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Articles avec #homophobie tag

«En Tunisie, une chasse aux sorcières s'est déclarée contre les homosexuels»

Publié le par justin

«En Tunisie, une chasse aux sorcières s'est déclarée contre les homosexuels»

 Traqués, soumis de force à un «test anal», emprisonnés... Les membres de la communauté LGBT vivent un calvaire en Tunisie. Témoignages.

El-Menzeh, le quartier chic des ambassades à Tunis. Mounir Baatour ouvre sa porte. Les traits tirés, la mine soucieuse, cet avocat de 46 ans semble crouler sous le travail. Il préside l’association Shams (soleil, en arabe) qui milite pour le droit des homosexuels et personnes LGBT en Tunisie. Au pays du Printemps arabe et de la nouvelle démocratie, le gouvernement continue à traquer sans relâche la communauté gay. En vertu de l’article 230 du Code pénal, «le crime de sodomie» est encore passible d’une peine de trois ans d’emprisonnement. Selon l’association, 47 personnes ont été arrêtées depuis le début de 2017. Une vingtaine est toujours derrière les barreaux.

«Les choses ont empiré depuis la chute de Ben Ali puis l’accès au pouvoir du parti islamo-conservateur Ennahdha, explique Mounir Baatour. L’Etat et la police persécutent les homosexuels. C’est une véritable chasse aux sorcières qui a été déclarée.»

Mounir Baatour a 18 ans quand il part à Grenoble pour poursuivre ses études de droit. C’est en France qu’il découvre sa sexualité et qu’il rencontre Laurent, avec qui il partage quinze ans de sa vie. Dans son entourage, son homosexualité reste taboue. «C’est un non-dit, on n’en parle jamais, confie l’avocat. Mais je m’estime chanceux, car j’entretiens des relations cordiales avec ma famille. La plupart des homosexuels sont reniés et expulsés de leurs maisons.» Après quelques années en France et son diplôme d’avocat en poche, Mounir rentre au pays et commence à exercer. Il fait de nombreux allers-retours entre Tunis et Paris. «Là-bas, il y avait un milieu et un tissu associatif où je pouvais m’épanouir. En Tunisie, c’est le néant.»

C’est en partie ce qui le pousse à rejoindre Shams. L’association a créé un service d’assistance sociale qui permet aux homosexuels de trouver un hébergement et un travail. Une aide juridique et psychologique gratuite a aussi été mise en place. Actuellement, Mounir Baatour défend bénévolement une dizaine de jeunes gens, risquant des peines de prison allant de quatre mois à trois ans.

Les locaux de Shams sont tenus secrets, par peur de représailles. Pourtant, le courage ne manque pas quand il s’agit de descendre dans la rue pour militer. Le 2 mai, une quinzaine de manifestants se sont réunis devant le siège du Conseil national de l’ordre des médecins. Raison de leur contestation? Le test anal, une pratique encore très répandue en Tunisie.

L’enfer du test anal

Pour «prouver» l’homosexualité d’une personne, un test anal est pratiqué par des médecins légistes réquisitionnés par l’Etat. Sans réelle validité médicale, ce contrôle consiste à rechercher «des fissures» et des signes de «dilatation», censés prouver une activité sexuelle régulière. L’examen fait office de preuve officielle pour la justice tunisienne. «C’est du grand n’importe quoi, déclare Karel Skala, chirurgien proctologue à Genève. Cette pratique n’est en aucun cas une preuve scientifique. Les fissures annales sont communes dans toutes les couches de la population. Quant à la dilatation, elle n’est présente que de manière minoritaire chez les homosexuels.» Pour le dire plus brutalement, l’ONG Human Rights Watch qualifie ce test de «torture».

Achref, un jeune homme de 24 ans, en a fait les frais l’été dernier. Alors qu’il se promenait dans les rues de Tunis, un groupe de policiers l’a arrêté. «Ils m’ont dit que j’étais trop efféminé pour être hétéro. Ils m’ont emmené au poste et enfermé dans une cellule. Le lendemain matin, ils m’ont forcé à faire un test anal qui s’est révélé négatif. Je me suis senti violé…» Défendu par Mounir Baatour, le jeune homme risque tout de même une peine de huit mois de prison. La faute de son air «trop efféminé».

«Kidnappé et tabassé»

Les kidnappings de personnes LGBT sont monnaie courante en Tunisie. Le corps de Batri, un jeune transsexuel originaire de Monastir, porte encore les traces des sévices infligés par ses agresseurs. «J’ai perdu l’usage de ma main, après avoir reçu un coup de couteau en pleine rue, sans que personne ne bouge. J’attends encore une greffe de peau.» Quelques mois plus tard, le cauchemar continue. Batri se fait kidnapper près de chez lui. «Des hommes sont sortis d’une voiture, m’ont capturé et enfermé dans une maison. Ils m’ont tabassé. L’un d’eux a essayé de me violer.» Le jeune transsexuel a réussi à s’enfuir. Un témoignage vidéo, où il raconte son histoire, est visible sur la page Facebook de l’association.

Le 3 avril, le Conseil de l’ordre des médecins a diffusé un communiqué appelant les médecins légistes «à informer les personnes qu’ils ont à examiner de leur droit de refuser l’examen anal». Une prise de position timide jugée insuffisante par Mounir Baatour. «Nous militerons tant que le gouvernement n’aura pas dépénalisé l’homosexualité et banni définitivement le test anal.» L’association a récemment reçu la grande médaille de la ville de Paris des mains de la maire Anne Hidalgo, pour son engagement en faveur des droits des LGBT.

 

24heures.ch

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La Maison Blanche a finalement parlé de la persécution de Tchechenie contre les homosexuels

Publié le par justin

La Maison Blanche a finalement parlé de la persécution de Tchechenie contre les homosexuels
Le président de la Tchétchénie sur les homosexuels: «Ce sont des démons. Ils sont en vente. Ce ne sont pas des gens.
 
L'administration du président Donald Trump a finalement réagi à la persécution de Chechyna contre les homosexuels.
 
Ramzan Kadyrov, le président tchétchène, a parlé avec HBO pour dénier les rapports d'une «purge gay» dans la région.
 
Il a dit s'il y avait des gens homosexuels dans la région autonome russe, à qui il appelait «démons», «à vendre» et «pas de gens», ils devraient déménager au Canada.
La porte-parole du Département d'Etat américain, Heather Nauert, a déclaré que son département a trouvé que ces commentaires étaient «très préoccupants et aussi perturbateurs».
 
Elle a également affirmé que l'administration soulève le problème avec les autorités russes «au plus haut niveau».
 
Cependant, Trump et le secrétaire d'État Rex Tillerson ont tous deux refusé de parler des atteintes aux droits humains de Chechyna avec le président Vladimir Poutine au cours des dernières semaines.
 
Kadyrov a répondu aux questions du David Scott de HBO, qui a élevé la torture et le meurtre d'hommes homosexuels dans la république russe.
Scott a demandé: «Je voulais vous interroger sur le récurrent présumé, l'enlèvement et la torture des homosexuels dans la République».
 
A quoi Kadyrov a répondu: "Pourquoi est-il [Scott] venu ici? Quel est le but de ces questions?
'Ça n'a pas de sens. Nous n'avons pas ce type de personnes ici.
«Nous n'avons pas de gays.
«S'il en existe, prenez-les au Canada.
Dieu soit loué. Prenez-les loin de nous, donc nous ne les avons pas à la maison. Pour purifier notre sang, s'il y en a ici, prenez-les, dit-il.
 
Après avoir insisté sur la question, il a poursuivi: «Ce sont des démons. Ils sont en vente.
«Ce ne sont pas des gens.
"Dieu les damne pour ce qu'ils nous accusent. Ils devront répondre au Tout-Puissant pour cela ", a déclaré Kadyrov.
 
C.L.

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Le chef tchétchène Ramzan Kadyrov approuve des familles tuant leurs enfants homosexuels

Publié le par justin

Le chef tchétchène Ramzan Kadyrov approuve des familles tuant leurs enfants homosexuels

"Même si c'est punissable en vertu de la loi, nous le tolérons toujours"

Le chef de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov, a déclaré qu'il tolère le meurtre d'hommes homosexuels par leurs propres familles.

Dans une récente interview avec David Scott de HBO Real Sport, Kadyrov a déclaré: «Si nous avons des gens [homosexuels] ici, je vous dis officiellement que leurs proches ne les laisseront pas en raison de notre foi, de notre mentalité, de nos coutumes, de nos traditions.

«Même si c'est punissable en vertu de la loi, nous la tolérons encore», at-il ajouté.

La Maison-Blanche s'est finalement prononcée contre le traitement des homosexuels par la Tchétchénie.

La porte-parole du département d'État américain, Heather Nauert, a déclaré que son département a trouvé ces commentaires «très préoccupants et aussi perturbateurs».

Elle a également affirmé que l'administration soulevait le problème avec les autorités russes au plus haut niveau.

Cependant, Trump et le secrétaire d'État, Rex Tillerson, ont tous deux refusé de parler des atteintes aux droits de l'homme en Tchétchénie avec le président Vladimir Poutine au cours des dernières semaines.

Dans le même entretien, Kadyrov a continué avec ses commentaires anti-gay: «Ce sont des démons. Ils sont en vente.

«Ce ne sont pas des gens.

"Dieu les damne pour ce qu'ils nous accusent. Ils devront répondre au Tout-Puissant pour cela ", a déclaré Kadyrov.

Il a également affirmé que la Tchétchénie n'a pas de personnes homosexuelles. Il a dit: "Nous n'avons pas de gays.

«S'il en existe, prenez-les au Canada.

'Dieu soit loué. Prenez-les loin de nous, donc nous ne les avons pas à la maison. Pour purifier notre sang, s'il y en a ici, prenez-les, a déclaré Ramzan Kadyrov.

Première interview des médias occidentaux avec Ramzan Kadyrov

Scott est la première personne à parler à Ramzan Kadyrov d'un média occidental.

Il a déclaré à SiriusXM : «C'était incroyablement intimidant. J'étais nerveux. Je suis toujours nerveux.

«Ce que vous devez vous soucier de ce que vous vivez, vous avez une vision très précise de l'histoire qu'ils ont voulu dire.

«Il a été capable de traquer et de vaincre ses critiques aussi loin que Dubaï et l'Autriche», at-il révélé.

Sur l'attitude de Kadyrov envers les homosexuels, Scott a déclaré: «[Le pays est] une société de combattants forcés par la force d'un homme fort.

«[Il] paie un prix cher - et certainement quiconque n'est pas en serrure avec ce régime, qu'il s'agisse de critiques politiques ou de journalistes ou d'hommes homosexuels - il n'y a pas de place pour ces personnes dans la république de Ramzan Kadyrov», a-t-il déclaré .

 

C.L.

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Canular "homophobe" d'Hanouna : ambiance glaciale à l'audition de Canal+

Publié le par justin

Canular "homophobe" d'Hanouna : ambiance glaciale à l'audition de Canal+

Les dirigeants du groupe Canal+ ont été auditionnés ce mercredi 19 juillet dans une ambiance "glaciale", pour défendre l'émission de Cyril Hanouna où l'animateur avait réalisé un canular jugé homophobe.

La défense du groupe Canal+, propriétaire de la chaîne C8 dont Hanouna est l'animateur vedette, s'est basée sur la liberté d'expression et le droit à l'humour, selon une source proche du dossier s'exprimant sous couvert d'anonymat. L'avocat de la maison-mère de C8, Emmanuel Glaser, a assuré que Canal+ n'accepterait pas d'être taxé d'homophobie.

 
 

Il a aussi fait valoir devant le CSA que le canular n'était pas une blague homophobe et ne saurait remettre en cause l'engagement de Canal+ pour la défense des droits des homosexuels, notamment à travers le financement de films sur ce thème, selon elle.

TPMP interdit pendant une semaine à la rentrée ?

Le rapporteur public missionné par le CSA a préconisé la suspension pendant une semaine à la rentrée de l'émission de Cyril Hanouna, "Touche pas à mon poste" ou de "toute autre émission analogue", a rapporté cette source. "L'atmosphère était glaciale, le président du CSA ne s'est pas levé pour accueillir la délégation de Canal+. Olivier Schrameck estime que Canal a traité le CSA comme jamais une autorité administrative indépendante n'a été traitée", a souligné cette même source.

Le directeur de Canal+ Gérald-Brice Viret a ensuite pris la parole pour expliquer que le groupe avait beaucoup souffert des conséquences de ce canular, alors qu'il n'y avait pas la moindre intention de blesser, et s'est excusé. Cyril Hanouna n'était pas présent à cette audition qui a duré moins d'une heure.

Délibération le 26 juillet

Joint mercredi, Canal+ n'a pas souhaité s'exprimer sur le dossier en cours. Sans donner d'indications sur le contenu des échanges, le CSA a précisé que les sages devraient délibérer le mercredi 26 juillet. Dans ce canular diffusé le 18 mai, Cyril Hanouna s'était fait passer pour un bisexuel dans une petite annonce, et répondait de façon caricaturale et en direct aux hommes qui le contactaient. Une séquence qui a suscité des milliers de plaintes de téléspectateurs auprès du CSA

L'animateur s'est depuis excusé et a réfuté les accusations d'homophobie. Début juin, le CSA a privé de publicité pour trois semaines l'émission, une sanction inédite décidée après deux autres séquences diffusées en novembre et décembre 2016, épinglées respectivement pour atteinte au respect de la personne humaine et pour sexisme.

.midilibre.fr

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Le secrétaire général du Conseil musulman ma forcé de démissionner après avoir assisté au mariage du fils gay

Publié le par justin

Le secrétaire général du Conseil musulman ma forcé de démissionner après avoir assisté au mariage du fils gay

«Pour nous, il s'agit de défendre le dieu d'Ali qui a le droit de vivre une vie qui ne serait pas remplie du fardeau de la culpabilité religieuse et aggravée par le mépris commun et la honte sociale»

Une mère dit qu'elle a été forcée de démissionner en tant que secrétaire général d'une organisation de foi islamique après avoir assisté au mariage de son fils gay.

Plus tôt ce mois-ci, un homme homosexuel nommé Ali Reza a épousé son partenaire Paul à Vancouver. 

Il vient après un couple qui a eu l'un des premiers mariages homosexuels du Royaume-Uni impliquant un partenaire musulman a recu des insultes en ligne de certains musulmans

La famille d'Ali Reza a donné son plein soutien et a célébré le mariage, mais ils sont rapidement devenus la cible de la condamnation publique des dirigeants de leur secte Shia Ithna-Asheri, également connue sous le nom de Khoja.

Une pétition a commencé à demander que la mère d'Ali Reza, Siddika, démissionne de son poste de secrétaire général de NASIMCO (l'Organisation des communautés musulmanes chiites américaines Shia Ithna-Asheri).

La pétition , qui a reçu près de 1000 signatures, a déclaré: "Il est incontestable que le secrétaire général, [Siddika], a participé au mariage de même sexe de son fils. Le mariage a été célébré ouvertement et avec fierté, avec # AliandPaul2017 hashtag sur le thème social médias.

 

"Bien que nous croyons qu'il n'est pas nécessaire d'examiner de manière approfondie ou profonde la vie personnelle des membres de NASIMCO, cet incident ne peut être rejeté comme« la vie personnelle de la famille [d'Ali Reza »].

"Traditionnellement, un mariage est une manifestation publique d'une relation. Ce péché n'a pas été fait en privé, mais a été célébré et promu publiquement. Cela va à l'encontre des interprétations majoritaires légitimes de Jaffari fiqh, que NASIMCO doit défendre".

C'est aussi pour la démission du président de l'organisation, Mohammad A Dewji, disant qu'il connaissait le mariage à l'avance, mais qu'il ne l'a pas condamné. 

La mère du marié, Siddika, a été forcée de démissionner de son poste chez NASIMCO.

Son avis de démission, envoyé sous la forme d'une lettre ouverte , décrit comment elle a accepté l'homosexualité de son fils et a soutenu son mariage avec Paul. 

C.L.

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Nightclub bouncer à Fidji accusé d'avoir agressé des personnes LGBTI

Publié le par justin

Nightclub bouncer à Fidji accusé d'avoir agressé des personnes LGBTI

"Chaque fois que nous entrons dans le club si nous sommes habillés comme une fille, nous devons payer 10 $".

Les membres de la communauté LGBTI de Fidji disent qu'ils ont été confrontés à un harcèlement continu et même à des agressions physiques présumées dans une discothèque populaire.

Deux personnes ont déposé plainte pour 'agression contre un videur de la  discothèque. Ils auraient été assaillis sur deux nuits séparées.

L'une des victimes, Francis Rokili, a déclaré que le dernier incident c'est produit après que l'argent a été volé d'une table près de l'endroit où le groupe était debout. On leur avait demandé de s'occuper de la table alors que son occupant masculin utilisait les toilettes.

«Au moment où il revenait des toilettes, l'argent était parti. Donc, le bouncer était en colère contre nous parce que nous lui avons expliqué ce qui s'est passé ", a déclaré Rokili à Fiji One News .

"Et il le frappe (l'ami de Rokili) et nous l'a fait tomber. Et ils ont beaucoup fait cela ... mais pour nous, la communauté LGBTI.

"Chaque fois que nous entrons dans le club si nous sommes habillés comme une fille, nous devons payer 10 $, mais personne d'autre ne paye".

La police a agi rapidement

Le commissaire aux droits de l'homme et à la lutte contre la discrimination de Fidji (HRADC) Ashwin Raj a déclaré que la police a agi rapidement pour répondre aux accusations.

Raj, qui a été un défenseur LGBTI depuis longtemps, a déclaré qu'il croyait qu'ils étaient ciblés en raison de leur sexualité et de leur identité de genre.

Selon un rapport dans le village de Fidji , Raj a déclaré que les victimes avaient des ecchymoses faciales et ont été émotionnellement marquées par l'incident.

Le HRADC enquête également sur l'incident.

Peur de signaler un crime

La communauté LGBTI de Fidji a l'habitude d'avoir peur de déclarer la violence homophobe ou transphobique à la police.

En février, deux hommes qui ont été agressés samedi soir ne sont pas allés à la police. Ils craignaient les réactions de la police et les représailles de leurs attaquants.

«Nous devons non seulement condamner, mais nous devons agir activement pour résister à ces actes de discrimination et de violence», a déclaré Ashwin Raj à l'époque.

«Cela signifierait que non seulement la police, et pas seulement la loi, mais la société doit être informée de ces choses».

C.L.

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Un enseignant bisexuel est venu aider les étudiants suicidaires mais a perdu son travail

Publié le par justin

Un enseignant bisexuel est venu aider les étudiants suicidaires mais a perdu son travail

"Il y a eu une longue et maladroite pause jusqu'à ce qu'elle a finalement souri et a déclaré" oui, bien merci, monsieur "et j'ai été renvoyé"

Un enseignant basé au Kentucky a perdu son emploi après avoir dit qu'il etait  bisexuel dans le but d'aider les étudiants suicidaires. 

Nicholas Breiner a commencé à enseigner il y a trois ans à McNabb Middle School dans le comté de Montgomery, dans le Kentucky.

Dans un communiqué de presse, il a expliqué:  «Pendant des années,  mon orientation sexuelle était mon affaire et personne d'autre. 

«Quand un enfant est prêt à prendre sa propre vie parce qu'ils aiment différemment que ceux qui les entourent, vous devez donner la priorité à leur sécurité sur votre propre vie privée».

Il a expliqué qu'il avait auparavant craint que sa communauté ne l'accepte pour ce qu'il est.

Après une décennie dans le placard, il sortit avec l'espoir d'aider les étudiants suicidaires LGBTI à son école.

«J'étais resté dans le placard depuis des années. Mais j'ai eu deux étudiantsqui ont tenter le suicide cette année. Je suis intervenu sur cinq autres avant qu'ils ne soient arrivés.

«La grande majorité de ces étudiants étaient des étudiants LGBT», a expliqué M. Breiner. 

«J'ai décidé qu'il n'était plus éthique de rester fermé quand il y avait une possibilité de sortir pourrait me rendre plus accessible à mes étudiants en difficulté qui pourraient envisager de se suicider».

Voir les jeunes suicidés était «vraiment terrifiant», a-t-il déclaré à GSN.

Breiner a parlé de sa propre expérience scolaire: «J'étais suicidaire au collège. Je suis allé jusqu'à emporter mes affaires et à faire ma tentative.

«Heureusement, j'ai eu des gens dans ma vie qui m'ont soutenu et m'a aidé. Beaucoup de mes étudiants pensent qu'ils n'ont personne à qui aller.

'Ils ont 12, 13, 14 ans. Et ils estiment que la seule option raisonnable qui leur est offerte est d'n'exister plus. Il ne peut pas être autorisé à continuer ", a-t-il expliqué à GSN.

"Elle a dit" oui, bien merci, monsieur "et j'ai été renvoyé"

En dépit d'avoir le meilleur des intérêts, la sortie a eu un impact négatif sur la carrière de Breiner.

Breiner a été retiré de la classe qu'il enseignait pour être mis en garde contre l'ouverture de sa sexualité. Cela s'est passé la prochaine journée scolaire après la sortie.

La question ne s'arrêtait cependant pas là. Lorsque son contrat devait être renouvelé, il lui a été dit qu'il ne le serait pas.

Sans préavis, Breiner a été retiré d'une classe appelée à «pop by par chat» avec le directeur.

«Je soupçonnais, étant donné le problème que j'avais donné depuis mon départ, que ce serait peut-être de me prévenir du non-renouvellement», a-t-il déclaré.

«J'ai immédiatement fait un appel au représentant syndical de mon professeur et j'ai pu l'amener à la réunion, ce qui a visiblement irrité le directeur.

«Mon directeur m'a alors informé que mon contrat ne serait pas renouvelé, refusant de donner des raisons spécifiques lorsque j'ai demandé. Je lui ai rappelé que ma performance en tant que professeur avait été jugée globalement «exemplaire» pendant deux ans.

Il y a eu une longue et maladroite pause. Puis elle a finalement souri et a dit "oui, bien merci, monsieur" et j'ai été renvoyé. "

Lorsque Gay Star News a demandé à Breiner s'il croit que sa sortie a eu un impact sur la décision des écoles, «il me devient de plus en plus clair, c'était un facteur décisif».

Breiner a expliqué, alors qu'une grande majorité de ses collègues ont été «exceptionnels» malheureusement, il reste «déçu de certaines réponses administratives».

«Les étudiants préféreraient prendre leur propre vie»

«La malheureuse vérité est que beaucoup de personnes que nous avons placées dans des rôles administratifs de haut niveau ont très peu d'investissements dans notre communauté.

Pour certains, la nécessité d'éviter les controverses l'emporte sur la nécessité de faire ce qui convient à notre communauté et à nos enfants.

Kentucky n'a actuellement aucune loi contre la discrimination envers les personnes LGBTI en milieu de travail et la thérapie de conversion est également légale.

Les étudiants de Breiner à McNabb Middle School ont également connu un «roller coaster of emotions».

Un certain nombre de ses étudiants ont organisé une manifestation le 17 juin sur les étapes du palais de justice local.

Breiner dit que "la plupart des gens ont été scandalisés par la notion même que mon renvoi était dû à mon orientation sexuelle".

Il croit que le comportement exposé au cours de cet événement «crée l'atmosphère toxique dans laquelle les étudiants préféreraient prendre leur propre vie que d'être ouvertement ceux qu'ils sont».

"Il y a beaucoup de désinformation sur cette situation".

L'école secondaire McNabb est située dans le comté de Montgomery. Leur conseil d'éducationa une politique de non-discrimination .

«Il s'engage à protéger les étudiants et les employés contre la discrimination fondée sur« la race, la couleur, l'origine nationale, l'âge, la religion, l'état matrimonial, le sexe ou le handicap ». Il ne mentionne pas l'orientation sexuelle.

Le surintendant du comté de Montgomery, Matthew Thompson, affirme qu'il n'y avait aucun lien entre Breiner qui sortait et perdait son emploi.

Dans une déclaration à GSN, Thompson a déclaré: «Il existe une grande désinformation sur cette situation.

Breiner 'n'a pas été renvoyé ou terminé ", a-t-il déclaré. «La décision d'emploi relative à son non-renouvellement n'était pas en partie, ou dans son ensemble, en raison de son orientation sexuelle. Cependant, je ne suis pas en mesure de répondre à des questions spécifiques concernant le non renouvellement du fait de la confidentialité.

 

C.L.

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Royaume-Uni Un jeune vendeur refuse de renoncer à se maquiller sur son lieu de travail

Publié le par justin

Royaume-Uni Un jeune vendeur refuse de renoncer à se maquiller sur son lieu de travail

Un jeune vendeur britannique s'estime victime de discrimination pour s'être vu interdit de maquillage sur son lieu de travail.

 

"Il n'existe aucune règle concernant le maquillage au travail!", a répliqué Scott Ayton-Laplanche, vendeur dans un magasin d'électroménager en Grande-Bretagne, à son employeur lui avait demandé de ne plus se maquiller pour venir travailler.

Le jeune homme de 20 ans a jugé cette interdiction "discriminatoire", comme il l'exlique dans un post publié sur Facebook le 6 juillet dernier.

"Je travaille ici depuis huit/neuf mois et je n'ai jamais été réprimé à cause de mon maquillage. En réalité c'est même le contraire... Des supérieurs m'ont même encouragé et complimenté", explique le vendeur qui lie cette mesure à son encontre à l'arrivée d'un nouveau manager dans l'entreprise.

"Je ne vais pas arrêter de me maquiller alors que d'autres collègues féminines sont autorisées à venir travailler comme elles le souhaitent", a-t-il prévenu.

Et il ne devrait pas encourir de sanction car l'entreprise qui l'emploie, Currys PC World, soutient son vendeur expliquant qu'il s'agit d'un malentendu qui ne concerne que le magasin où il travaille.

"Scott est fier de son apparence et Currys PC World est fier de la diversité de ses employés", a-t-elle réagi. 

.e-llico.com

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La légende du foot Ronaldinho photographié avec le chef tchétchène homophobe Ramzan Kadyrov

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La légende du foot Ronaldinho photographié avec le chef tchétchène homophobe Ramzan Kadyrov

La légende du football Ronaldinho a déclenché une polémique après avoir été photographié avec Ramzan Kadyrov, le chef tchétchène dont le régime est accusé d’arrêter et de torturer les homosexuels.


Les photos affichées sur le compte Facebook officiel de l’ex-international Brésilien  montrent le footballeur aux côtés de M. Kadyrov, qui leve le pouce face à pouce à la caméra.


M. Kadyrov, qui est soutenu par le Kremlin, a donné ce week-end une interview sur le réseau de télévision HBO dans laquelle il nie qu’il y est des homosexuels en Tchétchénie ajoutant que « s’il en existe, prenez-les au Canada ».
Le ministère des Affaires étrangères canadienne a demandé à la Russie d’enquêter sur les allégations d’enlèvement et de torture de 100 personnes LGBT en Tchétchénie après les révélations du journal russe Novaya Gazeta plus tôt cette année.


Chrystia Freeland, ministre des Affaires étrangères, a déclaré dans un communiqué  en avril: « Des rapports récents et continus sur la persécution des hommes homosexuels et bisexuels en Tchétchénie sont répréhensibles.  Nous appelons les autorités russes à enquêter minutieusement sur ces rapports et à assurer immédiatement la sécurité de toutes les personnes en Tchétchénie susceptibles d’être en danger en raison de leur orientation sexuelle ».

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Drôme : deux ans de prison avec sursis pour un complice d'une agression homophobe

Publié le par justin

Drôme : deux ans de prison avec sursis pour un complice d'une agression homophobe

Le tribunal correctionnel de Valence, dans la Drôme, a condamné, mardi 11 juillet, un homme à deux ans de prison avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve pour complicité de violences dans le cadre d'une agression homophobe, en février à Nyons, rapporte France Bleu Drôme-Ardèche.

Poursuivi à l'origine pour violences aggravées, le prévenu, âgé de 18 ans au moment des faits, avait assuré lors de l'audience, en mai, avoir seulement conduit les deux agresseurs présumés au lieu de rendez-vous avec la victime.

Deux agresseurs présumés jugés ultérieurement

Les deux suspects, âgés de 15 ans, seront jugés ultérieurement par le tribunal pour enfants. Les adolescents sont suspectés d'avoir tendu un guet-apens à leur victime, un habitant de Valréas, dans le Vaucluse.

A la recherche d'une relation amoureuse sur Internet, cet homme de 51 ans s'est rendu à un faux rendez-vous fixé au stade de Nyons par ses agresseurs, dans la soirée du 24 février. En arrivant sur les lieux, le quinquagénaire a été passé à tabac à coups de barre de fer. Ses agresseurs ont accompagné leurs gestes d'insultes homophobes.

La victime a dû être hospitalisée dix jours avant de pouvoir porter plainte. Les enquêteurs sont remontés jusqu'aux adolescents via leurs téléphones portables. Tous deux ont reconnu les faits et ont dit regretter leur geste. Scolarisés au lycée et décrits comme étant plutôt de bons élèves, fils de bonne famille, ils étaient inconnus de la justice.

.francetvinfo.fr

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Canada : une mère musulmane obligée de démissionner de son travail après avoir assisté au mariage de son fils gay

Publié le par justin

Canada : une mère musulmane obligée de démissionner de son travail après avoir assisté au mariage de son fils gay

Une mère musulmane canadienne a été forcée de démissionner de son travail après avoir assisté au mariage de son fils homosexuel .


Son fils, Ali Reza Jessa, a épousé son partenaire de longue date, Paul Hillsdon début juillet.


Bien que la famille de Jessa ait apporté son plein soutien à  cette union, elle a attiré l’attention des dirigeants de leur mouvement islamique Shia Ithna-Asheri.
Une pétition en ligne a circulé en appelant Siddika Jessa à démissionner de son poste de secrétaire général de NASIMCO (l’Organisation des communautés musulmanes nord-américaines Shia Ithna-Asheri).


«Traditionnellement, un mariage est une démonstration publique d’une relation. Ce péché n’a pas été fait en privé, mais a été célébré et promu publiquement. Cela va à l’encontre des interprétations majoritaires légitimes de Jaffari fiqh, que NASIMCO doit défendre.


«Bien que nous croyons qu’il n’est pas nécessaire d’examiner de manière exhaustive ou approfondie la vie personnelle des membres de NASIMCO, cet incident ne peut être rejeté comme« la vie personnelle de la famille d’Ali Reza », indique la pétition
 

La pétition a recueilli plus de 1000 signatures depuis jeudi.
Siddika Jessa a été obligé de démissionner.


Elle a écrit dans une lettre : «Aujourd’hui, en tant que musulmane et mère dévouée qui a eu le privilège de servir nos institutions communautaires, je suis obligé de démissionner par NASIMCO … pour la seule raison que mon fils s’est marié avec un homme, et je voudrais souligner c’est que s’est légal au Canada».


«Ma position aujourd’hui n’est pas seulement celle d’une mère dévouée, mais celle d’un être humain qui a observé avec douleur comment la communauté a usurpé les droits de la création de Dieu au nom de l’islam et a jugé», continue t’elle
«La seule personne à juger mon fils serait Dieu le Jour du Jugement» . «Comment pourrais-je, en tant que mère, discriminer mon propre fils?» conclue t’elle

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Allemagne : un couple gay réfugié interrogé pendant 4 heures

Publié le par justin

Allemagne : un couple gay réfugié interrogé pendant 4 heures

Un couple gay russe qui demandait l’asile en Allemagne aurait été interrogé par un juge pendant quatre heures sur leur sexualité parce que le juge ne croyait pas qu’ils étaient homosexuels.


Pavel Tupikov et Igor Popialkovskii ont fui la Russie après que leur vie ai été menacé alors lorsqu’un policier les faisaient chanter


Les deux hommes ont demandé l’asile à l’Allemagne et Pavel Tupikov devait comparaître devant un juge pour faire appel d’un avis d’expulsion de l’Office fédéral des migrations.
Tupikov a déclaré qu’il avait été interrogé par le juge pendant quatre heures au sujet de sa sexualité parce que le juge ne croyait pas qu’il était gay.


Le juge aurait demandé à propos des partenaires de Tupikov, combien de rencontres sexuelles il avait eut et quelques détails intimes.


«Il voulait tout savoir », Il m’a demandé quand j’avais eu ma première fois, avec qui et comment c’était».


«Le juge a également déclaré qu’il ne croyait pas que nous étions un couple. Comment puis-je prouver que nous sommes un couple? Devions-nous nous embrasser à la cour?»
Popialkovki a déclaré qu’ils vivaient dans la peur alors quand ils étaient encore en Russie. «Nos amis y vivent dans la peur», a-t-il déclaré.


Il a ajouté que son ex-petit ami avait été poignardé dans une attaque homophobe.
Pour Popialkovkii et Tupikov, la Russie ne pourra plus jamais être leur maison, ils espèrent que leur cas sera accepter et qu’ils pourront continuer à vivre et à travailler en Allemagne

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Les demandeurs d'asile gay battus a mort en Allemagne

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Les demandeurs d'asile gay battus a mort en Allemagne

Après avoir récupéré de leurs blessures, ils sont susceptibles d'être renvoyés dans le même camp de réfugiés où ils ont été attaqués

Un couple gay serbe qui demande l'asile en Allemagne a à peine survécu à une attaque vicieuse dans le camp de réfugiés où ils vivaient.

L'incident a été révélé dans un article de Facebook par Javid Nabiyev sur la page Orgueil Queer Refugees Pride. Les hommes ont été battus la semaine dernière et «étaient presque morts» lorsqu'ils sont arrivés à l'hôpital.

Nabiyev et l'équipe de la fierté Queer Refugees ont débattu de publier une vidéo sur ce qui s'est passé. Mais ils ont décidé de publier non seulement un rapport sur l'événement, mais aussi une vidéo sur les blessures des hommes.

Les hommes mariés sont arrivés à l'hôpital après l'attaque et peuvent être vus couvert de sang. L'un des hommes devra subir une intervention chirurgicale pour ses blessures.

Ils ont été attaqués dans le camp de réfugiés où ils séjournaient, même s'ils avaient essayé de cacher le fait qu'ils étaient homosexuels.

«Combien de personnes doivent faire face à ce type d'attaque, de faire croire à tous, de vous convaincre, que notre situation est urgente? Nabiyev a déclaré dans la vidéo.

«Ce qui s'est passé hier se déroule partout.

«Si cette personne était un citoyen allemand, la police réagirait-elle de la même manière?

Nabiyev avait essayé de faire déménager les hommes dans un camp de réfugiés plus tolérant, mais a été refusé. On leur a dit qu'ils devaient avoir une «bonne raison» d'être déplacé.

«Pour que les fonctionnaires puissent croire et prouver l'urgence de la situation dont ils ont besoin pour faire face à une attaque», at-il déclaré dans la vidéo.

«Ils ne veulent pas croire quand ils se plaignent de la situation de manière verbale».

Nulle part n'est en sécurité

Le nom et l'emplacement des hommes ont été gardés confidentiels pour leur sécurité. Mais aussi parce que les autorités ont déclaré que les hommes devront retourner au réfugié où ils ont été attaqués.

«Chaque fois que nous disons des gens étranges, les réfugiés ont besoin de protection, des abris spéciaux, parce que nous sommes également membres de ce groupe particulier par la convention sur les réfugiés», a déclaré Nabiyev.

"Mais comment les autorités réagissent," hmm, vous êtes un petit groupe par rapport à d'autres réfugiés ".

"Mais précisément à cause de cela, nous avons besoin de protection".

C.L.

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Un Jeune accuse la police civile d'agression motivée par l'homophobie au sein du poste de police à Niteroi

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La police civile interne des affaires intérieures (Coinpol) enquête sur une plainte d'agression commise par un agent de l'institution contre un jeune homme de 23 ans, qui peut avoir la motivation homophobe. L'étudiant Andrei Apollonius dos Santos avait demandé un poste de police pour enregistrer le vol de votre téléphone mobile, à Niterói, région métropolitaine, mais a fini avec des écorchures, des ecchymoses et trois dents cassées.

Le garçon dit que était le 81e DP (Itaipu), dans la région océanique de Niterói, pour enregistrer le vol, mais la foudre de la victime par la police civile. « Je suis venu et il a commencé à attaquer avec des mots et des insultes homophobes au fond de l'oreille, ce qui m'a fait très peur », se souvient le jeune.

Andrei a dit qu'il y avait deux officiers au poste de police, mais qu'un seul avait été agressé alors que l'autre regardait tout sans réagir. Il dit que la seule motivation pour les attaques - qui dure environ une heure et également inclus coups de poing et serre le cou était son orientation sexuelle.

« Il n'a pas fait mon BO [rapports de police] et a été très plaidé avec ma façon d'être. Je pouvais voir qu'il était mal à l'aise avec qui je suis, parce que je suis gay. Il a trouvé un affront moi d'être gay et que vous voulez faire il fonctionne à 4 heures « , a déclaré l'étudiant, ajoutant que les menaces encore entendu à libérer.

« L'attaquant a dit:« Bon, je l'espère, vous êtes intelligent, parce que je serais très en mesure de passer un peigne munção entier sur vous, » at-il rappelé.

Andrei a demandé la Commission des droits de l'homme de la ville de Niterói, où il a reçu le soutien d'aller à Coinpol et la Division des affaires internes unifiée du Département d'Etat de sécurité, où l'événement a été enregistré. Benny Briolli, conseille la commission Niterói, le jeune homme a été torturé. Malgré les menaces, il dit qu'il veut aller tout le chemin dans la détermination de la plainte.

Le contrôleur interne de la police civile a indiqué que la reconnaissance de la police sera lundi prochain (17).

C.L.

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Les 27 hommes soupçonnés d'avoir été tués lors d'une purge anti-gay en Tchétchénie ont été révélés.

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Les 27 hommes soupçonnés d'avoir été tués lors d'une purge anti-gay en Tchétchénie ont été révélés.

La Russie Novaya Gazeta a brisé l'histoire que la région qui est un sujet fédéral de la Russie était de persécuter, de détenir, de torturer et d'assassiner des hommes à la fin de 2016

Dimanche, il a fait l'audace de publier les noms de 27 hommes exécutés dans la capitale Grozny..Novaya Gazeta a signalé jusqu'à 56 personnes ont été tuées par le gouvernement de Ramzan Kadyrov.

Dans cette enquête, la Gazeta a constaté que les personnes ont été détenues à des dates différentes, mais toutes ont été exécutées dans les nuits du 25 au 26 janvier.

 

"Selon nos informations, les détenus ont été abattus cette nuit-là et ont transporté divers cimetières, y compris chrétiens, et enterrés dans des tombes hachées", a déclaré Novaya Gazeta.

Le service d'information a enquêté sur les détentions illégales depuis des mois et a demandé à un certain nombre d'organismes gouvernementaux et d'organismes d'application de la loi d'obtenir de l'information. Quand il est apparu clairement qu'ils ne seraient pas utiles, Novaya Gazeta a décidé de publier les noms des victimes.

«Deux mois, nous avions espéré que la coopération au début [de l'enquête] soit efficace», a déclaré Gazeta dans un rapport.

«Aujourd'hui, il est évident que le Comité d'enquête de la Russie perd du terrain sur cette situation ... C'est pourquoi nous publions la liste de ceux qui, selon nos informations, ont été victimes des pires exécutions extrajudiciaires possibles à Grozny.

 

"Et maintenant, l'enquête, qui a un manque de vie de témoins, devra faire face aux témoins spéciaux.

«Parce que les morts n'ont rien à craindre en Tchétchénie»

27 noms

Voici les noms de 27 hommes exécutés par le gouvernement tchétchène. On ne sait pas si tous ces 27 ont été tués parce qu'ils étaient homosexuels ou en raison d'autres crimes perçus.

Certaines des victimes étaient aussi jeunes que 18 ans.

  1. Abdulmezhidov Adam Isaevich, né le 27.5.1987
  2. Abumuslimov Apti Hasanovic, né le 02.06.1989, Shali, Street School, 16.
  3. Abdulkerimov Side Ramzan Ramzanovich, né le 25.03.1990, enregistré au village de Kurchaloy, rue Dohtukaeva 18.
  4. Alimhanov Islam Aliev, né le 6.7.1998
  5. Abubakarov Adam Dzhabrailovich, né le 05.05.1995
  6. Bergan Ismail Shadidovich né le 19.08.1998
  7. Dasaev Adam Ilyasovich, DOB 16/06/1988, Shali.
  8. Dzhabayev Zelimhan Hizirovich, né le 12.18.1993
  9. Ilyasov Adam Huseynovich, né le 22.09.1997
  10. Lugano Rizwan Saeed-Hamzatovich, DOB 13/09/1987, Shali.
  11. Malikov Rizwan Agdanovich, né le 01.06.1990
  12. Musk ICYE Turpalovich, DOB 19/07/1988, enregistré au village de Tsotsi-Yurt, New Street, 10.
  13. Muskhanov Temirlan Ahmadovich, né le 28.4.1986, rue Shali Chicherina, 2.
  14. Ozdiev Usman Vahaevich, DOB 12/24/1989, enregistré à la ville de Shali, rue Grozny, 39.
  15. Rashidov Doc Ibrahimovic, né le 30.05.1995
  16. Siriev Magomed Musaevich, né le 23.02.1993
  17. Soltahmanov Ismail Ezer-Aliyev, né le 30.03.1994, enregistré au village Mairtup, rue Nuradilova.
  18. Suleymanov Magomed Arbievich, DOB 01/03/1987, village de Shali au Caucase, 8, appartement 4.
  19. Tuchaev Ahmed Ramzanovich, né le 23.02.1987, Shali, Street School, 30.
  20. Habu Khamzat Slaudinovich 14.02. Né en 1993
  21. Khakimov Alvi Aslambekovich, 16.11. Né en 1992
  22. Hamidov Shamil Ahmedovich, né le 14.11.1986
  23. Tsikmaev Sultanovich Ayoub, né le 02.04.1984, le village de Germenchuk, rue de la jeunesse.
  24. Shapiev Muslim Isaevich, né le 28.11.1989, enregistré à la ville de Shali, dans la rue Kutuzov, 12.
  25. Eskarbiev Sayhan Vahamsoltovich, né le 23.5.1992
  26. Yusupov Sahab Marshak, né le 19.1.1990
  27. Yusupov Shamhan Shayhovich, DOB 17/06/1988, enregistré au village de Kurchaloy, ul. Sovetskay

C.L.

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Sousse : Deux homos portent plainte pour agression policière

Publié le par justin

Sousse : Deux homos portent plainte pour agression policière

Deux homosexuels accusent des policiers à Sousse de les avoir agressés et insultés. Ils dénoncent une agression à caractère homophobe.

Cela s’est passé dans la soirée de mercredi 12 juillet 2017, près de la Corniche. Les victimes, souhaitant garder l’anonymat, ont confié à Kapitalis qu’une plainte sera portée contre les policiers, d’autant qu’ils estiment n’avoir rien fait pour mériter d’être violentés.

Selon Tarek (pseudonyme), un policier les a interpellés, lui et son ami Sami (pseudonyme) leur reprochant d’être efféminés. Il leur a demandé de rentrer chez eux estimant «qu’ils font honte à voir». Sami, se sentant agressé, a répondu qu’il n’a rien à se reprocher et que les policiers devraient s’occuper d’autre chose au lieu de les embêter sans raison.

La remarque n’a pas été appréciée (c’est un euphémisme) par la patrouille, qui a emmené le jeune homme au poste de police, où, selon ses dires, il a été de nouveau violenté. Tarek l’a rejoint et a été à son tour arrêté puis tabassé.

Le procureur a relâché ce dernier après lui avoir infligé une amende de 4,5 DT. Quant à Sami, il a été transporté à l’hôpital Farhat Hached pour être soigné des coups qu’il a reçus avant d’être présenté au procureur, qui a décidé de le poursuivre pour ivresse et trouble à l’ordre public. Il comparaîtra en état de liberté.

«Je n’étais pas saoul et nous n’avons rien fait; c’est injuste que l’on soit battus, juste parce que notre apparence est différente», a-t-il déploré.

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Tarek et Sami ont entamé les procédures pour porter plainte contre les policiers. Ils affirment vouloir aller jusqu’au bout dans leur démarche, ne supportant plus l’homophobie qu’ils subissent au quotidien.

Notons que les 2 jeunes hommes ont préféré garder l’anonymat, parce qu’ils n’ont pas révélé leur homosexualité à leurs familles respectives

kapitalis.com

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Des homosexuels rejoignent Daech pour éviter d’être tués

Publié le par justin

Des homosexuels rejoignent Daech pour éviter d’être tués

Certaines voix dénoncent une hypocrisie de l'État islamique sur le sujet.

C’est un paradoxe mis en lumière par un article du Daily Beast repéré par Reader: des homosexuels rejoignent Daech pour se protéger et protéger leur famille. Combien? Les chiffres ne sont pas connus, mais le phénomène existe, relève Subhi Nahas, un Syrien gay qui a échappé aux griffes de l’organisation terroriste et est devenu célèbre après avoir prononcé un discours devant l’ONU pour alerter la communauté internationale sur le sort des homosexuels sous le drapeau noir.

«Nous avons connaissance de témoignages selon lesquels des homosexuels ont été recrutés par Daech, ou qu'ils ont eu des rapports sexuels avec des membres de Daech», explique Subhi Nahas.

Selon ce militant de l’organisation Oram, qui défend les réfugiés syriens, des homosexuels s’engageraient aussi pour protéger leur famille et continuer à avoir des relations homosexuelles en secret. «Ainsi ils savent qu’il sont protégés. Et qu’on ne viendra pas les questionner», avance Subhi Nahas. 

Viol, défenestration

D'autres se sont réellement convertis, au moins en apparence, à l'idée que l'homosexualité serait une «abomination» et auraient adopté un comportement de prosélyte. «Des nouvelles recrues accusent des anciens partenaires sexuels parce qu’ils se disent que c’est juste», relate Subhi Nahas. Et sans doute aussi, par paranoïa, pour éviter de se faire dénoncer eux-mêmes par ces anciens partenaires.

Des faits qui s'ajoutent à la défenestration par l'organisation d'un adolescent violé par un responsable de Daech, alors que ce dernier a été épargné. Ce qui fait dire au Daily Beast que Daech est «hypocrite», parce que sa condamnation de l'homosexualité est à deux vitesses.

SLATE.FR

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Un médecin de Cherbourg suspendu pour six mois après des propos sur les handicapés et les homosexuels

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Un médecin de Cherbourg suspendu pour six mois après des propos sur les handicapés et les homosexuels

Un médecin de Cherbourg va laisser le stéthoscope de côté. Il est suspendu six mois de ses fonctions, dont trois ferme. Décision la chambre disciplinaire de l'ordre régional des médecins, vendredi, après des propos déplacés envers les personnes handicapées et les homosexuels.

Les faits remontent au mois de janvier. Devant une infirmière et un patient, le médecin expose durant de longues minutes des thèses défendant la stérilisation des personnes handicapées, mais aussi. Des "la solution finale des nazis appliquée aux handicapés et aux homosexuels" propos qu'il ne nie pas d'ailleurs, il y a un peu moins d'un mois, lors de sa convocation devant la chambre disciplinairede l'ordre régional des médecins.

Le généraliste cherche simplement à minimiser. "Des  paroles sorties de leur contexte et mal comprises par l'infirmière", dit-il. "Des propos cyniques, désabusés et philosophiques". Quant à l'allusion à l'extermination des handicapés, elle aurait été faite, selon son avocat, dans la sphère privée.

L'ARS avait demandé la radiation 

Pas de quoi convaincre donc, l'ordre régional des médecins, qui le suspend six mois de ses fonctions, dont trois ferme, "au principe de la moralité". Une peine moins lourde que la radiation, demandée par l'ARS.

Une décision lourde voire injuste", Frédéric Bastian, président de SOS Médecins à Cherbourg

Le médecin, qui , a travaille pour SOS Médecins à Cherbourg,  la possibilité de faire appel. Le président de l'association, Frédéric Bastian, estime de son côté que cette décision est "lourde voire injuste, qu'elle porte atteinte à la personne."

 

francebleu.fr

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Les homosexuels sérieusement traqués au Cameroun

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Les homosexuels sérieusement traqués au Cameroun

Aucun jour ne passe au Cameroun sans que les homosexuels ne soient victimes d’une traque jusque dans leur dernier retranchement. On pourrait, sans tomber dans l’exagération, parler même de chasse à l’homme tant les courses poursuites dans les rues de Yaoundé et villes environnantes entre les populations et les homosexuels s’intensifient.

Exceptées les Forces de sécurité qui sont tenues de protéger la population y compris les homosexuels, la majorité des Camerounais abhorre cette pratique sexuelle contre nature. Dans les Bars, les Restaurants, les Hôtels, les lieux et Espaces attrayants, les homosexuels qui vivent et assument publiquement leur penchant, risquent gros en s’exposant à des lynchages d’une violence particulière.

Une tenancière de Bar raconte le calvaire d’un couple homosexuel qui a failli passer de vie à trépas n’eût été l’arrivée salvatrice et la présence dissuasive de deux agents de la Police nationale au lieu où ils se prélassaient.

 racontait la gérante du Bar en question.

Entre lynchage, poursuite, injures ou paiement de fortes rançons, les homosexuels au Cameroun ont une existence périlleuse. C’est le lieu de le préciser, qu’au Cameroun, l’homosexualité est punie par le Code Pénal. Les homosexuels risquent cinq ans de prison et une amende de 20 000 à 200 000 FCFA.

 

http://www.afrique-sur7.fr

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Toutes les personnes LGBT sont ciblées en Tchétchénie, mais la situation est beaucoup plus urgente pour les homosexuels

Publié le par justin

Toutes les personnes LGBT sont ciblées en Tchétchénie, mais la situation est beaucoup plus urgente pour les homosexuels


Le réseau LGBT russe n'a pas été surpris du fait que le gouvernement tchétchène a recommencé à persécuter les homosexuels.

 

Un porte-parole du Réseau a déclaré à Gay Star News que la persécution ralentit probablement pendant le mois sacré islamique du Ramadan. L'attention internationale peut aussi avoir été une autre raison.

«Malheureusement, je dois confirmer cette information et nous commençons à recevoir de nouvelles demandes sur notre hotline et les gens nous contactent en disant que la situation est dangereuse», a déclaré le porte-parole.

Le réseau LGBT russe a déclaré qu'il est devenu plus efficace pour aider les hommes à sortir de la Tchétchénie.

 

«Nous avons dû redémarrer l'évacuation, nous avons commencé dès le début et nous pouvons travailler à l'évacuation de la région le lendemain après le premier contact», ont-ils déclaré.

«Donc, nous prenons des gens de la Tchétchénie dans d'autres régions de la Russie et nous leur fournissons tout le nécessaire, l'hébergement, la nourriture, le soutien médical, le soutien psychologique car presque tous en ont besoin.

"Nous essayons de les déplacer vers un autre pays".

Depuis début avril, plus de 120 personnes ont demandé une aide d'urgence par le biais de la hotline du réseau Le Réseau a interviewé les hommes et ont des comptes rendus de première main de la situation extrême en Tchétchénie.

 

"Ils racontent tous des histoires horribles, beaucoup d'entre eux ont été arrêtés à la maison ou au travail ou juste dans la rue", a déclaré le porte-parole.

"Et alors, ces gens ont été emmenés dans des prisons secrètes et sont restés là de quelques jours à quelques semaines. Et tout ce temps-là, ils ont été privés de nourriture et d'eau.

«Ils ont été battus et torturés. Beaucoup ont été battus avec un courant électrique.

"Donc, toutes ces histoires sont vraiment horribles et il est tout simplement incroyable de se passer ces choses en Russie en ce moment et le gouvernement n'agit pas du tout".

Toutes les personnes LGBTI sont à risque

Les hommes accusés d'être gay sont le risque le plus immédiat de détention et de torture. Mais toutes les personnes LGBTI en Tchétchénie sont confrontées à la persécution.

"Bien sûr, il y a des lesbiennes et des transgenres en Tchétchénie comme dans toutes les parties du monde", a déclaré le porte-parole du réseau Russe LGBTI.

"Bien sûr, ils sont ciblés, mais il existe différents types de persécutions.

«Les hommes gais qui sont emmenés dans les prisons, c'était une sorte d'attaque massive contre ces personnes homosexuelles. Les femmes homosexuelles sont traitées différemment.

"Donc, il est considéré que les familles devraient s'engager à leur égard, donc il y a beaucoup de violence domestique et nous avons entendu dire qu'il y a beaucoup de meurtres d'honneur de ces femmes lesbiennes".

La famille compte

Plus de 60 personnes ont été évacuées de la Tchétchénie et 27 d'entre elles ont été expulsées de la Russie entièrement.

Bien qu'il n'y ait pas d'autre option pour les hommes, laisser leurs familles peut être une expérience hargneuse.

«Lorsque les gens nous contactent, ils savent qu'il n'y a pas de retour, qu'après leur émigration, ils ne peuvent pas revenir en arrière», a déclaré le porte-parole.

«Ils doivent donc rompre toutes les relations avec leurs familles. Pour les Tchétchènes, la famille est une question très importante, pour eux, c'est énorme.

Médias Watch

Le réseau LGBT russe a travaillé en étroite collaboration avec All Out - un groupe international de défense des LGBTI.

Les deux organisations ont publié une déclaration conjointe corrigeant les rapports médiatiques selon lesquels 27 hommes homosexuels avaient été exécutés en Tchétchénie.

Les rapports des médias ont suivi la décision de Russie Novaya Gazeta de publier les noms de certains hommes exécutés.

"En ce qui concerne le réseau LGBT russe et All Out, la liste des noms figurant dans cette publication ne comprend pas les victimes assassinées en raison de leur orientation sexuelle", ont-ils déclaré dans le communiqué.

«Jusqu'à présent, il existe des preuves d'au moins 6 hommes homosexuels qui sont morts dans la purge anti-gay et que les organismes d'application de la loi fédéraux de la Fédération de Russie continuent de garder le silence sur cette question.

En attendant, les deux organisations travaillent sur des campagnes pour soutenir les homosexuels en Tchétchénie. Ils veulent également s'assurer que le crime contre l'humanité qui se passe en Tchétchénie sera étudié et que les responsables seront tenus responsables ».

C LOUSTAU

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