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LIAM PAYNE ET LOUIS TOMLINSON : BAISER SUR SCÈNE POUR LES DEUX ONE DIRECTION ?

Publié le par justin

LIAM PAYNE ET LOUIS TOMLINSON : BAISER SUR SCÈNE POUR LES DEUX ONE DIRECTION ?

Après Larry Stylinson, aurons-nous droit à... Lilo ? Ce samedi 10 octobre 2015, les One Direction étaient en concert à Birmingham en Angleterre. Sur scène, Liam Payne et Louis Tomlinson étaient comme à leur habitude très proches n'hésitant pas à se taquiner. Et un moment en particulier a fait le tour de Twitter : l'image d'un supposé baiser entre les deux chanteurs. Découvrez la vidéo qui fait débat.

Un baiser pour Louis Tomlinson et Liam Payne ?

Depuis les débuts des One Direction, un bon nombre de fans sont persuadés, malgré les nombreux démentis, qu'Harry Styles et Louis Tomlinson sont secrètement en couple. Mais ce week-end, c'est un autre supposé couple qui a affolé les réseaux sociaux : Lilo aka Liam Payne et Louis Tomlinson. Samedi, les stars de Drag Me Down étaient en concert à Birmingham en Angleterre. Entre deux chansons, les deux potes se sont taquinés et sont apparus très proches. Une vidéo capturée par un fan présent lors du concert (voir ci-dessous) a beaucoup circulé et semble montrer les deux chanteurs en train d'échanger un baiser furtif.

Baiser ou pas baiser ? Le débat sur Twitter

Un instant très (très) rapide qui a fait débat sur Twitter. Avec le hashtag lilokiss, les Directioners n'ont pas hésité à donner leur avis sur ce supposé bisou entre les deux chanteurs. La plupart sont d'ailleurs persuadés que tout cela n'était qu'un accident et n'ont pas hésité à imaginer la réaction d'Harry Styles. Comme quoi les fans de Larry Stilinson n'ont pas dit leur dernier mot...

purebreak.com

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METZ : PRISON FERME POUR LES AUTEURS D’UNE AGRESSION HOMOPHOBE

Publié le par justin

METZ : PRISON FERME POUR LES AUTEURS D’UNE AGRESSION HOMOPHOBE
MOSELLE - TROIS PERSONNES ONT ÉTÉ CONDAMNÉES MERCREDI À METZ À DES PEINES DE PRISON, DONT DEUX FERME, POUR L'AGRESSION À CARACTÈRE HOMOPHOBE D'UNE JEUNE FEMME DANS UN BAR DE LA VILLE EN DÉCEMBRE 2013.

Trois personnes ont été condamnées mercredi à Metz (Moselle) à des peines de prison, dont deux ferme, pour l'agression à caractère homophobe d'une jeune femme dans un bar de la ville en décembre 2013. Un jeune homme a écopé d'un an de prison ferme, un autre de 18 mois ferme avec mandat de dépôt, et une jeune femme d'un an avec sursis.

Le procureur, qui avait retenu la circonstance aggravante d’homophobie, avait requis des peines de prison allant de deux ans, dont un avec sursis, pour la femme à 5 ans ferme pour les deux hommes. En décembre 2013, accompagnés de deux amis que la police n'a jamais pu identifier, les trois prévenus avaient frappé et insulté la victime, âgée de 27 ans, dans un bar de nuit accueillant les homosexuels de Metz.

Coups, insultes et menaces

Selon l'enquête, un baiser entre la victime et son amie homosexuelle avait provoqué la colère des agresseurs, qui les avaient rejointes dans le fumoir du bar, et avaient roué de coups l'une d'elles. La jeune femme avait d'abord pris à partie la victime, lui assenant coups de poing, griffures et insultes homophobes, avant d'être rejointe par son frère et un autre ami. Frappée à main nue et avec un verre brisé, la victime avait eu le nerf de la main gauche sectionné et s'était vue délivrer un certificat d'incapacité totale de travail (ITT) d'une durée de 28 jours. Alors qu'elle était hospitalisée, deux des agresseurs lui avaient proposé par téléphone 500 euros si elle renonçait à porter plainte.

La victime n'avait pas assisté au procès. Quant aux prévenus, seul l'un d'entre eux, âgé de 23 ans, a comparu. Les deux autres, la femme, 27 ans, et son frère, 29 ans, étaient absents. "Mon client avait un peu bu et ne se souvient pas avoir frappé la victime, il se rappelle juste avoir assisté à la scène", a commenté l'avocat du prévenu présent à l'audience, Me Stanislas Louvel, pour qui le caractère homophobe de cette agression n'est pas caractérisé. L'avocate de la partie civile, Me Laura Cassaro, a expliqué que sa cliente, "très affectée par son agression" qui vit encore aujourd'hui "avec la boule au ventre", n'avait pas voulu venir au tribunal. "Elle craint des représailles", a-t-elle ajouté. Les prévenus ont aussi été condamnés à verser 2.412 euros à la sécurité sociale. La victime percevra 3.000 euros de dommages et intérêts pour le préjudice moral et 1.500 pour le préjudice moral.

metronews.fr

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SAN DIEGO:CHÂTEAU EMMETT LE QUATRIEMES TRANS QUI CE SUICIDENT CETTE ANNEE

Publié le par justin

SAN DIEGO:CHÂTEAU EMMETT LE QUATRIEMES TRANS QUI CE SUICIDENT CETTE ANNEE
UN GARÇON DE 14 ANS EST DEVENU LE QUATRIÈME TRANSGENRES ADOLESCENT DE MOURIR PAR SUICIDE DANS LE COMTÉ DE SAN DIEGO DEPUIS MARS.

Château Emmett a pris sa vie à Mission Valley à la maison de son père samedi dernier (3 Octobre),

Emmett est sorti comme transgenre l'été dernier et a été rapidement acceptée par ses parents.

Cependant, maltraite par ses camarades et les changements physiques de la puberté étaient également frustrant pour le garçon.

Son père, Mike, a dû le chercher à l'école, car il etait bouleversé tellement », dit sa mère Sarah.

Emmett avait fait plusieurs tentatives pour prendre sa vie et a été diagnostiqué avec la dépression sévère plusieurs années avant.

«Il était l'insomnie et la léthargie. Il avait du mal à faire les choses de base comme aller à l'épicerie », dit Sarah.

Mais les membres de la famille dit qu'il y avait pas de signes avant-coureurs immédiats de la dernière tentative de suicide d'Emmett - il avait des amis et avait hâte d'obtenir son nom légalement changé plus tard ce mois.

Sarah a exhorté les parents à aimer leurs enfants transgenres et a eu ce message pour les adolescents eux-mêmes trans:

«Je veux juste qu'ils détiennent sur. La transition est un processus et il peut être douloureux, mais nous vous aimons. Nous t'aimons.'

Ceci est le quatrième adolescent trans qui ce suicide dans la région de San Diego cette année.

Kyler Prescott, un autre 14 ans transgenres garçon, qui était une pianiste accomplie et activiste pour l'égalité de mariage et animale droits. Prescott, qui est mort par suicide le 18 mai, était aimé de sa famille qui l'a affirmé à travers sa transition. Prescott et sa sa famille ont également assisté à des groupes de soutien locaux de San Diego pour les membres de la famille des jeunes trans.Leur soutien reflète l'amour montré au château de sa famille.

Taylor Alesana, une fille transgenre de 16 ans près de San Diego, a pris sa vie sur le 2 Avril, tandis qu'un adolescent de sexe non conforme nommée Sage,également décédé par suicide au début de Mars. Les deux Alesana et Sage auraient été impliqués avec le LGBTQ Resource Center North County, où Prescott a également assisté à diverses réunions de groupe.

la mère de Castle a exhorté les membres de la famille des jeunes trans à aimer leur enfant et demander de l'aide lorsque cela est nécessaire.

Pour les adolescents trans eux-mêmes, la mère de deuil a un message plus urgent:

«Je veux juste qu'ils détiennent sur. La transition peut être douloureuse, mais nous vous aimons. Nous t'aimons."

C.L.

http://i-man.fr/homophobie/san-diegochateau-emmett-le-quatriemes-trans-qui-ce-suicident-cette-annee/

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USA: L’iPhone Or Rose n’est pas gay

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Avec l’Or rosé de son IPHONE 6S, Apple a séduit certains, tout en provoquant de nombreux commentaires à relents homophobes un peu partout sur la toile. La chaîne des youtubeurs américains College Humour en a donc profité pour parodier une publicité de la marque à la pomme, sous le nom : « L’iPhone Or Rose n’est pas gay ».
C’est loin d’être la vidéo du siècle, mais elle aborde ce thème sous un jour original. Pour les non-anglophones, certains gags visuels avec Mlle Ratajkowski fonctionneront néanmoins, et sinon, voici la dernière déclaration du faux Tim Cook pour vous donner une idée du ton : « Oui, c’est un téléphone rose. Et si votre sexualité n’arrive pas à le gérer, achetez-vous un putain d’Androïd. Je ne veux pas votre ARGENT »

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LE CHAMPION AMÉRICAIN DE PATINAGE ADAM RIPPON ANNONCE QU’IL EST HOMOSEXUEL DANS UN MAGAZINE US

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LE CHAMPION AMÉRICAIN DE PATINAGE ADAM RIPPON ANNONCE QU’IL EST HOMOSEXUEL DANS UN MAGAZINE US

Adam Rippon est un patineur artistique américain né le 11 novembre 1989 à Scranton, en Pennsylvanie aux États-Unis.

Il est champion des Quatre continents en 2010.

Dans un entretien pour Skating, le magazine de la fédération américaine de patinage, le patineur américain Adam Rippon annonce qu'il est homosexuel.

«Nous sommes en 2015, explique-t-il.

De nombreux athlètes ont envie de sortir du placard, cela fait partie de la culture, aujourd'hui, d'être plus ouvert sur ce que vous êtes et de montrer quels sont vos centres d'intérêt.

Bien sûr que les gens s'intéressent à votre orientation sexuelle.

Les gens adorent les rumeurs.

Quand les athlètes font leur coming-out, cela rend la chose un petit peu plus banale et moins une affaire d'État, surtout dans la communauté sportive.

Vous avez en effet beaucoup de respect pour vos collègues parce qu'ils travaillent dur pour atteindre leurs buts. Dans ce cas-là, l'orientation sexuelle devient secondaire.

Être gay n'est pas ce qui me définit, poursuit-il.

Ce qui me définit, c'est ce que m'ont toujours appris mes parents: de traiter les autres avec respect, de travailler dur et d'être gentil. Ce sont des choses qui me définissent.»

jeanmarcmorandini.com

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ATTAQUÉE PAR UN GROUPE D’HOMMES UNE TRANSGENRE TUÉE EN PLEIN PHILADELPHIE

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ATTAQUÉE PAR UN GROUPE D’HOMMES UNE TRANSGENRE TUÉE EN PLEIN PHILADELPHIE

Une transgenre de 22 ans a été attaquée mardi par un groupe d’hommes à Philadelphie, aux Etats-Unis. Elle a d’abord été battue, puis elle a reçu deux balles dans le dos. Elle est morte à l’hôpital.

Keisha Jenkins n’avait que 22 ans mais elle savait déjà ce qu’elle souhaitait dans la vie : faire une école d’art ou de graphisme, devenir tatoueuse, se faire accepter telle qu’elle était… Mais les projets de cette transgenre américaine ont été détruits mardi. Vers deux heures du matin, elle a été attaquée par un groupe de six hommes, alors qu’elle se trouvait près d’un parc de Philadelphie. D’aprèsABC News, elle a d’abord été renversée par une voiture dont le conducteur est toujours recherché. Elle a ensuite été battue par un groupe de six hommes – eux aussi en fuite – avant de recevoir deux balles dans le dos. Elle était inconsciente lorsque les secours sont arrivés et est morte quelques heures plus tard à l’hôpital. La police a indiqué que les raisons de crime odieux étaient encore à déterminer.

«Les agresseurs s’en sont-ils pris à elle par hasard, pour lui voler des effets personnels ou s’agit-il d’un crime de haine», se questionne la police. Pour la communauté transgenre et les associations LGBT, le doute n’est pas permis. «A une époque où l’on parle plus que jamais des transgenres, leur droit de vivre leur vie simplement est menacé chaque jour par la violence, dans des cas qui ne sont souvent pas rapportés par les médias et ne font pas la Une», écrit Judy Shepard – la mère d’un jeune homme homosexuel tué en 1988 et devenu un symbole de la lutte LGBT – dans un communiqué. «La violence faite contre la communauté, spécialement les transgenres de couleur est une cause nationale, et le problème ne va pas se résoudre simplement en menant des enquêtes. La solution doit être trouvée dans notre société. Nous devons nousASSURER que la stigmatisation est complètement éliminée», a déclaré Nellie Fitzpatrick, chargée des droits LGBT auprès du maire de Philadelphie.

ELLE ÉTAIT "BIEN DANS SA PEAU"

Keisha Jenkins est en effet la vingtième personne transgenre à être tuée depuis le début de l’année aux Etats-Unis. La 18ème Afro-Américaine d’après la Human Rights Campaign Foundation. Son histoire rappelle celle d’India Clarke, transgenre retrouvée morte dans un parc de Tampa, en Floride. Cette dernière avait commencé sa transition il y a quatre ans, oubliant définitivement Samuel, celui qu’elle était à la naissance. Dès lors, elle avait décidé d’assumer pleinement sa nouvelle allure, malgré les discriminations dont elle se plaignait à ses amis.

La situation de Keisha était cependant un peu plus floue. Alors que sur Facebook, elle avait officiellement changé son genre et que ses amis avaient accepté de l’appeler par son prénom féminin, sa sœur a indiqué à ABC News que sa familleCONTINUAIT à l’appeler Stephen, son nom de naissance, «pas certaine que Keisha était réellement transgenre». «Stephen Jenkins était un garçon et il ne s’habillait comme une fille que de temps en temps», a-t-elle indiqué. Mais elle a cependant fait savoir que ses parents soutenaient ses choix, du moment qu’elle «était bien dans sa peau». Ses cousines, cités parPhilly.com ont notamment rendu hommage à celle qui leur avait appris à appliquer du maquillage et de faux cils. Keisha était «folle mais dans le sens positif», a confié sa cousine Alfreda. Sur les réseaux sociaux, les hashtags #BlackTransLivesMatte, #Justice4KeishaJenkins et #SayHerName sont utilisés pour lui rendre hommage. Une campagne de dons a été ouverte sur Internet afin d’aider sa famille à payer les funérailles.

http://i-man.fr/homophobie/attaquee-par-un-groupe-dhommes-une-transgenre-tuee-en-plein-philadelphie/

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Vidéo. Blued : premier site de rencontre pour les homosexuels en Chine

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« J'ai une centaine d'employés pour m'aider dans cette mission très spéciale », explique Geng Le, le créateur du site de rencontres, destinée au public homosexuel : « Nous tentons de démystifier l'homosexualité, pour que cessent les discriminations, en offrant également à la communauté, un lieu pour échanger. »

Si Geng parle aujourd'hui de son orientation sexuelle avec sourire, le sujet est longtemps demeuré pourtant enfoui au plus profond de lui-même. Policier dans une grande ville le jour... il tentait de trouver des partenaires la nuit.

« Je me sentais extrêmement perdu », indique-t-il. « Je ne savais pas ce qui clochait avec moi. Surtout lorsqu'on vous explique, notamment sur le net, que l'homosexualité est un "trouble psychologique", que l'on peut "soigner" avec des électrochocs. J'ai vraiment pensé qu'il fallait que je consulte un docteur. Mais je ne voulais pas non plus en rencontrer un dans ma ville. »

C'est à ce moment que Geng décide de raconter son histoire anonymement. Mais lorsque son patron l'apprend, il lui donne un ultimatum :

« Il m'a dit : "soit tu considères que tu es policier et tu abandonnes tes histoires de site pour gay, soit tu démissionnes". Je ne savais pas quoi faire. Mes collègues m'évitaient dans les couloirs. Plusieurs d'entre eux parlaient dans mon dos. J'étais démoli. »

Geng choisira ainsi de rester "vrai", en donnant sa démission. Une décision qui va néanmoins changer sa vie et celles de millions de personnes en Chine. Car en effet, en 2012, l'ex-policier crée Blued, qui connaîtra instantanément le succès.

« Aujourd'hui, j'ai 15 millions d'abonnés et une entreprise de la Silicone Valley, en Californie, a investi quelque 30 millions de dollars dans notre site de rencontre », confie l'entrepreneur.

Blued est devenu en 3 ans une sorte de planète où les LGBT chinois peuvent échanger, se rencontrer, parler de leurs difficultés. Une libération puisque même si le pays est aujourd'hui plus tolérant, les homosexuels n'ont aucune protection et sont toujours victimes de discrimination.

« Ça a également transformé ma vie, raconte Jiang Zhongtao, un relationniste de 28 ans. J'ai repris confiance en moi, alors que jusque là, j'étais persuadé être le seul homosexuel au monde. Je n'ai pas non plus parlé à mes parents, parce que j'ai bien conscience qu'ils ne l'accepteront jamais. Mais au moins je suis moi-même. »

Une clinique de dépistage

L'isolement des homosexuels fait en sorte que peu d'information est véhiculée à propos du sida par exemple et des moyens pour se protéger. Geng Le a donc créé sa propre clinique pour dépister le VIH. Le service étant anonyme et gratuit.

Un accomplissement majeur dans un pays comme la Chine. Mais Geng ne veut pas en rester là. Il espère maintenant faire adopter une loi pour interdire la discrimination envers les personnes LGBT dans les milieux de travail et inciter à la reconnaissance légale des conjoints de même sexe.personnes LGBT dans les milieux de travail et inciter à la reconnaissance légale des conjoints de même sexe.

stophomophobie.com

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USA: LA POLICE DE NEW YORK ACCUSÉE D’ABUS SUR LES SANS-ABRI LGBT

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USA: LA POLICE DE NEW YORK ACCUSÉE D’ABUS SUR LES SANS-ABRI LGBT

Une étude révèle que les jeunes sans-abri LGBT sont l’objet d’abus répétés de la part de la police de New York.

The Urban Institute a interrogé 283 jeunes sans abri LGBT à New York qui se livrent actuellement au « sexe de survie — le sexe en échange de nourriture ou d’un abri.

Il ressort de cette étude que 71 % des personnes interrogées ont été en contact avec la police new-yorkaise, le NYPD, et qualifient leur traitement par la police de façon négative et souvent physique.

70 % de ces jeunes ont été arrêtés au moins une fois. 49 % se sont sentis « en danger » dans le véhicule de patrouille et affirment avoir subi des violences entre les mains des policiers.
«Ces abus sont composés de harcèlement verbal, d’agression physique tels que coups et étouffement, d’agression sexuelle, y compris des avances sexuelles en échange de remise en liberté et même de viol, de refus d’aide en cas de signalement de ces abus, et de la destruction ou le vol de biens personnels», peut-on lire dans le rapport. «En plus des blessures physiques, les jeunes sans domicileFIXE gais qualifient la violence policière comme conduisant à des blessures psychologiques», ajoute l’étude.

source : fugues.com

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ITALIE : LES ITALIENS PLUS OUVERTS AU SUJET DE L’HOMOSEXUALITÉ

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ITALIE : LES ITALIENS PLUS OUVERTS AU SUJET DE L’HOMOSEXUALITÉ

Une grande majorité d’Italiens se dit favorable à la reconnaissance des couples homosexuels ainsi qu’à la communion pour les divorcés, selon un sondage publié mardi, au deuxième jour du synode sur la famille qui se tient au Vatican.

Selon les résultats de ce sondage publiés dans leCORRIERE DELLA SERA, 74 % des Italiens se disent favorables à un statut — 37 % pour le mariage, 37 % pour l’union civile — pour les couples homosexuels, alors que l’Italie est le dernier grand pays d’Europe occidentale à n’en reconnaître aucun.

Malgré l’opposition de l’Église à toute reconnaissance des couples de même sexe, les catholiques pratiquants ne se démarquent pas: 25 % se disent favorables au mariage homosexuel et 37 % aux unions civiles.
Autre signe du fossé entre les catholiques « de base » et la hiérarchie, 84 % des catholiques italiens interrogés se disent favorables à ce que les divorcés puissent communier.

La question d’un possible accès des divorcés remariés à la communion est l’une des plus brûlantes du synode sur la famille qui s’est ouvert dimanche au Vatican.
Et les unions civiles pour les couples homosexuels promises par le gouvernement de centre gauche de Matteo Renzi sont encore au point mort, le projet de loi restant bloqué par un flot d’amendements en commission au Sénat.

Le sondage a été effectué par l’institut Ipsos pour le compte du quotidien Corriere della Sera les 29 et 30 septembre sur un échantillon de 998 personnes.

Autre étude italienne : Selon une enquête récente menée par la Fédération italienne de sexologie scientifique (Fiss), l’introduction de l’éducation sexuelle dans les écoles est préconisée par 98% des personnes interrogées . 13% aimeraient le voir enseigner à la maternelle alors que la plupart (46%) croit que le meilleur moment est celui du primaire. Pour 78% des sondés, l’éducation sexuelle devrait être confiée à des spécialistes. Seulement 14% préfèrent laisser les parents s’en charger alors que 0,14% choisiraient les personnalités religieuses.

Une autre constatation importante est celle qui concerne l’homosexualité : 83% pensent que c’est une orientation sexuelle comme une autre , mais 1,55% de la population continuent à croire qu’il est une maladie.

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SIDA : LES MISES AU POINT D’UN PRIX NOBEL

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SIDA : LES MISES AU POINT D’UN PRIX NOBEL

Françoise Barré-Sinoussi, Prix Nobel de médecine et codécouvreuse du virus était, hier, dans la région. L'occasion de faire le point sur la recherche

Françoise Barré-Sinoussi, Prix Nobel de médecine, participait au lancement de la 5e Université des jeunes chercheurs, en compagnie de Bruno Spire, chercheur à l'Inserm.

Une mer limpide, un horizon azur découpé par le petit train de la Côte Bleue. Dans cet univers de vacances, la cinquantaine de chercheurs a eu peut-être un peu de mal à se concentrer sur sa 5e université organisée par le Sidaction, à Carry-le-Rouet (club vacanciel).

Mais la réalité de la maladie a vite repris le dessus avec celle dont le nom reste étroitement lié au sida : la Prix Nobel de médecine, Françoise Barré-Sinoussi, récompensée en 2008, qui a participé à la découverte du virus VIH, en 1983, auprès du professeur Luc Montagnier.

Plus de 30 ans après, le sida fait moins peur, contré par des traitements qui ont prouvé leur efficacité. "Aujourd'hui, pour un jeune de 20 ans contaminé, explique la chercheuse,l'espérance de vie est de plus de 55 ans contre 60 ans pour un jeune séronégatif." Pourtant, le sida pourrait reculer encore si l'État ne tournait pas le dos à la PrEP, autrement dit la Prophylaxie pré-exposition, traitement préventif qui empêche le virus de pénétrer dans l'organisme.

Présent à Carry, auprès de Françoise Barré-Sinoussi, le chercheur (de l'Inserm) Bruno Spire était le premier à déplorer ce mépris de l'État, que la codécouvreuse du sida ne comprend non plus. "Le problème du PrEP, c'est que cela coûte de l'argent, 500 par individu et l'État ne veut pas payer. La prévention a toujours été le parent pauvre de la santé. C'est comme pour le paludisme, le traitement préventif, c'est le voyageur qui doit se le payer.

"En France, on rembourse les soins seulement. Alors, c'est vrai que c'est cher mais aux États-Unis, on n'hésite pas à rembourser. Et 30 000 personnes en auraient besoin en France. Mais bon, comme il s'agit d'homos, qui représentent une minorité électorale pour les élus, on s'en fout."

"15 MILLIONS DE PERSONNES SUR 37 MILLIONS INFECTÉES SONT TRAITÉES"

La PrEP écartée, quelle est la tendance en ce qui concerne le vaccin ? Recherche trop lente comme le regrettent certains ? "Non, on ne peut pas dire ça, coupe Françoise Barré-Sinoussi, ça prend toujours du temps. N'oubliez pas qu'on a mis 100 ans pour trouver d'autres vaccins. Alors 30 ans, ce n'est pas grand-chose.Puis, on a fait d'énormes progrès. On a des tests de diagnostic hyperfiables, des traitements qui permettent de vivre normalement et une vraie palette d'outils de prévention." Reste que, pour que les travaux avancent, il faut des chercheurs. Or, on raconte que de plus en plus d'étudiants se tournent vers des domaines plus porteurs financièrement(lire ci-dessous).

Mais les problèmes salariaux en France ne sont rien à côté des problèmes économiques que connaît le tiers-monde en matière de lutte contre le sida. Quelle évolution en Afrique ou en Asie ? "15 millions de personnes sur 37 millions infectées sont traitées, révèle Françoise Barré-Sinoussi. L'objectif 2015 a été atteint. Mais le problème aujourd'hui est de savoir ce qui va se passer après. Si on veut traiter les autres, il faut augmenter les dotations. Puis, il faut être mieux organisé. Il y a des endroits reculés où des gens sont malades et où personne ne va. Il faut plus de moyens humains mais il n'y aura jamais suffisamment de soignants."

Pourtant le rôle de ces derniers est essentiel. Et pas seulement dans la lutte contre le sida. "Pour Ébola, ce sont des chercheurs du sida qui ont fait les tests. Donc il y a un savoir-faire pour ceux qui luttent contre le VIH qui sert au-delà de cette maladie."

"Le problème, conclut Bruno Spire, c'est qu'il y a un état d'esprit qui nous inquiète. On semble dire : le sida c'est bon maintenant, passons à autre chose."

.laprovence.com

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MONTREAL: LES AGRESSIONS HOMOPHOBES N’ONT PAS CESSÉ DANS LE VILLAGE

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MONTREAL: LES AGRESSIONS HOMOPHOBES N’ONT PAS CESSÉ DANS LE VILLAGE
UN HOMME D’UNE QUARANTAINE D’ANNÉES, LA NUIT, PRÈS DE LA STATION DE MÉTRO BEAUDRY. SAUVAGEMENT AGRESSÉ, MAIS PASSÉ SOUS LE RADAR MÉDIATIQUE, IL EN EST RESSORTI TRAUMATISÉ. SA TENTATIVE DE SUICIDE VENDREDI A FAIT DÉBORDER LE VASE POUR LE COLLECTIF CARRÉ ROSE, QUI RÉCLAME QUE MONTRÉAL AGISSE POUR RENFORCER LA SÉCURITÉ DANS LE QUARTIER GAY.

« Ce sont de vrais actes de violence, il faut ouvrir les yeux et faire plus », martèle au téléphone Louis-Alain Robitaille. Il est porte-parole du groupe créé en 2013, dans la foulée d’une flambée de violence homophobe dans le Village.

En près de deux ans d’existence, les « carrés roses » auront vu défiler plus d’une vingtaine de victimes de ces agressions, des personnes qui mettent beaucoup de temps à s’en remettre, réitère M. Robitaille. Surtout, le fondateur du Collectif dénonce le silence autour de cette criminalité dirigée contre les gais : « Si c’était sur la rue Mont-Royal ou dans Outremont, tout le monde crierait. Mais dans le Village, c’est comme si c’était moins grave. » Le mouvement ne comptabilise que les cas qui lui sont rapportés directement, ce qui laisse présager que les chiffres sont beaucoup plus élevés à l’échelle de la ville.

Surtout, seulement six personnes auraient porté plainte formellement contre leur agresseur, préférant parfois se taire « lorsque leur famille n’est pas au courant de[leur] homosexualité », expose le porte-parole.

En janvier 2014, un climat de peur s’était installé dans les rues de ces environs. Le portrait tuméfié de Christian Beaudoin avait fait le tour des réseaux sociaux, alors que trois autres agressions avaient été rapportées coup sur coup dans des lieux distincts la même fin de semaine. Puis le quartier avait connu une certaine accalmie, quand les policiers du poste 22 ont mis en oeuvre un plan de sécurité accru. « Il n’y avait pas eu d’agressions durant quatre mois, car il y avait une voiture de police attitrée au Village la nuit », relate le carré rose. Même s’il salue le travail du SPVM, il a l’impression que l’attention s’est relâchée. Le Collectif réclame aujourd’hui plus d’éclairage dans les rues, et un regain de la surveillance policière.« Ça suffit », appuie M. Robitaille.

Le maire Denis Coderre s’est dit « sensible à ces questions » par la voix de son attachée de presse. Il est décidé à rencontrer prochainement le Collectif, mais aucune date n’a encore été fixée.

.ledevoir.com

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Prêtre et homosexuel : Christian témoigne pour la première fois à visage découvert

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Christian, prêtre dans une paroisse en Poitou-Charentes, est sorti du « placard », comme il dit, renonçant à son ministère pour l'amour d'un homme. C'était une décennie plus tôt que le Polonais Krysztof Olaf Charamsa, qui, il y a une semaine, a fait son coming out à la veille de l'ouverture du synode sur la famille à Rome, où il est justement question de la place de l'homosexualité dans l'Eglise. Il témoigne sur LeParisien, pour la première fois à visage découvert. Lui aussi a quitté son ministère pour l'amour d'un homme.

« Je lui dis bravo, même si cela pourrait être contre-productif en braquant les évêques du synode », craint-il toutefois.

A l'époque, pas de buzz planétaire ni de foudres vaticanes. « Moi, je n'ai pas fait de vagues, je n'ai pas envie d'être le héros et le héraut d'une cause », précise d'emblée ce catholique âgé de 51 ans. Contrairement à son camarade de la curie, il n'a pas d'amertume. « J'étais un prêtre heureux », résume-t-il dans son pavillon près de Poitiers qu'il partage avec son compagnon.

«Le premier homophobe, c'était moi»

C'est au séminaire que « tout a basculé », qu'il a « pris conscience » de cette « étrangeté » qui l'attire « vers les mecs ». « J'ai découvert ma sexualité dans les milieux de drague, notamment dans les parcs, avec la crainte de tomber sur des paroissiens », explique-t-il. Le jeune homme en parle alors ouvertement à son accompagnateur spirituel, un prêtre auquel il se confesse. Le regard n'est pas accusateur, au contraire. « Jamais on ne m'a dit au séminaire : Ce ne sera pas possible de devenir prêtre. En fait, le premier homophobe, c'était moi. On se sent différent », souligne-t-il. Auprès de ses collègues séminaristes, en revanche, il ne s'épanche pas, « c'est l'omerta ». « J'ai appris bien plus tard que sur les six de mon groupe, quatre étaient homos », recense-t-il.

En juillet 1995, il est ordonné prêtre. « J'étais tout à fait conscient de mon homosexualité, mais je me disais : Dieu m'aime tel que je suis. Dieu se fout de savoir si je suis homo ou pas. » Il s'investit alors dans son sacerdoce, tout en enchaînant les plans sans lendemain. Mais fin 2004, il fait une belle rencontre et tombe amoureux. Il est alors anéanti. « Je devais choisir entre l'homme que j'aime et la prêtrise », se souvient-il. Il confie son secret à un « groupe de prêtres proches du monde ouvrier ». Puis à son évêque. « Il ne m'a pas condamné, il m'a écouté, a été très bienveillant, tout en m'invitant à ne pas l'ébruiter. Je lui ai répété qu'il était hors de question que je mène une double vie. » Ensemble, ils réfléchissent à « une sortie honorable ».

«Il a fallu me décléricaliser»

En 2005, il est décidé, d'un commun accord, qu'il quitte officiellement sa paroisse, non pas pour un grand amour, mais pour un travail salarié. « Je pars sur la pointe des pieds. Quand je fais mes adieux aux paroissiens, je leur annonce que je vais devenir prêtre-ouvrier. » Il dort encore au presbytère jusqu'au jour où un confrère, ayant appris qu'il était gay, le somme de partir illico. Christian a vraisemblablement été victime de la dénonciation d'un fidèle qui l'a vu en couple. « Là, c'est un tsunami, je fuis, je me réfugie chez mon frère. » Il fait dans la foulée son coming out à sa famille qui réagit plutôt bien.

Pas simple de quitter la sacristie. « Il a fallu me décléricaliser. J'ai perdu des responsabilités, une reconnaissance sociale. J'ai mis quatre ou cinq ans à m'en remettre », lâche-t-il. Aujourd'hui, il est directeur d'une structure d'insertion. « Je remets les gens debout, c'est très proche de mon ministère au sens de l'Evangile. » Il est toujours croyant, va régulièrement à la messe, anime les chants dans sa paroisse. Celui qui a défendu le mariage pour tous milite pour que « l'Eglise change son regard et ses mots sur les personnes homosexuelles ». Au sein du mouvement homosexuel chrétien ouvert à tous David et Jonathan, il est aussi l'un des fers de lance du groupe prêtres, « un havre de paix, d'écoute, d'accompagnement » pour une vingtaine de curés et d'ex-curés gays.

Voilà dix ans qu'il n'a plus célébré de messe. Aux yeux de l'Eglise, pourtant, il est toujours prêtre. Il y tient. « Je le serai jusqu'à mon dernier souffle », martèle-t-il. Certes, il a été déchargé temporairement de ministère, mais il n'a jamais été relevé de ses fonctions. Il n'ambitionne pas de reprendre du service derrière l'autel, même s'il n'a pas oublié la main tendue de son évêque en 2005. « Il m'avait dit : Quand tu veux, tu reprends un ministère, on t'accueillera toujours. »

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JAD, 23 ANS, HOMO ET PALESTINIEN

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JAD, 23 ANS, HOMO ET PALESTINIEN

L'homosexualité est un sujet très sensible en Cisjordanie. Jad le sait bien. Ce jeune homme de 23 ans est obligé de mener une double vie pour se protéger.

Parler de son homosexualité en Palestine n’est pas sans danger. Jad* a accepté mais à certaines conditions: changer son prénom et nous rencontrer dans un endroit où il pourra parler sans être entendu ni compris. Le rendez-vous est pris au beau milieu de la journée dans le café La Vie à Ramallah, un endroit dans lequel les clients sont en majorité étrangers.INSTALLÉ à la table la plus isolée, Jad se lance: «Mes parents ne sont ni trop ouverts, ni trop fermés.»

Son enfance, il la qualifie de normale même si elle n’a pas été facile. Tout petit, Jad préférait les jouets des filles à ceux des garçons, ce qui déjà ne faisait pas plaisir à ses parents. «Chaque fois, ils me disaient, «tu es une fille!» Je sais qu’ils voulaient me faire réagir pour que j’arrête de m’amuser avec, mais au final leurs réflexions m’ont beaucoup blessé», confie-t-il. A l’école non plus la vie n’était pas rose. Ce jeune homme barbu avec un léger crayon noir sous les yeux n’avait pas beaucoup d’amis à Ramallah. «Je sentais que j’étais différent mais je ne savais pas pourquoi. Alors je n’arrivais pas à me défendre quand on m’embêtait», raconte-t-il. Cela s’est accentué à l’adolescence. «C’était toujours la même histoire qui se répétait, précise-t-il, dès que je sortais pour aller par exemple au supermarché, on se moquait de moi car je marchais un peu comme les filles, c’est-à-dire pas droit. En plus avec mon problème au pied (légère déformation), cela n’a rien arrangé…»

Jad s’est petit à petit renfermé et ses parents de leur côté, en ont rajouté. «Ils me disaient, j’ai vu le voisin. Il m’a demandé pourquoi tu étais comme ça?, se souvient-il. En clair, pourquoi je n’étais pas viril comme les autres garçons? Mes parents ne me défendaient même pas car pour eux, j’avais un problème sans me dire explicitement lequel.»

TOUJOURS SENSIBLE
Jusqu’à l’âge de 17 ans, il n’avait jamais entendu le mot «homosexuel». «La première fois, c’était dans une émission libanaise.» Le sujet est tabou en Palestine. La raison? «Le poids des traditions, de la religion», répond-il. Mais, paradoxalement, c’est dans sa foi que ce jeune musulman a trouvé une validation. Ainsi, selon lui: «Dieu m’a créé et savait d’avance qui j’allais être. Alors s’il en avait connaissance, il ne peut pas me rejeter, il m’a accepté comme je suis depuis le début.» Le territoire est à majorité musulman. Certaines villes sont conservatrices comme Hébron ou encore Naplouse. Être gay y est très dangereux. Alors beaucoup préfèrent sortir, voire habiter à Ramallah, la capitale économique de la Cisjordanie où l’homosexualité est plus tolérée si bien entendu, elle se passe loin des regards.

«Dieu m’a créé et savait d’avance qui j’allais être.» Jad

Jusqu’à aujourd’hui, aucun Palestinien n’a jamais été poursuivi pour son orientation sexuelle même s’il n’y a pas de loi claire l’interdisant. Une, existe pour punir tout acte censé heurter la morale. En clair, la religion. Jad ne peut donc pas revendiquer sa sexualité. Il ne peut pas la vivre à 100 % comme il le souhaiterait. Difficile pour ce jeune homme qui se sent solidaire de son peuple dans la lutte commune pour la reconnaissance d’un Etat. Mais l’image des homosexuels change. A force de regarder la télévision, de naviguer sur Internet ou encore de voyager à l’étranger, certains jeunes commencent à accepter l’idée. «J’ai décidé de le révéler à certains de mes amis, explique Jad, mais pour être sûr de leur réaction, j’ai discuté du sujet avec eux. Vous savez dans la société palestinienne, l’homosexualité est très mal vue. On nous voit comme des gens qui n’ont rien à faire dans la vie ou qui ne pensent qu’au sexe…»

DEUX FACETTES
Faire des rencontres à Ramallah n’est pas simple. «Il y a seulement deux façons d’en faire», lâche Jad. «Avec leLOGICIEL Grindr qui n’est dédié qu’aux homos. On se connecte et on nous indique quels sont les plus proches de nous.» Et l’autre? «L’association Al Qaws («arc-en-ciel») qui a un compte sur Facebook. Elle organise de temps en temps des réunions privées à Ramallah où l’on peut parler de tout: de nos difficultés, de nos peines, etc. Mais avant de l’intégrer, la présidente nous fait passer une sorte d’entretien pour être sûre qu’on est bien homo.»

Dans le groupe, on trouve même des Palestiniens mariés. Sous la pression de leur famille, certains cèdent et épousent une femme. D’autres l’acceptent pour éviter tout soupçon. «Moi, je ne le ferai jamais!»ASSURE le jeune homme. Son avenir, Jad ne le voit pas ici. Toutefois, depuis que son père est décédé il y a deux ans, il est l’aîné de la maison et doit donc rester avec les siens. Mais il prévient: «Le jour où mon frère qui vit aux Etats-Unis revient, moi, je pars à l’étranger, dans le pays où il y a le plus d’homosexuels.»

*Prénom d’emprunt

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UN TEST POUR PRÉDIRE L’HOMOSEXUALITÉ? UN GÉNÉTICIEN GAY CLAQUE LA PORTE D’UNE ÉTUDE

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UN TEST POUR PRÉDIRE L’HOMOSEXUALITÉ? UN GÉNÉTICIEN GAY CLAQUE LA PORTE D’UNE ÉTUDE
UN JEUNE CHERCHEUR AMÉRICAIN A ANNONCÉ SON RETRAIT D'UN PROGRAMME QUI ENVISAGE UN TEST CAPABLE DE DÉTERMINER L'ORIENTATION SEXUELLE À PARTIR D'UN ÉCHANTILLON DE SALIVE

Des chercheurs du University College de Los Angeles affirment avoir développé un test génétique susceptible de prédire l’orientation sexuelle à partir de la salive. Il a été utilisé avec succès sur des jumeaux de sexe masculin dans 67% des 47 cas étudiés, selon l’équipe.

Un des chercheurs, inquiet des implications éthiques de cette recherche, a décidé de se retirer du projet. Lui-même gay, Tuck C. Ngun s’est déclaré très mal à l’aise: «Je me suis toujours demandé pourquoi je suis comme je suis. Mais une fois que l’on a cette information, on ne contrôle plus comment elle est utilisée ou propagée.» Le jeune post-doctorant estime que ces découvertes pourraient mener, à terme, à des tests eugénistes sur le foetus. Toutefois, il a aussi exprimé des doutes scientifiques sur les résultats de l’étude, basée sur le processus de méthylation de l’ADN, périlleux à interpréter.

FRATRIES GAY
L’étude californienne s’inscrit dans les recherches actuelles sur une séquence de marqueurs génétiques découverts chez des frères qui développent une orientation homosexuelle, note le site britannique Gay Star News, citant «The New Scientist».

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LE VATICAN FINANCE SECRÈTEMENT DES THÉRAPIES DE GUÉRISON DE PRÊTRES HOMOSEXUELS

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LE VATICAN FINANCE SECRÈTEMENT DES THÉRAPIES DE GUÉRISON DE PRÊTRES HOMOSEXUELS

Un ancien prêtre catholique affirme que le Vatican finance des «thérapies de guérison» de l'homosexualité de membres du clergé homosexuels.

Ces révélations interviennent au lendemain du coming-out d'un prêtre polonais qui a mis en cause publiquement la politique de l'Église catholique envers les homosexuels.

Les affirmations proviennent d'ancien prêtre sarde, Mario Bonfanti (photo), qui a été renvoyé de l'église à cause de son orientation sexuelle.

Il a déclaré au journal italien La Repubblica: «Il existe un monastère où les prêtres qui manifestent des tendances sexuelles inappropriées sont envoyés pour mener une réflexion. C'est un endroit où on vous aide à redécouvrir le bon droit chemin. Ils voulaient me 'guérir', mais j'ai refusé d'y aller ».

Cet ancien prêtre a clairement désigné le monastère Venturini, situé dans un village de Sardaigne, comme un centre de «guérison gaie» pour les prêtres catholiques homosexuels.

Le monastère a été fondé par Mario Venturini en 1928, et il se présente lui-même comme un centre où les prêtres «peuvent faire face à leurs problèmes» et bénéficier de «différents types de thérapies».

Le Père Gianluigi Pasto, 71, la tête du monastère, a confirmé qu'il traite des «problèmes liés au sexe».

«Les prêtres viennent à nous pour une période de formation et de réflexion personnelle», a-t-il expliqué.« Pour le moment, nous n'accueillons ni de prêtres homosexuels ni de prêtres pédophiles ici, même si notre travail consiste à accueillir tout le monde» a-t-il prétendu.

«Nous ne parlons pas de notre travail, mais il est bien connu de nombreux évêques et diocèses. Ils savent ce que nous pouvons offrir», a-t-il ajouté.

AFP

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RÉVOCATION D’UN PRÊTRE EN ITALIE QUI « JUSTIFIE » LA PÉDOPHILIE MAIS NE COMPREND PAS L’HOMOSEXUALITÉ

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RÉVOCATION D’UN PRÊTRE EN ITALIE QUI « JUSTIFIE » LA PÉDOPHILIE MAIS NE COMPREND PAS L’HOMOSEXUALITÉ

Au deuxième jour du synode romain sur la famille, tandis que sur le fond, certains prélats craignent qu’en se montrant « trop conciliant », avec les divorcés, remariés ou même les couples de même sexe, « le message de l’Eglise soit dilué », un prêtre italien, interpelé sur le coming out récent de Mgr Krysztof Olaf Charamsa vient de déclencher une nouvelle polémique.

« La question de l’homosexualité dans l’Eglise, c’est un problème réel ? » demande une journaliste de La7, une chaîne de télévision italienne privée, à Don Gino Flaim, qui officie dans la ville de Trente. « Je ne sais pas », lui répond le prêtre : « La pédophilie, je peux comprendre mais l’homosexualité, je ne sais pas ! »

« Je me suis souvent déplacé dans les écoles, les enfants je les connais, et malheureusement certains, qui cherchent de l’affection parce qu’ils n’en reçoivent pas chez eux, peuvent parfois tomber sur un prêtre qui cède, et ça je peux le comprendre ».
« Ce seraient ainsi les enfants, qui… »
« En grande partie, oui, en effet... », rétorque le prélat.
« Donc les accusations à l’égard de la pédophilie sont injustifiées ? », continue la journaliste...
« C’est un péché », ajoute le prêtre, « et comme tous les péchés il doit être accepté ».
« Et en ce qui concerne l’homosexualité ? »
« Je n’ai pas de connaissances directes du sujet, je ne saurais donc pas me prononcer », explique Don Gino Flaim, mais « je ne m’étonne pas que de telles choses arrivent, puisque l’Eglise est une communauté de pécheurs. Ce n’est d'ailleurs pas pour rien que Jésus-Christ est mort pour les péchés. Comment expliquer, sinon que surviennent des maladies ? ».
« Parce que l’homosexualité est une maladie ? », poursuit ainsi la jeune femme...
« Je pense vraiment que oui », assure le prélat.

Des déclarations qui vont immédiatement susciter la réaction déconcertée des invités de l’émission et remonter jusqu'au Parlement. L’archidiocèse de Trente s’est d'ailleurs empressé de se dissocier du prêtre en annonçant sa révocation.

« Mais qu’est-ce que bien pu raconter de si grave ? » s'interroge encore Gino Flaim, dans une interview sur La Repubblica. Il ne comprend toujours pas mais souligne que « si on ne le laisse pas [faire la messe], il ira prêcher au bar ».

.stophomophobie.com

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L’HOMME DIT QU’IL A ÉTÉ BATTU PAR PSU MEMBRE DE LA FRATERNITÉ PARCE QU’IL EST GAY

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L’HOMME DIT QU’IL A ÉTÉ BATTU PAR PSU MEMBRE DE LA FRATERNITÉ PARCE QU’IL EST GAY
LA POLICE ENQUÊTANT SUR L'INCIDENT APRÈS LES MESSAGES D'UN JEUNE HOMME DE LONG ISLAND, UNE ÎLE DU NORD-EST DES ÉTATS-UNIS, PRÉTEND QU’IL A ÉTÉ SAUVAGEMENT BATTU PAR UN MEMBRE DE SA FRATERNITÉ APRÈS AVOIR RÉVÉLÉ QU’IL ÉTAIT HOMOSEXUEL LORS D’UNE VISITE À L’UNIVERSITÉ D’ÉTAT DE PENNSYLVANIE.
JOHN MATEER, 19 ANS, A PUBLIÉ DES PHOTOS SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX APRÈS L’ATTAQUE DIMANCHE, SUSCITANT L’INDIGNATION.
»NE LAISSEZ PAS UN MEC DE VOTRE FRATERNITÉ SAVOIR QUE VOUS ÊTES GAY, » A T-IL ÉCRIT SUR TWITTER. « JE SAIGNE SUR MON TÉLÉPHONE. »

Il n'a pas précisé la fraternité de son présumé agresseur.

Les messages de médias sociaux semblent indiquer que Mateer est un étudiant dans un collège à New York.

Le dimanche, Facebook utilisateur Matt Weyl re -Posté les photos surFacebook, critiquant les logements de l'université pour la communauté LGBT.

«Je ne connais pas un seul étudiant gay qui, à un moment ou un autre jamais senti en danger au cours de leurs quatre années d'être qui ils sont, la marche à travers les parties de State College après l'obscurité," a écrit Weyl.

Les deux Weyl et les messages de MATEER ont été partagés plus de mille fois sur leurs plates-formes de médias sociaux respectifs, incitant la police locale de se pencher sur l'incident.

Les autorités ne seraient pas confirmer que l'enquête a été directement reliée aux messages, mais ils ne disent qu'elle est liée aux allégations formulées sur les médias sociaux. Mateer a déclaré sur Twitter qu'il avait déposé un rapport de police.

La police dit que l'incident a pu se produire sur le Nord Burrows Road à State College et que l'enquête est en cours.

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BNP PARIBAS, PREMIÈRE BANQUE FRANÇAISE À S’ENGAGER CONTRE L’HOMOPHOBIE

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BNP PARIBAS, PREMIÈRE BANQUE FRANÇAISE À S’ENGAGER CONTRE L’HOMOPHOBIE

N’en déplaise aux 10 000 internautes en colère, la « banque d’un monde qui change » a contresigné son slogan. Mardi 6 octobre, BNP Paribas est devenue la première banque française à signer la charte d’engagement LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) de l’association L’Autre Cercle, s’engageant ainsi officiellement à lutter contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle et l’identité de genre. Le groupe lance du même coup la branche française de son réseau professionnel LGBT « Pride », déjà présent aux Etats-Unis et au Royaume-Uni.

« L’homophobie n’a pas sa place dans cette entreprise », a rappelé, lors de l’événement organisé en interne pour la signature, le directeur général, Jean-Laurent Bonnafé, en conclusion de « derniers jours difficiles » durant lesquels la banque a été prise à partie sur les réseaux sociaux. Dans l’amphithéâtre du Comptoir national d’escompte de Paris gardé par des vigiles, émotion, fierté et nervosité se sont cristallisées dans les yeux humides du public et les quelques larmes de Barbara Levéel, responsable de la diversité du groupe.

LA signature de la charte a entrainer des réactions du coté de la manif pour tous et des blogs d’extrêmes droitesQUI APPELAIENT au boycott de la banque .
Une pétition a même été lancée : «Dans le contexte socio-économique actuel, il serait préférable qu’une banque française, qui plus est la plus importante, se concentre sur sa mission première : le service de l’économie et le financement des entreprises.» dénoncent les opposants en mettant une pétition en ligne :« En vous engageant délibérément sur un terrain politique, vous agissez à l’encontre des intérêts de l’entreprise. Votre responsabilité est grande. En provoquant la polémique, vous affaiblissez un groupe d’envergure mondiale dont la mission première, faut-il vous le rappeler, est de servir l’économie et de financer les entreprises.
J’attends du groupe BNP Paribas qu’il renonce expressément et sans délai au développement de tout communautarisme et qu’il se concentre sur sa mission de service de l’économie française.» indique la pétition

lemonde.fr/

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BUSSY-SAINT-GEORGES : L’ANCIEN MAIRE AU TRIBUNAL POUR DIFFAMATION

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BUSSY-SAINT-GEORGES : L’ANCIEN MAIRE AU TRIBUNAL POUR DIFFAMATION

Son ombre devrait planer sur le conseil municipal de Bussy-Saint-Georges, prévu ce mercredi soir. Alors qu’il a démissionné de sa fonction d’élu d’opposition, Hugues Rondeau (Cnip) vient d’être renvoyé devant le tribunal de Nanterre, le 1er décembre, dans le cadre d’une plainte déposée l’an dernier par Chantal Brunel, la maire (LR), suite à un commentaire de Rondeau tenu sur son blog, à propos d’une policière municipale victime d’homophobie.

L’agent - qui a quitté la commune depuis - avait elle-même déposé une plainte contre sa hiérarchie. A l’époque, Rondeau avait accusé Loïc Masson,MAIRE ADJOINT chargé de la sécurité, « d’homophobie primaire ». Des propos qui lui valent aujourd’hui un renvoi en correctionnelle…

« L’audience devait se tenir ce mardi, mais a été renvoyée en décembre, parce que nous avons apporté des pièces supplémentaires », estime Hugues Rondeau. Qui s’étonne qu’on le juge sur cette diffamation « alors que la plainte pour homophobie est toujours instruite ». Par ailleurs, s’il laisse la gestion des dossiers municipaux à ses anciens colistiers, l’ex-élu « se défendra » sur les attaques de Brunel le concernant. « ElleCONTINUE à m’attaquer pour mieux dissimuler les vrais sujets », regrette-t-il.

De quoi animer la séance de mercredi, la première depuis la victoire écrasante de Chantal Brunel (LR) aux élections municipales partielles du 20 septembre dernier.

.leparisien.fr/

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Justin Bieber nu : il fait de l'ombre à Sylvain Potard !

Publié le par justin

Justin Bieber nu : il fait de l'ombre à Sylvain Potard !

TOUT NU ET TOUT BRONZÉ – Justin Bieber est actuellement à Bora Bora, en vacances avec la top model Jayde Pierce. Et le jeune chanteur a voulu se détendre en prenant un petit bain dans une piscine. Sauf que Monsieur était tout nu et qu'un vilain paparazzi a immortalisé ce moment. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Sylvain Potard n'est pas le seul à être bien membré.

Cachez ce sexe que l'on ne saurait voir Mister Bieber. Le chanteur Justin Bieber est actuellement en vacances à Bora Bora avec la mannequin Jayde Pierce. Alors que les deux viennent certainement de roucouler, l'artiste a eu envie de prendre un petit bain rafraîchissant. Hélas pour lui, un méchant paparazzi était dans le coin. Ce qui donne des clichés très coquins.

Si de nombreux sites dévoilent des images censurées où l’attribut de Justin Bieber est caché par différents artifices, d'autres, moins scrupuleux, nous montrent le chanteur canadien dans toute sa splendeur. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le petit chéri de ces dames n'a rien à envier à notre, dorénavant célèbre, Sylvain Potard, champion de MMA vedette du dernier calendrier des "Dieux du Stade". Celui que Roselyne Bachelot surnommait ''trompe d'éléphant'' a un sérieux concurrent. Point commun entre les deux : leur corps est totalement rasé, de haut... En bas.

Et l'amour dans tout ça ? Justin et Jayde Pierce se seraient rapprochés en avril dernier. Les deux se seraient d'abord dragués par texto avant une rencontre "officielle". Depuis, il semble qu'ils ne se quittent plus. Sur le compte Instagram du chanteur, de nombreuses photos des tourtereaux pullulent. Dans une récente interview au magazine Complex, Bieb avouait ''voir quelqu'un''. Visiblement, c'est la mannequin, qui elle, a tout vu.

.metronews.fr

Justin Bieber nu : il fait de l'ombre à Sylvain Potard !
Justin Bieber nu : il fait de l'ombre à Sylvain Potard !
Justin Bieber nu : il fait de l'ombre à Sylvain Potard !
Justin Bieber nu : il fait de l'ombre à Sylvain Potard !
Justin Bieber nu : il fait de l'ombre à Sylvain Potard !
Justin Bieber nu : il fait de l'ombre à Sylvain Potard !
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