux homosexuels, aux juifs et aux noirs.


Le chef des Loyal White Knights du Ku Klux Klan, dans une interview avec la chaîne W Radio , a ainsi pu délivrer son message de haine contre toutes les personnes qui ne sont pas blanches et hétérosexuelles.
Pour lui, l’ homosexualité est une aberration et il « devrait y avoir des snipers qui tueraient les homosexuels quand ils marchent dans la rue »avant d’ajouter « que c’est pour ça que Dieu a créé le SIDA » .


Il ajoute que Donald Trump est un président pro-juif , que la mort de Heather Hayes , la femme tuée pendant les violences de Charlottesville était un « accident » , que le KKK est une organisation sociale , que le nom « Adam » est traduit par « le grand homme blanc »
Il y a quelques jours, Barker avait menacé le journaliste Afro -colombien Ilia Calderón de le brûler vif en le traitant de negro .


Chris Baker a soutenu Justin Moore, « Grand dragon » (dans la hiérarchie du Klan, titre octroyé à un responsable d’Etat) des Loyal White Knights du Ku Klux, qui a proclamé: « Je suis assez content que ces gens aient été blessés et je suis ravi que cette fille soit morte. Il y avait un tas de communistes là dehors pour manifester contre la liberté d’expression d’autrui, donc je ne suis pas du tout contrarié qu’ils aient été blessés. Et je pense que cela se reproduira de plus en plus aux événements des nationalistes blancs».


Heather Heyer a perdu la vie dans les violences qui ont éclaté entre nationalistes blancs et manifestants antiracistes à Charlottesville en Virginie samedi. La jeune femme faisait partie d’un groupe de contre-militants antiracistes percutés volontairement par la voiture de James Allen Fields Jr, un nationaliste de 20 ans qui contestait avec ses pairs le retrait d’une statue d’un général confédéré d’un parc de la ville.

.gaydial.com

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Quand un réalisateur marocain appelle au viol d’homosexuels

Publié le par justin

Quand un réalisateur marocain appelle au viol d’homosexuels

Il aurait dû se taire. Voulant réagir à l’agression d’une jeune femme dans un bus à Casablanca, le réalisateur Mahmoud Frites a ouvertement appelé au viol des homosexuels.

« Je ne comprends pas ceux qui violent une ânesse, une malade mentale, une vieille femme, un nourrisson, leurs enfants et ne s’approchent pas de personnes qui rêvent d’être violées et seraient même prêtes à payer pour cela », écrit le réalisateur dans un message publié sur Facebook. Le post est accompagné d’une photo censée représenter un homosexuel marocain et sous-entendant que ces personnes là aiment qu’on les viole et qu’on les violente.

Quelques minutes seulement après sa publication, le réalisateur a été la cible de vives critiques « de la part d’homosexuels et de personnes encourageant l’homosexualité » le poussant à supprimer le messages et s’excusant à demi-mot en prétextant que c’était une simple plaisanterie.

 

bladi.info

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Voudriez-vous acheter de l'art inspiré par ISIS assassiner des hommes homosexuels?

Publié le par justin

Voudriez-vous acheter de l'art inspiré par ISIS assassiner des hommes homosexuels?

Pensez-vous que c'est un sujet digne d'art ou est-ce que cela va trop loin?

Deux nouveaux diplômés ont commencé à faire de l'art d'ISIS lancer des hommes homosexuels hors des bâtiments .cela soulève la question: cette exploitation du sujet est elle  raisonnable pour  commercialisé l'art?

Également inspiré par les images des attentats terroristes du 11 septembre, la video représente un homme menotté aux yeux bandés d'un t-shirt blanc et des jeans tombant d'un bloc de tour. Il est bientôt rejoint par d'autres hommes tombants identiques qui remplissent l'écran. La fumée les dépasse et les journaux se lèvent, annonçant la mort d'hommes homosexuels en Syrie.

Les artistes ont également produit des tissus de soie décoratifs, en couleurs de noir et d'or. Ces premiers apparaissent comme un drapeau arabe ou un symbole décoratif. Mais ce n'est que sur un coup d'œil plus attentif que vous pouvez voir que le design de l'écran de soie est composé d'hommes homosexuels assassinés.

Lorsque les artistes ont d'abord exposé à Rotterdam, ces draps de soie étaient des piétons funéraires placés sur des cercueils noirs.

Les dessins sont disponibles à la vente pour des milliers d'euros. Aucun de l'argent ne va à l'organisme de bienfaisance.

Création de l'œuvre

Harm Weistra, un diplômé homosexuel de 2011 qui utilise l'art en tant que deuxième carrière, a reçu une allocation en 2015 par le gouvernement néerlandais puisqu'il était un éminent artiste prometteur.

En échange du financement, il a été invité à montrer ce qu'il a présenté dans une exposition deux ans plus tard.

Il a rencontré Eddi Bal, également un artiste gay, pour aider à l'animation et ils ont rapidement formé une relation artistique.

Vous pouvez regarder un extrait de l'animation, intitulé Echo of a Falling Man, sur Vimeo .

«Dans la presse néerlandaise au moins, il n'y a eu aucune couverture de cette terreur contre la communauté LGBT. La plupart de la communauté ne le sait pas ", a commenté Weistra Gay Star News.

«C'est dans notre jardin. Nous pourrions fermer les yeux et rester dans notre monde isolé tolérant, mais nous voulions que notre public sache ce qui se passe.

Pour Bal, il a dit que regarder des images des exécutions lui donnait des «cauchemars».

«Je cherchais un formulaire pour le présenter non pas comme une nouveauté choquante, mais comme quelque chose de stylisé, afin de créer plus de discussions.

La vraie histoire derrière l'art

Des dizaines d'images d'homosexuels assassinés en Irak et en Syrie ont été divulgués sur les réseaux sociaux, publiés sur des chaînes ISIS ou envoyés à des journalistes arabophones. Les experts croient que les seigneurs de guerre d'ISIS peuvent délibérément l'envoyer comme une propagande, se vantant de leur «succès».

Les membres d'ISIS se sont déjà référés aux personnes homosexuelles comme «les pires des créatures».

Les exécutions suivent généralement un modèle. On pense que les extrémistes font souvent de la victime. Ils vont les yeux bandés, se serreront les mains derrière leurs dos et les conduiront au sommet d'un immeuble haut.

Une foule attendra l'exécution. Les tueurs annonceront que l'homme a été reconnu coupable d'homosexualité. Ils le lanceront dans le vide

Voudriez-vous acheter de l'art inspiré par ISIS assassiner des hommes homosexuels?

S'il survit à la chute, une foule rassemblée va lyncher l'homme à mort.

«Je ne crois pas que les images de tuer des homosexuels soient utilisées comme propagande», a déclaré Weistra, ajoutant: «Je me demandais si ce film avait été projeté par des gens qui étaient choqués et voulaient que le monde sache ce qui ce passe réelement.'

«C'est à l'intention du public ce qu'ils font avec les gays».

Et ils ne voient pas non plus l'art comme une propagande, pour l'un ou l'autre côté du «débat».

«Si j'étais un musulman profondément religieux, je peux toujours penser que je peux comprendre que c'est douloureux et qu'en Occident, ils ne l'aiment pas, mais c'est ma religion et c'est ce que nous faisons avec des couples gais", a déclaré Weistra.

Voudriez-vous acheter de l'art inspiré par ISIS assassiner des hommes homosexuels?

«Ce n'est pas une propagande que nous faisons. Nous n'engageons pas les gens dans une seule direction, et c'est au public ce qu'ils font.

Ce que la pièce d'art aurait pu ressembler

Ce n'était pas la première idée.

À l'origine, les artistes avaient prévu de faire une animation sur le «jour de la vie» d'un bourreau ISIS. Dans cette pièce, la foule aurait «voté» s'il devait assassiner la victime gay.

«Nous avons pu faire ce qui ressemble à une exécution, et il s'agirait d'un homme gay condamné, et la foule vote pour le tuer ou non. La foule crie, "tuez-le de le tuer", a déclaré Weistra.

Il a également dit à GSN qu'il croit que les bourreaux peuvent avoir de la compassion pour les hommes qu'ils assassinent en public. En fait, l'ISIS est censé «entraîner» ses victimes pour être tuées en répétant les exécutions et en les droguant, de sorte qu'elles ne luttent pas.

Weistra a déclaré: «Ce qui me frappe, c'est que même les personnes qui tuent ces hommes homosexuels semblent avoir une certaine empathie pour la victime. Ils sont gentils avec lui et tentent de le réconforter. Ils essaient de le ramener à la paix.

«C'est beaucoup plus confus que ce que nous pensons d'abord. Vous pensez à cette personne horrible au-dessus de ce bâtiment, mais ce que vous voyez vraiment, c'est le visage ordinaire du mal.

«Lorsque vous faites un zoom dessus, nous espérons que ce sont de telles personnes mauvaises qui ne sont plus humaines. Ce sont les citoyens normaux qui le font. C'est ce qui rend encore plus méchant. C'est beaucoup plus effrayant que n'importe quelle forme de démon.

Cependant, lorsque Weistra l'a montré aux conservateurs, ils n'étaient pas satisfaits de cette version.

«Je voulais le rendre visible sans personnes choquantes», a-t-il déclaré, ajoutant que les gens ont reculé l'idée «parce qu'ils ont peur».

«C'est le genre de projet sur lequel vous perdez de l'argent.»

Lorsqu'on lui a demandé pourquoi le vendre commercialement, Bal a admis qu'ils ne s'attendaient pas à rendre leur fortune hors de l'oeuvre. Ils espèrent toujours qu'il sera acheté par un collectionneur.

«C'est le genre de projet sur lequel vous perdez de l'argent», a-t-il déclaré. "Il s'agit d'essayer de retrouver le coût que nous avons mis en place."

Voudriez-vous acheter de l'art inspiré par ISIS assassiner des hommes homosexuels?

Clarifiant plus tard dans un courriel, Weistra a déclaré: «Il n'y a rien de mal à obtenir une compensation financière pour le travail que nous faisons. Je suis privilégié que mon partenaire ait un revenu, j'ai encore un revenu et que je n'ai pas dépensé tout l'argent que j'ai gagné dans les années précédentes.

«Mais ce n'est pas une source éternelle. J'aimerais beaucoup faire un nouveau film. Il y a quelques problèmes que j'aimerais aborder ... Comme je l'ai dit, j'ai un message que je veux dire.

«Faire une sorte de« profit »signifie que je peux continuer à faire ce genre de travail. C'est aussi simple que ça. Nous n'avons pas besoin de profit pour rester en vie. Mais pour rester artistes, un complément à notre revenu est une nécessité, ou du moins plus que bienvenue.

"En dehors du cercle gay, ils doivent savoir ce qui se passe."

Actuellement exposé à l'hôtel W Amsterdam, l'écran d'animation est disponible à un prix sur demande.

Le moins cher est la sérigraphie d'or sur tissu noir disponible pour € 800, avec elle montée pour € 1,500. La sérigraphie en or montée sur blanc a un prix de € 3,500.

Requiem For A Falling Man est actuellement considéré comme une foire internationale d'art.

"Parfois, nous pensons que nous sommes dans une bulle et les gens ne savent pas ce qui se passe", a ajouté Weistra. "En dehors du cercle gay, ils doivent savoir ce qui se passe."

 

C.L.

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ISIS dévoile des images horribles d'un homme gay jeté d'un toit

Publié le par justin

ISIS dévoile des images horribles d'un homme gay jeté d'un toit

ISIS a assassiné des centaines de personnes simplement pour être gay en Syrie

ISIS a diffusé des images horribles pour montrer ce que l'on fait a un homme gay vivant en Syrie sous son régime.

L'aile de propagande a publié les images pour montrer une personne homosexuelle jetée sur un toit, un voleur enlevé la main et un «non-croyant» tiré dans le dos.

Publié par Amaq, les experts croient que ces images sont la pour vanter leurs succès.

Cependant, les forces gouvernementales syriennes se sont engagées dans la province de l'ISIS de tous les côtés.

Ils devraient lancer une opération militaire massive pour empêcher le groupe extrémiste.

ISIS dévoile des images horribles d'un homme gay jeté d'un toit
ISIS dévoile des images horribles d'un homme gay jeté d'un toit

Les membres d'ISIS se sont référés aux personnes homosexuelles comme «les pires des créatures».

 La campagne des droits de l'homme a mis en évidence les atrocités commises par ISIS sur la base de son idéologie extrême.

Plus de 330 000 personnes ont été tuées en Syrie depuis le début du conflit en mars 2011.

 Le rapport indique: «ISIL [un autre nom pour ISIS] a déclenché un règne de terreur contre les civils et les minorités vulnérables vivant dans les zones qu'il a saisies, y compris la violence barbare contre les personnes LGBTQ.

ISIS dévoile des images horribles d'un homme gay jeté d'un toit

L'idéologie extrême d'ISIL est interprétée par ses partisans pour exiger la peine de mort pour ceux qui s'engagent dans des relations sexuelles en dehors du mariage hétérosexuel, y compris les relations sexuelles entre personnes de même sexe.

Plus de 330 000 personnes ont été tuées en Syrie depuis le début du conflit en mars 2011 avec des manifestations anti-gouvernementales.

C.L.

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L’Iran viole le droit international et exécute un mineur

Publié le par justin

L’Iran viole le droit international et exécute un mineur

Alireza Tajiki, condamné à mort alors qu’il était encore mineur, a été pendu par les autorités iraniennes. Les ONG réagissent.

 

L’Iran viole une nouvelle fois le droit international. Alireza Tajiki, mineur au moment de son arrestation, a été exécuté jeudi par les autorités iraniennes à Chiraz, dans la province du Fars (sud-ouest du pays). En 2013, le jeune homme a été reconnu coupable de meurtre et de pénétration anale forcée. Il avait alors 16 ans. Son procès reposait principalement sur des «aveux» qui lui ont été extorqués sous la torture, selon Amnesty International. Il a été privé de la possibilité de consulter un avocat pendant toute la durée de l’enquête. «En poursuivant cette exécution au mépris du droit international, et en dépit de l’opposition publique et internationale, les autorités iraniennes ont de nouveau démontré avec cruauté leur dédain complet envers les droits de l’enfant», a déclaré Magdalena Mughrabi, directrice adjointe du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient à Amnesty International.

Malgré les pressions répétées du Conseil des droits de l’homme (CDH), Téhéran reste de marbre. Les autorités emprisonnent les condamnés et attendent leur majorité pour pouvoir les exécuter. «Elles attendent que les jeunes atteignent l’âge légal, fixé à 18 ans, pour les pendre. L’Iran estime donc que, techniquement, il n’exécute pas de mineurs», explique Nadia Boehlen, porte-parole d’Amnesty International section Suisse. Une justification qui reste irrecevable aux yeux du droit international. Lorsqu’un mineur est jugé coupable d’un crime, il doit être puni pour les faits commis à l’âge auquel il les a accomplis. Selon Amnesty International, l’Iran est le pays qui exécute le plus de mineurs délinquants: 72 personnes mineures au moment des crimes qu’on leur reproche auraient été exécutées entre 2005 et 2014, et au moins 160 seraient actuellement en attente d’une condamnation à mort. Alireza Tajiki est le quatrième de ces mineurs à être exécuté en 2017. Le Code pénal islamique prévoit encore la peine capitale pour les garçons âgés de 15 ans et les filles âgées de 9 ans. Les crimes qui, selon le droit musulman, amènent le plus souvent à la peine de mort sont l’homicide, l’adultère et la sodomie.

L’association lausannoise Vivere, qui milite contre la peine de mort, a recensé 13 Etats qui appliquent encore la peine capitale sur les mineurs. Parmi eux, on retrouve l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Laos, la Somalie et le Yémen.

Alors que le nombre d’exécutions baisse dans le monde, certains pays ont rétabli la peine de mort pour les mineurs. C’est le cas des Maldives, où la loi prévoit depuis 2014 que les enfants sont responsables pénalement dès 10 ans, et dès 7 ans pour des crimes considérés «graves» comme le vol ou la consommation d’alcool.

Aux Philippines, la peine de mort a été abolie en 2006. En mars 2017, la Chambre des représentants a adopté une proposition de loi visant à rétablir la peine capitale pour la production et le trafic de drogue. Le texte abaisse également l’âge de la responsabilité pénale de 15 à 9 ans. (TDG)

.tdg.ch

 

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Plus d’Américains LGBT ont été tués depuis le début de 2017 que pendant toute l’année 2016

Publié le par justin

Plus d’Américains LGBT ont été tués depuis le début de 2017 que pendant toute l’année 2016

Nous ne sommes qu’en août, et, pourtant, le bilan des meurtres causés par les LGBTphobes aux États-Unis a déjà dépassé celui de 2016. Une augmentation qui constitue un véritable "signal d’alarme".

L’information vient du BuzzFeed News américain, qui est entré en contact avec la Coalition nationale de programmes anti-violence (NCAVP). Cette dernière comptabilise un chiffre alarmant concernant les LGBTphobies, plus nombreuses aux États-Unis depuis le début de cette année que pendant toute l’année 2016 (sans compter les 49 victimes du massacre homophobe au Pulse, club gay d’Orlando). En ce mois d’août, le nombre d’homicides de personnes LGBT motivés par la haine s’élève à 33 — tandis qu’il y en a eu 28 en 2016. Ce qui veut dire que, proportionnellement, il y avait une mort causée par la LGBTphobie tous les treize jours en 2016, et qu’il y en a une tous les six jours cette année. Parmi ces personnes tuées en 2017, quinze étaient des femmes trans de couleur, et au moins douze des hommes gays. Ces meurtres ont été commis à différents endroits des États-Unis, du Texas à New York.

Un "signal d’alarme"

En l’absence de chiffres officiels, l’organisation a rassemblé les données des meurtres rapportés par les médias, les entourages des victimes et les autres organisations du pays. La NCAVP a inclus toutes les morts où il apparaissait que la victime était visée à cause de son identité de genre ou son orientation sexuelle. Pour un chercheur au Centre de Recherche des Homicides, les chiffres de la NCAVP seraient donc en dessous de la réalité : les petites communautés ne communiqueraient pas sur ces décès, et beaucoup de cas de meurtres liés à la haine contre la communauté LGBT sont difficilement identifiables.

Pour la NCAVP, il n’y a pas de raison évidente à cette augmentation, mais la combinaison d’une augmentation de la médiatisation de ces meurtres, une identification plus précise des victimes et une potentielle augmentation de la violence pourrait être en cause. Quoi qu’il en soit, cela constitue clairement d’un "signal d’alarme" pour Beverly Tillery, cadre supérieur du projet anti-violence de la ville de New York, qui travaille avec la NCAVP. Pour elle,

"Cela devrait être un signal d’alarme pour nos communautés, nous montrant que les actes de violence motivés par la haine ne s’arrêtent pas, ne diminuent certainement pas, et c’est symptomatique de problèmes de société plus larges et plus profonds dont nous ne sommes toujours pas occupés."

L’administration Trump en cause

Vanessa Panfil, professeure-assistante en sociologie et justice criminelle, a quant à elle expliqué à BuzzFeed que cette augmentation de la violence pourrait notamment avoir été partiellement encouragée par l’administration Trump et son retour sur des avancées de l’administration Obama. La "guerre des toilettes" a par exemple été relancée, et l’armée va être interdite aux personnes transselon une annonce faite par le président Trump sur Twitter. Discriminée par le gouvernement, la communauté LGBT est plus vulnérable face aux LGBTphobies, que les décisions officielles ne risquent donc justement pas d’empêcher.

Toujours comme BuzzFeed le rapporte, vingt-huit États américains n’ont pas de lois protégeant les personnes LGBT des discriminations en matière de logement ou de travail. Et deux autres, les États du Wisconsin et du New Hampshire, en ont, mais qui s’appliquent uniquement aux discriminations basées sur l’orientation sexuelle, pas l’identité de genre.

.konbini.com

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Tchétchénie : 33 victimes de la purge contre les homosexuels dénoncent un crime contre l’humanité

Publié le par justin

Fin juillet, l’ONG Russian LGBT Network et le journal d’opposition russe Novaïa Gazeta ont publié un rapport accablant la Tchétchénie, qui mène une véritable opération de purge contre la communauté homosexuelle. Trente-trois anciens détenus y racontent les horreurs qu’ils ont vécues, pour dénoncer un crime contre l’humanité. Nous tenons à vous prévenir que ces témoignages peuvent être très choquants.

Début avril, le journal russe Novaïa Gazeta dénonçait la purge menée contre la communauté homosexuelle par les autorités tchétchènes. Selon le directeur de l’ONG Russian LGBT Network, Igor Kochetkov, 300 à 400 homosexuels tchétchènes ont été emprisonnés et torturés dans des "prisons secrètes". Le gouvernement tchétchène a nié ces exactions, affirmant qu’aucune persécution n’était en cours, puisque les personnes homosexuelles "n’existent pas" en Tchétchénie. Le président Ramzan Kadyrov s’est tenu à ce discours lors d’une interview mi-juillet – tout en tenant de terribles propos homophobes. Il y a quelques semaines, on apprenait pourtant que la persécution des homosexuels en Tchétchénie s’était intensifiée depuis la fin du ramadan. Novaïa Gazeta a publié une liste de 27 personnes qui auraient été exécutées sans procès.
 
Une série de témoignages insoutenables
Un rapport publié le 31 juillet par Russian LGBT Network, en coopération avec une journaliste de Novaïa Gazeta, Elena Milashina, fait le point sur cette véritable purge, retraçant son fonctionnement, ses victimes et les horreurs qu’elles ont subies… et continuent de subir. En quatre mois, plus de 130 personnes auraient appelé l’organisation à l’aide pour fuir le pays. Les 30 pages sont remplies des témoignages de 33 anciens détenus, et montrent trois vagues de violence successives depuis la fin 2016. La lecture de cette série de témoignages est difficile, tant les victimes ont enduré tortures, violences et humiliations. Électrocutions, coups sur tout le corps, privations d’eau, de nourriture et de sommeil… Têtu mentionne par exemple ce témoignage, dont l’auteur est désigné par les initiales K. L. :
 
"On nous a obligés à nous allonger par terre, les fesses en l’air, et chaque personne de la cellule devait nous frapper trois fois. Au fil de la semaine, il y avait déjà 18 personnes LGBT détenues ici et torturées. Le plus jeune avait environ 17 ans, et le plus vieux 47. On n’avait pas le droit de se laver. Certains détenus avaient des plaies ouvertes et la cellule commençait à sentir la viande pourrie."
 
Les ex-détenus rapportent ainsi avoir été forcés de se frapper entre eux, de commettre les mêmes violences qu’ils subissaient eux-mêmes. L’un d’eux raconte qu’on lui a montré une vidéo d’un homme à qui l’on avait enfilé un "tube creux" dans l’anus, avant d’y introduire un fil barbelé. Une fois le tube enlevé, le fil barbelé était tiré "lentement". Un autre a été étouffé et battu en même temps. Autant d’horreurs qui ne s’arrêtent pas forcément à la libération des détenus – pour ceux qui sont libérés.
 
Un crime contre l’humanité auquel participent familles et autorités
Les personnes jugées trop "importantes", qui pourraient "apporter la honte sur les autorités ou l’administration", sont en effet tuées. Les autres sont libérées après quelques semaines, voire un mois. Mais leurs familles sont alors poussées à "laver l’honneur par le sang". Ce sont également ces dernières qui se font justice lorsqu’il s’agit de femmes lesbiennes. Le rapport raconte des coups et des tortures, allant jusqu’aux meurtres.
 
Les témoignages font mention d'une douzaine de morts, cette purge dépassant parfois les frontières de la Tchétchénie. Et les personnes qui survivent sont dans une condition physique et mentale critique : "Au moins trois d’entre eux ont tenté de se suicider", précise le rapport, qui conclut qu’il s’agit bien d’un crime contre l’humanité.
 
D’autant que la situation, dramatique, dépend en partie de personnes haut placées. Trois fonctionnaires y sont formellement identifiés : le porte-parole du Parlement tchétchène Magomed Daudov (qui aurait clairement demandé aux familles qui retrouvant des détenus de les éliminer), le chef du ministère des Affaires étrangères de la Russie Ayub Kataev, et le dirigeant d’un groupe d’intervention contre le terrorisme, Abuzaid Vismuradov.
 
Avec ce rapport, Russian LGBT Network, qui explique avoir évacué 64 personnes, compte bien agir. Les témoignages compulsés dans le dossier serviront de preuves dans le procès que les organisations internationales de défense des droits humains vont intenter contre Ramzan Kadyrov auprès de la Cour pénale internationale.
 
konbini.com

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USA :Un homme tué en défendant son cousin homosexuel

Publié le par justin

USA :Un homme tué en défendant son cousin homosexuel

Juan Javier Cruz, âgé de 22 ans, se tenait à l’extérieur du restaurant Las Flores à Lake Worth, en Floride , avec des amis tard samedi soir, quand il a été tué par une personne qu’il n’avait jamais rencontrée auparavant .
 

Des témoins disent qu’il y avait plusieurs groupes de clients à l’extérieur du restaurant, qui venait de fermer.


Nelson Hernandez Mena, 48 ans, était dans l’un de ses groupes. Il avouera plus tard aux enquêteurs qu’il avait bu de 15 à 20 bières au restaurant cette nuit-là.
 

Le cousin de Juan, Pedro Cruz, a dragué légèrement un ami d’Hernandez Mena et lui a demandé son numéro de téléphone, et, selon les témoins, c’est à ce moment-là que l’homme de 48 ans a commencé à regarder le groupe avec colère.


À un moment donné, Hernandez Mena a abordé le groupe de Juan et a commencé à les menacer . «Je déteste tous les gays. Je vais vous tuer tous ici », aurait-il crié, selon le rapport du shérif.


Hernandez Mena aurait également déclaré: «Si nous étions dans mon pays, je vous tuerais tous comme des rats».


Lorsque Juan a défendu Pedro, Hernandez Mena a sorti un pistolet et a tiré plusieurs coups de feu. Il a tiré sur Pedro le blessant à la cheville et a tué Juan.
Hernandez Mena a reconnu devant la police avoir tiré , mais qu’il avait été attaqué par un groupe de personnes. Il a également déclaré que «le mec qui était mort n’était pas son objectif visé», selon le rapport du shérif.


Hernandez Mena a été arrêtée et est accusé de meurtre au premier degré , de tentative de meurtre et d’agression grave avec une arme à feu.


Le bureau de l’avocat de l’État a déclaré qu’il était trop tôt pour dire s’il serait accusé d’un crime de haine .

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Battu d'être gay

Publié le par justin

Battu d'être gay

Il y a cinquante ans, le sexe homosexuel entre les hommes en privé était décriminalisé en Angleterre et au Pays de Galles. Malgré cela, les crimes de haine contre les homosexuels ont persisté et le nombre d'attaques enregistrées par la police a augmenté. Il y avait 7 194 en Angleterre et au Pays de Galles dans l'année jusqu'en avril 2016. Les militants disent que ce n'est pas l'image complète, cependant, autant de victimes ne signalent toujours pas d'agressions. Six personnes touchées par des crimes haineux partagent leurs histoires.

Avertissement: Cette histoire contient des détails sur la violence et les images que certains lecteurs pourraient trouver troublants.

James et Dain passaient une soirée à Brighton en mai 2016 lorsqu'ils furent suivis d'une discothèque et attaquèrent le front de mer. L'assaut a laissé des cicatrices physiques et émotionnelles.

James: Nous étions au bar et nous avons eu ce regard de quelques gars de l'autre côté de la piste de danse. Il faut beaucoup pour me sentir mal à l'aise mais ce fut un regard aussi étrange qu'ils nous ont donné. Dain avait son bras autour de moi. Je ne pense pas qu'ils aiment ça. Puis ils ont commencé à nous crier. J'ai dit à Dain que nous devions sortir du club dans un taxi de la façon la plus rapide possible.

Dain: Nous avons quitté le bar. Personne n'était question. Tout à coup, j'ai entendu courir derrière nous. Il n'y avait aucun moyen d'aller les dépasser. Ils nous ont saisis par derrière et nous ont enfoncés au sol. J'étais allongé sur le trottoir et tout ce que je pouvais voir était James mais la prochaine fois que je vis était une chaussure qui venait vers mon visage. Cela m'a frappé complètement inconscient.

James: Un des garçons a commencé à couper le visage de Dain très rapidement. Il y avait beaucoup d'agression et de cri de «garçons gays». Chaque fois que j'essayais de me rapprocher de Dain, j'étais traîné le long du trottoir. À ce moment-là, un taxi a passé et a appelé la police. Je me souviens de la première fois et Dain m'a regardé et m'a dit: "Je ne vois pas".

Dain: Ma prise de vue a été complètement brisée. J'ai eu des hémorragies à mes yeux et à mes fractures sur mes joues. Ma dent a été ébréché et mon nez a été cassé aussi. Je me souviens d'être à l'hôpital et je me demandais toujours: "Est-ce que je pourrais pouvoir revoir?" Ils ont dit: "Nous ne pouvons vous le dire parce que tout est tellement enflé". Ils ne pouvaient même pas ouvrir les yeux.

Battu d'être gay

James et moi étions très proches de toute façon, mais passer beaucoup de temps les uns avec les autres m'a vraiment démontré combien notre relation était forte. Je suis une personne très résiliente et je ne vais pas vivre ma vie comme quelqu'un d'autre veut que je le fasse. Je ne laisserai personne changer cela. En fait, cela m'a fait envie d'être ce que je suis encore plus.

James: Il l'a rendu plus fort et il lui a fait se soucier de ce que les autres pensent et d'y aller et d'être lui-même encore plus, alors que c'est fait le contraire. Cela m'a changé. J'ai changé mon processus de pensée et mon état d'esprit, comment je pense, comment je regarde, comment je parle, avec qui je suis, où nous allons et c'est triste parce que je me souviens de la façon dont nous étions avant qu'il ne se produise et je me regarde maintenant et C'est dérangeant parce que ce sont eux qui l'ont fait. C'est ce qui est difficile à accepter.

Il y a un an, et je pensais que les choses seraient probablement plus faciles, mais elles ne l'ont pas fait. Lorsque nous sommes sortis, il veut que nous semblions être ensemble évidemment, mais j'ai peur que quelque chose de semblable se reproduise. Ce n'était pas comme ça il y a un an. Nous ne sommes pas descendus dans la rue en prenant la main mais je n'étais pas pleinement conscient de nous nous assurer que nous n'étions pas considérés comme un couple.

Je ne pourrais jamais pardonner les gens qui nous ont attaqués ou oublié ce qui s'est passé. Il restera avec moi et je suis sûr qu'il restera avec eux pour le reste de leur vie.

Les deux attaquants, Gage Vye-Parminter et Matthew Howes, ont plaidé coupable à de graves lésions corporelles et agressions et ont été condamnés à sept ans de prison.

Battu d'être gay

Becky et Alex ont été attaqués lors d'une soirée à Croydon en août 2016. Un homme a été reconnu coupable, mais il a quitté le pays avant qu'il ne puisse être condamné, ce qui laisse le couple être faché et frustré.

Alex: Je suis en colère contre tout ce qui s'est passé - le fait que j'ai eu un œil noir pour expliquer à un enfant de six ans, pourquoi maman était blessée, pourquoi Becky avait des bleus. Ce n'est pas quelque chose que je veux expliquer à mon enfant, qu'il y a de la haine dans ce monde. Il est étrange que cela se produise simplement en raison de qui nous choisissons d'aimer. Pour une fois, nous avons eu une baby-sitter et sommes sortis de la maison et cela s'est passé. Nous ne sommes pas sortis depuis.

Becky: La première chose qu'il a dit était: "J'aime les lesbiennes" et je pensais "Oh, dieu, pas un de ces".

Alex: Il avait un accent sud-africain, tout semblait assez agréable et il semblait assez ivre mais je ne suis jamais vraiment désagréable pour personne. Il a demandé à nos amis de s'embrasser, auxquels ils ont dit "Non" et j'ai dit: "Ce n'est pas pour votre plaisir."

Becky: Il a dit quelque chose comme "dyke" qui offensait un de mes camarades. Vous ne le dites pas. Nous sommes allés au magasin de kebab pour avoir un peu de nourriture. Je ne pensais pas que ça allait devenir violent.

Alex: Un autre gars qui a commencé à se joindre a alors commencé à nous faire circuler en tant que groupe et a attiré son attention sur moi.

Becky: C'est à ce moment-là qu'il a commencé à avoir des sensations délictuelles, tâtonnant les seins d'Alex et vraiment accroché à son bras. Il nous appelait "gros dykes" et elle l'a repoussé. L'autre gars l'a vu le faire. Il l'a balancé

 

James, Dain, Becky, Alex et Jenny racontent leurs histoires dans le programme de télévision Est-il sécuritaire d'être gay au Royaume-Uni? Les téléspectateurs au Royaume-Uni peuvent le regarder à 21h00 le mardi 1er août sur BBC One ou se rattraper plus tard en ligne .

Le documentaire fait partie de Gay Britannia - une saison de programmation à travers la BBC pour marquer le 50e anniversaire de The Sexual Offenses Act 1967, qui a partiellement dépénalisé le sexe homosexuel entre les hommes en Angleterre et au Pays de Galles.


Alex: J'ai tâtonné, coupé et claqué dans un feu de rue. Ma femme a été frappée et nos deux amis ont été frappés aussi. Frapper une femme est faux, mais faites cela simplement parce que nous ne les voulions pas, c'est dégoûtant et vil. Je suis tellement en colère que j'ai été violé pour avoir aimé ma femme. Le lendemain, je devais porter des lunettes alors que je ne pouvais pas couvrir l'obscurité autour de mes yeux.

Je me sens coupable parce que j'ai choisi d'aimer Becky qui, à son tour, a apporté cette merde dans la vie de mon fils. Juste moi et lui, nous sommes complètement normaux. Nous n'aimerions pas attirer l'attention mais être avec Becky parce qu'elle est tellement gay.

Je suis déçu, contrarié et mis en colère contre mon attaquant, devant la cour, avec le système judiciaire. J'espère juste et je prie que cela ne vienne pas à quelqu'un d'autre.

Un homme sud-africain, Sazi Tutani, a été reconnu coupable d'agression, mais il ne pouvait être condamné parce qu'il avait quitté le Royaume-Uni et est rentré chez lui. Il y a un mandat pour son arrestation. Un autre homme a été déclaré non coupable de toutes les accusations.

Battu d'être gay

Ian Baynham est mort après avoir été frappé et lancé une nuit de septembre 2009 à Trafalgar Square, dans le centre de Londres. Sa sœur Jenny, qui est également gay, parle de la perte de son «lien inséparable».

Ian était le premier né dans la famille et il était quatre ans plus vieux que moi. Il avait ce sourire incroyable, il aimait vraiment la vie. Quand les choses étaient difficiles, il serait là et il ne vous jugerait jamais.

Au fur et à mesure que nous avons grandi, nous nous sommes séparés. Dans notre début des années 20, je suis allé à une fête gay avec une fille. Il était emballé. J'ai regardé dans la pièce et je pensais: "C'est Ian".

Il m'a repéré. Il est venu vers moi, a mis son bras autour de moi et il a dit: "Qu'est ce que tu fais ici?" Et à partir de ce moment nous avons réalisé que nous étions tous les deux gay. Cela a vraiment forgé ce lien inséparable.

La nuit où il a été attaqué, il marchait dans la rue avec son ami Philip. Il venait d'avoir sa première semaine de travail, donc il sortait pour boire un verre.

Quelqu'un a crié, "Fagots". Mon frère s'est retourné et a dit: "Je peux être gay mais ..."

Et puis il y avait une sorte d'altercation. Il a été frappé dans l'aine et a frappé.

Ils le frappaient, le frappaient et le criaient.

C'est choquant, absolument choquant. Je ne pouvais pas le croire. Il y avait une foule de personnes autour de lui, que vous pouvez voir sur les images de vidéosurveillance. Comment pourriez-vous laisser quelqu'un dans cet état? Pourquoi ne sont-ils pas retournés à lui et vérifient qu'il était OK? Ces questions me plaisent toujours. Pour partir, comment pouvez-vous faire cela?

Battu d'être gay

Ian était à l'hôpital pendant 18 jours. Quand je suis arrivé, il était inconscient avec deux gros yeux noirs. Sa respiration changeait. Mon expérience m'avait dit que c'était le souffle final. Il a lutté un peu et il a cessé de respirer. Et il est mort. Nous étions avec lui. C'était très triste.

Des milliers de personnes avec des lumières ont assisté à une rencontre extraordinaire de personnes homosexuelles et droites à Trafalgar Square en raison de ce qui s'est passé. C'était vraiment magique et un événement aussi approprié pour Ian. Juste de l'autre côté de la rue était où il était conscient. Je suis allé là-bas quelques fois pour regarder. C'est vraiment important. Cet arbre, je le connais très bien. Il fait partie de Trafalgar Square maintenant.

Nous avons toujours l'habitude de dire: «Nous pouvons toujours vivre ensemble quand nous vieillissons et nous nous retirerons. Nous serons comme Darby et Joan et aurons quelques soirées à thé. Nous rions à ce sujet. Je le manque probablement de plus en plus à mesure que je vieillis.

Vous ne pouvez pas avoir de la haine et je pense que la haine est une chose très divisante à retenir. Je commence le programme de justice réparatrice et j'espère que cela me donnera un sentiment de fermeture et que cela aidera les délinquants. J'aimerais les rencontrer tous. Ils sont toujours en vie et ils ont une vie. Je me soucie de ce qui arrive aux gens et je sais que certaines personnes n'ont pas les mêmes avantages que les autres. Je pense réellement qu'il me soutiendrait en faisant cela et ce sera vraiment un peu comme un tremplin pour m'aider à aller de l'avant. J'espère.

Ruby Thomas et Joel Alexander ont été reconnus coupables d'homicide involontaire coupable. Thomas a été condamné à sept ans de prison et Alexander a été condamné à six ans.

Battu d'être gay

Au cours des 12 dernières années, Paul Harfleet a planifié des centaines de pansies à travers le monde dans des endroits où les homosexuels ont été victimes d'abus homophobes - y compris des lieux en Autriche, en Suède, en Turquie et aux États-Unis.

Il a commencé à Manchester en 2005 lorsque j'ai connu trois cas distincts d'homophobie en une seule journée. Les gens étaient vraiment choqués d'avoir eu ces expériences tout le temps et je pensais: "Je dois faire quelque chose à ce sujet".

J'ai commencé à planter des pensées partout où j'avais eu des abus. Je voulais faire quelque chose qui a changé l'emplacement. Je n'ai jamais voulu qu'il y ait une signalisation, il fallait que ce soit quelque chose de subtil mais perceptible, comme je l'ai fait dans la rue. Une pensée est une pensée, vous comprenez et lisez de quoi il s'agit simplement en sachant que c'est là.

Très rapidement, les gens ont commencé à me dire où ils avaient été victimes d'abus et j'ai commencé à planter pour eux aussi. Si je plante une fleur pour quelqu'un qui a été assassiné, je la dédie habituellement. Je prends des photos et ajoute-les à mon site

Je nomme souvent la pensée après l'abus qui s'est produit. Le premier que j'ai planté a été appelé: "Je pense qu'il est temps que nous allions faire de l'argent à nouveau". Deux constructeurs assis sur un mur ont dit cela directement sur mon visage et j'étais tellement choqué que je ne savais vraiment pas quoi faire. Lorsque vous avez cette expérience, vous êtes forcé de réfléchir à ce que vous pouvez faire. Réagissez-vous, fermez-vous? Le rituel de creuser dans le sol, agenouillé au sol, se sent solennel et légèrement cicatrisant. Je subverti ce terrible chose qui est arrivé et le transformer en quelque chose de plus positif. Il sensibilise également.

Je nomme souvent la pensée après l'abus qui s'est produit. Le premier que j'ai planté a été appelé: "Je pense qu'il est temps que nous allions faire de l'argent à nouveau". Deux constructeurs assis sur un mur ont dit cela directement sur mon visage et j'étais tellement choqué que je ne savais vraiment pas quoi faire. Lorsque vous avez cette expérience, vous êtes forcé de réfléchir à ce que vous pouvez faire. Réagissez-vous, fermez-vous? Le rituel de creuser dans le sol, agenouillé au sol, se sent solennel et légèrement cicatrisant. Je subverti ce terrible chose qui est arrivé et le transformer en quelque chose de plus positif. Il sensibilise également.

Quand quelqu'un a été violemment attaqué, l'emplacement est tellement chargé qu'ils ne peuvent pas arrêter de penser à cela quand ils passent. Ce que je témoigne lorsque je retourne avec eux, c'est leur expérience et leur guérison. Ils peuvent alors penser: "Ce n'est pas seulement l'endroit où j'ai été battu, mais aussi quelque part, une pensée a été plantée". C'est presque comme un pansement sur la violence. Je plante des pensées partout où je suis. Malheureusement, partout où j'y vais, il y a généralement un endroit où quelqu'un a connu l'homophobie. Si je marque un lieu pour quelqu'un que je ne connais pas, je les contacter en utilisant les médias sociaux en disant: "Je l'ai fait pour vous". Chaque pensée unique marque une histoire de quelqu'un qui a connu l'homophobie dans les rues. Je ne pense pas que cela finira. Je vais toujours les planter.C.L.

Quand quelqu'un a été violemment attaqué, l'emplacement est tellement chargé qu'ils ne peuvent pas arrêter de penser à cela quand ils passent. Ce que je témoigne lorsque je retourne avec eux, c'est leur expérience et leur guérison. Ils peuvent alors penser: "Ce n'est pas seulement l'endroit où j'ai été battu, mais aussi quelque part, une pensée a été plantée". C'est presque comme un pansement sur la violence. Je plante des pensées partout où je suis. Malheureusement, partout où j'y vais, il y a généralement un endroit où quelqu'un a connu l'homophobie. Si je marque un lieu pour quelqu'un que je ne connais pas, je les contacter en utilisant les médias sociaux en disant: "Je l'ai fait pour vous". Chaque pensée unique marque une histoire de quelqu'un qui a connu l'homophobie dans les rues. Je ne pense pas que cela finira. Je vais toujours les planter.C.L.

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Nigeria : une quarantaine de personnes arrêtées pour «homosexualité»

Publié le par justin

Nigeria : une quarantaine de personnes arrêtées pour «homosexualité»

Plus de quarante hommes ont été arrêtés ce week-end dans un hôtel du Nigeria. Ils sont accusés d’homosexualité.

C’est à 15h30, samedi, que des policiers ont fait irruption dans l’hôtel Vincent, situé dans la région de Lagos, capitale nigériane. Leur raid a mené à l’arrestation de 42 hommes, accusés d’avoir eu des «actes homosexuels».

Jusqu'à 14 ans de prison

L’hôtel en question est «connu pour abriter des homosexuels. Ils étaient là quand la police a frappé», a expliqué un témoin au site The Punch, précisant que les hommes, désormais entre les mains des autorités locales, passeraient «bientôt» au tribunal.

Les relations homosexuelles sont explicitement bannies dans 72 pays, dont le Nigeria. Les relations homosexuelles sont interdites dans le pays depuis 1901, et le président Goodluck Jonathan a durci la loi fin 2013. Depuis, tout témoignage d’affection entre deux personnes du même sexe est passible de 10 à 14 ans de prison, voire de lapidation dans certaines régions. Le mariage homosexuel est bien entendu formellement proscrit, tout comme «la cohabitation entre personnes dumême sexe». Autre nouveauté de cette loi, la non-dénonciation d’un homosexuel vaut jusqu’à dix ans de prison.

Loin d'être un cas isolé

Evidemment, cette législation a amplifié l’homophobie dans cette nation au paysage religieux très marqué. Ici, les courants chrétiens comme musulmans condamnent fermement les relations du même sexe.

Ainsi, cet incident est loin d’être un cas isolé. En avril, des policiers ont embarqué 53 personnes lors d'une fête, illégale car elle célébrait un mariage gay. Début juin, l’écrivain nigérian Chibuihe Obi a été porté disparu après la publication d’un essai sur l’allophobie, dans lequel il racontait les comportements hostiles qu’il avait eu à subir en tant qu’homosexuel. 

cnewsmatin.fr/

 

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Une vidéo montre la vie terrifiante des LGBTI en Tchétchénie

Publié le par justin

Un nouveau rapport détaille les comptes épouvantables de la torture et de la persécution

Le réseau LGBT russe a publié une nouvelle vidéo puissante qui explore les victimes de la «purge anti-gay» en Tchétchénie.

Il arrive que le groupe publie un nouveau rapport, basé sur des entretiens avec 33 hommes .

Le rapport détaille comment des douzaines sont mortes.

On pense maintenant que plus de 200  sont victimes de la «purge anti-LGBT».

Le groupe militant affirme que les victimes sont soumises à la torture, à l'humiliation et à l'extorsion en raison de leur homosexualité présumée.

En parlant de GSN, le groupe a déclaré qu'ils envisagent de prendre des mesures devant la Cour pénale internationale si la Russie ne commence pas une affaire criminelle. Ils appellent la purge un «crime contre l'humanité» dans le rapport.

Les personnes LGBTI en Tchétchénie ont été confrontées à des vagues de violence et de persécution depuis décembre 2016.

La vague la plus récente a  commencé en juillet et le réseau LGBT russe dit qu'elle se poursuit encore aujourd'hui.

Bien que, d'abord, les homosexuels soient confrontés à la persécution, maintenant tous les membres LGBTI sont victimes.

Une nouvelle vidéo du réseau LGBT russe, «Unable to breath» explique le contexte des «purges anti-LGBT» après des années de guerre dans le Caucus nord-russe.

Avertissement, la vidéo comporte des comptes et des visualisations que certains téléspectateurs peuvent trouver difficiles:

Une vidéo montre la vie terrifiante des LGBTI en Tchétchénie

Mass torture des homosexuels

La vidéo suit le compte d'un homme à partir du rapport.

Il dit que "sortir est impossible en Tchétchénie".

Vivant avec sa femme et sa famille, il prend soin de cacher sa sexualité.

Malgré une grande prudence, un sentier en ligne la dénoncé a la police 

Face à une semaine de persécution, il a été gardé dans un «sous-sol empilé avec des murs épais».

Il a  fait semblant de ne pas reconnaître les détenus, certains qu'il savait gay, de peur que cela confirme les soupçons des autorités.

En décrivant la torture de ses détenus, il décrit les récits de l'utilisation des bobines métalliques et de l'électricité dans les séances où les hommes sont battus dans les pièces les uns à côté des autres.

Bien que publié une semaine plus tard, tout le monde savait pourquoi il avait été arrêté, rendant la vie en Tchétchénie très difficile.

Il dit que sa famille ne croyait pas aux soupçons de la police, mais s'ils avaient "ils l'auraient assassiné eux-mêmes"

Le réseau LGBT russe a déclaré à GSN qu'ils avaient des preuves concrètes de deux cas où des membres de la famille ont tué quelqu'un soupçonné d'être gay.

Finalement, il a été obligé de fuir.

Depuis le 1er avril de cette année, le réseau LGBT russe dit avoir aidé plus de 60 personnes à fuir la République tchétchène.

La Tchétchénie a un «privilège légal»

Ce n'est pas le premier rapport à compiler des entrevues avec des personnes de la région.

La campagne sur les droits de l'homme a publié un rapport de 42 pages sur la persécution des homosexuels en Tchétchénie sur la base d'entretiens avec 6 victimes.

Cependant, cette nouvelle collection détaillée de 33 entretiens contient également un contexte historique sur ce qui se passe dans le caucus du Nord avec beaucoup de détails.

Il explique que, il y a 10 ans, Moscou a accordé l'autorité sur la République tchétchène à un Ramzan Kadyrov, âgé de 30 ans.

Chargés de lutter contre les séparatistes islamistes, ils ont bénéficié de l'exemption de la règle du droit russe.

Par conséquent, cette immunité est devenue la base du régime qui existe aujourd'hui en Tchétchénie.

Ramzan Kadyrov reste le leader de la Tchétchénie, a longtemps nié que les purges ont eu lieu.

Un porte-parole a affirmé en avril que les rapports étaient des «mensonges absolus et de la désinformation» et il n'y avait pas d'hommes homosexuels en Tchétchénie.

Une méthode consistant à abolir les séparatistes dans le régime était de mettre en œuvre un sentiment de «responsabilité partagée».

Par conséquent, l'état suggère que le séparatisme provient de l'éducation familiale.

Inculquer le concept de garder la société tchétchène contre les conflits armés, tous ceux qui sont liés aux séparatistes doivent «partager la responsabilité».

Cela a conduit à des proches des séparatistes détenus en otage, des ménages incendiés, ainsi que des lois de lynchisme et des essais de mob.

Les LGBTI ne sont que la dernière minorité pour faire face à la persécution

Avec les cas de séparatisme islamiste maintenant inférieur, le rapport dit:

«La lutte contre le terrorisme n'était plus une raison viable pour justifier le régime absolutiste existant.

«Les autorités tchétchènes ont commencé une recherche active pour une autre raison de rester».

Le rapport indique que les autorités tchétchènes ont fait cela en réprimant la dissidence.

Le porte-parole du réseau LGBT russe a déclaré à GSN que:

«L'État et le leader Kadyrov perpétuent la rhétorique générale de la morale, ils choisissent les lignes morales entre ceux qui peuvent vivre et qui peuvent mourir.

«Ils n'acceptent pas les boissons, les drogues, les personnes LGBT»

Réfléchissant en passant d'une répression aux groupes séparatistes islamistes aux personnes LGBT, le porte-parole a déclaré que ce n'était pas différent du poème de Martin Niemoller et ensuite ils sont venus pour nous. Ajouter:

«C'est exactement ce qui se passe, c'est la création artificielle des lignes de moralité.

«Quand il y a une personne qui définit ces mœurs, tu ne sais jamais qui est la prochaine».

 

C.L.

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L'activiste gay italien Vincenzo Ruggiero a été assassiné,des images choquantes de la video surveillance

Publié le par justin

L'activiste gay italien Vincenzo Ruggiero a été assassiné,des images choquantes de la video surveillance

Confession: «J'ai chargé le cadavre dans la voiture et je l'ai jeté à la mer»

L'officier de la marine de 35 ans, Ciro Guarente, a avoué avoir assassiné le militant gay de 25 ans Vincenzo Ruggiero aujourd'hui (29 juillet).

Ruggiero est tué le 7 juillet dans la région de Giugliano en Italie

Des séquences de vidéo surveillance choquantes ont montré que Guarente a déplacé le corps de Ruggiero dans le dos de sa voiture, il fallait donc l'avouer.

Dans ses confessions, Guarente a déclaré: "Oui, j'ai tué Vincenzo parce qu'il avait une amitié avec mon partenaire.

"Puis, après avoir chargé le cadavre dans la voiture, je l'ai jeté sur Mer à Licola", selon Il Mattino.

Son partenaire est  Heven Grimaldi, une femme transgenre, et l'habitant de Ruggiero.

«Mon seul but est de vous trouver et d'être heureux»

La mère de Vincenzo Ruggiero a signalé la disparition de son fils le même jour qu'il a disparu.

Ensuite,  Grimaldi a posté  plusieurs plaidoyers passionnés sur Facebook pour trouver son ami et son compagnon de maison.

Elle a dit: 

«Chaque lieu et chaque circonstance me ramène à toi, je te regarde dans les visages de toutes les personnes que je rencontre dans la rue.

«Votre abandon inexpliqué diminue mon âme. Mon seul but est de vous trouver et d'être heureux ", a-t-elle écrit.

Elle a également publié une vidéo de son temps ensemble.

Des enquêtes sont en cours pour récupérer le corps dans l'océan, avec le soutien du bureau du Maître du port de Naples.

Guarente a été arrêté pour meurtre et dissimulation d'un corps.

 

C.L.

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Michigan La mort d'un prisonniers traitée comme un homicide serait d'aprés les détenus de l'homophobie

Publié le par justin

Michigan La mort d'un prisonniers traitée comme un homicide serait d'aprés les détenus de l'homophobie

Les détenus disent que la mort est survenue parce que la victime était gay. La prison confirme que le suspect a demandé de changer de cellule mais n'a pas dit pourquoi

Les autorités du Michigan disent qu'elles traitent le décès d'un détenu dans l'établissement correctionnel de Alger Country en tant qu'homicide.

Rodriguez Montez Burks, âgé de 23 ans, purgeait une peine d'emprisonnement de 2 à 10 ans pour les agents en fuite et éloignés dans le comté de Livingston en 2016. Il a eu neuf mois pour servir avant d'être admissible à la libération conditionnelle.

Il a été retrouvé mort dans sa cellule le 20 juillet. Les autorités pénitentiaires ont confirmé qu'elles traitent la mort comme un homicide et que le compagnon de cellule de Burks est le prétendu suspect. Ils n'ont pas divulgué le nom de son le compagnon de cellule ou la cause spécifique de décès.

'Je ne vais pas être enfermé ici avec un fag'

Detroit Michigan Times rapporte avoir parlé avec d'autres détenus, qui disent que le compagnon de cellule de Burks a été placé dans la cellule juste deux jours avant sa mort.

Ils disent que le compagnon de cellule précédent de Burk était également gay, mais que lui et son nouveau compagnon de cellule se sont immédiatement affrontés en raison de sa sexualité.

«Le vieil garçon était comme« Hé, je ne serai pas enfermée ici avec un fag », a déclaré Todd Wentworth dans son journal.

Un autre détenu, Edward Spear, a déclaré: «Ce monsieur a dit très clairement à la garde :« Ecoute, je vais blesser ce gars si tu ne me déplace pas dans cette cellule. »Burks aussi dit à [ autre membre ]:« Je Ne peut pas etre verrouiller avec ce type; Nous avons des problèmes, nous ne pouvons pas le faire ".

Les deux détenus affirment que les autorités pénitentiaires n'ont pas agi sur les demandes des hommes pour être séparés.

Un porte-parole du Département de correction du Michigan (MDOC), Chris Gautz, a déclaré que le personnel pénitentiaire fera tout ce qu'il peut pour déplacer des prisonniers s'ils signalent que leur sécurité est en danger.

Il a déclaré que «tous les aspects de l'incident» seraient examinés et, «s'il est déterminé, une règle de travail a été violée, un agent ou tout membre du personnel pourrait subir des répercussions».

"Nous venions de recevoir un énorme afflux de prisonniers d'une autre prison, alors le personnel était occupé"

En parlant de GSN, Gautz a contesté que le suspect avait informé le personnel qu'il avait un problème avec la sexualité de Burks ou avait l'intention de le nuire.

«Nous savons qu'il y a eu une demande du prétendu suspect de se déplacer, mais il n'a jamais donné aucune indication quant à la raison pour laquelle.

"Il vient de dire qu'il voulait déménager, et nous recevons beaucoup de ces demandes tous les jours, et des centaines sont probablement hebdomadaires, et nous les traitons au fur et à mesure que nous les mettons en ordre.

«Je sais que l'implication de certains des prisonniers était qu'il était très explicite en disant:« Mon  compagnon de cellule est homosexuel ... Je vais le blesser »ou des choses comme ça, mais cela n'a pas été indiqué à notre personnel. Parce que si cela avait été, nous lui aurions écrit un billet et éventuellement le mettre en ségrégation pour un comportement menaçant.

"S'il était venu chez un de nos officiers et a dit:" Si vous ne me déplacez pas, je vais tuer mon compagnon de cellule ", nous lui aurions écrit un billet pour menacer une force mortelle contre un autre prisonnier et nous aurions Le met en ségrégation, et nous nous sommes assurés que l'autre prisonnier était en sécurité.

"Mais dans ce cas, tout ce qu'il a dit, il voulait déménager, et nous recevons beaucoup de ces demandes tout le temps.

«Ce jour-là, cela s'est produit, nous venions de recevoir un énorme afflux de prisonniers d'une autre prison.

«Le personnel était occupé toute la journée à placer ces nouveaux prisonniers avec les détenus, de sorte que le prisonnier a été informé:« Nous devons transporter tous ces nouveaux prisonniers dans leurs couchettes et les installer pour la journée - nous parler demain et nous pouvons vous adresser à votre demande."'

Il a déclaré que les enquêtes sur la mort de Burks étaient en cours.

Burks est né à Grand Haven et a grandi à Muskegon. Un service funéraire aura lieu lundi .

 

C.L.

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Les membres LGBT d'un groupe de guérilla se battent contre ISIS en Syrie.

Publié le par justin

Les membres LGBT d'un groupe de guérilla se battent contre ISIS en Syrie.

Après trois ans d'hommes qui ont été jetés dans les bâtiments et décapités après avoir été accusé d'être gay, un sous-groupe a fondé un but: «Fagots tuer les fascistes».

Son nom: l'armée d'insurrection et de libération du Queer, ou TQILA (dit Tequila).

Il fait partie des forces de guérilla du peuple révolutionnaire international (IRPGF), un mouvement anarchiste.

Annoncé sur Twitter, le groupe montre des combattants bénévoles de la liberté qui tiennent le message de leur groupe, leur logo (un symbole anarchiste, une arme sur fond rose) et le drapeau fierté arc-en-ciel de Raqqa.

Le drapeau Pride a été créé par le groupe à Rojava, une région autonome dans le nord de la Syrie.

«Ces Fagots tuent les fascistes! ils ont dit.

«Nous retournons! Le drapeau noir et rose et arc-en-ciel est volé à Raqqa.  écrasant le caliphe. '

Parlant de Gay Star News, un porte-parole de l'IRPGF a déclaré que le groupe a déjà participé est composé de «plusieurs genres».

«Nos forces ont engagé l'ennemi dans de multiples batailles», nous ont-ils dit.

«Les membres de TQILA ont regardé avec horreur que les forces fascistes et extrémistes du monde entier ont attaqué la communauté LGBT et ont assassiné un certain nombre de membres de notre communauté en citant qu'ils sont« malades »,« malades »et« non naturels », ont-ils déclaré dans un communiqué.

«Les images des hommes homosexuels jetés sur les toits et tués par Daesh étaient quelque chose que nous ne pouvions pas supporter.

Les membres LGBT d'un groupe de guérilla se battent contre ISIS en Syrie.

Le groupe note que ISIS n'est pas le seul groupe qui tue les personnes LGBTI et non binaires motivées par la religion, et il existe de nombreuses personnes religieuses accueillant des personnes étranges.

«Notre engagement à lutter contre l'autorité, le patriarcat, l'hétéro-émotion oppressive, le bizarre / l'homophobie et la transphobie sont renforcés par les progrès révolutionnaires et les gains de la lutte des femmes kurdes», disent-ils dans le communiqué.

«C'est cette nécessité et ce désir de renforcer les gains de la révolution féminine tout en avançant la lutte étrange qui a motivé les camarades de l'IRPGF à former TQILA».

«Libération étrange! La déclaration se termine. 'Tirez en arrière! Ces fagots tuent les fascistes! '

Depuis sa montée en puissance en Irak à la mi-2014, ISIS a publié de nombreuses images de propagande et des images du groupe d'homosexuels homosexuels et bisexuels.

Après les avoir bandés les yeux et les avoir emmenés sur le toit d'un bâtiment, ils sont jetés. S'ils survivent, une foule les fait mourir.

D'autres personnes LGBTI ont été décapitées, mutilées, torturées et brûlées vivantes.

ISIS a décrit les homosexuels comme les «pires des créatures».

Un groupe de guérilla se bat contre le groupe qui les appelle les «pires des créatures»

C.L.

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«En Tunisie, une chasse aux sorcières s'est déclarée contre les homosexuels»

Publié le par justin

«En Tunisie, une chasse aux sorcières s'est déclarée contre les homosexuels»

 Traqués, soumis de force à un «test anal», emprisonnés... Les membres de la communauté LGBT vivent un calvaire en Tunisie. Témoignages.

El-Menzeh, le quartier chic des ambassades à Tunis. Mounir Baatour ouvre sa porte. Les traits tirés, la mine soucieuse, cet avocat de 46 ans semble crouler sous le travail. Il préside l’association Shams (soleil, en arabe) qui milite pour le droit des homosexuels et personnes LGBT en Tunisie. Au pays du Printemps arabe et de la nouvelle démocratie, le gouvernement continue à traquer sans relâche la communauté gay. En vertu de l’article 230 du Code pénal, «le crime de sodomie» est encore passible d’une peine de trois ans d’emprisonnement. Selon l’association, 47 personnes ont été arrêtées depuis le début de 2017. Une vingtaine est toujours derrière les barreaux.

«Les choses ont empiré depuis la chute de Ben Ali puis l’accès au pouvoir du parti islamo-conservateur Ennahdha, explique Mounir Baatour. L’Etat et la police persécutent les homosexuels. C’est une véritable chasse aux sorcières qui a été déclarée.»

Mounir Baatour a 18 ans quand il part à Grenoble pour poursuivre ses études de droit. C’est en France qu’il découvre sa sexualité et qu’il rencontre Laurent, avec qui il partage quinze ans de sa vie. Dans son entourage, son homosexualité reste taboue. «C’est un non-dit, on n’en parle jamais, confie l’avocat. Mais je m’estime chanceux, car j’entretiens des relations cordiales avec ma famille. La plupart des homosexuels sont reniés et expulsés de leurs maisons.» Après quelques années en France et son diplôme d’avocat en poche, Mounir rentre au pays et commence à exercer. Il fait de nombreux allers-retours entre Tunis et Paris. «Là-bas, il y avait un milieu et un tissu associatif où je pouvais m’épanouir. En Tunisie, c’est le néant.»

C’est en partie ce qui le pousse à rejoindre Shams. L’association a créé un service d’assistance sociale qui permet aux homosexuels de trouver un hébergement et un travail. Une aide juridique et psychologique gratuite a aussi été mise en place. Actuellement, Mounir Baatour défend bénévolement une dizaine de jeunes gens, risquant des peines de prison allant de quatre mois à trois ans.

Les locaux de Shams sont tenus secrets, par peur de représailles. Pourtant, le courage ne manque pas quand il s’agit de descendre dans la rue pour militer. Le 2 mai, une quinzaine de manifestants se sont réunis devant le siège du Conseil national de l’ordre des médecins. Raison de leur contestation? Le test anal, une pratique encore très répandue en Tunisie.

L’enfer du test anal

Pour «prouver» l’homosexualité d’une personne, un test anal est pratiqué par des médecins légistes réquisitionnés par l’Etat. Sans réelle validité médicale, ce contrôle consiste à rechercher «des fissures» et des signes de «dilatation», censés prouver une activité sexuelle régulière. L’examen fait office de preuve officielle pour la justice tunisienne. «C’est du grand n’importe quoi, déclare Karel Skala, chirurgien proctologue à Genève. Cette pratique n’est en aucun cas une preuve scientifique. Les fissures annales sont communes dans toutes les couches de la population. Quant à la dilatation, elle n’est présente que de manière minoritaire chez les homosexuels.» Pour le dire plus brutalement, l’ONG Human Rights Watch qualifie ce test de «torture».

Achref, un jeune homme de 24 ans, en a fait les frais l’été dernier. Alors qu’il se promenait dans les rues de Tunis, un groupe de policiers l’a arrêté. «Ils m’ont dit que j’étais trop efféminé pour être hétéro. Ils m’ont emmené au poste et enfermé dans une cellule. Le lendemain matin, ils m’ont forcé à faire un test anal qui s’est révélé négatif. Je me suis senti violé…» Défendu par Mounir Baatour, le jeune homme risque tout de même une peine de huit mois de prison. La faute de son air «trop efféminé».

«Kidnappé et tabassé»

Les kidnappings de personnes LGBT sont monnaie courante en Tunisie. Le corps de Batri, un jeune transsexuel originaire de Monastir, porte encore les traces des sévices infligés par ses agresseurs. «J’ai perdu l’usage de ma main, après avoir reçu un coup de couteau en pleine rue, sans que personne ne bouge. J’attends encore une greffe de peau.» Quelques mois plus tard, le cauchemar continue. Batri se fait kidnapper près de chez lui. «Des hommes sont sortis d’une voiture, m’ont capturé et enfermé dans une maison. Ils m’ont tabassé. L’un d’eux a essayé de me violer.» Le jeune transsexuel a réussi à s’enfuir. Un témoignage vidéo, où il raconte son histoire, est visible sur la page Facebook de l’association.

Le 3 avril, le Conseil de l’ordre des médecins a diffusé un communiqué appelant les médecins légistes «à informer les personnes qu’ils ont à examiner de leur droit de refuser l’examen anal». Une prise de position timide jugée insuffisante par Mounir Baatour. «Nous militerons tant que le gouvernement n’aura pas dépénalisé l’homosexualité et banni définitivement le test anal.» L’association a récemment reçu la grande médaille de la ville de Paris des mains de la maire Anne Hidalgo, pour son engagement en faveur des droits des LGBT.

 

24heures.ch

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La Maison Blanche a finalement parlé de la persécution de Tchechenie contre les homosexuels

Publié le par justin

La Maison Blanche a finalement parlé de la persécution de Tchechenie contre les homosexuels
Le président de la Tchétchénie sur les homosexuels: «Ce sont des démons. Ils sont en vente. Ce ne sont pas des gens.
 
L'administration du président Donald Trump a finalement réagi à la persécution de Chechyna contre les homosexuels.
 
Ramzan Kadyrov, le président tchétchène, a parlé avec HBO pour dénier les rapports d'une «purge gay» dans la région.
 
Il a dit s'il y avait des gens homosexuels dans la région autonome russe, à qui il appelait «démons», «à vendre» et «pas de gens», ils devraient déménager au Canada.
La porte-parole du Département d'Etat américain, Heather Nauert, a déclaré que son département a trouvé que ces commentaires étaient «très préoccupants et aussi perturbateurs».
 
Elle a également affirmé que l'administration soulève le problème avec les autorités russes «au plus haut niveau».
 
Cependant, Trump et le secrétaire d'État Rex Tillerson ont tous deux refusé de parler des atteintes aux droits humains de Chechyna avec le président Vladimir Poutine au cours des dernières semaines.
 
Kadyrov a répondu aux questions du David Scott de HBO, qui a élevé la torture et le meurtre d'hommes homosexuels dans la république russe.
Scott a demandé: «Je voulais vous interroger sur le récurrent présumé, l'enlèvement et la torture des homosexuels dans la République».
 
A quoi Kadyrov a répondu: "Pourquoi est-il [Scott] venu ici? Quel est le but de ces questions?
'Ça n'a pas de sens. Nous n'avons pas ce type de personnes ici.
«Nous n'avons pas de gays.
«S'il en existe, prenez-les au Canada.
Dieu soit loué. Prenez-les loin de nous, donc nous ne les avons pas à la maison. Pour purifier notre sang, s'il y en a ici, prenez-les, dit-il.
 
Après avoir insisté sur la question, il a poursuivi: «Ce sont des démons. Ils sont en vente.
«Ce ne sont pas des gens.
"Dieu les damne pour ce qu'ils nous accusent. Ils devront répondre au Tout-Puissant pour cela ", a déclaré Kadyrov.
 
C.L.

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